Le progressisme, c'est le populisme de l'élite.

il y a 10 minutes, fx. a dit :

Oui les contrats 0 heure sont un grand bond en avant social. Ça a au moins le mérite d'indiquer la piste que nous suivons. 

on parle congés payés , non ? c'est fatiguant cette habitude d'aller chercher cve qui te convient le plus et d'ignorer la discution 

il y a 4 minutes, Crabe_fantome a dit :

Merci de rappeler que ce sont des lois qui ont figé ces progrès sociaux. Des lois étudiées et votées par le sénat et l'assemblée nationale. 

Si ça ce n’est pas de la mauvaise foi. Si ces lois ont été votées, c’est parce que  des salariés se sont battus pour les obtenir. Et s’ils ne l’avaient pas fait, nous n’en serions pas où nous en sommes en terme de congés. Dont toi-même tu bénéficies. Ah mais non suis-je bête, toi tu as beaucoup plus de congés payés grâce à ton statut d’intermittent. 

il y a 7 minutes, stvi a dit :

on parle congés payés , non ? c'est fatiguant cette habitude d'aller chercher cve qui te convient le plus et d'ignorer la discution 

Tu nous expliques  comment les contrats zéro heures, ou les auto entrepreneurs qui galèrent un max comment ils peuvent avoir des congés payés si favorables ? Tu crois qu’ils y ont droit q, 

il y a 3 minutes, Ines Presso a dit :

Si ça ce n’est pas de la mauvaise foi. Si ces lois ont été votées, c’est parce que  des salariés se sont battus pour les obtenir. Et s’ils ne l’avaient pas fait, nous n’en serions pas où nous en sommes en terme de congés. Dont toi-même tu bénéficies. Ah mais non suis-je bête, toi tu as beaucoup plus de congés payés grâce à ton statut d’intermittent. 

Personne ne dit le contraire. Je rappelle juste cette évidence que les gens semblent pourtant oublier : les lois sont faites entre l'assemblée nationale et le sénat. 

il y a 18 minutes, Ines Presso a dit :

 

Tu nous expliques  comment les contrats zéro heures, ou les auto entrepreneurs qui galèrent un max comment ils peuvent avoir des congés payés si favorables ? Tu crois qu’ils y ont droit q, 

et toi tu nous expliques que ceux qui ne travaillent pas ont aussi droit à 28 jours de congés payés 

je ne sais pas d'où vient cette légende de l'auto entrepreneur qui galère , mais les exemples que j'ai sont positifs , pas de patron , un emploi du temps élastique , une activité choisie ... bien sûr que le taux d'échec est important , faire correspondre la demande avec l'offre est souvent compliqué ... 

j'ai plutôt l'impression qu'il y a une forme de dénigrement de ceux qui vont au boulot comme on va à l'abattoir et qui se donnent de bonnes raisons de ne pas se créer leur propre emploi ... 

il y a une heure, Crabe_fantome a dit :

Merci de rappeler que ce sont des lois qui ont figé ces progrès sociaux. Des lois étudiées et votées par le sénat et l'assemblée nationale. 

 

Sauf si vous me trouver un lien expliquant que la loi est faite et signée dans la rue ou dans une entreprise. Et là ça m'intéresse beaucoup. 

Quelle mauvaise foi ! 

Comme si ces lois avaient été obtenues  sans combat . tiens, en voila un lien . 

Bataille du temps

1841 : le travail des enfants de moins de 12 ans est limité à 8 heures par jour et à 12 heures pour les enfants de moins de 16 ans.

1848: la durée maximale de la journée de travail est fixée à 12 heures. La durée hebdomadaire est donc de 84 heures.

1892 : limitation de la durée quotidienne du travail à 11 heures pour les femmes et les enfants, assortie de l'interdiction du travail de nuit dans l'industrie. 

1900 : la journée de travail est ramenée à 10 heures dans l'industrie, soit 70 heures par semaine. 

1906 : la loi institue pour la première fois un jour de repos hebdomadaire obligatoire, le dimanche. 

1919 : la durée légale du travail est fixée à 8 heures par  jour à raison de 6 jours par semaine, soit 48 heures hebdomadaire.

1936 : le gouvernement du Front populaire ramène la durée hebdomadaire du travail à 40 heures et accorde deux semaines de congés payés.

1946 : chaque branche de l'industrie définit ses horaires de référence, souvent supérieurs à la durée légale du travail. L'âge de la retraite est fixé à 65 ans. 

