Le progressisme, c'est le populisme de l'élite.

L'arnaque, c'est de faire croire que les idéologies sont mortes, emportant avec elles le clivage gauche-droite et niant l’asservissement d’une partie de la population par une autre à des fins de profits.

Le progressisme est un populisme de l’élite. En s’inventant un ennemi avec le populisme, il en utilise pourtant toutes les figures: culte du chef, confusion idéologique et radicalité. 

Les deux anciens plus proches conseillers d’Emmanuel Macron ont publié un livre censé expliquer le progressisme aux masses laborieuses: “Le Progrès ne tombe pas du ciel” (Fayard). 

Ce qui est d’abord le plus choquant dans le manifeste progressiste d’Ismaël Emelien et de David Amiel, c’est la certitude que seule la voie du progressisme est la bonne, sans en donner une définition satisfaisante. Selon les anciens conseillers d’Emmanuel Macron, c’est à chacun de “maximiser les possibles” pour être l’acteur de sa réussite par son engagement. Tout n’est que jeu de masques et pirouettes sémantiques dans une entreprise de sape de la pensée qui veut faire entrer la société française -jugée archaïque- dans le progrès. 

Or le progrès est un mythe de la modernité. 

...

https://m.huffingtonpost.fr/entry/le-progressisme-cest-le-populisme-de-lelite_fr_5ca76e2ce4b0a00f6d3ede8b

C'est sur, les congés payés, l'assurance chômage et maladie ou maternité, les allocations, les aides... Tous ces progrès s'opposant au populisme de l'époque et voté par les élites du sénat et de l'assemblée nationale... 

Retournons vivre dans les arbres, abandonnons l'écologie pour cramer du bois et du charbons l'hiver ! Vive le passéisme ! 

il y a 4 minutes, Crabe_fantome a dit :

C'est sur, les congés payés, l'assurance chômage et maladie ou maternité, les allocations, les aides... Tous ces progrès s'opposant au populisme de l'époque et voté par les élites du sénat et de l'assemblée nationale... 

Retournons vivre dans les arbres, abandonnons l'écologie pour cramer du bois et du charbons l'hiver ! Vive le passéisme ! 

Sauf que ce que "le progressisme" nomme "populisme" c'est justement - en partie - des gens qui sens le sens idéologique des congés payés, de l'assurance chômage et maladie, des allocations, etc ...

Sans cesse on nous rappelle à quel point ces idées-là sont archaïques, qu'elles ne s'inscrivent pas dans la "modernité" et donc dans le "progressisme".

Bref, je pense que le progressisme n'a juste rien à voir avec le progrès humain.

Si le progressisme est échangeable trait pour trait avec le populisme, pourquoi ne pas juste considérer que nous avons des visions différentes de ce qu'est le progrès, au lieu d'utiliser le terme populiste comme un terme fourre-tout qui englobe tout ce qui n'est pas d'accord avec le gouvernement ? J'ai déjà remarqué il y a longtemps à quel points les mouvements à droite de la droite pouvaient très bien s'assimiler à un progressisme, mais que ce n'est qu'un élément de langage. Effectivement dans notre époque le progrès devrait éveiller la méfiance quand on l'évoque dans une discussion : ce qui advient n'est pas forcément mieux que ce qui est advenu, il y a du bon et du mauvais dans les changements politiques et juridiques.

La chose est bien connue en sémantique, tout ce qui s' achève en sisme est le cache-sexe du plus grand merdissisme...

Sinon, ce petit Ismaël n' est-il pas celui qui s' est essayé fâcheusement et à ses dépends au fake-new afin de maximaliser les possibles préseidentiels...?

il y a 58 minutes, Pheldwyn a dit :

Sauf que ce que "le progressisme" nomme "populisme" c'est justement - en partie - des gens qui sens le sens idéologique des congés payés, de l'assurance chômage et maladie, des allocations, etc ...

Sans cesse on nous rappelle à quel point ces idées-là sont archaïques, qu'elles ne s'inscrivent pas dans la "modernité" et donc dans le "progressisme".

Bref, je pense que le progressisme n'a juste rien à voir avec le progrès humain.

