Une magistrate en procès pour le mur des cons

https://www.mediapart.fr/journal/france/041218/une-magistrate-en-proces-pour-le-mur-des-cons?onglet=full

Un procès à tiroirs s’ouvre ce mardi devant le tribunal correctionnel de Paris. La magistrate Françoise Martres doit être jugée, pendant quatre journées d’audience, en tant qu’ancienne présidente, entre 2013 et 2015, du Syndicat de la magistrature (SM), pour répondre du délit d’« injure publique » dans l’affaire dite du « mur des cons ».

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La France est une grande démocratie . Nul n’est à l’abri de son bras séculier.

Sans déc, ils n'ont rien d'autre à foutre.

Vaut-il mieux être sourd que d' entendre cela, parce que dépasser le mur du con et s' étonner que cela fasse grand bruit...

il y a une heure, Mite_Railleuse a dit :

Sans déc, ils n'ont rien d'autre à foutre.

Pourquoi les magistrats ont des droits que d’autres n’ont pas ?

Ou alors selon ce qu’il y a à faire certains délits n’en sont plus ?

Il y a une procédure pour prioriser ?

https://www.europe1.fr/societe/laffaire-du-mur-des-cons-a-nouveau-devant-la-justice-ca-navait-aucune-vocation-a-etre-public-3813296.amp

Un "exutoire". "Il y a cette dimension d'exutoire dans cette période extrêmement dure politiquement, où l'on entend 'le juge doit payer' ou 'le juge est du côté des assassins'. Autant d'expressions qui créent une exaspération très forte, qui va s'exprimer dans la constitution de cet affichage. Surtout, ça n'avait aucune vocation à être public", se défend Laurence Blisson, secrétaire générale du Syndicat de la magistrature, au micro d'Europe 1. À l'époque, le Front national et l'UMP s'étaient emparés du sujet pour relancer le débat sur l'indépendance des magistrats.

"Très drôle et très triste". Parmi les photos se trouvaient un certain nombre d'élus de droite, dont Nicolas Sarkozy, Patrick Balkany ou Eric Woerth, des journalistes, des intellectuels, mais aussi deux parents de victimes. Parmi eux figure Jean-Pierre Escarfaille, père de Pascale Escarfaille, victime de Guy George. Il avait été épinglé sur le "mur des cons" car il avait milité pour faire voter la rétention de sûreté, qui permet d'enfermer quelqu'un considéré comme dangereux, y compris après qu'il ait purgé sa peine de prison.

"C'est à la fois très drôle et très triste. Très drôle parce que le terme 'mur des cons', ça me rappelait mes années de collège. C'est enfantin, et c'est d'ailleurs ce qu'a dit la présidente pour se justifier. Mais on n'attend pas d'un juge que ce soit un enfant. Je suis aussi très triste, car le fait que des magistrats puissent se permettre quelque chose comme ça est totalement invraisemblable. Ça implique une partialité, et un magistrat, par définition, doit être impartial", estime-t-il sur notre antenne.

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Non mais c’est vrai quoi sans déc @Mite_Railleuse on a rien d’autre à foutre ?

il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

https://www.mediapart.fr/journal/france/041218/une-magistrate-en-proces-pour-le-mur-des-cons?onglet=full

 

Un procès à tiroirs s’ouvre ce mardi devant le tribunal correctionnel de Paris. La magistrate Françoise Martres doit être jugée, pendant quatre journées d’audience, en tant qu’ancienne présidente, entre 2013 et 2015, du Syndicat de la magistrature (SM), pour répondre du délit d’« injure publique » dans l’affaire dite du « mur des cons ».

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La France est une grande démocratie . Nul n’est à l’abri de son bras séculier.

C'est plus un mur...c'est la grande muraille de Chine !

