Un restaurant parisien recrute des migrants

il y a 16 minutes, zebusoif a dit :

Tu rêves mon vieux, plus la main d'oeuvre est rare, mieux elle est payée. Et plus il y a de CV sur la table moins elle est payée. Heureusement en France on a le SMIC pour éviter que ça descende trop bas.

 

Pourtant les infirmieres sont en penuries, si j'en crois ton exemple elles devraient toucher le jackpot, et c'est pas le cas, des salaires souvent indecents.  Comme quoi offre ne rime pas avec demande sauf pour certains metiers tres rares, des exceptions ou il faut par contre une grande qualification (ce qui n'est pas donne au premier venu).

il y a une heure, The_Dalek a dit :

parfait donc exigeons la mise a mort de tous les restaurateurs puisque ce sont tous des monstres sans âme, tu sais combien ça coûte de faire tourner un resto au moins ?

 

J'avoue, moi je ne sais pas combien ça coûte. Mais un chef étoilé fera la réputation de son restaurant, ce qui permettra de se démarquer dans ce milieu, qui, il faut le reconnaître est ultra compétitif.

En fait, j'ai juste l'impression que pour survivre, il faut être...bon. C'est donc une question de mérite. 

il y a 2 minutes, The_Dalek a dit :

 se salir les mains c'est un peu plus que descendre la poubelle une fois dans sa vie

C'est aussi se lever un peu plus qu'une fois par mois pour aller pointer a Pòle Emploi

il y a 3 minutes, The_Dalek a dit :

Rien qu'avec cette phrase tu perds toute crédibilité, tu ne sais rien sur rien et t'arroges le droit de juger comme une bonne petite bourge imbue d'elle même, pour info quand même, se salir les mains c'est un peu plus que descendre la poubelle une fois dans sa vie ou encore faire l'aumône d'une piécette histoire d'avoir bonne conscience.

la pauvreté t'en ignores tout, tout ce que tu connais c'est une vie de bichon, pas une vie de chien errant

Tu vas me dire que tu n'es pas affilié à la sécu? Que tu n'as aucune autres aides? Tu n'as pas de réductions pour disney? Ou pour le ciné? 

Se salir les mains, c'est occuper un poste ingrat (mal payé et peu valorisant). Je n'ai pas fait de nettoyage, je n'ai pas été serveuse,  ou ce genre de petits métiers. Mais je sais ce que c'est que de ne pas pouvoir s'acheter la voiture de ses rêves. Je suis passée par là moi aussi. 

il y a 3 minutes, Vilaine a dit :

Tu vas me dire que tu n'es pas affilié à la sécu? Que tu n'as aucune autres aides? Tu n'as pas de réductions pour disney? Ou pour le ciné? 

Se salir les mains, c'est occuper un poste ingrat (mal payé et peu valorisant). Je n'ai pas fait de nettoyage, je n'ai pas été serveuse,  ou ce genre de petits métiers. Mais je sais ce que c'est que de ne pas pouvoir s'acheter la voiture de ses rêves. Je suis passée par là moi aussi. 

C'est bien ce que je disais, tu vis dans tes fantasmes de bourgeoise sans âme, ne pas pouvoir s'acheter la voiture que tu veux ? Bouhouhou pauvre de toi, devoir choisir entre manger et aller a un entretien d'embauche, t'as connu ça ? Devoir faire des dizaines de bornes a pied parce que tu n'as plus assez pour payer ne serai ce qu'un ticket de bus ? devoir calculer ton budget en réduisant parfois ton alimentation a deux assiettes de pâtes pour une journée ?

Pour survivre il ne suffit pas d'être bon, des gens talentueux qui se retrouvent coincés dans l'ornière j'en ai vu un paquet, mais je présume que pour une petite bourge imbue d'elle même, le seul talent qui importe c'est celui qui consiste a lécher des culs ou poignarder les gens dans le dos

Il y a 7 heures, LouiseAragon a dit :

Bonjour Vilaine ! 

Les (petits) restaurateurs sont confrontés à la concurrence de l'industrie agroalimentaire et aux (grandes )chaines de restaurants ! 

Comme les pâtissiers, comme les boulangers, comme les charcutiers, comme les bouchers ... 

Il n'y a qu'à voir le nombre de petits restaurateurs qui tentent l'ouverture de leur restaurant, plein de bonne volonté, d'idéal (servir de la qualité) et qui galèrent, qui supportent et font supporter à leur personnel  les aléas qui deviennent vite un quotidien insupportable ! 