1956 : troisième semaine de congés payés. La victoire ds métallos de Renault en septembre 1955 devient celle de tous les salariés. En effet la loi du 27 mars 1956 fixe à 1,5 jour ouvrable par mois de travail la durée des congés payés.

1969 : quatrième semaine de congés payés. Là encore, la loi du 16 mai 1969 étendra à tous les salariés les quatre semaines de congés payés obtenues en décembre 1962 par les métallos de Renault et que 85 % des salariés du privé avaient arrachées au cours de mai 68.

1982 : la durée légale du travail passe à 39 heures par semaine, sans perte de salaire, et la cinquième semaine de congés payés est étendue. L'âge de la retraite est abaissé à 60 ans.

1984 : échec des négociations engagées par le patronat sur la flexibilité du temps de travail.

1987: la loi Seguin facilite le recours à la modulation des horaires de travail.

1993 : la loi quinquennale sur l'emploi introduit la notion d'annualisation du temps de travail.

1996 : la loi de Robien organise une réduction du temps de travail, en échange d'un abattement des charges sociales patronales.

13 juin 1998 : vote de la première loi sur les 35 heures, dite "loi Aubry d'orientation et d'incitation relative à la réduction du temps de travail", qui définit les conditions de la RTT obligatoire en incitant à la signature d'accords de branche.

1999 : Entre le 5 et le 15 décembre : vote final de la deuxième loi Aubry par les députés en dernière lecture.

1er janvier 2000 : les entreprises de plus de 20 salariés doivent appliquer les 35 heures

1er janvier 2002 : passage aux 35 heures pour les entreprises de moins de 20 salariés

2003 : La réforme Fillon-Raffarin (voir notamment les lois n° 2003-47 du 17 janvier 2003, n° 2004-391 du 4 mai 2004 et n° 2005-296 du 31 mars 2005) 1er coup porté au 35 heures

La réduction du temps de travail devient très tôt une revendication syndicale. La journée de douze heures donne lieu à de nombreuses luttes sociales dès les années 1830. A cette époque, on travaille quinze à dix-sept heures par jour. Les rapports médicaux révèlent que ces effroyables conditions de travail sont à l'origine d'une morbidité importante, en particulier chez les femmes et les enfants. Un décret de 1848 fixe, pour la première fois, la journée de travail à douze heures. Mais ce verrou va rapidement sauter sous les coups de boutoirs des dogmes libéraux qui condamnent l'intervention de d'Etat. Le patronat impose l'allongement de la durée du travail sous le second Empire, alors que le pays s'industrialise de façon intensive. L'historien P. Pierrard rapporte ces propos tenus par un patron du textile à l'adresse d'un inspecteur des fabriques : "  La science économique veut que l'homme, dut-il y périr, doit toujours suivre le rythme de la machine qui, elle-même, pour assurer la prospérité, ne doit jamais s'arrêter. "

https://www.ihscgtaquitaine.org/ihsa/actualite/28/56-reperes-historiques-sur-les-grandes-etapes-de-la-reduction-du-temps-de-travail-.html

Il y a 4 heures, Crabe_fantome a dit :

Reste juste à appeler Larousse et faire changer la définition des mots pour que ça colle mieux à ce que tu veux... 

Mais que racontes tu ?

Il n'est pas question ici de débattre des définitions des mots : nous avons deux politiques qui nous explique ce qu'est le progressisme ... mais SELON EUX.
Tout comme leur maître à penser, ils se réclament du "progrès" : mais eux seuls définissent ainsi leur action politique, et déclarent arbitrairement qu'ils représentent le progrès et la modernité. Mais tout cela n'a strictement aucune objectivité.

Tout comme ce qu'ils nomme "populisme" : ils décident de poser l'étiquette sur toute idéologique qui va à l'encontre de la leur.
Alors même que Macron a - pendant la campagne, et justement avec son antienne "et droite et gauche" bidon - a lui-même versé dans la démagogie et un certain populisme.

Bref, tu es bien gentil de venir me parler des congés payés, du droit du travail et de notre système social, mais tout ce PROGRES là, ce n'est certainement pas à des gens qui partage l'idéologie 2.0 de Macron et de ses comparses que nous l'avons obtenu.
Pire : leur idéologie a pour but, justement, de détricoter tous ces acquis.

Et, ta seule argumentation, c'est "il faut appeler Larousse" ? 

il y a une heure, stvi a dit :

on parle congés payés , non ? c'est fatiguant cette habitude d'aller chercher cve qui te convient le plus et d'ignorer la discution 

On parle de gens qui sont en train de nous concocter une seconde "journée de solidarité", non ??

il y a 58 minutes, Crabe_fantome a dit :

Personne ne dit le contraire. Je rappelle juste cette évidence que les gens semblent pourtant oublier : les lois sont faites entre l'assemblée nationale et le sénat. 

