Faire le tri parmi ses amis

il y a une heure, eclipsepartielle a dit :

Est-ce que l'on doit fermer la porte à ses amis lorsqu'on s'aperçoit que nos idées sont à l'opposé ?

Lorsqu'on revendique l'humanité et que certains de nos amis (ou membres de notre famille) sont intolérants ?

Parfois ça m'agace tellement de les entendre que j'ai envie de couper les ponts…..mais il y a tellement peu de gens humains que j'ai aussi peur de me retrouver seule.

Je me demande si je ne dois pas plutôt éviter certains sujets de conversation. 

Mais alors, qu'est-ce qu'un ami ?

Surtout ne pas confondre ami et relation sociale, ami et famille, ami et collègues. La évidemment le tri s'impose, combien se disent tes amis, et ce n'est pas du tout le cas, par ce qu'ils t'envient, te jalousent, veulent profiter de toi, voir abuser, les flatteurs vivent au détriment de ceux qui les écoutent. Là évidemment un tri drastique ne peut que se faire, d'ailleurs il s'impose. Même dans la famille.  Après évidemment on se trouve un peu seul, c'est vrai mais c'est pas un mal bien au contraire, ça t’ôte toute les échardes, les épines du pied qui vont t’empêcher d'avancer et te permettre de trouver enfin de vrais amis, par ce que tu saura les trouver ou que eux vont te trouver. 

il y a 22 minutes, Promethee_Hades a dit :

e toutes nos fréquentations même des pires il y a toujours moyen de s'enrichir, d'évoluer, ne serait ce que par les questionnement qui se posent à nous.

Certainement, surtout les pires, mais il y a un temps pour tout.

Arrive un moment ou les autres nous empechent d'évoluer tel un boulet a nos pieds, ils nous contaminent, nous empoisonnent.

C'est la vie en société, peu propice, et de moins en moins, a l'élévation spirituelle.

Bien sur il y a des personnes pas désagréables mais de celles qui nous élèvent, il y en a trés peu.

Quand on est forcé de cotoyer des collégues de travaille, le plus souvent on fait bonne figure mais on reste trés souvent en dessous de nous meme.

il y a 29 minutes, hell-spawn a dit :

Certainement, surtout les pires, mais il y a un temps pour tout.

Arrive un moment ou les autres nous empechent d'évoluer tel un boulet a nos pieds, ils nous contaminent, nous empoisonnent.

C'est la vie en société, peu propice, et de moins en moins, a l'élévation spirituelle.

Bien sur il y a des personnes pas désagréables mais de celles qui nous élèvent, il y en a trés peu.

Quand on est forcé de cotoyer des collégues de travaille, le plus souvent on fait bonne figure mais on reste trés souvent en dessous de nous meme.

A les collègues de travail, surtout quand il vous importune avec le sport, le cho biz, etc... c'est vrai que là, c'est le vide sidéral chez moi, j'ai rien à leur amener, sans compter que ça m'importune au plus haut point. Et le mec qui est parti à l'autre bout du monde dans un club de vacances organisé et qui n'a pas du tout été vivre au milieu des indigènes ça me gonfle, mais ça me gonfle, tu peux pas imaginer.  Alors qu'il y a tant à partager avec ces gens, j'ai l'impression qu'il rate sa vie. 

Pour le boulet au pied je comprends aussi, je suis passé par là, je prends ça comme un handicap, par ce que je suis probablement à tord meilleur que lui, faut me mettre un  handicap ( dont ces boulets ) pour la course de la vie. 

La vie c'est une courbe en cloche de Gauss, d'un coté tu as les plus nul, ils sont très peu, et ne peuvent se comprendre qu'entre eux,  puis après tu as le plus grand nombre bien c'est ainsi, ils sont comme ils sont, font ce qu'ils peuvent, comme ils peuvent sont moyennement heureux, mais ne demandent pas la lune, puis tu l'autre coté ou alors il y en a très peu aussi, alors eux faut les comprendre, par ce que s'ils te comprennent c'est pas évident de les suivre. Ce qui est important c'est de savoir se situer dans cette courbe en toute modestie, et on peut avoir une idée de la quantité de gens avec on peut avoir une bonne entente. 

il y a 4 minutes, Promethee_Hades a dit :

A les collègues de travail, surtout quand il vous importune avec le sport, le cho biz, etc... c'est vrai que là, c'est le vide sidéral chez moi, j'ai rien à leur amener, sans compter que ça m'importune au plus haut point. Et le mec qui est parti à l'autre bout du monde dans un club de vacances organisé et qui n'a pas du tout été vivre au milieu des indigènes ça me gonfle, mais ça me gonfle, tu peux pas imaginer.  Alors qu'il y a tant à partager avec ces gens, j'ai l'impression qu'il rate sa vie. 

Pour le boulet au pied je comprends aussi, je suis passé par là, je prends ça comme un handicap, par ce que je suis probablement à tord meilleur que lui, faut me mettre un  handicap ( dont ces boulets ) pour la course de la vie. 