Il est certain que le petit pâtissier du coin n'obtient pas les mêmes prix pour sa matière d'oeuvre que l'industriel qui passe de grosses commandes ! Le pâtissier du coin va ensuite travailler à la main et a besoin de main d'oeuvre qualifiée ! Comment pourrait-il concurrencer "l'industrie pâtissière" qui travaille avec des robots, à la chaîne, avec une main d'oeuvre sans qualification utile. 

A la sortie, l'éclair produit par l'industrie est moins cher, le pâtissier du coin fait faillite ... je n'invente rien.  On pourrait penser que la clientèle va soutenir l'artisan pâtissier du coin et accepter de payer le prix ! Et en effet, il peut y avoir "un" artisan pâtissier dans la ville ou le quartier, celui-ci se fait peu à peu sa réputation et fidélise la clientèle qui peut payer et qui  le fait vivre ! 

Mais, combien de consommateurs font, contraints et forcés par les contingences matérielles, leurs courses dans la Grande Distribution où ils achèteront ce que produit l'INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ! 

Est-ce par manque de goût, par bêtise ? 

En attendant, les consommateurs sont floués et les artisans cuisiniers, boulangers, charcutiers ... avec eux !

Pour l'emploi, c'est pareil ! La robotisation en supprime, c'est évident, et les emplois dans la (petite) restauration sont des emplois 'précaires'  ' flexibles " "peu rémunérés" , ce qui fait beaucoup d'inconvénients ! Des horaires décalés, des horaires à rallonge et des heures supplémentaires  bien souvent non rémunérées ! 

Celui qui travaille dans la restauration doit accepter de bouleverser sa vie familiale, personnelle et tout cela pour peu de gratification financière ! 

On comprend d'où vient le turnover permanent de cette main d'oeuvre ... 

Bonjour Louise,

Oui, c'est un secteur très concurrentiel, d'autant que l'offre est large et variée, comme tu le souligne justement. Puis comme tu le dis, l'industrie casse les prix au détriment de la qualité. Mais le prix reste le critère de choix premier pour beaucoup de consommateurs, surtout quand il s'agit de produits de base. 

Néanmoins, comme je l'ai dit plus haut, je crois vraiment que le meilleur moyen pour se différencier reste la...qualité. C'est ce qui fait d'ailleurs la réputation de notre pays: une cuisine gastronomique, de qualité. Si un cuisinier veut attirer et fidéliser sa clientèle, il ne doit pas simplement être bon, il doit être excellent.

La classe très moyenne n'est pas prête à mettre 30 euros dans un menu, mais elle est prête à mettre plus de 70 euros si c'est un menu d'exception, voire plus si c'est un menu réalisé par un grand chef. C'est donc la seule condition pour espérer voir les Français investir plus dans l'industrie de la restauration.

Un message aux restaurateurs: pour survivre...soyez créatifs, proposez une carte de qualité avec des produits frais. Bref, ne vous contentez pas d'être bons, soyez excellents. Et surtout...cessez de râler, ça se ressent dans l'assiette. 

il y a 3 minutes, Vilaine a dit :

Bonjour Louise,

Oui, c'est un secteur très concurrentiel, d'autant que l'offre est large et variée, comme tu le souligne justement. Puis comme tu le dis, l'industrie casse les prix au détriment de la qualité. Mais le prix reste le critère de choix premier pour beaucoup de consommateurs, surtout quand il s'agit de produits de base. 

Néanmoins, comme je l'ai dit plus haut, je crois vraiment que le meilleur moyen pour se différencier reste la...qualité. C'est ce qui fait d'ailleurs la réputation de notre pays: une cuisine gastronomique, de qualité. Si un cuisinier veut attirer et fidéliser sa clientèle, il ne doit pas simplement être bon, il doit être excellent.

La classe très moyenne n'est pas prête à mettre 30 euros dans un menu, mais elle est prête à mettre plus de 70 euros si c'est un menu d'exception, voire plus si c'est un menu réalisé par un grand chef. C'est donc la seule condition pour espérer voir les Français investir plus dans l'industrie de la restauration.

Un message aux restaurateurs: pour survivre...soyez créatifs, proposez une carte de qualité avec des produits frais. Bref, ne vous contentez pas d'être bons, soyez excellents. Et surtout...cessez de râler, ça se ressent dans l'assiette. 

