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Italie: Desirée, ado droguée, violée et tuée par des migrants

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PASCOU

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Plouj a dit :

Je pensais qu'en France, on ne considérait plus les femmes comme du bétail, mais apparemment tu n'es pas d'accord !

Nous parlions d'excisions et autres barbaries importées, infibulation, tu en veux d'autres ?

http://www.aly-abbara.com/livre_gyn_obs/termes/mutilation_sexuelles_feminines.html

http://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/female-genital-mutilation

Quelle population est exposée?

Les mutilations sexuelles sont pour la plupart pratiquées sur des jeunes filles entre l'enfance et l'adolescence et à l'occasion sur des femmes adultes. Plus de 3 millions de jeunes filles par an sont menacées par ces pratiques.

Plus de 200 millions de jeunes filles et de femmes sont victimes de mutilations sexuelles pratiquées dans 30 pays africains et du Moyen Orient où ces pratiques sont concentrées.

Cette pratique est la plus commune dans l'ouest, l'est et le nord-est de l'Afrique, dans certains pays d'Asie et au Moyen-orient, ainsi que dans certaines communautés d'immigrants en Amérique du Nord et en Europe. C'est donc un problème mondial.

A l'OMS ils racontent des bêtises, ce sont de vilains racistes ... !!

 

Des jeunes filles brûlées vives, je l'ai vu en Arabie, il y a longtemps, interdiction de sortir car non voilées.. Elles ont brulé !

Je ne fais ni amalgames ni généralités, j'ai largement assez voyagé dans le monde pour savoir qu'il y a des cons partout !

La différence ? Il reste énormément d'endroits où les traditions et les religions n'évoluent pas et tout cela voyage et s'installe sans aucune restriction, ailleurs !

En Floride, une fillette de 11 ans forcée d'épouser son violeur qui l'a mise enceinte, un cas loin d'être isolé

Repéré par Mathilde Dumazet  31 mai 2017 à 10h36 — mis à jour le 1 juin 2017 à 10h42

Aux États-Unis, environ 200.000 jeunes de moins de 18 ans sont mariés chaque année, souvent pour cacher des viols passés... et futurs, car c'est l'un des seuls moyens de contourner les poursuites judiciaires liées à la majorité sexuelle de l'enfant.

Julie Gayet, Alexandre Astier et Adèle Gasparov dans 14 millions de cris, court métrage réalisé par Lisa Azuelos
Julie Gayet, Alexandre Astier et Adèle Gasparov dans 14 millions de cris, court métrage réalisé par Lisa Azuelos
 

Plus de 700 millions de femmes en vie aujourd’hui ont été mariées de manière plus ou moins formelle avant l’âge de 18 ans. Selon l’association Filles, pas épouses, dans les pays en développement, cela représente une fille sur trois. À l'échelle de la planète, le phénomène concerne 15 millions de femmes par an. Soit une fille de moins de 18 ans mariée toutes les deux secondes.

«Les législateurs doivent comprendre que le mariage des mineurs est dévastateur au Niger et en Afghanistan –mais aussi à New-York et en Floride», écrit Nicholas Kristof (deux fois prix Pulitzer) dans les colonnes du New York Times. Aux États-Unis, le nombre de mineur-e-s marié-e-s avant l’âge de 18 ans est loin d’être aussi élevé que dans les pays en voie de développement. Mais en Floride par exemple, on atteint quand même une moyenne d’un mariage tous les deux ou trois jours.

 

 

Parmi ces jeunes épouses se trouve Sherry Johnson. En 1972, celle-ci a été mariée à l'âge de 11 ans à un membre de son église, de neuf ans son aîné, qui l’avait violée. Quand les autorités pour la protection de l’enfance commencent à enquêter au sujet de la grossesse de l’enfant, la famille décide de la marier «pour éviter les poursuites judiciaires». Nicholas Kristof raconte qu’un premier représentant de l’État refuse de célébrer l’union d’une jeune fille de 11 ans avec un homme de 20 ans. Dans la ville d’à côté, aucun problème.

Plus de la moitié des États fédéraux n’imposent pas d’âge minimum aujourd'hui. En dessous de 15 ans, l’accord d’un juge est nécessaire. En dessous de 18 ans, le consentement de l’un des deux parents suffit. Idem en France, le procureur de la République peut accorder «des dispenses d’âge pour des motifs graves» (par motifs graves, on entend le plus souvent grossesse de la future épouse) et l’un des deux parents doit donner son autorisation pour qu’un-e mineur-e puisse se marier.

Mariage des mineurs, mariages forcés et majorité sexuelle

Aux États-Unis, les opposants aux lois qui visent à relever l’âge minimum légal pour se marier estiment que cela augmenterait les naissances hors-mariage et soulignent que «beaucoup de ces unions se font dans le consentement mutuel des époux». L’association Unchained at Last n’est pas tout à fait d’accord… Pour ses représentants, c’est précisément car les enfants sont jeunes qu’ils ou elles ont peur de résister à la pression familiale. De fait, la plupart des mariages de mineur-e-s cacheraient des unions forcées.

