Le racisme en France n'existe pas (ou très peu)

Je suis tombé récemment sur cette vidéo dans laquelle Natacha Polony nous explique que le grand remplacement, au fond, c'est quand même une théorie raciste car ça se base sur la couleur de peau des gens. (Je retrouve pas le replay, c'était dans SLT de samedi dernier)
Et qu'en gros, ce qui motiverait l'appréhension des gens à voir la population française changer, sur cette idée de grand remplacement, ça ne serait pas la peur de perdre un certain paradigme culturel, une certaine identité, mais une simple question de couleur de peau. Le français de souche n'aimerait pas les gens plus bronzés que lui, c'est tout, et c'est ce qui expliquerait son ressentiment.

Du coup, question (qui permet de résoudre par la négative la problématique du français raciste)

Si les descendant d'immigrés, c'est à dire les arabo-musulmans qui vivent en France:

- Parlaient un français impeccable (et non ce sabir des cités)
- fréquentaient les églises le dimanche
- étaient habillés comme des français des années 50 (béret, caquette-pas de baise-ball-, veston) (je force le trait volontairement)
- n'avaient aucune revendications communautaires (port du voile, pas de cochon à la cantine, commerces halal, etc)
- n'avaient pas, pour certains d'entre eux, l'anti-France chevillée au corps au point, à minima d'en faire des chansons de rap, à maxima de tirer sur leurs compatriotes.

Bref, s'étaient parfaitement assimilés à la population française de souche... Pensez-vous qu'il y aurait à leur égard autant de ressentiment , uniquement parce qu'ils auraient la peau plus foncée que les autres ? (ce qui est la définition stricto sensu du racisme)
Evidemment non.

En revanche, et si on veut être intellectuellement honnête dans l'analyse du racisme en France et de sa manifestation, le fait de s'en prendre à une personne, indépendamment de qui elle est, de ce qu'elle fait, et uniquement en raison de sa couleur de peau ou de son origine supposée, c'est bien du racisme, et sa plus violente manifestation dans le pays de nos jours se fait à l'égard du français de souche, le petit blanc, dont une partie de la population française et du corps politique français nie par ailleurs qu'il puisse en être victime, alors que cette dernière tue.

Je me suis aperçu que des racistes que je connais ne le sont pas vraiment dans une grande proportion. Dés que le contact s'établit, il arrive bien souvent que le raciste trouve finalement "l'autre" pas si mal. J'ai un vieux copain qui a "hérité d'un "chocolat" comme voisin. Un jour, il me dit : "Il est sympa !" Tiens !!!

Personnellement, je n'en connais pas dans mes relations, mais ces individus prolifères sur les forums et autres réseaux sociaux aux mains des multimilliardaires américains, parfois aussi  sur le zinc de certains bistrots.

Cela veut dire quoi, "de souche", à partir de la fondation de la Ve ? 

Le racisme, à partir qu'il se mêle d'autres variables (ex : une femme n'aime pas les hommes, ou inversement, un homme n'aime pas les femmes... en plus, l'autre est noir(e), mais si vous voulez, ce détail est surabondant, ce n'est pas la cause première de l'aversion), est ce qu'on peut parler de racisme ? Ou est ce de la victimisation, finalement...

- " Il n'y a qu'une chose que je déteste plus que les racistes, c'est les nègres "

il y a 57 minutes, Savonarol a dit :

Je suis tombé récemment sur cette vidéo dans laquelle Natacha Polony nous explique que le grand remplacement, au fond, c'est quand même une théorie raciste car ça se base sur la couleur de peau des gens. (Je retrouve pas le replay, c'était dans SLT de samedi dernier)
Et qu'en gros, ce qui motiverait l'appréhension des gens à voir la population française changer, sur cette idée de grand remplacement, ça ne serait pas la peur de perdre un certain paradigme culturel, une certaine identité, mais une simple question de couleur de peau. Le français de souche n'aimerait pas les gens plus bronzés que lui, c'est tout, et c'est ce qui expliquerait son ressentiment.

Du coup, question (qui permet de résoudre par la négative la problématique du français raciste)

Si les descendant d'immigrés, c'est à dire les arabo-musulmans qui vivent en France:

- Parlaient un français impeccable (et non ce sabir des cités)
- fréquentaient les églises le dimanche
- étaient habillés comme des français des années 50 (béret, caquette-pas de baise-ball-, veston) (je force le trait volontairement)
- n'avaient aucune revendications communautaires (port du voile, pas de cochon à la cantine, commerces halal, etc)
- n'avaient pas, pour certains d'entre eux, l'anti-France chevillée au corps au point, à minima d'en faire des chansons de rap, à maxima de tirer sur leurs compatriotes.

Bref, s'étaient parfaitement assimilés à la population française de souche... Pensez-vous qu'il y aurait à leur égard autant de ressentiment , uniquement parce qu'ils auraient la peau plus foncée que les autres ? (ce qui est la définition stricto sensu du racisme)
Evidemment non.