Reste juste à appeler Larousse et faire changer la définition des mots pour que ça colle mieux à ce que tu veux... 

il y a 26 minutes, Crabe_fantome a dit :

Reste juste à appeler Larousse et faire changer la définition des mots pour que ça colle mieux à ce que tu veux... 

Ou à lire l'article pour ne pas sombrer dans le trollage de principe habituel.

Il y a 1 heure, fx. a dit :

Ou à lire l'article pour ne pas sombrer dans le trollage de principe habituel.

Si tu ne peux pas débattre, tu fais comme l'auteur de ton sujet : tu ouvres un blog et tu évites les forums. 

Là ton sujet mélange les définitions pour faire de la propagande idéologique. Mais tu peux troller ton sujet si tu n'arrives pas à le défendre. 

il y a 16 minutes, Crabe_fantome a dit :

Si tu ne peux pas débattre, tu fais comme l'auteur de ton sujet : tu ouvres un blog et tu évites les forums. 

Là ton sujet mélange les définitions pour faire de la propagande idéologique. Mais tu peux troller ton sujet si tu n'arrives pas à le défendre. 

En l'occurrence c'est toi qui fait un grand gloubi boulga parce que tu n'as pas l'ombre d'un argument à opposer à  un texte que tu n'as pas lu.

Aussi puisque tu es un grand habitué du pourrissement de mes sujets,  je t'invite à développer un argumentaire contradictoire ou à défaut à voir ailleurs si j'y suis.

Il y a 3 heures, Crabe_fantome a dit :

C'est sur, les congés payés, l'assurance chômage et maladie ou maternité, les allocations, les aides... Tous ces progrès s'opposant au populisme de l'époque et voté par les élites du sénat et de l'assemblée nationale... 

Retournons vivre dans les arbres, abandonnons l'écologie pour cramer du bois et du charbons l'hiver ! Vive le passéisme ! 

Le progressisme est l’incarnation nouvelle de la vieille croyance en le progrès, comme force irrésolue et sans alternative. Il en devient l’ennemi des progrès réels, notamment sociaux, dans l’amélioration des conditions de vie ou la protection de l’environnement. 

Inversion accusatoire classique, le troll va ensuite psychologiser le sujet et les contradicteurs...

Il y a 5 heures, fx. a dit :

L'arnaque, c'est de faire croire que les idéologies sont mortes, emportant avec elles le clivage gauche-droite et niant l’asservissement d’une partie de la population par une autre à des fins de profits.

Le progressisme est un populisme de l’élite. En s’inventant un ennemi avec le populisme, il en utilise pourtant toutes les figures: culte du chef, confusion idéologique et radicalité. 

Les deux anciens plus proches conseillers d’Emmanuel Macron ont publié un livre censé expliquer le progressisme aux masses laborieuses: “Le Progrès ne tombe pas du ciel” (Fayard). 

Ce qui est d’abord le plus choquant dans le manifeste progressiste d’Ismaël Emelien et de David Amiel, c’est la certitude que seule la voie du progressisme est la bonne, sans en donner une définition satisfaisante. Selon les anciens conseillers d’Emmanuel Macron, c’est à chacun de “maximiser les possibles” pour être l’acteur de sa réussite par son engagement. Tout n’est que jeu de masques et pirouettes sémantiques dans une entreprise de sape de la pensée qui veut faire entrer la société française -jugée archaïque- dans le progrès. 

Or le progrès est un mythe de la modernité. 

...

https://m.huffingtonpost.fr/entry/le-progressisme-cest-le-populisme-de-lelite_fr_5ca76e2ce4b0a00f6d3ede8b

 

si on continue à lire ton lien ... 

Citation

Le progressisme est l’incarnation nouvelle de la vieille croyance en le progrès, comme force irrésolue et sans alternative. Il en devient l’ennemi des progrès réels, notamment sociaux, dans l’amélioration des conditions de vie ou la protection de l’environnement. 

bon alors avec quoi on finance les progrès sociaux et l’environnement ... s'il y a une alternative je suis preneur  , et je veux bien être convaincu ... 

le progressisme a été dévoyé ; à l'origine il s'agissait de promouvoir le progrès social  ... aujourd'hui c'est un gros mot car financer le progrès social par l'argent de l'économie réelle c'est du libéralisme , autre gros mot ... 

plus de progrès social sans financement est un leurre ... en France on n'a pas à rougir , et ce n'est pas un magazine US qui va venir expliquer que nous ne préoccupons pas de  politique sociale et d’environnement ... l’hôpital  qui se fout de la charité 

La France, championne d'Europe des dépenses de protection sociale ...