C'est plutôt toi qui semble oublier que les avantages que tu as aujourd'hui, tu les dois à des gens courageux qui se sont battu pour les avoir, alors oui, tu peux cracher dans la soupe aujourd'hui , c'est sûr, c'est facile .  

il y a 2 minutes, bouddean a dit :

Quelle mauvaise foi ! 

Comme si ces lois avaient été obtenues  sans combat . tiens, en voila un lien . 

Bataille du temps

1841 : le travail des enfants de moins de 12 ans est limité à 8 heures par jour et à 12 heures pour les enfants de moins de 16 ans.

1848: la durée maximale de la journée de travail est fixée à 12 heures. La durée hebdomadaire est donc de 84 heures.

1892 : limitation de la durée quotidienne du travail à 11 heures pour les femmes et les enfants, assortie de l'interdiction du travail de nuit dans l'industrie. 

1900 : la journée de travail est ramenée à 10 heures dans l'industrie, soit 70 heures par semaine. 

1906 : la loi institue pour la première fois un jour de repos hebdomadaire obligatoire, le dimanche. 

1919 : la durée légale du travail est fixée à 8 heures par  jour à raison de 6 jours par semaine, soit 48 heures hebdomadaire.

1936 : le gouvernement du Front populaire ramène la durée hebdomadaire du travail à 40 heures et accorde deux semaines de congés payés.

1946 : chaque branche de l'industrie définit ses horaires de référence, souvent supérieurs à la durée légale du travail. L'âge de la retraite est fixé à 65 ans. 

1956 : troisième semaine de congés payés. La victoire ds métallos de Renault en septembre 1955 devient celle de tous les salariés. En effet la loi du 27 mars 1956 fixe à 1,5 jour ouvrable par mois de travail la durée des congés payés.

1969 : quatrième semaine de congés payés. Là encore, la loi du 16 mai 1969 étendra à tous les salariés les quatre semaines de congés payés obtenues en décembre 1962 par les métallos de Renault et que 85 % des salariés du privé avaient arrachées au cours de mai 68.

1982 : la durée légale du travail passe à 39 heures par semaine, sans perte de salaire, et la cinquième semaine de congés payés est étendue. L'âge de la retraite est abaissé à 60 ans.

1984 : échec des négociations engagées par le patronat sur la flexibilité du temps de travail.

1987: la loi Seguin facilite le recours à la modulation des horaires de travail.

1993 : la loi quinquennale sur l'emploi introduit la notion d'annualisation du temps de travail.

1996 : la loi de Robien organise une réduction du temps de travail, en échange d'un abattement des charges sociales patronales.

13 juin 1998 : vote de la première loi sur les 35 heures, dite "loi Aubry d'orientation et d'incitation relative à la réduction du temps de travail", qui définit les conditions de la RTT obligatoire en incitant à la signature d'accords de branche.

1999 : Entre le 5 et le 15 décembre : vote final de la deuxième loi Aubry par les députés en dernière lecture.

1er janvier 2000 : les entreprises de plus de 20 salariés doivent appliquer les 35 heures

1er janvier 2002 : passage aux 35 heures pour les entreprises de moins de 20 salariés

2003 : La réforme Fillon-Raffarin (voir notamment les lois n° 2003-47 du 17 janvier 2003, n° 2004-391 du 4 mai 2004 et n° 2005-296 du 31 mars 2005) 1er coup porté au 35 heures

La réduction du temps de travail devient très tôt une revendication syndicale. La journée de douze heures donne lieu à de nombreuses luttes sociales dès les années 1830. A cette époque, on travaille quinze à dix-sept heures par jour. Les rapports médicaux révèlent que ces effroyables conditions de travail sont à l'origine d'une morbidité importante, en particulier chez les femmes et les enfants. Un décret de 1848 fixe, pour la première fois, la journée de travail à douze heures. Mais ce verrou va rapidement sauter sous les coups de boutoirs des dogmes libéraux qui condamnent l'intervention de d'Etat. Le patronat impose l'allongement de la durée du travail sous le second Empire, alors que le pays s'industrialise de façon intensive. L'historien P. Pierrard rapporte ces propos tenus par un patron du textile à l'adresse d'un inspecteur des fabriques : "  La science économique veut que l'homme, dut-il y périr, doit toujours suivre le rythme de la machine qui, elle-même, pour assurer la prospérité, ne doit jamais s'arrêter. "

https://www.ihscgtaquitaine.org/ihsa/actualite/28/56-reperes-historiques-sur-les-grandes-etapes-de-la-reduction-du-temps-de-travail-.html

 

Encore une fois personne ne dit le contraire. Mais aucune loi n'a été faite dans la rue. Toutes, 100%, ont été faites par les élites, députés et sénateurs. Vrai ou faux ? 

