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Pensez vous être fait pour la vie de couple ?

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Invité hell-spawn

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il y a 3 minutes, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Hell spawn, poigne de mains

Bien non, on peut très bien ne pas être fait pour une vie de couple, et savoir aimer, aimer n'impose en aucune façon une vie de couple, comme certains ne connaissant aucun amour vivent en couple de par le monde, unions arrangées, mariage de raison. L'amour n'est pas impératif dans une vie de couple. Comme il y a des vies de couples ou l'amour est, mais cela peut ou pas durer. Tout est possible.

Je ne suis pas d'accord avec toi, si on aime la vie de couple est un aboutissement.

Vouloir les avantages sans les inconvénients ce n'est pas aimer ( pour le meilleur et pour le pire, qu'ils ont dit )

 

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 14 heures, Vilaine a dit :

Je suis étonnée par le nombre de solitaires/individualistes sur ce forum. 

Partager son intimité, donner, échanger, n’est peut-être pas naturel pour tout en monde - pourtant, certains le font très bien sur ce forum - mais c’est qu’il y a de plus évident quand on est engagé dans une relation sérieuse.

J’imagine que tous ceux qui n’arrivent pas à vivre une relation de couple - oui, je pense que c’est une question de capacité - , n’envisagent même pas de vivre une vie familiale (avec enfants, chiens et toute tralala). 

Bonjour Vilaine, amicalement.

Pas d'accord, d'ailleurs dans un de ses dernier ouvrage Elysabeth Bandinter,  a mentionner le fait,  ça m'a fait rire, on se marrie, fait des enfants pour l'économie du pays, bref pour la patrie, aucun besoin de les aimer même.

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Invité Vilaine
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Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 7 heures, Morfou a dit :

Comment peut-on aimer une personne que l'on ne connait ni d'Eve ni d'Adam?

L'amour est quelque chose qui n'arrive pas d'un coup de baguette magique...

Vous parlez de désir, l'amour n'a rien à y voir...

Et la pulsion  appelée "Amour" n'est que désir qui ne dure jamais!

Votre post est en ce sens, assez contradictoire...

Alors là...vous avez tout faux...

Ou peut-être que pour vous la relation de couple est la seule importante?:miam:

Qu'est ce qui est faux? 

Je dis simplement que se mettre en ménage n'est pas donné à tout le monde. C'est une question de capacité, plus que de volonté. Je plains ceux ou celles qui sont condamnés à vivre avec eux-même et forumfr

Il y a 7 heures, Morfou a dit :

On parle de vie de couple...pas d'amour ou de passion...

Les deux sont liés. Je dirais même que le premier est le résultat du second. 

Une vie de couple sans amour, c'est de la coloc et c'est vrai que certaines coloc sont pénibles. Perso, je trouve ça plutôt cool. 

il y a une heure, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Vilaine, amicalement.

Pas d'accord, d'ailleurs dans un de ses dernier ouvrage Elysabeth Bandinter,  a mentionner le fait,  ça m'a fait rire, on se marrie, fait des enfants pour l'économie du pays, bref pour la patrie, aucun besoin de les aimer même.

Elle était aigrie et résignée cette bonne femme. Ça sent la frustration en tout cas. Elle a le profil type de la plupart des bonnes femme de forumfr. 

Modifié par Vilaine
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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 842 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a 53 minutes, Vilaine a dit :

Qu'est ce qui est faux? 

Je dis simplement que se mettre en ménage n'est pas donné à tout le monde. C'est une question de capacité, plus que de volonté. Je plains ceux ou celles qui sont condamnés à vivre avec eux-même et forumfr

Les deux sont liés. Je dirais même que le premier est le résultat du second. 

Une vie de couple sans amour, c'est de la coloc et c'est vrai que certaines coloc sont pénibles. Perso, je trouve ça plutôt cool. 

Elle était aigrie et résignée cette bonne femme. Ça sent la frustration en tout cas. Elle a le profil type de la plupart des bonnes femme de forumfr. 

J’imagine que tous ceux qui n’arrivent pas à vivre une relation de couple - oui, je pense que c’est une question de capacité - , n’envisagent même pas de vivre une vie familiale (avec enfants, chiens et toute tralala). 

--------------Je répondais à ceci!