La vie c'est une courbe en cloche de Gauss, d'un coté tu as les plus nul, ils sont très peu, et ne peuvent se comprendre qu'entre eux,  puis après tu as le plus grand nombre bien c'est ainsi, ils sont comme ils sont, font ce qu'ils peuvent, comme ils peuvent sont moyennement heureux, mais ne demandent pas la lune, puis tu l'autre coté ou alors il y en a très peu aussi, alors eux faut les comprendre, par ce que s'ils te comprennent c'est pas évident de les suivre. Ce qui est important c'est de savoir se situer dans cette courbe en toute modestie, et on peut avoir une idée de la quantité de gens avec on peut avoir une bonne entente. 

Le simple fait de ne pas pouvoir se retrouver seul avec soi-meme est pénalisant pour évoluer.

Je ne crois pas que l'on puisse évoluer dans le bonheur, ce sont les déceptions qui nous obligent a penser en profondeur en perdant une a une toutes nos illusions.

moi j'ai fait le tri. j'ai viré tout le monde. amis et famille, contact Facebook etc.. j'ai estimé que j’étais mieux seul que d’être en compagnie d'hypocrite.. et je le vis très bien

il y a 7 minutes, hell-spawn a dit :

Le simple fait de ne pas pouvoir se retrouver seul avec soi-meme est pénalisant pour évoluer.

Je ne crois pas que l'on puisse évoluer dans le bonheur, ce sont les déceptions qui nous obligent a penser en profondeur en perdant une a une toutes nos illusions.

 

C'est étrange tout de même de vouloir à tout prix évoluer en pensant que l'on va perdre ses "illusions" ? Si c'est ça, et pour moi ça ne l'est pas, je crois alors que je préférerais être une "imbécile heureuse", qu'une "évoluée omnisciente"...

il y a 9 minutes, Mite_Railleuse a dit :

C'est étrange tout de même de vouloir à tout prix évoluer en pensant que l'on va perdre ses "illusions" ? Si c'est ça, et pour moi ça ne l'est pas, je crois alors que je préférerais être une "imbécile heureuse", qu'une "évoluée omnisciente"...

Tout est illusion nous disent les grands spirituels, y compris ce que nous croyons etre nous memes.

Peut etre pas au sens matériel, mais plutot que plus on cherche, moins on trouve ce que l'on cherche, tout échappe, et ce que l'on réalise c'est la vacuité.

Je ne sais pas si on peut etre heureux dans l'illusion, possible un certain temps, mais gaffe a la réincarnation.

il y a 15 minutes, hell-spawn a dit :

Tout est illusion nous disent les grands spirituels, y compris ce que nous croyons etre nous memes.

Peut etre pas au sens matériel, mais plutot que plus on cherche, moins on trouve ce que l'on cherche, tout échappe, et ce que l'on réalise c'est la vacuité.

Je ne sais pas si on peut etre heureux dans l'illusion, possible un certain temps, mais gaffe a la réincarnation.

 

Je ne crois pas en la réincarnation, alors je me dis qu'autant essayer de vivre le moins mal possible avec la seule vie que nous connaissons : la nôtre, ici et maintenant...

Il y a 2 heures, Mite_Railleuse a dit :

Vous reprendrez bien un peu d'humilité dans votre paradigme...

Bien entendu...juste une petite goutte avant de partir en ce cas ! 

il y a 8 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Je ne crois pas en la réincarnation, alors je me dis qu'autant essayer de vivre le moins mal possible avec la seule vie que nous connaissons : la nôtre, ici et maintenant...

Moi non plus je ne suis pas sur d'y croire mais c'est pour moi la seule doctrine qui donnerait un peu de cohérence a l'existence.

Vivre le mieux possible, oui c'est toujours de ça qu'il s'agit.

il y a 52 minutes, hell-spawn a dit :

Le simple fait de ne pas pouvoir se retrouver seul avec soi-meme est pénalisant pour évoluer.

Je ne crois pas que l'on puisse évoluer dans le bonheur, ce sont les déceptions qui nous obligent a penser en profondeur en perdant une a une toutes nos illusions.

 

C'est bien pour ça que toute ma vie, j'ai cherché la solitude dans la montagne, je partais régulièrement afin de me trouver, ou retrouvé et méditer sur la vie. Par ce que c'est pas quand est est pris par le maelstrom que l'on peut vraiment réfléchir, on agit , la réflexion est superficielle, mais jamais en profondeur.  En plus qu'est ce qu'on es bien seul, un vrai bonheur enfin pour moi. Puis on peut expérimenter des expériences.

On peut bien mieux évoluer dans le bonheur que dans le malheur car ce dernier bloque ou détruit, alors que le premier endort, mais suffit d'ouvrir les yeux aussi. Les enfant de milieu défavoriser grandissant dans la souffrance en général, ne font rien, le malheur, la souffrance n'est pas une aide en soit, son utilité est la prise de conscience comme de savoir le relativiser pour s'en sortir. 

Il y a 2 heures, querida13 a dit :

Certes, mais  dans la vie, il faut bien que certains cèdent la place pour que de nouveaux arrivent!

 Mais désormais, il est si facile grâce à des sites spécialisés payants ou non de ne pas perdre le contact!