Offrons lui la legion d'honneur !

il y a 7 minutes, DroitDeRéponse a dit :

https://www.europe1.fr/societe/laffaire-du-mur-des-cons-a-nouveau-devant-la-justice-ca-navait-aucune-vocation-a-etre-public-3813296.amp

Un "exutoire". "Il y a cette dimension d'exutoire dans cette période extrêmement dure politiquement, où l'on entend 'le juge doit payer' ou 'le juge est du côté des assassins'. Autant d'expressions qui créent une exaspération très forte, qui va s'exprimer dans la constitution de cet affichage. Surtout, ça n'avait aucune vocation à être public", se défend Laurence Blisson, secrétaire générale du Syndicat de la magistrature, au micro d'Europe 1. À l'époque, le Front national et l'UMP s'étaient emparés du sujet pour relancer le débat sur l'indépendance des magistrats.

Entendu sur europe1 :

On n'attend pas d'un juge que ce soit un enfant

 

"Très drôle et très triste". Parmi les photos se trouvaient un certain nombre d'élus de droite, dont Nicolas Sarkozy, Patrick Balkany ou Eric Woerth, des journalistes, des intellectuels, mais aussi deux parents de victimes. Parmi eux figure Jean-Pierre Escarfaille, père de Pascale Escarfaille, victime de Guy George. Il avait été épinglé sur le "mur des cons" car il avait milité pour faire voter la rétention de sûreté, qui permet d'enfermer quelqu'un considéré comme dangereux, y compris après qu'il ait purgé sa peine de prison.

"C'est à la fois très drôle et très triste. Très drôle parce que le terme 'mur des cons', ça me rappelait mes années de collège. C'est enfantin, et c'est d'ailleurs ce qu'a dit la présidente pour se justifier. Mais on n'attend pas d'un juge que ce soit un enfant. Je suis aussi très triste, car le fait que des magistrats puissent se permettre quelque chose comme ça est totalement invraisemblable. Ça implique une partialité, et un magistrat, par définition, doit être impartial", estime-t-il sur notre antenne.

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Non mais c’est vrai quoi sans déc @Mite_Railleuse on a rien d’autre à foutre ?

J'ai le droit de penser que c'est une tempête dans un verre d'eau, ou bien ?

il y a 10 minutes, zenalpha a dit :

C'est plus un mur...c'est la grande muraille de Chine !

Offrons lui la legion d'honneur !

Oui mais il manquait des parents de victimes . 2 c’est pas assez 

il y a 5 minutes, Mite_Railleuse a dit :

J'ai le droit de penser que c'est une tempête dans un verre d'eau, ou bien ?

Non c’est pas une tempête . Un procès comme tant d’autres . Il y a eu faute , il y a procès . Donc penser ce que vous voulez , mais non il n’y a pas mieux à faire . La justice n’a pas à faire d’exception surtout quand un magistrat injurie le père d’une victime .

 « Avant d’ajouter un con, vérifiez qu’il n’y est pas déjà », précise, en lettres capitales, ce trombinoscope potache, véritable « défouloir » des années Sarkozy !

  Dans le local (privé) du Syndicat de la magistrature (SM) on voit un panneau satirique nommé  « mur des cons » et rempli de photos de personnalités, des élus de droite surtout, parmi lesquels Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux, Nadine Morano ou Patrick Balkany ; quelques-uns de gauche aussi, comme Manuel Valls ; des idéologues d’extrême droite comme Éric Zemmour, Alain Soral ou le futur maire de Béziers (soutenu par le FN) Robert Ménard,Gargamel, Dark Vador  …

L’ex-présidente du Syndicat de la magistrature comparaît pour « injures publiques » ? 

Et qui a rendu public ce panneau satirique ?  « Il y a une dimension satirique, exutoire, ludique », assure la magistrate. « Sur ce mur, il y a aussi Gargamel, Dark Vador, c’est quelque chose de complètement hétéroclite ». « On pourra dire que c’est des gamineries, que c’est de très mauvais goût, mais nous n’avons jamais voulu donner une publicité » à ce trombinoscope ...

Faut-il censurer les "CONS" ou la connerie ?