Certains verront face à la détresse de l'autre une réaction de fragilité dont il serait bon de profiter.

Quand cela arrive à des proches c'est une autre chose, la détresse se contamine vite. elle fait vite boule de neige.

Je ne voudrais pas à mon tour, à l'aulne de ce sentiment, juger du bon ou mauvais chez les autres.

Je voudrais juste dire que cette détresse nous la vivrons tous un jour chez les autres et chez nous même.

il y a 17 minutes, brooder a dit :

Certains verront face à la détresse de l'autre une réaction de fragilité dont il serait bon de profiter.

Quand cela arrive à des proches c'est une autre chose, la détresse se contamine vite. elle fait vite boule de neige.

Je ne voudrais pas à mon tour, à l'aulne de ce sentiment, juger du bon ou mauvais chez les autres.

Je voudrais juste dire que cette détresse nous la vivrons tous un jour chez les autres et chez nous même.

Le sujet fait écho en moi parce que je suis confronté à la détresse de deux nièces de 18 et 15 ans qui viennent de perdre leur mère et  je me sens totalement désemparé. Peut-on canaliser la détresse des gens qu'on aime? Quelles pistes possibles ?

J'ai beaucoup de mal a savoir comment réagir face  au gens qui demande de  l'aide quand je suis triste je préfère rester seule dans mon coin donc quand une personne a besoin de réconfort je ne suis vraiment pas doué pour l'aider 

il y a 2 minutes, CAL26 a dit :

Le sujet fait écho en moi parce que je suis confronté à la détresse de deux nièces de 18 et 15 ans qui viennent de perdre leur mère et  je me sens totalement désemparé. Peut-on canaliser la détresse des gens qu'on aime? Quelles pistes possibles ?

C'est déjà un travail religieux, pas de prendre en charge la détresse de l'humanité entière, mais détecter la partie humaine chez tout être dont les besoins sont simples.

il y a 3 minutes, Petit ours a dit :

J'ai beaucoup de mal a savoir comment réagir face  au gens qui demande de  l'aide quand je suis triste je préfère rester seule dans mon coin donc quand une personne a besoin de réconfort je ne suis vraiment pas doué pour l'aider 

Cela peut être le travail de toute une vie.

il y a 15 minutes, CAL26 a dit :

Le sujet fait écho en moi parce que je suis confronté à la détresse de deux nièces de 18 et 15 ans qui viennent de perdre leur mère et  je me sens totalement désemparé. Peut-on canaliser la détresse des gens qu'on aime? Quelles pistes possibles ?

L'empathie, patiente et indéfectible ? 

(facile à dire, le derrière sur ma petite chaise)

il y a 4 minutes, Auger a dit :

L'empathie, patiente et indéfectible ? 

(facile à dire, le derrière sur ma petite chaise)

Il ne s'agit pas seulement de partage le malheur, il faut continuer à vivre malgré tout.

il y a 2 minutes, Auger a dit :

L'empathie, patiente et indéfectible ? 

(facile à dire, le derrière sur ma petite chaise)

L'empathie est pour moi dans le contexte tout à fait automatique. Mais ce qui me semble difficile c'est d'aider la reconstruction et pour cela trouver la bonne distance relationnelle.

à l’instant, brooder a dit :

Il ne s'agit pas seulement de partage le malheur, il faut continuer à vivre malgré tout.

J'ai parlé d'empathie, pas de compassion, la compassion c'est "souffrir avec".

Dans l'empathie, je mettrais davantage d'écoute, d'affection, de partage, de compréhension, d'amour.

Peut-être je rêve, mais j'aime bien rêver.

à l’instant, Auger a dit :

J'ai parlé d'empathie, pas de compassion, la compassion c'est "souffrir avec".

Dans l'empathie, je mettrais davantage d'écoute, d'affection, de partage, de compréhension, d'amour.

Peut-être je rêve, mais j'aime bien rêver.

Certain sont plus appeler à partager leurs plaisirs plutôt que leurs souffrances (j'aime bien rêver )

il y a 1 minute, CAL26 a dit :

L'empathie est pour moi dans le contexte tout à fait automatique. Mais ce qui me semble difficile c'est d'aider la reconstruction et pour cela trouver la bonne distance relationnelle.

L'empathie patiente et prolongée mènera - ou aidera - à la reconstruction.

