Vous êtes suivi... Votre réaction ?

Mais il n'y a pas que dans le métro. ...

Ils sont tous à degueuler ..,  pervers sexuels, puceaux en manque, maquereaux , souteneurs , pédophiles etc.., névrosés divers et malades sexuels,  bref que des hommes et parfois quelques grosses frustrées , de vieilles maquerelles malveillantes quoi..

... désolée d'être aussi réaliste. ...mais là y en a marre de toute cette violence sur les femmes!!!!

Il y a 17 heures, Loopy a dit :

Que celles et ceux qui défendent les pervers des métros et d'ailleurs lève le doigt (et le bon)... 

Personne ?

Je crois alors le problème réglé, nous sommes d'accord à l'unanimité (moins eux mêmes, et encore) pour dire que ce sont des parasites dont il faudrait au plus vite se défaire.Nous sommes tous également d'accord pour dire que celles (et ceux... plus rares peut être être) qui subissent cela devraient pouvoir retrouver la sérénité où qu'ils aillent et compatissons à leur peur. Nous sommes tous d'accord pour dire que s'il était en notre pouvoir de faire changer les choses, nous le ferions et je suis sûr qu'à sa manière et dans la mesure de ses moyens chacun s'y emploi. Sans vouloir parler évidemment à la place de qui que ce soit, je laisse chacun au bras de sa propre conscience.

Ceci étant dit, est-ce besoin de s'épancher en plus encore de regrets larmoyant transpirant d'une pitié inutile, quelque peu hypocrite et malsaine à l'égard de quiconque nous ne connaissons guère ? Ceux qui demandent un sérieux permanent à l'endroit de ces sujets, un acquiescement grave à chaque phrases, un poing levé en signe de révolte, pensent-ils sincèrement que leur sort nous importe au point d'abandonner la légèreté qui nous anime et qui fait tant contraste avec ces situations ? Cette légèreté même qui témoigne à mon sens plus d'un mépris que d'une caution. Un mépris pour l'acte et non pour la victime, bien sûr.

Les sujets graves imposent parfois le sérieux, mais la légèreté a aussi sa place. Cela est dit sans méchanceté et ne dois pas être interprété comme une attaque. C'est la simple expression de ma pensée. Si toutefois cela vous inspirait de la colère, effacez ces mots et lisez plutôt ceux qui suivent, moins sincère peut être, mais plus doux à vos oreilles.

 

Mon dieu, c'est vrai ? Cela arrive vraiment ? ... Incroyable. J'espère que tout va bien quand même ? J'imagine que ça doit être horrible cette peur au quotidien, je suis de tout cœur avec toi et me battrai chaque jour, à partir d'aujourd'hui, pour que plus jamais tu ne subisses cela. Je songe d'ailleurs à monter un comité. On devrait monter pleins de comités... Partout où il y a des métros ! sur chaque ligne et sur chaque quai, nous ferons barrage à tout cela. Je vais de ce pas porter ma démission à mon patron afin de pouvoir, bénévolement, protéger le trajet de tous ceux là. Je crois que sinon, je n'en dormirai plus la nuit... C'est affreux, horrible... Moi qui croyais que les métros étaient des espaces de liberté et d'expression, où les artistes que nous sommes vont présenter chaque matin et chaque soir les chef d'oeuvre qu'ils créent... J'en tombe des nues... 

 

'fin bref... Pardon pour la caricature, et croyez que j'ai le plus grand respect pour ces sujets et surtout pour les victimes. Mais je n'ai pas de coeur, personnellement, et l'ai déjà dit, je suis un sombre connard. Et ce sombre connard sans coeur ni pitié peut, sans jamais avoir de remord, envoyer dans les valseuses de ces messieurs [ s'il m'était donné de les croiser] une petite pichenette bien sentie qu'ils n'oublieraient pas de sitôt. J'accompagnerai même le geste d'une humiliante sentance bien vocale du genre : "si mon cul vous plait tant, monsieur, je vous en offrirai le contenu dans un petit sac plastique, mais de grâce s'il vous plait, pour qu'il puisse encore servir, n'y laissez pas les salissures que vos mains ont ramassées sur celui des autres et encore moins sur le votre ! ", priant ainsi mon entourage de faire preuve d'au moins autant de courage et d'extraire de ma porté le malvenu pervers... 

 

Passionnant, vraiment... La première partie suscite l’envie de se tamponner le coin de l’œil avec un mouchoir en dentelle, brodé. La seconde, de s’en tamponner.

L’indifférence à l’égard de la violence faite aux femmes vient très tôt, si bien qu’elles apprennent très vite à ne compter que sur elles-mêmes.

Merci quand même pour la moraline...un « sombre connard » ? Un arrière-fond d’humour à la Garcimore, plutôt, les paillettes et le « glam » en moins. 