En France, il est difficile d’établir le nombre de mariages forcés, souvent confondus avec le nombre de mariages de mineur-e-s ou avec celui des filles menacées de mariage forcé. La confusion est souvent renforcée par le fait que les mineur-e-s marié-e-s sont parfois en dessous de ce qu’on appelle la majorité sexuelle, soit l’âge minimum à partir duquel un-e adolescent-e peut avoir des relations sexuelles consenties avec un-e adulte sans que celui ou celle-ci ne soit poursuivi-e.

La majorité sexuelle est fixée par la loi française à 15 ans, les lois américaines varient entre 16 et 18 selon les États, soit plus que l’âge légal pour se marier dans la plupart des cas. Hors-mariage, on considererait donc que l’enfant n’est pas en mesure de donner son consentement, mais l’union «légalise le viol», analyse Nicholas Kristof. Et en effet, dans les différents témoignages recueillis par le journaliste du New York Times, les mineures interrogées ont souvent été mariées pour cacher un viol antérieur… et légaliser tous les viols futurs.

 

http://www.slate.fr/story/146328/monopole-mariages-mineurs

 
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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 054 messages
70ans‚ Voyageur,
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il y a 59 minutes, jacky29 a dit :

pourquoi? tu as été violé à l'âge de 17 ans? tu as entendu un connard te dire: "si tu cries, je t'écrase la gueule!", as-tu senti deux doigts s'enfoncer en griffant tes lèvres, les petites et les grandes, pour entrer dans ton vagin sec? puis pour s'amuser, te montrer ton sang dessus? et pour finir te gifler parce que cela l'amuse juste avant de te défoncer? dis-le moi, plouj? c'est sûr, cela te concerne vraiment?  

Inutile de crier, tu mélanges tout dans ta colère  ton viol, les mutilations ..

Tu es la seule au monde à avoir été violée.. Une seule fois ? tu en as de la chance !

Ma femme, c'est plusieurs fois, la première à 13 ans, une autre fois avec un couteau sous la gorge tenu par un arabe, une autre encore par un gentil pakistanais qui ne la lâchait plus !!

Mais c'est de sa faute hein, elle est jolie et c'est elle qui les attire .. Tu connais tout ça toi  ??

C'est d'une grande intelligence de faire un concours sur celle qui sera violée la plus méchamment ?

Ben t'as pas gagné !

Lorsque l'on ne connait pas la vie des autres, on essaie de ne pas jouer les plus grosses victimes !

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 030 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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il y a une heure, jacky29 a dit :

pourquoi? tu as été violé à l'âge de 17 ans? tu as entendu un connard te dire: "si tu cries, je t'écrase la gueule!", as-tu senti deux doigts s'enfoncer en griffant tes lèvres, les petites et les grandes, pour entrer dans ton vagin sec? puis pour s'amuser, te montrer ton sang dessus? et pour finir te gifler parce que cela l'amuse juste avant de te défoncer? dis-le moi, plouj? c'est sûr, cela te concerne vraiment?  

Ouch... sans être concerné(e) ou avoir vécu, je pense que l'on peut entendre la colère et compatir sincèrement. J'espère que vous êtes entourée jacky et que vous pouvez de tant à autre décharger votre sac. 

Et en attendant des has been, en mal de notoriété, clament que : "que l'on peut éprouver du plaisir à être violée" ou "que l'on peut guérir d'un viol, et qu'elle aimerait avoir été violée, afin de le prouver". Cela fiche la nausée. 

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
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Il y a 20 heures, Léna-Postrof a dit :

Le Conseil de l'Europe s'est positionné en contre en 2013, invitant par la même, à prendre des mesures contre les violations de l'intégrité physique des enfants (ce qui vaut aussi bien sûr pour l'excision). Le président Hollande, suite à des polémiques, et analogie entre excision et circoncision (injustifiée et calomnieuse selon les instances religieuses), a rassuré tout ce petit monde en annonçant qu'il n'était pas question de remettre en cause la circoncision. Il semblerait qu'elle soit toujours tolérée, ainsi le "droit à l'éducation religieuse" prévaut officieusement sur les droits de l'enfant. 

c'est très malheureux, car en interdisant et en disant le pourquoi, on arrive à changer les mentalités avec le temps, beaucoup de temps... le gros problème est le "religieux" dans ce cas et le poids des traditions à la con.

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)
Il y a 19 heures, Léna-Postrof a dit :

Ouch... sans être concerné(e) ou avoir vécu, je pense que l'on peut entendre la colère et compatir sincèrement. J'espère que vous êtes entourée jacky et que vous pouvez de tant à autre décharger votre sac. 