"En France, la part de la population très pauvre est parmi les plus faibles (3,1 % selon Eurostat). Seule la Finlande contient encore mieux la grande pauvreté (2,2 %)."

il y a une heure, stvi a dit :

si on continue à lire ton lien ... 

bon alors avec quoi on finance les progrès sociaux et l’environnement ... s'il y a une alternative je suis preneur  , et je veux bien être convaincu ... 

le progressisme a été dévoyé ; à l'origine il s'agissait de promouvoir le progrès social  ... aujourd'hui c'est un gros mot car financer le progrès social par l'argent de l'économie réelle c'est du libéralisme , autre gros mot ... 

plus de progrès social sans financement est un leurre ... en France on n'a pas à rougir , et ce n'est pas un magazine US qui va venir expliquer que nous ne préoccupons pas de  politique sociale et d’environnement ... l’hôpital  qui se fout de la charité 

La France, championne d'Europe des dépenses de protection sociale 

Je ne vois pas en quoi la précarisation du marché du travail est un progrès, ce n'est que l'application des directives européennes parce que nous n'avons plus le levier monétaire. 

Je ne vois pas en quoi le probable allongement de la durée du travail qui provoque la mise en garde de Delevoye quant à sa réforme est un progrès,  à moins que tu m'expliques que pour tout ceux comme moi qui seront sur la touche avant d'en profiter auront cotisé pour les feignasses qui dispensent la bonne parole sur ffr 7j/7.

Le reste à l'avenant.

il y a 15 minutes, stvi a dit :

si on continue à lire ton lien ... 

bon alors avec quoi on finance les progrès sociaux et l’environnement ... s'il y a une alternative je suis preneur  , et je veux bien être convaincu ... 

le progressisme a été dévoyé ; à l'origine il s'agissait de promouvoir le progrès social  ... aujourd'hui c'est un gros mot car financer le progrès social par l'argent de l'économie réelle c'est du libéralisme , autre gros mot ... 

plus de progrès social sans financement est un leurre ... en France on n'a pas à rougir , et ce n'est pas un magazine US qui va venir expliquer que nous ne préoccupons pas de  politique sociale et d’environnement ... l’hôpital  qui se fout de la charité 

La France, championne d'Europe des dépenses de protection sociale ...

 

Si on continue à lire le lien, on voit bien que la protection sociale comme nous la connaissons n’existera plus, et ne coûtera plus 1€ à l’état. 

" Le progressisme a déjà démontré qu’il était le faux-nez du libéralisme industriel, ses priorités étant la dérégulation sociale, la financiarisation de toutes les sphères de l’existence et la croissance à tout prix. Dans son sillage, l’idéologie nouvelle du progrès recycle tout: l’écologie devient le développement durable pour entrer dans les business plans et ne pas contrarier les industries pollueuses dans leur travail de sape climatique; la protection sociale devient la responsabilité de chacun grâce à l’emploi et la formation; le travail est devenu une “ressource humaine” exportable au même titre que les ressources naturelles, et le progressisme cultive un “impensé” fondateur, dans la défense systématique des intérêts de la caste financière."

Il y a 3 heures, Crabe_fantome a dit :

C'est sur, les congés payés,  Tous ces progrès s'opposant au populisme de l'époque et voté par les élites du sénat et de l'assemblée nationale... 

1956 : troisième semaine de congés payés. La victoire ds métallos de Renault en septembre 1955 devient celle de tous les salariés. En effet la loi du 27 mars 1956 fixe à 1,5 jour ouvrable par mois de travail la durée des congés payés.

1969 : quatrième semaine de congés payés. Là encore, la loi du 16 mai 1969 étendra à tous les salariés les quatre semaines de congés payés obtenues en décembre 1962 par les métallos de Renault et que 85 % des salariés du privé avaient arrachées au cours de mai 68.

il y a 4 minutes, fx. a dit :

Je ne vois pas en quoi la précarisation du marché du travail est un progrès, ce n'est que l'application des directives européennes parce que nous n'avons plus le levier monétaire. 