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Membre, 156ans Posté(e)
Pasadena Membre 129 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
Posté(e)

Pour répondre à la question, a priori pas vraiment, sauf qu'on ne vit pas avec des a prioris. Je veux dire par là que je n'ai rien, mais alors rien du partenaire idéal : atypique, asocial, détestant sortir, pas télé, pas famille ni potes, pas d'attaches, pas sportif, (surtout) pas fêtard, je-m'en-foutiste, ambivalent... Mais quand je vois certains couples où le schéma est encore pire d'un côté, de l'autre ou des deux, et qu'ils fonctionnent comme ça depuis des lustres, je me dis que vraiment, il vaut mieux lâcher les a prioris. Il n'y a pas de règle, pas de modèle qui tienne. Un jour ça va accrocher, on ne sait pas pourquoi, et l'histoire s'écrit toute seule. L'autre vous prend tel que vous êtes, vous ne comprenez pas pourquoi, et vous vous en foutez car vous vous dites que ça tient du miracle.

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Membre, Posté(e)
Passiflore Membre 22 548 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le 16/02/2019 à 06:25, Vilaine a dit :

La vraie question est : « êtes vous capable d’aimer au point d’abandonner une partie de vous-même/de votre âme ? »

 

On peut aimer d'amour sans pour autant perdre une partie de son âme, sans pour autant renoncer à qui l'on est ; d'où l'importance fondamentale de trouver un compagnon ou une compagne de route (selon que l'on soit une femme ou un homme) conforme à ses aspirations et avec qui on regardera dans la même direction, avec qui la complicité sera dans tous les domaines et qui partagera une même vision des choses de la vie et de l'amour. 

Le 16/02/2019 à 09:17, Vilaine a dit :

 (...) Aimer ce n’est pas s’effacer

 

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

Ce sujet me taraude ! Ca me fait 33 ans de vie de couple mais...

Sinon, nos plus anciens copains se sont séparés au bout de 35 ans.

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Membre, 27ans Posté(e)
Sélenba Membre 36 messages
Baby Forumeur‚ 27ans‚
Posté(e)

Il m'est déjà arrivé d'envisager l'idée de me retrouver proche de quelqu'un à ce point.

Puis je me suis souvenue que je ne souhaiterais à personne d'avoir à supporter mon sale caractère, comme mes parents ont eu le courage de le faire pendant toutes ces années que j'ai passé à la maison.

Pour autant je sais que j'ai besoin d'affection et d'un sentiment de présence sous forme d'un animal de compagnie. Cette forme de lien est à mon avis celle qui m'apporte une grande joie avec des contraintes qui me semblent ridicules en comparaison. 

Ceci doit bien être l'un des rares types de relations qu'à l'heure actuelle je suis capable d'entretenir dans le long terme.

Voici l'état actuel des choses de mon humble point de vue.

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Membre, 156ans Posté(e)
Pasadena Membre 129 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Passiflore a dit :

 

On peut aimer d'amour sans pour autant perdre une partie de son âme, sans pour autant renoncer à qui l'on est ; d'où l'importance fondamentale de trouver un compagnon ou une compagne de route (selon que l'on soit une femme ou un homme) conforme à ses aspirations et avec qui on regardera dans la même direction, avec qui la complicité sera dans tous les domaines et qui partagera une même vision des choses de la vie et de l'amour. 

 

En effet. Je ne vois pas très bien où est l'amour dans l'abnégation. Faire trop de concessions aux envies, aux attentes, au style de vie de l'autre, revient à ériger un mur de pierres d'achoppement. Cela peut aussi se voir comme l'expression d'une codépendance. Le maître-mot pour moi, et là je vous rejoins Passiflore, c'est complicité.

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Membre, 156ans Posté(e)
Pasadena Membre 129 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
Posté(e)
Le 18/02/2019 à 06:51, Vilaine a dit :

Je suis étonnée par le nombre de solitaires/individualistes sur ce forum. 

Partager son intimité, donner, échanger, n’est peut-être pas naturel pour tout en monde - pourtant, certains le font très bien sur ce forum - mais c’est qu’il y a de plus évident quand on est engagé dans une relation sérieuse.

J’imagine que tous ceux qui n’arrivent pas à vivre une relation de couple - oui, je pense que c’est une question de capacité - , n’envisagent même pas de vivre une vie familiale (avec enfants, chiens et toute tralala). 

Je dirais qu'il y a une distinction à opérer entre le fait de vivre effectivement une vie de couple, avec ou sans enfants, toutou, etc, et théoriser à ce propos quand on n'est pas en situation. On peut s'être mis dans la tête qu'on n'est pas fait pour ça, parce qu'on a franchi le cap des 40, des 50 ans en célibataire, avec derrière soi une collection de liaisons, d'aventures... et voilà que sur le tard se produit la rencontre qui va changer la donne. Est-ce qu'on y réfléchit encore à ce moment-là, le nez dans le guidon ? L'anticipation de quelque situation que ce soit qu'on n'a pas expérimentée, s'alimente de clichés, d'images puisés dans les expériences des autres. Une fois qu'on vit la situation anticipée, on s'aperçoit généralement qu'il en va autrement que ce qu'on avait imaginé/rêvé/fantasmé/redouté.

