Manif 23 arrestations et blessures journalistes

Mr Glanz a changé d’avis il respectera la procédure de contrôle judiciaire 

https://www.europe1.fr/societe/le-journaliste-gaspard-glanz-lassure-je-prefere-respecter-mon-controle-judiciaire-3894705

INTERVIEW

Gaspard Glanz ne sera pas à Paris pour les prochaines manifestation des "gilets jaunes" (samedis et 1er-Mai). Suite à son interpellation samedi, lors de "l'acte 23" des "gilets jaunes", le journaliste est convoqué le 18 octobre devant le tribunal de Paris. D'ici là, il est interdit de paraître à Paris tous les samedis ainsi que le 1er-Mai. Et contrairement à ce qu'il avait affirmé dans un premier temps, il va respecter cette interdiction.

"J’avais l’intention de ne pas la respecter", a-t-il assuré au micro de Matthieu Belliard sur Europe 1. Il a finalement changé d'avis : "Je préfère respecter mon contrôle judiciaire afin que mes avocats aient toutes les armes en leur main pour combattre ce qui arrive et régler ce problème définitivement."  .../...

"Les journalistes sont sur-représentés dans le nombre de blessés total dans les manifestations." Selon un bilan provisoire réalisé par Allo place Beauvau et relayé par le journaliste David Dufresne, 79 des 690 signalements pour des violences policières concernent des journalistes, soit plus de 10%.

https://www.europe1.fr/societe/le-journaliste-gaspard-glanz-lassure-je-prefere-respecter-mon-controle-judiciaire-3894705

A découvrir le site de Glanz.

https://taranis.news/author/gaspardglanz/

Sur ses soutiens : « La profession se rend compte qu’elle doit réagir »

« J’ai passé la nuit, après ma libération, à lire tout ce qui se disait sur mon cas dans la presse.  Et j’ai pris conscience de ce qui s’est passé pendant que j’étais en cellule. Ça me fait plaisir de voir les journalistes se mobiliser, mais ça me fait peur aussi. La profession est en train de se rendre compte qu’elle doit réagir. J’ai vu qu’un photographe d’un site d’information en ligne indépendant appelle au boycott de la communication gouvernementale. Il a raison : on se fait tabasser le samedi et le lundi, ils veulent qu’on filme les conférences des ministres… »

« Il faut qu’on profite de l’émotion suscitée par mon arrestation pour dénoncer ce qui se passe et défendre nos métiers, avec carte de presse ou non. L’ampleur de la situation me dépasse complètement, mais j’ai conscience que cela me donne une responsabilité. Je ne vais pas lâcher l’affaire. » 

https://www.humanite.fr/gaspard-glanz-cherche-me-tuer-economiquement-671300?fbclid=IwAR3pzslnz5-DY2TkIdOYbBhSWE36WvGPrQF9TcxrIo3IpKkPl5IKXpF32dk

Il y a 21 heures, soloandsolo a dit :

Je crois qu'il faut une bonne paires de Glanz pour aller là au milieu, mouais je sais, elle est facile..

Et les Glanz ne sont pas tous tombés près du chêne... (afin de fermer la boucle des blagues Carambar).

Il y a quelques temps encore, lors de sondages, nous pouvions relever de la bienveillance de cette majorité silencieuse, qui subit parfois cette action depuis déjà 5 mois, avec beaucoup de patience. Il y a dans ce mouvement, très hétéroclite, des combats, des revendications justes. Il est impensable par exemple, que certains de nos anciens vivent au -ou pire encore- sous le seuil de pauvreté. Et puis, il y a de la radicalisation, des blacks blocks, des idées saugrenues, qui partent vraiment dans tous les sens, des idéologies, dans un mouvement, qui à la base, se voulait simple, pacifique et populaire. Véritable insurrection qui ne se satisfait jamais de rien. Les violences ne sont pas (suffisamment) condamnées par ces manifestants, complaisance voire complicité, ce qui pourrait mener ce mouvement, à sa perte. 

Il y a 6 heures, soloandsolo a dit :

Sur ses soutiens : « La profession se rend compte qu’elle doit réagir »

« J’ai passé la nuit, après ma libération, à lire tout ce qui se disait sur mon cas dans la presse.  Et j’ai pris conscience de ce qui s’est passé pendant que j’étais en cellule. Ça me fait plaisir de voir les journalistes se mobiliser, mais ça me fait peur aussi. La profession est en train de se rendre compte qu’elle doit réagir. J’ai vu qu’un photographe d’un site d’information en ligne indépendant appelle au boycott de la communication gouvernementale. Il a raison : on se fait tabasser le samedi et le lundi, ils veulent qu’on filme les conférences des ministres… »

« Il faut qu’on profite de l’émotion suscitée par mon arrestation pour dénoncer ce qui se passe et défendre nos métiers, avec carte de presse ou non. L’ampleur de la situation me dépasse complètement, mais j’ai conscience que cela me donne une responsabilité. Je ne vais pas lâcher l’affaire. » 

https://www.humanite.fr/gaspard-glanz-cherche-me-tuer-economiquement-671300?fbclid=IwAR3pzslnz5-DY2TkIdOYbBhSWE36WvGPrQF9TcxrIo3IpKkPl5IKXpF32dk

Sa boite serait fermée depuis 2017...