Sérieux, comment on a pu en arriver là ? 

Y a pas quelq'un qui serait tenté de nous faire une petite allusion au Troisième Reich, histoire de finir en beauté ?

Il y a 17 heures, Loopy a dit :

Tu marches dans la rue, fais quelques commentaire, et soudain, au détour d'un chemin peu commun, aperçois une ombre derrière toi. Merde alors... On te suit. 

Alors tu te demandes... Dois tu suivre ton suiveur ? Pressant le pas, tu cherches donc comment. Cette rue là, à droite, te mènera dans une autre qui elle même te ramènera juste derrière ton suiveur. Mais puisque celui ci te suit, il prendra le même chemin, et vous tournerez ainsi à jamais comme un chien cherche sa queue (il n'y a là aucune perversité : la mienne est ailleurs...). 

Alors non, tu ne le suivras pas de cette manière. Une autre idée te vient... Tu pourrais prendre un chemin encore plus rapide, te retourner et te retrouver nez à nez avec ton suiveur. Celui ci alors serait bien embêté, pour te suivre, il faudrait encore qu'il te passe derrière (il n'y a là aucune perversité... je l'ai déjà dit non ? )... Il sera donc forcé de te croiser...

Si à l'occasion vous échangiez un sourire, un mot, ou deux, quelques politesses, un café et plus si affinité (là, oui, il y a un peu de perversité...), c'est alors d'une autre manière que vous vous suivrez à l'avenir. Si à l'inverse la répugnance que t'évoque la personne inhibe toute autre volonté que celle de t'enfuir en courant, il faudra alors beaucoup de souffle et de persévérance au suiveur pour continuer de te suivre. Des angoisses te prendront dans ta course (il n'y a... 'fin bref, je m'enfonce...) et tu te diras que mince alors, à commenter librement dans les rues et dire des choses que d'autres pourraient entendre, on ne te reprendra plus.

Les rues d'ici bas perdront ainsi quelques points blancs sur une nappe noir. Tant pis. Nous serons privé du petit plaisir sadique d'en un clic faire s'envoler l'innocence et l'anonymat.

Alors que faire...  

Ou que feras tu... Tu constateras que cette question je me la pose moi même. Et comme je suis un curieux doublé d'un connard, d'un suiveur tu te retrouves avec deux... L'un d'eux court vite, prend garde ... (il n'y a là que la perversité que les esprits tordus voudront bien voir...)

 mais là où t'es un peu pénible c'est que ca nous amène à d'autres questions (au-delà du paradoxe que représente le fait de suivre qui nous suit): les suiveurs sont-ils à égale distance ou le premier suiveur aura toujours une longueur d'avance sur les autres ? Les seconds suiveurs suivent-ils automatiquement le premier suiveur ? Peut-on dépasser les suiveurs précédants ? Si oui, comment ?

Tant de questions... D'un autre côté y a du Brian Adams qui passe, ca doit pas aider. 

Il y a 17 heures, Gaïa a dit :

Sinon pour une réponse plus terre à terre tu as une option pour ne pas être suivie

Là où il y a ton (tes?) suiveur, tu verras une petite flèche tu vas dessus et tu peux choisir de ne plus être suivie. 

Mais sinon ça veut juste dire qu’ils sont avertis dès que tu poste un message sur le forum et que vous pouvez discuter ensemble sur le mini Tchat. Rien de bien méchant. 

Non, c'est vexant de virer des gens, après tu passe pour la méchante de l'histoire et tout et tout, j'veux pas. 

Là où tu me donnes une idée, c'est rapport aux notifications qu'il recoit quand je poste. Si je vais poster compulsivement dans les jeux de l'asile, il va se retrouver avec une bonne centaine de notif' d'un coup dont il n'aura rien à faire, de rage et de déséspoir il arrêtera de me suivre (peut-être même qu'il m'ignorera) et ce sera lui qui aura mal agi. 

Il y a 17 heures, ping a dit :

Je suis ce que je suis mais je ne suis pas ce que je suis. Je suis...?

Ton ombre. J'suis trop bonne aux devinettes. 

Bon, sinon, pour en revenir à ton questionnement, ça pose la question de l'altérité. Qui est l'autre, que me veut-il? Le paradoxe etant qu'à la fois nous aimons tous suciter l'interêt de l'autre, mais qu'en même temps on le redoute.

Il y a 18 heures, Erneste a dit :

Bonjour,

En me connectant tout à l'heure j'ai eu la grande surprise, en regardant mes notifications, de voir apparaître ce message: "**** vous suit désormais".

Après un court moment d'euphorie: "Putain ! Y a quelqu'un qui m'aime !!!", ma joie s'est rapidement muée en questions existentielles et sentiments contradictoires. 