 

 

Essaye de faire le boulot une seule semaine avant d'ouvrir ta bouche en cul de poule pour sortir des âneries

Je l'ai fait serveuse dans un resto, lorsque j'ai commencé à travailler puisque je ne trouvais rien d'autre.

C'est sûr, faut pas avoir un poil dans la main qui sert de canne. Arriver en salle chaque jour à 7 h 45 pour le petit déjeuner (car logée sur place, vu les horaires, c'est plus facile), si arrivée à 8 h, tu t'en passes. Nettoyer le resto, mise en place, préparation des hors d'oeuvres, manger à 11 h 30, la matinée passe vite. Premier service du midi à partir de midi. Tu finis vers 14 h, 14 h 30 selon le monde, pause de 2 h.

Re-nettoyer les salles (y en avait 2 dont 1 à l'étage) re-mise en place du resto, manger à 18 h 30. Second service à partir de 19 h. Fin du service vers 22 h 30/23 h. Dodo. Et le patron qui venait taper aux portes de chaque fille en loucedé, des fois qu'il y en aurait eu une en manque, sa femme dormant 1 étage en dessous.

J'en suis pas morte, et mieux : j'ai bien aimé l'ambiance entre employées hyper solidaires et les relations avec les habitués du resto dont certains savent se montrer très généreux en pourboires. J'arrivais à gagner plus de l'équivalent d'un tiers de mon salaire en pourboires.

Ma plus belle anecdote : un client qui me demande, avec accord du patron, de venir prendre le café avec lui à la fin de son repas. Discussion hyper sympa (pourquoi j'avais choisi ce boulot dur, etc.). Idem une autre fois avec un groupe d'allemands que j'avais servis à l'étage, carapatant dans les escaliers comme d'hab. Ils ont trinqué à ma santé 

Superbe expérience, et si ç'avait été à refaire, j'aurais refait, j'aime ça le contact humain. Mais bon, j'ai fini par trouver autre chose, il le fallait car là, je n'avais plus de vie privée 5 jours sur 7 et je ne me voyais pas faire ça à vie.

Alors les migrants, je leur dis bravo d'accepter ces boulots, un tas de jeunes entre 18 et 28 pourraient les occuper, avant de fonder une vie de famille, mais puisqu'ils n'en veulent pas, profitez bien 

il y a 13 minutes, The_Dalek a dit :

C'est bien ce que je disais, tu vis dans tes fantasmes de bourgeoise sans âme, ne pas pouvoir s'acheter la voiture que tu veux ? Bouhouhou pauvre de toi, devoir choisir entre manger et aller a un entretien d'embauche, t'as connu ça ? Devoir faire des dizaines de bornes a pied parce que tu n'as plus assez pour payer ne serai ce qu'un ticket de bus ? devoir calculer ton budget en réduisant parfois ton alimentation a deux assiettes de pâtes pour une journée ?

Pour survivre il ne suffit pas d'être bon, des gens talentueux qui se retrouvent coincés dans l'ornière j'en ai vu un paquet, mais je présume que pour une petite bourge imbue d'elle même, le seul talent qui importe c'est celui qui consiste a lécher des culs ou poignarder les gens dans le dos

C'est quoi le but? Faire le concours du plus misérable? J'ai connu un enfant qui faisait 10km par jour pieds nus pour aller à l'école, donc voila, désolée, t'as perdu.

Plus sérieusement, il ne faut pas s'arrêter à sa propre misère. Tu trouveras toujours plus malheureux que toi. Certains sont à l'article de la mort et se plaignent 10 fois moins que toi. Je crois vraiment que le talent, couplé au travail (et à la chance aussi) permet de réaliser ses rêves (comme ce fut pour le cas pour ces migrants).  

il y a 15 minutes, Fuck Them All a dit :

Ca n'a plus rien a voir avec ton exemple d'avant. Maintenant ton mec est tombe malade pendant 2 ans, sur ton exemple d'avant il ne l'etait pas. La situation est donc bien differente, car son patron a du reformer quequ'un pendant deux ans, ca lui a coute de l'argent.

Mais non, tu comprends que le village que je mentionne est imaginaire, c'est juste pour expliquer et visualiser le mécanisme. 

En réalité il y a bien plus de restaurants et de cuistots. À chaque fois que les patrons embauchent, ils publient une annonce et voient combien ils ont de réponses. Plus ils auront de réponses plus ils seront âpres à la négociation durant l'entretien d'embauche. 