Il y a 2 heures, Crabe_fantome a dit :

Là ton sujet mélange les définitions pour faire de la propagande idéologique. Mais tu peux troller ton sujet si tu n'arrives pas à le défendre. 

Mais tu es sérieux ??
C'est justement ce que dénonce ce sujet : le mélange des définitions par ces macroniste pur jus pour nourrir leur propagande idéologique.

Ce n'est pas nous ici sur ce forum qui venons de sortir un bouquin pour expliquer à ceux qui ne sont rien ce qu'est le progressisme (enfin, serait, parce qu'ils n'ont pas du lire le Larousse, eux), tout de même ?? 

il y a 3 minutes, Pheldwyn a dit :

Mais que racontes tu ?

Il n'est pas question ici de débattre des définitions des mots : nous avons deux politiques qui nous explique ce qu'est le progressisme ... mais SELON EUX.
Tout comme leur maître à penser, ils se réclament du "progrès" : mais eux seuls définissent ainsi leur action politique, et déclarent arbitrairement qu'ils représentent le progrès et la modernité. Mais tout cela n'a strictement aucune objectivité.

Tout comme ce qu'ils nomme "populisme" : ils décident de poser l'étiquette sur toute idéologique qui va à l'encontre de la leur.
Alors même que Macron a - pendant la campagne, et justement avec son antienne "et droite et gauche" bidon - a lui-même versé dans la démagogie et un certain populisme.

Bref, tu es bien gentil de venir me parler des congés payés, du droit du travail et de notre système social, mais tout ce PROGRES là, ce n'est certainement pas à des gens qui partage l'idéologie 2.0 de Macron et de ses comparses que nous l'avons obtenu.
Pire : leur idéologie a pour but, justement, de détricoter tous ces acquis.

Et, ta seule argumentation, c'est "il faut appeler Larousse" ? 

 

On parle de gens qui sont en train de nous concocter une seconde "journée de solidarité", non ??

Bien sur que si qu'il faut s'interroger sur les définitions ! Je suis progressiste et totalement apolitique. Et je méprise le populisme qui demeure dans la contestation sans rien proposer de constructif. Or la politique c'est construire. 

il y a 2 minutes, Pheldwyn a dit :

Mais tu es sérieux ??
C'est justement ce que dénonce ce sujet : le mélange des définitions par ces macroniste pur jus pour nourrir leur propagande idéologique.

Ce n'est pas nous ici sur ce forum qui venons de sortir un bouquin pour expliquer à ceux qui ne sont rien ce qu'est le progressisme (enfin, serait, parce qu'ils n'ont pas du lire le Larousse, eux), tout de même ?? 

Tu es dans la critique partisane. 

il y a une heure, Crabe_fantome a dit :

Merci de rappeler que ce sont des lois qui ont figé ces progrès sociaux. Des lois étudiées et votées par le sénat et l'assemblée nationale. 

Mais les situations d'avant, c'était aussi des lois, étudiées et votées.
Bref, la loi n'est que le marqueur, mais ce n'est pas la loi qui obtient les avancées.

Et ces avancées se font bien souvent "hors la loi" ... puisque sinon la loi ne progresserait jamais.

il y a 5 minutes, bouddean a dit :

C'est plutôt toi qui semble oublier que les avantages que tu as aujourd'hui, tu les dois à des gens courageux qui se sont battu pour les avoir, alors oui, tu peux cracher dans la soupe aujourd'hui , c'est sûr, c'est facile .  

Je ne suis pas le sujet et personne ne crache dans la soupe. Reprends toi, à quel moment je mens quand je dis que les lois françaises sont faites par les élites sénateurs et députés ? 

il y a 1 minute, Pheldwyn a dit :

Mais les situations d'avant, c'était aussi des lois, étudiées et votées.
Bref, la loi n'est que le marqueur, mais ce n'est pas la loi qui obtient les avancées.

Et ces avancées se font bien souvent "hors la loi" ... puisque sinon la loi ne progresserait jamais.

