Vos copains, vos connaissances.

J'ai l'énorme chance d'avoir ou d'avoir eu des copains et de bonnes connaissances dans tous les milieux sociaux. Ca permet d'avoir l'esprit ouvert, d'observer la Société Française, de comprendre "comment ça marche".

Ainsi, j'ai fait parti d'une association parisienne de chercheurs en Histoire. Il y avait beaucoup de gens "distingués" : un ancien ingénieur en chef de l'Aérospaciale, une dame qui n'a qu'une rue à traverser pour être dans la cour du château de Versailles, des universitaires plus ou moins écrivains... Parmi ces gens, des personnes dignes et de vrais saligauds qui crachent sur le "bas peuple". Des illuminés aussi !

J'ai le fils d'un ancien copain de travail qui est directeur dans une grosse firme internationale, et que j'ai connu. Genre Macron ("Moi je sais !"). C'est le mec qui touche 50.000 ou 60.000 € par mois.

La cousine de ma femme est mariée à un "vieux" qui travaillait pour une grosse boite internationale de produits chimiques. Un pigeon voyageur allant de pays en pays. Un type tout simple.

Mes deux plus anciens copains sont l'un professeur de physique quantique etc..., l'autre à l'économat au siège d'une banque bretonne. Il attend la retraite.

J'ai un autre vieux copain (on a passé pas mal de temps ensemble dans les années 80-90) qui est ouvrier dans une boite de sous-traitance pour le 2ème constructeur de groupes électrogènes du Monde. J'en ai un autre qui est chauffeur de car scolaire. Un ancien copain d'armée. On s'est retrouvé l'autre jour autour un bon déjeuner après 38 ans de séparation.

Sinon, au bar où je vais prendre mon café le matin après les courses, j'ai des gars avec qui je suis vraiment lié et qui travaillaient dans des boites de nettoyage, en hypermarché, un ex-maton de prison, un marin-pêcheur, un ramasseur de tomates... Le summum, c'est un ancien mercenaire des années 60 en Afrique.

Voilà. Ouvrez votre esprit; tout le monde est bon à fréquenter.

Jamais été fermé d'esprit et c'est pas aujourd'hui que ça va commencer.

Bonjour

Des connaissances j'en ai dans tous les milieux, mais les amis au bout d'un moment quand on a pas la même cadence de vie , quand on est pas du même monde, on prend naturellement ses distances... Donc les vrais amis se font rares.

des copains, nous en avons pas mal, de niveaux sociaux culturels différents. Des vrais amis, de ceux sur qui on peut compter en toutes circonstances, nous en avons 6, trois couples complètements différents. Ce sont des amis de longue date, avec qui nous avons partagé les bons et les mauvais moments de la vie. 

Si nous aimons nous retrouver très souvent, nous n'irons jamais en vacances ensemble, ça c'est une chose que nous préférons passer en couple, ou avec les enfants. 

Je n'est plus  d'amis depuis  depuis le collège....

j'ai 5   copains/copines  ils sont issus de milieux assez différent du miens mais on est assez  proches en comportement et en mentalité  je partage certaine activité avec eu comme des fétes   ou on révise nos cours ensemble  par exemple mais on est pas hyper proches on partage jamais  rien d'important  c'est surtout des connaissances quoi 

Des bons copains, on en a, avec lesquels on s'est bien marré, et on se marre encore; des connaissances on en a dans tous les milieux, parce qu'on est à l'aise partout, on se laisse pas impressionner, on reste zen; quant aux amis, c'est pas compliqué, on en a deux, qui se connaissent pas, ceux du genre qu'on peut appeler à 3h du mat et dire "viens", et ils viendraient. Sans poser de question. Mais nous, on "cloisonne", on mélange pas trop les gens, et on part rarement avec des copains en vacances. Parce que les seuls indéboulonnables qui sont toujours là, dans le bon et le mauvais, c'est la famille.

Il y a 15 heures, pila a dit :

J'ai l'énorme chance d'avoir ou d'avoir eu des copains et de bonnes connaissances dans tous les milieux sociaux. Ca permet d'avoir l'esprit ouvert, d'observer la Société Française, de comprendre "comment ça marche".

Ainsi, j'ai fait parti d'une association parisienne de chercheurs en Histoire. Il y avait beaucoup de gens "distingués" : un ancien ingénieur en chef de l'Aérospaciale, une dame qui n'a qu'une rue à traverser pour être dans la cour du château de Versailles, des universitaires plus ou moins écrivains... Parmi ces gens, des personnes dignes et de vrais saligauds qui crachent sur le "bas peuple". Des illuminés aussi !

J'ai le fils d'un ancien copain de travail qui est directeur dans une grosse firme internationale, et que j'ai connu. Genre Macron ("Moi je sais !"). C'est le mec qui touche 50.000 ou 60.000 € par mois.

La cousine de ma femme est mariée à un "vieux" qui travaillait pour une grosse boite internationale de produits chimiques. Un pigeon voyageur allant de pays en pays. Un type tout simple.

Mes deux plus anciens copains sont l'un professeur de physique quantique etc..., l'autre à l'économat au siège d'une banque bretonne. Il attend la retraite.

J'ai un autre vieux copain (on a passé pas mal de temps ensemble dans les années 80-90) qui est ouvrier dans une boite de sous-traitance pour le 2ème constructeur de groupes électrogènes du Monde. J'en ai un autre qui est chauffeur de car scolaire. Un ancien copain d'armée. On s'est retrouvé l'autre jour autour un bon déjeuner après 38 ans de séparation.

Sinon, au bar où je vais prendre mon café le matin après les courses, j'ai des gars avec qui je suis vraiment lié et qui travaillaient dans des boites de nettoyage, en hypermarché, un ex-maton de prison, un marin-pêcheur, un ramasseur de tomates... Le summum, c'est un ancien mercenaire des années 60 en Afrique.

Voilà. Ouvrez votre esprit; tout le monde est bon à fréquenter.

Et ta femme elle est dans la marine ?

Me concernant je n'aime pas parlé d'amitié, mais plutôt de connaissance car je mets toujours des distances. J'ai rencontré également des personnes de tout milieu, je suis lié avec certaines personnalités célèbres, mon médecin est d'ailleurs un célèbre chercheur qui a sa propre page wiki, j'ai eu des ex très fortunés, des personnes plus simples aussi, mais je ne connais personne qui vit dans la pauvreté absolue, j'évite ce milieu.