L'offre et la demande quoi. Pourquoi Marx parle t'il "d'armée de réserve du capitalisme" ? C'est justement cette "armée", qu'elle soit composée de migrants aujourd'hui, ou d'immigrants ruraux au XIXÈME siècle, qui fait baisser les salaires. 

il y a 3 minutes, The_Dalek a dit :

Essaye de faire le boulot une seule semaine avant d'ouvrir ta bouche en cul de poule pour sortir des âneries

Et bien, ce n'est pas mon cœur de métier. Mais dans mon métier, je cherche l'excellence et tout le monde devrait faire de même dans sa branche d'activité. 

il y a 3 minutes, The_Dalek a dit :

Essaye de faire le boulot une seule semaine avant d'ouvrir ta bouche en cul de poule pour sortir des âneries

J'essaie de me surpasser en cuisine. Et je le fais...gratuitement, sans me plaindre. 

à l’instant, Vilaine a dit :

C'est quoi le but? Faire le concours du plus misérable? J'ai connu un enfant qui faisait 10km par jour pieds nu pour aller à l'école, donc voila, désolée, t'as perdu.

Plus sérieusement, il ne faut pas s'arrêter à sa propre misère. Tu trouveras toujours plus malheureux que toi. Certains sont à l'article de la mort et se plaignent 10 fois moins que toi. Je crois vraiment que le talent, couplé au travail (et à la chance aussi) permet de réaliser ses rêves (comme ce fut pour le cas pour ces migrants).  

Non, le but c'est de te rappeler que tu n'as AUCUN droit de juger, tu ne sais rien du tout, tu te contentes de croire, question misère j'en ai vu de bien plus mal lotis que moi donc ce "concours" n'existe que dans ton petit esprit encroûté de croyances.

J'ai vu le métier se dégrader de l'intérieur durant plus de quinze ans, je suis bien plus a même que tu ne le sera jamais de comprendre certaines choses que tu n'envisagerait même pas

il y a 1 minute, Vilaine a dit :

Et bien, ce n'est pas mon cœur de métier. Mais dans mon métier, je cherche l'excellence et tout le monde devrait faire de même dans sa branche d'activité. 

J'essaie de me surpasser en cuisine. Et je le fais...gratuitement, sans me plaindre. 

Ok donc t'es une omnisciente, viens envoyer 200 couverts a toi seule a chaque service tous les jours, commences par apprendre la réalité du métier avant de prétendre en savoir plus que les autres, faire la popote pour tes gosses ça fait pas de toi une pro, loin de la

il y a 28 minutes, Fuck Them All a dit :

Pourtant les infirmieres sont en penuries, si j'en crois ton exemple elles devraient toucher le jackpot, et c'est pas le cas, des salaires souvent indecents.  Comme quoi offre ne rime pas avec demande sauf pour certains metiers tres rares, des exceptions ou il faut par contre une grande qualification (ce qui n'est pas donne au premier venu).

sauf qu'infirmière c'est la fonction publique

il y a 4 minutes, Swannie a dit :

Je l'ai fait serveuse dans un resto, lorsque j'ai commencé à travailler puisque je ne trouvais rien d'autre.

C'est sûr, faut pas avoir un poil dans la main qui sert de canne. Arriver en salle chaque jour à 7 h 45 pour le petit déjeuner (car logée sur place, vu les horaires, c'est plus facile), si arrivée à 8 h, tu t'en passes. Nettoyer le resto, mise en place, préparation des hors d'oeuvres, manger à 11 h 30, la matinée passe vite. Premier service du midi à partir de midi. Tu finis vers 14 h, 14 h 30 selon le monde, pause de 2 h.

Re-nettoyer les salles (y en avait 2 dont 1 à l'étage) re-mise en place du resto, manger à 18 h 30. Second service à partir de 19 h. Fin du service vers 22 h 30/23 h. Dodo. Et le patron qui venait taper aux portes de chaque fille en loucedé, des fois qu'il y en aurait eu une en manque, sa femme dormant 1 étage en dessous.

J'en suis pas morte, et mieux : j'ai bien aimé l'ambiance entre employées hyper solidaires et les relations avec les habitués du resto dont certains savent se montrer très généreux en pourboires. J'arrivais à gagner plus de l'équivalent d'un tiers de mon salaire en pourboires.