Doit-on suivre qui nous suit ? Si nous ne le faisons pas sera-ce considéré comme une petite impolitesse ou comme la marque du plus froid des mépris ?

Si nous choisissons - ou nous sentons quand même un petit peu obligés - de suivre à notre tour notre suiveur, doit-on forcément lire et/ou réagir à un certain pourcentage de ses posts, que ce soit en y répondant ou en y accolant un petit symbole ?

A ce stade de ma réflexion, j'me suis dit: "Mais c'est qui ce connard* qui me fout la pression ?!?" 

Du calme, du calme, ce n'est qu'une notification, c'est rien, transposons ca à la vraie vie, on devrait y voir plus clair...

Inutile de vous expliquer à quel point cette idée peut être angoissante. 

J'ai alors pensé que la meilleure des solutions serait de me recréer un nouveau compte "vierge" pour retrouver une certaine tranquilité d'esprit. Mais la même problématique continuera à se répéter éternellement à chaque nouveau compte tant que je n'aurai pas trouvé la solution...

Comment on gère ca ?

 

 

* Qu'il se rassure s'il nous lit, je ne le considère pas comme un connard. 

 

Sinon, non, j'm'ennuie pas trop dans ma vie, ca va. 

Sinon, tu as ne option "une pas autoriser les autres à suivre" (ou un truc comme ça). Chez moi, il est activé. Cool, simple comme un clic.

il y a 5 minutes, Petit pois a dit :

Sinon, tu as ne option "une pas autoriser les autres à suivre" (ou un truc comme ça). Chez moi, il est activé. Cool, simple comme un clic.

Si je te suis bien je ne peux pas te suivre?

il y a 2 minutes, ping a dit :

Si je te suis bien je ne peux pas te suivre?

Voilà....sauf intellectuellement parlant. Enfin, je crois.

De toute façon l'option " ne pas être suivi(e)" est un leurre...il suffit d'aller sur l’activité du pseudo .....pour le suivre !

Et se mettre en "anonyme" n'y change rien.

il y a 36 minutes, Erneste a dit :

Sérieux, comment on a pu en arriver là ? 

Y a pas quelq'un qui serait tenté de nous faire une petite allusion au Troisième Reich, histoire de finir en beauté ?

 

 mais là où t'es un peu pénible c'est que ca nous amène à d'autres questions (au-delà du paradoxe que représente le fait de suivre qui nous suit): les suiveurs sont-ils à égale distance ou le premier suiveur aura toujours une longueur d'avance sur les autres ? Les seconds suiveurs suivent-ils automatiquement le premier suiveur ? Peut-on dépasser les suiveurs précédants ? Si oui, comment ?

Tant de questions... D'un autre côté y a du Brian Adams qui passe, ca doit pas aider. 

Non, c'est vexant de virer des gens, après tu passe pour la méchante de l'histoire et tout et tout, j'veux pas. 

Là où tu me donnes une idée, c'est rapport aux notifications qu'il recoit quand je poste. Si je vais poster compulsivement dans les jeux de l'asile, il va se retrouver avec une bonne centaine de notif' d'un coup dont il n'aura rien à faire, de rage et de déséspoir il arrêtera de me suivre (peut-être même qu'il m'ignorera) et ce sera lui qui aura mal agi. 

 

Ton ombre. J'suis trop bonne aux devinettes. 

Comment peut-on en arriver à se moquer ouvertement de jeunes femmes, d’une jeune femme ici souffrant encore de harcèlement ?

Je me le demande aussi et hésite encore plutôt entre rustauderie, guignolerie ou maladresse... peut-être un mélange des trois. 

Il est à souligner que pour se dénominer connard, faut-il au moins en avoir un peu le potentiel. Navrant.

Pour en revenir au sujet initial, il est possible pour n’importe qui de supprimer l’option « suiveur », et de gagner ainsi en tranquillité. 

il y a 9 minutes, Léna-Postrof a dit :

Comment peut-on en arriver à se moquer ouvertement de jeunes femmes, d’une jeune femme ici souffrant encore de harcèlement ?

Je me le demande aussi et hésite encore plutôt entre rustauderie, guignolerie ou maladresse... peut-être un mélange des trois. 

Il est à souligner que pour se dénominer connard, faut-il au moins en avoir un peu le potentiel. Navrant.

 

Pour en revenir au sujet initial, il est possible pour n’importe qui de supprimer l’option « suiveur », et de gagner ainsi en tranquillité. 

Alors déjà, la taille de police, ça pique, et en projection audio, ça fait mettre les doigts dans les oreilles, bref, effet loupé. Tu dessers ton post. Enfin, pour moi.

Tant qu'à ta suggestion finale, je venais de la faire, calmement.

Brayer ( brailler) n'est pas la meilleure façon de se faire entendre.