J'en suis persuadé, parce que je l'ai vécu et parce que c'est le sens de l'existence.

il y a 1 minute, brooder a dit :

Certain sont plus appeler à partager leurs plaisirs plutôt que leurs souffrances (j'aime bien rêver )

Tu veux parler de détresse ou de parties de jambes en l'air ?

il y a 3 minutes, Auger a dit :

L'empathie patiente et prolongée mènera - ou aidera - à la reconstruction.

J'en suis persuadé, parce que je l'ai vécu et parce que c'est le sens de l'existence.

Tu veux parler de détresse ou de parties de jambes en l'air ?

 

Tu as une drole façon de jouer avec les mots, comment peux tu parler de compassion sans parler d'empathie ?!

à l’instant, brooder a dit :

Tu as une drole façon de jouer avec les mots, comment peux tu parler de compassion sans parler d'empathie ?!

S'il y a deux mots, c'est que leur sens n'est pas identique, non ?

Le langage, c'est pas l'armée allemande, on peut l'adapter, se l'approprier, le faire évoluer...

Et je donne juste mon interprétation, je n'ai pas la science infuse !

à l’instant, Auger a dit :

S'il y a deux mots, c'est que leur sens n'est pas identique, non ?

Le langage, c'est pas l'armée allemande, on peut l'adapter, se l'approprier, le faire évoluer...

Et je donne juste mon interprétation, je n'ai pas la science infuse !

Pour reprendre ton exemple de partie de jambe en l'air, il ne suffit pas d'être en empathie avec l'autre mais aussi de souffrir de ses maux.

à l’instant, brooder a dit :

Pour reprendre ton exemple de partie de jambe en l'air, il ne suffit pas d'être en empathie avec l'autre mais aussi de souffrir de ses maux.

Non. Il y a une limite que tu retrouves en psychanalyse ou en psychothérapie, par exemple.

Bonne soirée à toi.

il y a 16 minutes, Auger a dit :

J'ai parlé d'empathie, pas de compassion, la compassion c'est "souffrir avec".

Dans l'empathie, je mettrais davantage d'écoute, d'affection, de partage, de compréhension, d'amour.

Peut-être je rêve, mais j'aime bien rêver.

Et pourtant, c'est l'empathie, souffrir avec ! Et la compassion, l'écoute et la présence.

il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Et pourtant, c'est l'empathie, souffrir avec ! Et la compassion, l'écoute et la présence.

empathie

nom féminin

Définitions

• Faculté intuitive de se mettre à la place d'autrui, de percevoir ce qu'il ressent.

Mais peut-c

J'osais pas lui faire la remarque, merki !

il y a 4 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Et pourtant, c'est l'empathie, souffrir avec ! Et la compassion, l'écoute et la présence.

empathie

nom féminin

Définitions

• Faculté intuitive de se mettre à la place d'autrui, de percevoir ce qu'il ressent.

Mais peut-c

https://fr.wikipedia.org/wiki/Compassion

La compassion (du latin : cum patior, « je souffre avec » et du grec συμ πἀθεια , sym patheia, sympathie) est un sentiment par lequel un individu est porté à percevoir ou ressentir la souffrance d'autrui, et poussé à y remédier, par amour ou morale. D'où le besoin de ce mot, ainsi que de celui d'empathie. Les termes pitié et compassion sont souvent utilisés comme synonymes, bien qu'il existe des différences qui font que la compassion peut être considérée comme une vertu et non un seul affect. La « miséricorde » ou « commisération » peut s'apparenter à la compassion avec une sémantique plus religieuse.

il y a 1 minute, Auger a dit :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Compassion

A ce point, plus de compassion donc plus d'empathie

à l’instant, brooder a dit :

A ce point, plus de compassion donc plus d'empathie

Pas de problème :

1) je ne cherche pas à avoir raison à tout prix (je suis trop vieux pour ça)

2) ton topic est autrement plus intéressant qu'un cours de Français

Re-bonne soirée

il y a 2 minutes, Auger a dit :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Compassion

Je trouve ces définitions claires et pertinentes.

La compassion est la forme que prend l’amour altruiste lorsqu’il est confronté aux souffrances d’autrui. Le bouddhisme la définit comme « le souhait que tous les êtres soient libérés de la souffrance et de ses causes »

L’empathie est la capacité d’entrer en résonance affective avec les sentiments d’autrui et de prendre conscience cognitivement de sa situation. L’empathie nous alerte en particulier sur la nature et l’intensité des souffrances éprouvées par autrui. On pourrait dire qu’elle catalyse la transformation de l’amour altruiste en compassion.

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