En revanche, et si on veut être intellectuellement honnête dans l'analyse du racisme en France et de sa manifestation, le fait de s'en prendre à une personne, indépendamment de qui elle est, de ce qu'elle fait, et uniquement en raison de sa couleur de peau ou de son origine supposée, c'est bien du racisme, et sa plus violente manifestation dans le pays de nos jours se fait à l'égard du français de souche, le petit blanc, dont une partie de la population française et du corps politique français nie par ailleurs qu'il puisse en être victime, alors que cette dernière tue.

 

Oui tu as raison. Être blanc aujourd’hui, c’est difficile. Discrimination à l’embauche, délit de faciès, préjugés...La vie est tellement dure pour les Pierre, Alain, Julien etc.

il y a 3 minutes, Alain75 a dit :

- " Il n'y a qu'une chose que je déteste plus que les racistes, c'est les nègres "

            Ca c'est sur d'ailleurs moi après chaque concert de gospel je vérifie toujours si je suis encore blanc,faut faire gaffe !!

il y a 50 minutes, pila a dit :

Je me suis aperçu que des racistes que je connais ne le sont pas vraiment dans une grande proportion. Dés que le contact s'établit, il arrive bien souvent que le raciste trouve finalement "l'autre" pas si mal. J'ai un vieux copain qui a "hérité d'un "chocolat" comme voisin. Un jour, il me dit : "Il est sympa !" Tiens !!!

Oui, comme les animaux. Quand on n’a pas de chiens, on a tendance à en avoir peur, mais quand on en a un, on se rend compte au final qu’ils sont gentils, surtout si on leur donne une baballe.

http://gospelcolors.net/nos-concerts-2018-2019/

            Ce soir concert dans le 13e  au profit d'un orphelinat………………………………...au Cameroun!!

il y a 7 minutes, new caravage a dit :

http://gospelcolors.net/nos-concerts-2018-2019/

 

            Ce soir concert dans le 13e  au profit d'un orphelinat………………………………...au Cameroun!!

Et ?

Le problème est qu'on utilise encore des termes comme nègre. Par exemple, dans le monde de l'édition, le nègre est celui qui a écrit (sans signer lui-même) la bio soi-disant de Louis Armstrong, lequel a raconté à l'autre, qui de fil en aiguille a soi-disant raconté à celle qui percevra les droits d'auteurs (pour la bio), le "nègre" ne percevant qu'un pourcentage ou moins que ça en vertu du contrat.

"négro" ça au singulier c'est choquant, sauf s'ils sont amis dans la vraie vie.

il y a 11 minutes, Vilaine a dit :

Oui tu as raison. Être blanc aujourd’hui, c’est difficile. Discrimination à l’embauche, délit de faciès, préjugés...La vie est tellement dure pour les Pierre, Alain, Julien etc.

C'est ironique ou schizophrénique ?

Et quoi?

il y a 2 minutes, new caravage a dit :

Et quoi?

Et....C'est QUOI le PROBLEME de faire un concert pour un orphelinat au Cameroun ?

il y a 4 minutes, Pierrot89 a dit :

C'est ironique ou schizophrénique ?

Ni l'un ni l'autre. 

Quand on s'appelle Pierre par exemple, qu'on est blanc et en bonne santé...on peut difficilement se victimiser et personnellement, je trouve ça injuste. On ne peut pas brandir le hashtag #metoo, on ne peut pas invoquer SOS racisme quand ça nous chante...C'est à peine si on ose mettre un gilet jaune. La victimisation devrait être accessible à tous. 

il y a 2 minutes, soloandsolo a dit :

Et....C'est QUOI le PROBLEME de faire un concert pour un orphelinat au Cameroun ?

            N'écrit pas en majuscule de toute façon c'est juste une info pour les parisiens du forum !!

il y a 1 minute, new caravage a dit :

            N'écrit pas en majuscule de toute façon c'est juste une info pour les parisiens du forum !!

Et ?

il y a 1 minute, soloandsolo a dit :

Et ?

il y a 3 minutes, new caravage a dit :

         

Tiens...Il est camerounais (M'bassa) ça nous mettra en avance sur le concert.

il y a 25 minutes, narcejo a dit :

Le problème est qu'on utilise encore des termes comme nègre. Par exemple, dans le monde de l'édition, le nègre est celui qui a écrit (sans signer lui-même) la bio soi-disant de Louis Armstrong, lequel a raconté à l'autre, qui de fil en aiguille a soi-disant raconté à celle qui percevra les droits d'auteurs (pour la bio), le "nègre" ne percevant qu'un pourcentage ou moins que ça en vertu du contrat.

"négro" ça au singulier c'est choquant, sauf s'ils sont amis dans la vraie vie.

C'est compliqué de vous suivre. Moins qu'un pourcentage ce doit être vraiment l'exploitation.

il y a 23 minutes, Vilaine a dit :

Ni l'un ni l'autre. 

Quand on s'appelle Pierre par exemple, qu'on est blanc et en bonne santé...on peut difficilement se victimiser et personnellement, je trouve ça injuste. On ne peut pas brandir le hashtag #metoo, on ne peut pas invoquer SOS racisme quand ça nous chante...C'est à peine si on ose mettre un gilet jaune. La victimisation devrait être accessible à tous. 

Vous avez un cœur gros comme ça Vilaine. C'est pour cela que je vous aime.