Les airs de votre Service Militaire.

Bientôt le 14 juillet ! J'ai défilé à Brest en 1979. Et ils m'ont remis ça le 11-novembre. Et j'avais eu le droit à une prise d'armes sur le pont du bateau le 18-juin; le Préfet Maritime inspectait la Flotte en vedette.

Que vous ayez défilé ou pas, postez vos airs favoris !

Jamais défilé mais j'aurais trop aimé. Par contre, j'étais d’astreinte à l'armurerie, un vrai plaisir.
 

Moi j'ai appris "La Madelon" - classique. Et puis aussi un chant, dont j'ai su ensuite - longtemps après - que c'était la traduction française du chant des parachutistes allemands. Mais je ne sais même plus comment ça s'appelle.

La cavalcade

" La Madelon " 

Mais j'ai pas défilé , j'étais un " planqué " au Mess .

Oh la fille

Oh la fille vient nous servir à boire

Les soldats sont là perce un tonneau

Car la route et longue et la nuit noire

Et demain nous ferons le grand saut

Donnes moi la main

Met là dans ma mains

Adieu la fille Adieu, ( bis )

Ton sourire , ton sourire, ton sourire brille dans nos yeux

Dans le sable et la boue des rizières

Nos ainés sont tombés à vingt ans

Malgré leur souffrance et leur misères

La victoire hérite de leur sang

Adieu la fille Adieu ( bis)

Ton sourire, ton sourire, ton sourire brille dans nos yeux.

Il y a eu aussi la Sidi Brahim chant de tout les chasseurs

Les chasseurs alpins s'appellent aussi les diables bleus

Un autre chant militaire que j'aime beaucoup

Ce n'est pas un chant, mais c'est une grande page d'histoire, qui se fête tout les 30 avril. Venant de tout horizon ils sont devenus français par le pris du sang versé.

UN autre très connu aussi, que j'aime bien

Marie Dominique comme Opium, deux chants sur notre action en Indochine, mais comme toujours les politiques enfin bon

Dans le port de Saïgon Il est un jonque chinoise Mystérieuse et sournoise Dont nul ne connait le nom. Et le soir dans l'entrepont, Quand la nuit se fait complice Les Européens se glissent Cherchant des coussins profonds. Opium, poison de rêve Fumée qui monte au ciel, C'est toi qui nous élève Au paradis artificiel. Je vois le doux visage Les yeux de mon aimée. Parfois j'ai son image Dans un nuage de fumée. Et le soir au port falot Les lanternes qui se voilent Semblent de petites étoiles Qui scintillent tour à tour. Et parfois dans leur extase, Au gré de la fumée grise, Le fumeur se représente Ses plus beaux rêves d'amour. Puisqu'on dit que le bonheur N'existe pas sur la terre Puisse l'aile de nos chimères Un jour nous porter ailleurs Au paradis enchanteur Plein de merveilleux mensonges Où dans l'ivresse de mes songes J'ai laissé prendre mon cœur

Je chantais le péan, juste avant le combat. Les champions olympiques étaient au premier rang de la troupe.

De 10h à 11h, cinq jours sur sept, pendant un mois, entrainement au défilé.

On avait le droit aussi à ça :