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Membre, 156ans Posté(e)
Pasadena Membre 129 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
Posté(e)
Le 17/02/2019 à 20:02, hell-spawn a dit :

Quand on y pense sérieusement, partager son intimité avec une femme ou un homme ce n'est quand meme pas rien !

Une relation ou il n'y a pas contamination de l'un par l'autre est meme a la limite du concevable.

Des relations intimes qui élèvent au lieu de rabaisser il ne doit pas y en avoir des masses.

 

La "contamination" peut aussi se produire dans le sens positif. Découvrir des univers inexplorés au travers de l'autre, lui faire découvrir ses propres passions, je ne parle pas là qu'au plan sexuel mais à celui des goûts, des centres d'intérêt. Chacun va ainsi pouvoir évoluer au contact de l'autre, c'est la vertu de l'échange, du partage.  

La sexualité, qui est au cœur de l'intimité de chacun, est un terrain qui peut être miné. Si on cultive quelque singularité en la matière, il vaut mieux en parler d'entrée de jeu, car ce que l'on cache finit toujours par resurgir à un moment ou à un autre et se limiter aux attentes de l'autre va générer des frustrations. Toutes choses propres à tuer la relation. 

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Invité Vilaine
Invités, Posté(e)
Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
Posté(e)
il y a une heure, Pasadena a dit :

Je dirais qu'il y a une distinction à opérer entre le fait de vivre effectivement une vie de couple, avec ou sans enfants, toutou, etc, et théoriser à ce propos quand on n'est pas en situation. On peut s'être mis dans la tête qu'on n'est pas fait pour ça, parce qu'on a franchi le cap des 40, des 50 ans en célibataire, avec derrière soi une collection de liaisons, d'aventures... et voilà que sur le tard se produit la rencontre qui va changer la donne. Est-ce qu'on y réfléchit encore à ce moment-là, le nez dans le guidon ? L'anticipation de quelque situation que ce soit qu'on n'a pas expérimentée, s'alimente de clichés, d'images puisés dans les expériences des autres. Une fois qu'on vit la situation anticipée, on s'aperçoit généralement qu'il en va autrement que ce qu'on avait imaginé/rêvé/fantasmé/redouté.

Je pense que ne pas (savoir) trouver l’amour et la stabilité conjugale à 50 ans est une forme d’échec. On peut même parler d’handicap. 

Ce sont souvent des gens qui sont trop centrés sur eux même pour pouvoir vivre une vie de couple, des gens qui sont soumis à leurs ressentis, donc dépendants de leur état émotionnel. Ou des gens qui ont une peur bleue de l’engagement, ou qui ne se sentent pas capable de fonder une famille.

Quand on comprend à 50 ans, à quel point il est réjouissant de se stabiliser et de fonder une famille (pour moi, les deux sont liés), il est trop tard. Il y a alors une forme de frustration, qui se transforme en aigreur (voire en féminisme pour les femmes).

 

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Membre, 156ans Posté(e)
Pasadena Membre 129 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Vilaine a dit :

Je pense que ne pas (savoir) trouver l’amour et la stabilité conjugale à 50 ans est une forme d’échec. On peut même parler d’handicap. 

Ce sont souvent des gens qui sont trop centrés sur eux même pour pouvoir vivre une vie de couple, des gens qui sont soumis à leurs ressentis, donc dépendants de leur état émotionnel. Ou des gens qui ont une peur bleue de l’engagement, ou qui ne se sentent pas capable de fonder une famille.

Quand on comprend à 50 ans, à quel point il est réjouissant de se stabiliser et de fonder une famille (pour moi, les deux sont liés), il est trop tard. Il y a alors une forme de frustration, qui se transforme en aigreur (voire en féminisme pour les femmes).

 

Il n'est jamais trop tard, non. Pour moi, il n'y a pas de règle. Ni d'obligation de fonder une famille. 

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Invité Vilaine
Invités, Posté(e)
Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 17 heures, Passiflore a dit :

 

On peut aimer d'amour sans pour autant perdre une partie de son âme, sans pour autant renoncer à qui l'on est ; d'où l'importance fondamentale de trouver un compagnon ou une compagne de route (selon que l'on soit une femme ou un homme) conforme à ses aspirations et avec qui on regardera dans la même direction, avec qui la complicité sera dans tous les domaines et qui partagera une même vision des choses de la vie et de l'amour. 

 

La différence n’est pas forcément un frein. On peut même en faire une force. 