Il y a 4 heures, Léna-Postrof a dit :

Et les Glanz ne sont pas tous tombés près du chêne... (afin de fermer la boucle des blagues Carambar).

Il y a quelques temps encore, lors de sondages, nous pouvions relever de la bienveillance de cette majorité silencieuse, qui subit parfois cette action depuis déjà 5 mois, avec beaucoup de patience. Il y a dans ce mouvement, très hétéroclite, des combats, des revendications justes. Il est impensable par exemple, que certains de nos anciens vivent au -ou pire encore- sous le seuil de pauvreté. Et puis, il y a de la radicalisation, des blacks blocks, des idées saugrenues, qui partent vraiment dans tous les sens, des idéologies, dans un mouvement, qui à la base, se voulait simple, pacifique et populaire. Véritable insurrection qui ne se satisfait jamais de rien. Les violences ne sont pas (suffisamment) condamnées par ces manifestants, complaisance voire complicité, ce qui pourrait mener ce mouvement, à sa perte. 

Les black blocs existent depuis très longtemps, ils ont une idéologie et un modus operandi très particulier qui consiste à rentrer dans un mouvement en cours sur des actions, provoquer le pire et frapper l'imagination du public. Le 16 mars ils étaient annoncés par le ministère de l'intérieur qui -à mon sens- les a laissés faire (je prends mes responsabilités en disant cela). La "frasque" insurrectionnelle reste marginale à mon sens aussi, le "renverser la table" reste une constante mais à la marge dans tout mouvement social dur (l'attente de "l'arrivée d'une Jérusalem céleste" ou "d'une révolution faisant tourner le sens des horloges"). Bref, je pense que ça reste de l'épiphénomène dont le pouvoir se sert pour connoter l'ensemble d'un mouvement°, le reste est une bataille d'informations parcellaires où le factuel créé des métonymies se voulant objectives (réduire un ensemble à une partie ciblée).

Je pense, en laissant Macron et le macronisme illusoire de côté, qu'il y aura un avant et un après ce mouvement social, à délier avec le temps et le recul.

°Je pense que la crainte du pouvoir n'est pas celle du côté dur du mouvement mais d'une possible capacité politique à le mettre a nu au niveau des élections par le 1/0, la démocratie étant devenue un langage binaire là où elle était dans l'idée de son origine une organisation raisonnable de sa pluralité et du singulier en opposition avec d'autres singularités (la définition de Paul Ricoeur).

il y a 16 minutes, soloandsolo a dit :

Les black blocs existent depuis très longtemps, ils ont une idéologie et un modus operandi très particulier qui consiste à rentrer dans un mouvement en cours sur des actions, provoquer le pire et frapper l'imagination du public. Le 16 mars ils étaient annoncés par le ministère de l'intérieur qui -à mon sens- les a laissés faire (je prends mes responsabilités en disant cela). La "frasque" insurrectionnelle reste marginale à mon sens aussi, le "renverser la table" reste une constante mais à la marge dans tout mouvement social dur (l'attente de "l'arrivée d'une Jérusalem céleste" ou "d'une révolution faisant tourner le sens des horloges"). Bref, je pense que ça reste de l'épiphénomène dont le pouvoir se sert pour connoter l'ensemble d'un mouvement°, le reste est une bataille d'informations parcellaires où le factuel créé des métonymies se voulant objectives (réduire un ensemble à une partie ciblée).

Je pense, en laissant Macron et le macronisme illusoire de côté, qu'il y aura un avant et un après ce mouvement social, à délier avec le temps et le recul.

°Je pense que la crainte du pouvoir n'est pas celle du côté dur du mouvement mais d'une possible capacité politique à le mettre a nu au niveau des élections par le 1/0, la démocratie étant devenue un langage binaire là où elle était dans l'idée de son origine une organisation raisonnable de sa pluralité et du singulier en opposition avec d'autres singularités (la définition de Paul Ricoeur).

 

 

Pour la première partie on va vous dire ou redire soloandsolo que vous ne pouvez jouer a séparer du bon grain de l'ivraie que tout cela est "commandité" par les extrêmes surtout gauche et que le GJS sont bien contents de se cacher derrières ces violents et casseurs bien contents qu'ils fassent le travail a leur place !

Pour la suite ... notre Président met dans son curriculum vitae sa proximité avec Paul Ricoeur : n'aurait-il été qu'un archiviste ? ou le jeune homme n'aurait-il rien retenu ?

