Faut-il respecter les choix de ses enfants?

il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

A ta place, je tenterais plutôt "punaise des lit", ça a l'air plus fun...

on associe les deux et on a "punaise diabolique au lit"  (je vais faire des ravages)

Un miracle pascal en voie d' accomplissement...?

Le problème selon moi ou la cause est que il y a beaucoup de riche. Et bien du monde pense qu'ils peuvent le devenir, riche.

il y a 5 minutes, Imaginaerum a dit :

on associe les deux et on a "punaise diabolique au lit"  (je vais faire des ravages)

Tu crois pas si bien dire...

Il y a 1 heure, Vilaine a dit :

Julie, 23 ans, vit dans un petit studio, fait ses courses dans les hard discounts, et ne part jamais en vacances. 

 

A qui la faute? Les parents, la conseillère scolaire et la psychologue qui ont poussé Julie à «aller au bout de ses passions »? On sait ce que valent les psychologues et les conseillers sociaux d’aujourd’hui qui prônent la « liberté » et « l’écoute de ses ressentis »  mais comment un parent peut-il pousser son enfant à exercer un sous-métier, dans le contexte économique difficile dans lequel on se trouve?

Vous qui êtes frustrés par votre job, avec du du recul, auriez-vous souhaité être davantage poussé dans vos études? Auriez-vous souhaiter aller au delà du bac, de la licence?

 

Il n'y a pas de faute, il y a une jeune fille qui n'a pas réussi à trouver du travail, dans une voie qu'elle s'est choisie. Mais rien de grave, elle n'a que 23 ans, elle peut donc reprendre ses études et s'engager dans une formation. 

Mes parents ne m'ont pas laissé me tromper de voie, ils m'ont imposé une voie, qui ne me correspondait pas. J'ai été un bon petit soldat, j'ai poursuivi les études imposées puis j'ai obtenu mon premier emploi. Quelques années plus tard, une fois que je me suis sentie "émancipée", j'ai plaqué mon boulot et j'ai repris mes études, dans la voie qui me correspondait. 

Quelques années plus tard, suite à un déménagement, je me suis retrouvée sur le marché du travail et le hasard a fait que j'ai trouvé un emploi, me permettant d'associer mes deux professions. Les regrets ne servent à rien, ce qui est fait est fait, par contre, la vie réserve toujours de bonnes surprises, encore faut-il savoir les saisir 

Dommage que vous ne compreniez pas que ce sujet n'est la que pour conforter une vermine dans sa certitude d'être supérieure comme tout parasite infect

il y a 6 minutes, The_Dalek a dit :

Dommage que vous ne compreniez pas que ce sujet n'est la que pour conforter une vermine dans sa certitude d'être supérieure comme tout parasite infect

 

Es-tu certain que nous ne l'avons pas compris ? Jouer le jeu de quelqu'un ne veut pas dire, en être dupe.

il y a 1 minute, Imaginaerum a dit :

Es-tu certain que nous ne l'avons pas compris ? Jouer le jeu de quelqu'un ne veut pas dire, en être dupe.

on ne joue pas avec la vermine

il y a 1 minute, The_Dalek a dit :

on ne joue pas avec la vermine

 

question de point de vue

il y a 10 minutes, The_Dalek a dit :

Dommage que vous ne compreniez pas que ce sujet n'est la que pour conforter une vermine dans sa certitude d'être supérieure comme tout parasite infect

 

Tu n'as pas l'impression de te répéter sans cesse ? 

Il y a 2 heures, soisig a dit :

Il n'y a pas de faute, il y a une jeune fille qui n'a pas réussi à trouver du travail, dans une voie qu'elle s'est choisie. Mais rien de grave, elle n'a que 23 ans, elle peut donc reprendre ses études et s'engager dans une formation. 

Mes parents ne m'ont pas laissé me tromper de voie, ils m'ont imposé une voie, qui ne me correspondait pas. J'ai été un bon petit soldat, j'ai poursuivi les études imposées puis j'ai obtenu mon premier emploi. Quelques années plus tard, une fois que je me suis sentie "émancipée", j'ai plaqué mon boulot et j'ai repris mes études, dans la voie qui me correspondait. 

Quelques années plus tard, suite à un déménagement, je me suis retrouvée sur le marché du travail et le hasard a fait que j'ai trouvé un emploi, me permettant d'associer mes deux professions. Les regrets ne servent à rien, ce qui est fait est fait, par contre, la vie réserve toujours de bonnes surprises, encore faut-il savoir les saisir 

 

Les bonnes surprises ne concernent que 1% des gens qui ont fait le mauvais « choix » professionnel. La reconversion n’est pas facile, surtout passé un certain âge.

il y a 13 minutes, The_Dalek a dit :

Dommage que vous ne compreniez pas que ce sujet n'est la que pour conforter une vermine dans sa certitude d'être supérieure comme tout parasite infect

 

Tu te sens méprisé sur tous les sujets que je poste. Même sur le sujet portant sur le gâteau au chocolat/courgette....

il y a 2 minutes, Vilaine a dit :

Les bonnes surprises ne concernent que 1% des gens qui ont fait le mauvais « choix » professionnel. La reconversion n’est pas facile, surtout passé un certain âge.