Ma plus belle anecdote : un client qui me demande, avec accord du patron, de venir prendre le café avec lui à la fin de son repas. Discussion hyper sympa (pourquoi j'avais choisi ce boulot dur, etc.). Idem une autre fois avec un groupe d'allemands que j'avais servis à l'étage, carapatant dans les escaliers comme d'hab. Ils ont trinqué à ma santé 

Superbe expérience, et si ç'avait été à refaire, j'aurais refait, j'aime ça le contact humain. Mais bon, j'ai fini par trouver autre chose, il le fallait car là, je n'avais plus de vie privée 5 jours sur 7 et je ne me voyais pas faire ça à vie.

Alors les migrants, je leur dis bravo d'accepter ces boulots, un tas de jeunes entre 18 et 28 pourraient les occuper, avant de fonder une vie de famille, mais puisqu'ils n'en veulent pas, profitez bien 

Merci pour ce beau témoignage, qui est pile poil dans le sujet. J'espère que les ronchons s’inspireront de cette expérience. 

Moralité: on peut s'épanouir dans ce qui semble être le pire job du monde. 

il y a 12 minutes, Vilaine a dit :

La classe très moyenne n'est pas prête à mettre 30 euros dans un menu, mais elle est prête à mettre plus de 70 euros si c'est un menu d'exception, voire plus si c'est un menu réalisé par un grand chef. C'est donc la seule condition pour espérer voir les Français investir plus dans l'industrie de la restauration.

Un message aux restaurateurs: pour survivre...soyez créatifs, proposez une carte de qualité avec des produits frais. Bref, ne vous contentez pas d'être bons, soyez excellents. Et surtout...cessez de râler, ça se ressent dans l'assiette. 

 

 

tu vis vraiment dans un autre monde

faudrait descendre de ton nuage princesse

il y a 25 minutes, Fuck Them All a dit :

Pourtant les infirmieres sont en penuries, si j'en crois ton exemple elles devraient toucher le jackpot, et c'est pas le cas, des salaires souvent indecents.  Comme quoi offre ne rime pas avec demande sauf pour certains metiers tres rares, des exceptions ou il faut par contre une grande qualification (ce qui n'est pas donne au premier venu).

C'est que l'argent manque quelque part. 

Bien sûr qu'on proposera un peu plus en salaire aux travailleurs qui ont des qualifications recherchées. Ça veut juste dire que le patron sacrifie une partie de ses bénéfices pour le salaire d'un employé vital pour l'entreprise. 

il y a 3 minutes, The_Dalek a dit :

Non, le but c'est de te rappeler que tu n'as AUCUN droit de juger, tu ne sais rien du tout, tu te contentes de croire, question misère j'en ai vu de bien plus mal lotis que moi donc ce "concours" n'existe que dans ton petit esprit encroûté de croyances.

J'ai vu le métier se dégrader de l'intérieur durant plus de quinze ans, je suis bien plus a même que tu ne le sera jamais de comprendre certaines choses que tu n'envisagerait même pas

Ok donc t'es une omnisciente, viens envoyer 200 couverts a toi seule a chaque service tous les jours, commences par apprendre la réalité du métier avant de prétendre en savoir plus que les autres, faire la popote pour tes gosses ça fait pas de toi une pro, loin de la

Je ne juge pas, c'est toi qui te sens jugé. 

Tu n'as pas besoin de rappeler à quel point ta situation est difficile. La misère et la frustration frappent aux yeux. Mais très sincèrement, je suis désolée si tu es malheureux dans ta vie. 

Je reconnais ne pas bien connaître ce milieu, mais je préfère pour ma part, fréquenter des restos gastronomiques pour déguster des plats d'exception. La cuisine a le pouvoir de nous faire chavirer, de créer des émotions...mais c'est sûr qu'on ne retrouve pas ça dans le petit bistrot du coin. 

T'as jamais pensé à travailler dans un restaurant gastronomique? 

Comme quoi ce sont les plus privilégiés les plus déconnectés.

il y a 3 minutes, cheuwing a dit :

tu vis vraiment dans un autre monde

faudrait descendre de ton nuage princesse

Je crois que la cuisine est un des rares secteurs où on peut se démarquer si on est excellent. On ne peut pas se différencier en étant banquier ou caissière. 

il y a 45 minutes, Fuck Them All a dit :

Et quelle est la raison ?

La direction qui veut se faire des c***** en or sur le dos des salariés.