Et en attendant des has been, en mal de notoriété, clament que : "que l'on peut éprouver du plaisir à être violée" ou "que l'on peut guérir d'un viol, et qu'elle aimerait avoir été violée, afin de le prouver". Cela fiche la nausée. 

cela s'est passé il y a longtemps, quand je suis rentrée chez moi, je n'ai rien dit, ni à ma soeur ni à mes parents...ni à personne... nous étions dans les années 70, quand on repense au courage des femmes et des jeunes filles qui allaient porter plainte... je ne l'ai pas eu.  

j'en ai parlé alors que j'approchais de mes 40 ans un soir où un "ami" dégoisait sur le "viol". c'est sorti d'un coup et il a bien compris que la porte, s'il continuait à dire n'importe quoi, était ouverte. le plus drôle est que pendant des années, je n'y ai plus pensé... j'avais mis tout cela de côté, comme un tiroir secret que l'on referme et que l'on oublie... il a fallu l'âge aidant pour que durant un examen gynécologique, avec ce que cela comporte, la même douleur revienne... c'est bien simple, j'ai failli foutre une baffe à la médecin.

c'est pourquoi, léna, je suis un peu soupe au lait dès que l'on amorce des discussions sur la violence faite aux femmes!

ma dernière aventure sexuelle a été en 98. j'étais dans ma 45ème année.  

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 030 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 1 heure, jacky29 a dit :

c'est très malheureux, car en interdisant et en disant le pourquoi, on arrive à changer les mentalités avec le temps, beaucoup de temps... le gros problème est le "religieux" dans ce cas et le poids des traditions à la con.

Il y aura toujours des individus qui resteront dans la stricte observance des textes, même en interdisant. La réaction des religieux à l'interdiction n'a pas été d'abonder en son sens et se soumettre à l'autorité, non, davantage de la remettre en question, de protester. La religion surpasse pour eux, la justice, la religion surpasse tout. Ce qui est gravissime évidemment, c'est que ces textes servent la parole d'hommes d'il y a des siècles, et des individus n'acceptent pas de prendre le recul nécessaire et de vivre en adéquation avec notre époque. Les traditions à la con, oui, c'est peu de le dire... Le problème est insoluble, tant que les religions subsisteront, donc sans doute à jamais. 

il y a une heure, jacky29 a dit :

cela s'est passé il y a longtemps, quand je suis rentrée chez moi, je n'ai rien dit, ni à ma soeur ni à mes parents...ni à personne... nous étions dans les années 70, quand on repense au courage des femmes et des jeunes filles qui allaient porter plainte... je ne l'ai pas eu.  

j'en ai parlé alors que j'approchais de mes 40 ans un soir où un "ami" dégoisait sur le "viol". c'est sorti d'un coup et il a bien compris que la porte, s'il continuait à dire n'importe quoi, était ouverte. le plus drôle est que pendant des années, je n'y ai plus pensé... j'avais mis tout cela de côté, comme un tiroir secret que l'on referme et que l'on oublie... il a fallu l'âge aidant pour que durant un examen gynécologique, avec ce que cela comporte, la même douleur revienne... c'est bien simple, j'ai failli foutre une baffe à la médecin.

c'est pourquoi, léna, je suis un peu soupe au lait dès que l'on amorce des discussions sur la violence faite aux femmes!

ma dernière aventure sexuelle a été en 98. j'étais dans ma 45ème année.  

Je comprends bien que le sujet soit pour vous très sensible, ne vous en faites pas pour cela. Ne pas porter plainte n'est pas un manque de courage, à mon sens, mais j'ai compris l'idée. Toutes les femmes n'ont pas la même sensibilité, le même entourage, les époques sont toutes différentes et les mentalités qui s'y accordent, également. Aujourd'hui, avec un phénomène comme la libération de la parole des femmes, il y a une prise de conscience collective (et même s'il reste encore du chemin à faire). Si les victimes sont toujours blâmées, celles-ci sont davantage encouragées à porter plainte. C'est ensuite plus ou moins bienveillant. Certains y vont à grands renforts d'injonctions aussi, et humainement parlant, c'est à se demander comment une mentalité si dégouttante, et avec tout ce que nous savons, peut être possible encore en 2018. 

Le psychisme a ses secrets et vous aviez enfoui pendant toutes ces années ce qui est source de douleur, de frayeur, c'est ce que le vieux Freud aurait appelé un mécanisme de défense. Tout a ressurgi suite à une conversation au sujet du viol et puis lors d'un examen gynécologique douloureux. Logique, mais néanmoins impossible à vivre depuis, barrière à une vie sexuelle épanouie, si non, normale. Vous pourriez en discuter, non pas avec des indigents, davantage avec un professionnel voire d'autres victimes (groupes de discussion). 