Ha , aussi, :on est en virtuel, avec un peu de discernement, il s'agit de ne pas l'oublier.

il y a 1 minute, Petit pois a dit :

Alors déjà, la taille de police, ça pique, et en projection audio, ça fait mettre les doigts dans les oreilles, bref, effet loupé. Tu dessers ton post. Enfin, pour moi.

Tant qu'à ta suggestion finale, je venais de la faire, calmement.

 

Brayer ( brailler) n'est pas la meilleure façon de se faire entendre.

 

Ha , aussi, :on est en virtuel, avec un peu de discernement, il s'agit de ne pas l'oublier.

Je n’ai pas la main sur la police quand je poste via portable, mes confuses auprès de vos mirettes. Parfois ça fait cela, et des différenciels de taille aussi, c’est plutôt moche. Si vous avez la soluce, je suis preneuse. 

Bon perso, je suis allergique aux boules jaunes, mais essaie de retenir mes « éternuements », surtout en général. Pour le reste, ne me demandez pas d’être insensible quand je lis une personne qui va très mal. Quiconque est libre de porter des lunettes roses, ou d’être borgne ou à moitié... derrière un clavier, se trouve toujours une vraie personne. 

il y a 1 minute, Léna-Postrof a dit :

derrière un clavier, se trouve toujours une vraie personne

Certes, et certainement d'autant plus fragile que touchée par le virtuel, surtout en forum où tout est anonyme. Je le comprendrais mieux sur les réseaux sociaux ( auxquels je suis totalement absente) où la personne se dévoile

dans "sa réalité" et attend l'assentiment.

il y a 6 minutes, Petit pois a dit :

Certes, et certainement d'autant plus fragile que touchée par le virtuel, surtout en forum où tout est anonyme. Je le comprendrais mieux sur les réseaux sociaux ( auxquels je suis totalement absente) où la personne se dévoile

dans "sa réalité" et attend l'assentiment.

Certaines victimes sont isolées ou délaissées et non soutenues par leur entourage. La victime n’a à être jugée, par personne. 

Si je suis suivi je me retourne pour savoir qui c’est

si elle a déjà été faite avant désolé j’ai....pas suivi  

il y a 1 minute, Léna-Postrof a dit :

Certaines victimes sont isolées ou délaissées et non soutenues par leur entourage. La victime n’a à être jugée, par personne. 

Je ne juge pas, en aucune façon. Ce n'est pas dans mon système de penser.

Je dis seulement qu'il y a des solutions simples et pratiques.

il y a 1 minute, Petit pois a dit :

Je ne juge pas, en aucune façon. Ce n'est pas dans mon système de penser.

Je dis seulement qu'il y a des solutions simples et pratiques.

Je réitère donc en retour : ce qui peut sembler être une - ou l’une des- solution(s) simple(s) ou pratique(s) pour l’une, ne l’est pas forcément pour l’autre... ou une solution tout court d’ailleurs. Nous avons toutes des parcours, un vécu mais aussi une sensibilité, différents.

il y a 3 minutes, Léna-Postrof a dit :

Je réitère donc en retour : ce qui peut sembler être une - ou l’une des- solution(s) simple(s) ou pratique(s) pour l’une, ne l’est pas forcément pour l’autre... ou une solution tout court d’ailleurs. Nous avons toutes des parcours, un vécu mais aussi une sensibilité, différents.

D'accord encore. Mais alors on est en droit de supposer qu'il y a un problème plus profond et complexe  à résoudre que le fait d'être "suivi(e) " en forum.

Bonjour, comme il a été conseillé par plusieurs, on peut décocher pour ne pas être suivi mais en dehors de cela, je ne vois pas ce qu'il y a d'angoissant à être suivi sur un forum. 

il y a 15 minutes, Petit pois a dit :

Mais alors on est en droit de supposer qu'il y a un problème plus profond et complexe  à résoudre que le fait d'être "suivi(e) " en forum.

il y a 9 minutes, samira123 a dit :

Bonjour, comme il a été conseillé par plusieurs, on peut décocher pour ne pas être suivi mais en dehors de cela, je ne vois pas ce qu'il y a d'angoissant à être suivi sur un forum. 

Mais attention, angoisse qu'il est bon à considérer et, si besoin, à faire prendre en charge car probablement ( mais 'suis pas médecin) d'un symptôme, d'un mal-être /malaise plus profonds et /ou autres.

J'ai parfois du mal à me suivre moi même alors je vous raconte pas!

La meilleure stratégie éprouvée m'a été dévoilée par les canidés :

Le problème c'est que si je me mords vraiment ma queue ça provoque un douleur.

il y a 2 minutes, Quasi-Modo a dit :

Le problème c'est que si je me mords vraiment ma queue ça provoque un douleur.

T'es sûr ?