à l’instant, ouest35 a dit :

 

Pour la suite ... notre Président met dans son curriculum vitae sa proximité avec Paul Ricoeur : n'aurait-il été qu'un archiviste ? ou le jeune homme n'aurait-il rien retenu ?

C'est très simple, il n'a jamais été un "disciple" de Paul Ricoeur, cela fait parti du "roman macronien" qui a été vendu par le staff marketing de l'équipe de la campagne des élections.

il y a 40 minutes, soloandsolo a dit :

Les black blocs existent depuis très longtemps, ils ont une idéologie et un modus operandi très particulier qui consiste à rentrer dans un mouvement en cours sur des actions, provoquer le pire et frapper l'imagination du public. Le 16 mars ils étaient annoncés par le ministère de l'intérieur qui -à mon sens- les a laissés faire (je prends mes responsabilités en disant cela). La "frasque" insurrectionnelle reste marginale à mon sens aussi, le "renverser la table" reste une constante mais à la marge dans tout mouvement social dur (l'attente de "l'arrivée d'une Jérusalem céleste" ou "d'une révolution faisant tourner le sens des horloges"). Bref, je pense que ça reste de l'épiphénomène dont le pouvoir se sert pour connoter l'ensemble d'un mouvement°, le reste est une bataille d'informations parcellaires où le factuel créé des métonymies se voulant objectives (réduire un ensemble à une partie ciblée).

Je pense, en laissant Macron et le macronisme illusoire de côté, qu'il y aura un avant et un après ce mouvement social, à délier avec le temps et le recul.

°Je pense que la crainte du pouvoir n'est pas celle du côté dur du mouvement mais d'une possible capacité politique à le mettre a nu au niveau des élections par le 1/0, la démocratie étant devenue un langage binaire là où elle était dans l'idée de son origine une organisation raisonnable de sa pluralité et du singulier en opposition avec d'autres singularités (la définition de Paul Ricoeur).

 

 

Pas convaincue qu’il y ait un après, pas convaincue que les grilles salariales ou avantages de nos si chers élus soient revus à la baisse... cela ressemble à une pure perte de temps, vu d’ici. 

il y a 4 minutes, Léna-Postrof a dit :

. cela ressemble à une pure perte de temps, vu d’ici. 

D'ici ? Je ne sais d'où tu te situes. Par contre à 59 ans, le temps me parait plus aléatoire, la fulgurance des reportages de Glanz sur son site m'a plu, les conversations avec des 20/30 ans sur la reprise en main de leur "destin" politique aussi et cela n'avait pas la gueule d'une startup-nation ou des riens d'un côté étaient obligés de s'opposer à une minorité totalisante de l'autre.

Bref que du bonheur de mon côté devant une telle prise de conscience.

il y a 28 minutes, soloandsolo a dit :

C'est très simple, il n'a jamais été un "disciple" de Paul Ricoeur, cela fait parti du "roman macronien" qui a été vendu par le staff marketing de l'équipe de la campagne des élections.

D'où ma légère ironie

L'interview de Glanz en après coup, la spontanéité  d'une jeunesse non corrompue, beaucoup d'énergie, journalisme en "renversement" de paradigme (et du courage aussi).

N'empêche que si Jésus avait été empalé, jamais le geste de Glanz n'aurait fait tant d'histoires. 

Sur la jeunesse dans ce contexte, un film...Bande annonce :

Gaspard Glanz, journaliste, contrôle judiciaire levé, pourra de nouveau faire son travail notamment le 1er mai à Paris.

il y a 1 minute, soloandsolo a dit :

Gaspard Glanz, journaliste, contrôle judiciaire levé, pourra de nouveau faire son travail notamment le 1er mai à Paris.

20:23 - Le journaliste Gaspard Glanz autorisé à couvrir la manifestation des gilets jaunes à Paris

Le reporter Gaspard Glanz, fondateur de Taranis News, avait été interdit de couvrir la manifestation des gilets jaunes lors de l'acte 24 du mouvement le 27 avril, à la suite de son interpellation. Ce lundi, le tribunal de Paris a autorisé le journaliste à couvrir la manifestation du 1er mai dans la capitale ainsi que les prochaines mobilisations des gilets jaunes. 

https://www.linternaute.com/actualite/politique/1756762-1er-mai-un-acte-ultime-rassemblant-gilets-jaunes-black-blocs-et-syndicats/?output=amp

des arrestations de gilets jaune par milliers, des mises en examens par centaine, mais pas d,arrestation de black bloc, 

et si les black blos étaient tout simplement des force de la (eurogend For) gendarmes internationals. je ne serais pas surpris  il y en a qui ne parlent pas le Français pourquoi???

il y a 46 minutes, chatperché a dit :

des arrestations de gilets jaune par milliers, des mises en examens par centaine, mais pas d,arrestation de black bloc, 

et si les black blos étaient tout simplement des force de la (eurogend For) gendarmes internationals. je ne serais pas surpris  il y en a qui ne parlent pas le Français pourquoi???

Ou des GJs ?