Qui fait et vote ces lois ? 

il y a 3 minutes, Crabe_fantome a dit :

Bien sur que si qu'il faut s'interroger sur les définitions ! Je suis progressiste et totalement apolitique. Et je méprise le populisme qui demeure dans la contestation sans rien proposer de constructif. Or la politique c'est construire. 

Tu es dans la critique partisane. 

Et toi non ?
Mais de plus, c'est fois : je critique une idéologie partisane.

En fait, tu as bien compris le sujet de ce topic ?

Il ne s'agit pas de dire que le progrès est mauvais et que le populisme c'est génial.

Il s'agit de dénoncer deux partisans politiques qui s'approprient, de manière totalement idéologique, les termes de progrès (pour eux) et de populisme (pour leurs contradicteur).

Désolé si tu passes à côté de cette simple constatation.

il y a 54 minutes, stvi a dit :

et toi tu nous expliques que ceux qui ne travaillent pas ont aussi droit à 28 jours de congés payés 

je ne sais pas d'où vient cette légende de l'auto entrepreneur qui galère , mais les exemples que j'ai sont positifs , pas de patron , un emploi du temps élastique , une activité choisie ... bien sûr que le taux d'échec est important , faire correspondre la demande avec l'offre est souvent compliqué ... 

j'ai plutôt l'impression qu'il y a une forme de dénigrement de ceux qui vont au boulot comme on va à l'abattoir et qui se donnent de bonnes raisons de ne pas se créer leur propre emploi ... 

Bin un contrat zéro heures, ça veut bien dire ce que ça veut dire, et il va falloir m’expliquer comment des salariés, puisque contrat il y a, peuvent bénéficier de ces congés payés si largement octroyés. 

Et pour les auto- entrepreneurs, ta vision idéalisé est loin de la réalité, avec le transfert des charges et des prix bas imposés par ceux là même qui n’ont plus de salariés car devenus auto-entrepreneurs. 

il y a 5 minutes, Crabe_fantome a dit :

Qui fait et vote ces lois ? 

Le peuple par ses représentants ?

Il faut juste leur rappeler de temps en temps qui ils sont censés représenter.

il y a 9 minutes, Crabe_fantome a dit :

Et je méprise le populisme qui demeure dans la contestation sans rien proposer de constructif. Or la politique c'est construire. 

Ah, tu veux sans doute parler du programme écologique de "En Marche" là, non ??

Ou des promesses d'une gouvernance horizontale au sein de leur mouvement ?

Comment ça, du marketing autour de coquilles vides ? Naaaan ...

Sans risque de me tromper, je pense que le sujet ce n’est pas notre système législatif. 

il y a 5 minutes, Pheldwyn a dit :

 

On parle de gens qui sont en train de nous concocter une seconde "journée de solidarité", non ??

bien sûr mais comme on a déjà un taux de redistribution très important , une journée de solidarité c'est la solution ... ceci dit je ne suis pas pour ... une dépendance bien pensée à domicile est préférable à n'importe laquelle en institut ...  95 euros par jour c'est le coût d'un EHPAD  ,  

il y a 7 minutes, Pheldwyn a dit :

Le peuple par ses représentants ?

Il faut juste leur rappeler de temps en temps qui ils sont censés représenter.

 

Ah, tu veux sans doute parler du programme écologique de "En Marche" là, non ??

Ou des promesses d'une gouvernance horizontale au sein de leur mouvement ?

Comment ça, du marketing autour de coquilles vides ? Naaaan ...

Non. Aucun peuple n'a jamais fait aucune loi. Uniquement leurs représentants du sénat et de l'assemblée nationale. Des élites. 

Pour le reste j'en ai rien à foutre d'en marche. Je ne fais pas de débats partisans sur les forums, j'ai assez d'une famille pour ça. Je suis apolitique, progressiste donc constructif. 

il y a 5 minutes, Crabe_fantome a dit :

Non. Aucun peuple n'a jamais fait aucune loi. Uniquement leurs représentants du sénat et de l'assemblée nationale. Des élites. 

Pour le reste j'en ai rien à foutre d'en marche. Je ne fais pas de débats partisans sur les forums, j'ai assez d'une famille pour ça. Je suis apolitique, progressiste donc constructif. 

Alors assume d'être une escroquerie à l'image de ce tu défends. 

il y a 10 minutes, Ines Presso a dit :

Sans risque de me tromper, je pense que le sujet ce n’est pas notre système législatif. 

Critiquer le progressisme c'est critiquer aussi les progrès et réformes sociales.