Tu te sens méprisé sur tous les sujets que je poste. Même sur le sujet portant sur le gâteau au chocolat/courgette....

on t'a demandé ton avis ? non, donc tu restes a ta place

il y a 3 minutes, Fuck Them All a dit :

Tu n'as pas l'impression de te répéter sans cesse ? 

Non. Ce matin, il a dit que j’étais une larve. 

il y a 1 minute, The_Dalek a dit :

on t'a demandé ton avis ? non, donc tu restes a ta place

Tu as raison. Pourquoi s’exprimer sur son propre sujet après tout? 

il y a 2 minutes, Vilaine a dit :

Non. Ce matin, il a dit que j’étais une larve. 

Tu as raison. Pourquoi s’exprimer sur son propre sujet après tout? 

si t'avais un atome de décence, tu te tairais a jamais

il y a 10 minutes, The_Dalek a dit :

si t'avais un atome de décence, tu te tairais a jamais

 

Tu veux ma mort...

c'est le cas très classique d'une mère qui n''a pas pu pour x  raisons d'en faire son métier ou exploiter cette passion en photographie alors elle l'a transmise à sa fille; 

pour julie, il suffit qu'elle se trouve un job pour compléter ses revenus;;

Il y a 11 heures, Vilaine a dit :

Les bonnes surprises ne concernent que 1% des gens qui ont fait le mauvais « choix » professionnel. La reconversion n’est pas facile, surtout passé un certain âge.

 

dans l'exemple que tu donnes, la jeune fille n'a que 23 ans, elle a donc encore de nombreuses années pour changer de profession. 

Il y a 12 heures, The_Dalek a dit :

Dommage que vous ne compreniez pas que ce sujet n'est la que pour conforter une vermine dans sa certitude d'être supérieure comme tout parasite infect

 

Si tu n'aimes ni le sujet, ni la personne qui l'ouvre, c'est ton droit de ne pas y participer. Je ne sens aucune supériorité dans ce sujet, c'est juste un débat sur un thème donné. 

Le 21/04/2019 à 22:32, Vilaine a dit :

Tu veux ma mort...

ton silence suffira, y'a des trucs qui s'achètent pas comme la conscience ou le courage, ça, tu n'en saura jamais rien

Pourtant c'est pas inutile la photographie. Je connais pas ce domaine mais on est tellement envahies par les images ... comment une pratique pareille ne peut pas marcher ?

La fille tout ce qu'elle peut faire c'est retourner en Droit, tant pis. On peut tous se tromper dans notre orientation, et les conseillers ne sont pas toujours des références. Si sa passion ne lui convient pas en métier que cela reste une passion, elle peut toujours finir avec un travail plus décent qui lui offre le temps de faire de la photo. 

Morale : il faut savoir allier l'utile et l'agréable.

Le 21/04/2019 à 18:03, Vilaine a dit :

Julie, 23 ans, vit dans un petit studio, fait ses courses dans les hard discounts, et ne part jamais en vacances. 

Sa mère? C’est une brillante avocate passionnée de photo. Elle a transmise sa passion à sa fille et lui a offert son premier réflexe pour ses 18 ans. Julie a décidé de faire de sa passion...son métier. Elle a donc abandonné ses études de droit et s’est lancée à son compte, dans la photographie. Marché très compétitif, manque d’expérience, faible notoriété...Son business ne décolle pas et Julie vit comme une vraie gilet jaune (avec toutes les revendications qui vont avec). Elle vient donc réclamer (mendier) chaque mois, un peu d’argent à sa mère tout en la maudissant un peu plus, chaque jour.

A qui la faute? Les parents, la conseillère scolaire et la psychologue qui ont poussé Julie à «aller au bout de ses passions »? On sait ce que valent les psychologues et les conseillers sociaux d’aujourd’hui qui prônent la « liberté » et « l’écoute de ses ressentis »  mais comment un parent peut-il pousser son enfant à exercer un sous-métier, dans le contexte économique difficile dans lequel on se trouve?

Vous qui êtes frustrés par votre job, avec du du recul, auriez-vous souhaité être davantage poussé dans vos études? Auriez-vous souhaiter aller au delà du bac, de la licence?

 

Ce n'est pas aux parents de choisir mais aux enfants... Les parents peuvent tout au plus conseiller ou donner leur avis. Après cette Julie dans ton exemple a fait son propre choix, c'est elle qui a décidé d'arrêter ses études pour se lancer dans la photographie, elle n'a pas été forcée, elle n'avait plus 4 ans, elle était assez grande pour réfléchir.

Je connais une nana, son père était prof et il l'a poussé à faire un BAC S alors qu'elle n'avait pas le niveau, il voulait que sa fille soit la meilleure, elle l'a passé 3 ou 4 fois et elle ne l'a jamais eu... Au dernière nouvelles elle faisait carrière dans une station service. 

Pour ta dernière question, je suis globalement satisfait de ma carrière professionnelle, on peut toujours aller plus haut, mais les métiers les mieux payés ne font pas forcément les plus intéressants. Par exemple, médecin, avocat, chirurgien, notaire, ça ne m'a jamais fait rêver.