Il y a des années de cela, je me suis mise avec un SDF. Tout le monde me disait que c’était un profiteur, mais je m’en fichais, je disais vouloir vivre d’amour et d’eau fraîche (foutaise).

Il s’est servi de moi, et réciproquement. Il est devenu mon esclave. Il a renoncé à son intégrité pour mes beaux yeux, j’ai trouvé ça chou. Maintenant il est devenu riche, il vend son « âme » à ses employeurs, et ça, il l’a appris grâce à moi. 

il y a 9 minutes, Pasadena a dit :

Il n'est jamais trop tard, non. Pour moi, il n'y a pas de règle. Ni d'obligation de fonder une famille. 

A 50 ans, on n’a plus le choix non. 

Il n’y a aucune obligation, en effet, mais c’est une frustration pour tous ceux qui ne peuvent plus/n’y arrivent pas.

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Membre, 156ans Posté(e)
Pasadena Membre 129 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Vilaine a dit :

La différence n’est pas forcément un frein. On peut même en faire une force. 

Il y a des années de cela, je me suis mise avec un SDF. Tout le monde me disait que c’était un profiteur, mais je m’en fichais, je disais vouloir vivre d’amour et d’eau fraîche (foutaise).

Il s’est servi de moi, et réciproquement. Il est devenu mon esclave. Il a renoncé à son intégrité pour mes beaux yeux, j’ai trouvé ça chou. Maintenant il est devenu riche, il vend son « âme » à ses employeurs, et ça, il l’a appris grâce à moi. 

A 50 ans, on n’a plus le choix non. 

Il n’y a aucune obligation, en effet, mais c’est une frustration pour tous ceux qui ne peuvent plus/n’y arrivent pas.

Vous apportez par cette anecdote du SDF la confirmation qu'il n'y a pas de règle.

Ensuite, 50 ans, ce n'est pas encore un âge à se faire enterrer :rolle:. Ni 60 ni 70. J'ai connu des pères tardifs de progénitures heureuses et qui savaient combler leurs jeunes épouses.  

Si l'on considère que ne pas avoir fondé de famille à 50 ans n'est pas normal, c'est au regard d'une norme communément admise, d'un conditionnement. On peut être célibataire à cet âge-là, et sans enfants, sans toutefois se sentir en échec par rapport à cette norme-là.

Par ailleurs, faut-il regretter de ne pas vivre la vie pour laquelle on ne se sent pas fait ? Et le regretter par rapport à qui, à quoi ? Au regard de la Société, du voisin ? Par crainte de je ne sais quel jugement ?

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Invité Vilaine
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Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
Posté(e)
il y a 16 minutes, Pasadena a dit :

Vous apportez par cette anecdote du SDF la confirmation qu'il n'y a pas de règle.

Ensuite, 50 ans, ce n'est pas encore un âge à se faire enterrer :rolle:. Ni 60 ni 70. J'ai connu des pères tardifs de progénitures heureuses et qui savaient combler leurs jeunes épouses.  

Si l'on considère que ne pas avoir fondé de famille à 50 ans n'est pas normal, c'est au regard d'une norme communément admise, d'un conditionnement. On peut être célibataire à cet âge-là, et sans enfants, sans toutefois se sentir en échec par rapport à cette norme-là.

Par ailleurs, faut-il regretter de ne pas vivre la vie pour laquelle on ne se sent pas fait ? Et le regretter par rapport à qui, à quoi ? Au regard de la Société, du voisin ? Par crainte de je ne sais quel jugement ?

Ce n’est pas une question de norme sociale, ni même de norme culturelle. La nature est là pour rappeler que oui, l’âge importe. Non, on ne peut plus enfanter après 50 ans. Non, à 50 ans, on n’a plus la force physique et psychologique de canaliser l’énergie débordante de jeunes enfants (et quand bien même on l’aurait, cela ne dure pas).

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Membre, 156ans Posté(e)
Pasadena Membre 129 messages
Baby Forumeur‚ 156ans‚
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il y a 30 minutes, Vilaine a dit :

Ce n’est pas une question de norme sociale, ni même de norme culturelle. La nature est là pour rappeler que oui, l’âge importe. Non, on ne peut plus enfanter après 50 ans. Non, à 50 ans, on n’a plus la force physique et psychologique de canaliser l’énergie débordante de jeunes enfants (et quand bien même on l’aurait, cela ne dure pas).

Enfanter non. Mais on peut être père très tard (ex. Chaplin). Quant à canaliser l'énergie débordante de jeunes enfants, on peut avoir du mal avec ça à 25 ans... !

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 842 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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Perso, quand devenue libre après des années de vie à deux, je ne comprends pas qu'une femme puisse rechercher un mec pour recommencer le cycle...ça m'étonneras toujours!

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