Oui mais le problème c'est que j'ai de l'affection pour mes faux amis

il y a 41 minutes, hell-spawn a dit :

Tout est illusion nous disent les grands spirituels, y compris ce que nous croyons etre nous memes.

Peut etre pas au sens matériel, mais plutot que plus on cherche, moins on trouve ce que l'on cherche, tout échappe, et ce que l'on réalise c'est la vacuité.

Je ne sais pas si on peut etre heureux dans l'illusion, possible un certain temps, mais gaffe a la réincarnation.

 

Penons pour axiome la réalité de la réincarnation, c'est pas plus idiot qu'autre chose, c'est pas par ce que nous avons des vies à l'infini, qu'il faille rater celle que l'on a aujourd'hui car cette vie est unique nous en avons une seule et faut la vivre à fond, pour celle d'avant c'est passé, pour celle à venir bien on verra, et faudra les affronter aussi. 

il y a 4 minutes, Promethee_Hades a dit :

On peut bien mieux évoluer dans le bonheur que dans le malheur car ce dernier bloque ou détruit, alors que le premier endort, mais suffit d'ouvrir les yeux aussi. Les enfant de milieu défavoriser grandissant dans la souffrance en général, ne font rien, le malheur, la souffrance n'est pas une aide en soit, son utilité est la prise de conscience comme de savoir le relativiser pour s'en sortir. 

La souffrance engendre (parfois) la réflexion sur la souffrance.

Perdre ses illusions une a une conduit finalement au détachement, c'est a ça que les plus évolués arrivent, certes peut etre un peu plus vite par la méditation plus ou moins transcendantale.

il y a 2 minutes, Promethee_Hades a dit :

c'est pas par ce que nous avons des vies à l'infini, qu'il faille rater celle que l'on a aujourd'hui car cette vie est unique nous en avons une seule et faut la vivre à fond, pour celle d'avant c'est passé, pour celle à venir bien on verra, et faudra les affronter aussi. 

Si la réincarnation est une réalité, il est cohérent de croire que chaque incarnation consiste a progresser sur le plan spirituel.

Vivre a fond ou vivre en apprenant a perdre ses illusions, aprés tout ça peut etre identique.

Il faut etre passionné en tout cas pour pouvoir etre déçu.

il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

La souffrance engendre (parfois) la réflexion sur la souffrance.

Perdre ses illusions une a une conduit finalement au détachement, c'est a ça que les plus évolués arrivent, certes peut etre un peu plus vite par la méditation plus ou moins transcendantale.

Tu ne peux réfléchir que sur ce que tu connais, comment penser à la souffrance si nul ne la connait, comment comprendre le bonheur si tu l'ignore. 

Après bien oui faut savoir se détacher des illusions, c'est certains surtout que les illusions sont génératrices de souffrances inutiles. 

il y a 1 minute, Promethee_Hades a dit :

Tu ne peux réfléchir que sur ce que tu connais, comment penser à la souffrance si nul ne la connait, comment comprendre le bonheur si tu l'ignore. 

Ce n'est pas bien  difficile d'éprouver de la souffrance, pour certains elle est trés familière.

Le bonheur on en a tous un idéal, déçu ou pas, et puis ça se comprend pas, contrairement a la souffrance.

il y a 10 minutes, eclipsepartielle a dit :

Oui mais le problème c'est que j'ai de l'affection pour mes faux amis

Ça c'est la vie, mais faut savoir être lucide et pas dupe, l'affection oui très bien, mais pour le reste savoir  aussi prendre ses distances aussi. 

Des amis, des gens avec lesquels on a tissé des liens de confiance, comme le disent si bien Prométhée et Yokkie, dans les moments simples et clairs de nos vies . Aussi dans les épreuves et les doutes : ils sont là !

On a tous vécu aussi ces moments intenses de très grande proximité avec des inconnus avec qui on s'est permis de parler à coeur ouvert, on s'est dévoilé comme on ne l'aurait fait avec personne ! Auto stop,  petite copine, ce gars au resto, en voyage ... Des moments qui restent forts dans notre mémoire ! Même quelques discussions, ici, sur le site !

C'est la qualité de la relation, en ce moment présent, qui compte, que l'on colle l'étiquette ami ou pas ...

Alors s'entourer de casses pieds qui parfois survivent grâce à la gène qu'ils causent, non merci !

Et puis il y a un autre aspect ... La solitude .

Qu'est-ce qu'on en fait ? Est-elle douloureuse, subie ou choisie ? Apprivoisée ? Et quelle place laisse-t-on aux autres ? C'est une réponse très perso . Chacun fait comme il peut .

Ces doux moments, c'est juste le sel de la vie .

il y a 2 minutes, hell-spawn a dit :

Ce n'est pas bien  difficile d'éprouver de la souffrance, pour certains elle est trés familière.

Le bonheur on en a tous un idéal, déçu ou pas, et puis ça se comprend pas, contrairement a la souffrance.

On ne comprends pas ce que l'on refuse de comprendre, certains cherchent à le comprendre, les réponses sont sordides, surtout pour un idéaliste.