 

Au sujet de cette jeune fille, violée, partie trop tôt, celle-ci consommait, semble t-il beaucoup de drogues. Elle était connue des services sociaux d'abord, de la justice ensuite, elle a dealé et récidivé plusieurs fois. C'est une véritable descente aux enfers. Le social et la justice ont échoué. La préoccupation du gouvernement devrait être, aussi, à mon sens, la drogue, une des causes de mortalité première chez les jeunes, qui n'ont (plus) rien. Le viol ne doit absolument pas être toléré évidemment, et les violeurs empêchés et punis. Axer juste sur le viol et les migrants, clandestins ou non d'ailleurs, n'est pas répondre pleinement au sujet, à mon sens. 

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Léna-Postrof a dit :

Il y aura toujours des individus qui resteront dans la stricte observance des textes, même en interdisant. La réaction des religieux à l'interdiction n'a pas été d'abonder en son sens et se soumettre à l'autorité, non, davantage de la remettre en question, de protester. La religion surpasse pour eux, la justice, la religion surpasse tout. Ce qui est gravissime évidemment, c'est que ces textes servent la parole d'hommes d'il y a des siècles, et des individus n'acceptent pas de prendre le recul nécessaire et de vivre en adéquation avec notre époque. Les traditions à la con, oui, c'est peu de le dire... Le problème est insoluble, tant que les religions subsisteront, donc sans doute à jamais. 

Je comprends bien que le sujet soit pour vous très sensible, ne vous en faites pas pour cela. Ne pas porter plainte n'est pas un manque de courage, à mon sens, mais j'ai compris l'idée. Toutes les femmes n'ont pas la même sensibilité, le même entourage, les époques sont toutes différentes et les mentalités qui s'y accordent, également. Aujourd'hui, avec un phénomène comme la libération de la parole des femmes, il y a une prise de conscience collective (et même s'il reste encore du chemin à faire). Si les victimes sont toujours blâmées, celles-ci sont davantage encouragées à porter plainte. C'est ensuite plus ou moins bienveillant. Certains y vont à grands renforts d'injonctions aussi, et humainement parlant, c'est à se demander comment une mentalité si dégouttante, et avec tout ce que nous savons, peut être possible encore en 2018. 

Le psychisme a ses secrets et vous aviez enfoui pendant toutes ces années ce qui est source de douleur, de frayeur, c'est ce que le vieux Freud aurait appelé un mécanisme de défense. Tout a ressurgi suite à une conversation au sujet du viol et puis lors d'un examen gynécologique douloureux. Logique, mais néanmoins impossible à vivre depuis, barrière à une vie sexuelle épanouie, si non, normale. Vous pourriez en discuter, non pas avec des indigents, davantage avec un professionnel voire d'autres victimes (groupes de discussion). 

 

Au sujet de cette jeune fille, violée, partie trop tôt, celle-ci consommait, semble t-il beaucoup de drogues. Elle était connue des services sociaux d'abord, de la justice ensuite, elle a dealé et récidivé plusieurs fois. C'est une véritable descente aux enfers. Le social et la justice ont échoué. La préoccupation du gouvernement devrait être, aussi, à mon sens, la drogue, une des causes de mortalité première chez les jeunes, qui n'ont (plus) rien. Le viol ne doit absolument pas être toléré évidemment, et les violeurs empêchés et punis. Axer juste sur le viol et les migrants, clandestins ou non d'ailleurs, n'est pas répondre pleinement au sujet, à mon sens. 

je plains infiniment cette pauvre gamine, j'imagine très bien ce qu'elle a du endurer avant de mourir. 

à cette époque, 1970, sachant ce que je savais, et en voyant des jeunes femmes qui avaient été quasiment moquées, stigmatisées par la police de l'époque, par leurs voisins, petits amis etc... j'ai vraiment préféré ne rien dire, je n'ai pas eu le courage de m'exposer, d'exposer ma soeur, mes parents à la saleté que beaucoup portent en eux! 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 030 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Il y a 19 heures, jacky29 a dit :

je plains infiniment cette pauvre gamine, j'imagine très bien ce qu'elle a du endurer avant de mourir. 

à cette époque, 1970, sachant ce que je savais, et en voyant des jeunes femmes qui avaient été quasiment moquées, stigmatisées par la police de l'époque, par leurs voisins, petits amis etc... j'ai vraiment préféré ne rien dire, je n'ai pas eu le courage de m'exposer, d'exposer ma soeur, mes parents à la saleté que beaucoup portent en eux! 

Elle était peut-être totalement défoncée et les violeurs tout autant. Une histoire affreuse.

Vous avez protégé votre entourage, c'est très louable, et vous vous êtes protégée comme vous l'avez pu. Vous pouvez désormais en parler, si vous en avez besoin. C'est vous qui voyez. 

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