Je ne vois pas en quoi le probable allongement de la durée du travail qui provoque la mise en garde de Delevoie quant à sa réforme est un progrès,  à moins que tu m'expliques que pour tout ceux comme moi qui seront sur la touche avant d'en profiter auront cotisé pour les feignasses qui dispensent la bonne parole sur ffr 7j/7.

Le reste à l'avenant.

si tu fais passer les petits intérêts de quelques uns , ainsi qu'un départ en retraite prématuré alors que la durée de vie augmente avant la protection sociale , alors bien sûr c'est la faute au libéralisme et aux directives de Bruxelles ... 

il y a 4 minutes, stvi a dit :

si tu fais passer les petits intérêts de quelques uns , ainsi qu'un départ en retraite prématuré alors que la durée de vie augmente avant la protection sociale , alors bien sûr c'est la faute au libéralisme et aux directives de Bruxelles ... 

L'espérance de vie en bonne santé n'augmente pas et tu le sais parfaitement; de même je trouve assez pitoyable de relever une imposition sociale qu'on s'attache à démanteler comme un marqueur de justice sociale. Merci de démontrer qui sont réellement les populistes et les couleuvres qu'ils nous font avaler. 

il y a 9 minutes, bouddean a dit :

1956 : troisième semaine de congés payés. La victoire ds métallos de Renault en septembre 1955 devient celle de tous les salariés. En effet la loi du 27 mars 1956 fixe à 1,5 jour ouvrable par mois de travail la durée des congés payés.

1969 : quatrième semaine de congés payés. Là encore, la loi du 16 mai 1969 étendra à tous les salariés les quatre semaines de congés payés obtenues en décembre 1962 par les métallos de Renault et que 85 % des salariés du privé avaient arrachées au cours de mai 68.

 

le Royaume uni pays on ne peut plus libéral fait mieux que la France sans victoire du prolétariat ...

Record au Royaume-UniAvec 28 jours de congés payés et 9 jours fériés, le Royaume-Uni est le pays le plus généreux en termes de repos parmi les pays de l'OCDE.

il y a 6 minutes, stvi a dit :

le Royaume uni pays on ne peut plus libéral fait mieux que la France sans victoire du prolétariat ...

 

Record au Royaume-UniAvec 28 jours de congés payés et 9 jours fériés, le Royaume-Uni est le pays le plus généreux en termes de repos parmi les pays de l'OCDE.

 

 

Oui les contrats 0 heure sont un grand bond en avant social. Ça a au moins le mérite d'indiquer la piste que nous suivons. 

il y a 1 minute, fx. a dit :

je trouve assez pitoyable de relever une imposition sociale qu'on s'attache à démanteler comme un marqueur de justice sociale. Merci de démontrer qui sont réellement les populistes et les couleuvres qu'ils nous font avaler. 

la dépense sociale est stable à 31,8 % du PIB depuis la nomination de Macron , s'il y a un rééquilibrage entre bénéficiaires de la solidarité c'est souligné de façon négative ... comme pour ce pourcentage de vie en bonne santé qui laisse supposer une prise en charge de la dépendance plus chère ... dire que c’est le travail qui  fait qu'on vit moins longtemps en bonne santé est une invention ... c'est surtout à rapprocher du taux d'obésité , comme aux Etats Unis ... 

il y a 26 minutes, bouddean a dit :

1956 : troisième semaine de congés payés. La victoire ds métallos de Renault en septembre 1955 devient celle de tous les salariés. En effet la loi du 27 mars 1956 fixe à 1,5 jour ouvrable par mois de travail la durée des congés payés.

1969 : quatrième semaine de congés payés. Là encore, la loi du 16 mai 1969 étendra à tous les salariés les quatre semaines de congés payés obtenues en décembre 1962 par les métallos de Renault et que 85 % des salariés du privé avaient arrachées au cours de mai 68.

 

Merci de rappeler que ce sont des lois qui ont figé ces progrès sociaux. Des lois étudiées et votées par le sénat et l'assemblée nationale. 

Sauf si vous me trouver un lien expliquant que la loi est faite et signée dans la rue ou dans une entreprise. Et là ça m'intéresse beaucoup.