Qui est le prochain ?

@Michel Paul , navré je n’ai pas compris .

à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

@Michel Paul , navré je n’ai pas compris .

 

Pareil...

il y a 27 minutes, Henri a dit :

Pareil...

Le 03/03/2018 à 23:03, DroitDeRéponse a dit :

 

Françoise DOLTO

Extrait de "L'EVANGILE AU RISQUE DE LA PSYCHANALYSE "

Editions du Seuil - collection « Point » - Un livre à lire!

(Analyse de la parabole dite du «Bon Samaritain»)

(...Pour le texte de la parabole, voir Lc10,25-37)

F.D. : Voilà une parabole qui m'a frappée! Quand j'étais enfant, je l'entendais pendant les vacances... Je l'écoutais éblouie. Puis Monsieur le curé montait en chaire pour son sermon. Sa prédication donnait à peu près ceci : « Mes bien chers frères, Jésus nous demande d'aimer notre prochain. de nous occuper de toutes les détresses, de donner de notre temps, de notre vie pour les malheu­reux. Ne soyons pas égoïstes, tels ce prêtre et ce lévite qui voient et passent outre. »

G.S. : Et vous n'étiez pas d'accord avec cette expli­cation?

F.D. : Ce curé disait l'inverse de ce que je venais d'en­tendre du texte évangélique. Il massacrait cette para-

bole!

Premièrement, le Christ ne blâme ni le prêtre ni le lévite. Il raconte des faits. Il ne juge pas. Faisons de même!

G.S. : Jésus répond à deux questions. La première que faire pour avoir son « nom inscrit dans les cieux »? Et la seconde : « Qui est mon prochain? »

F.D. : Jésus y répond en racontant une parabole. Sur la route de Jérusalem à Jéricho, voilà un homme attaqué par une bande. Il est dépouillé et laissé à demi mort. Arrive un prêtre puis un lévite, tous deux hommes de Dieu pour les juifs. Ils le voient mais s'en écartent pru- demment.

Un Samaritain passe par là, il est en voyage. Il se pro- mène tout seul, peut-être sifflote-t-il, assis sur sa mon- ture.

Puisque tout à l'heure il va mettre le moribond juste- ment sur « sa propre monture », on peut penser qu'il s'agit d'un négociant qui emmène avec lui un âne ou un mulet pour porter ses marchandises tandis qu'il en monte un second. J'invente peut-être, mais je vois les choses de cette manière.

C'est un Samaritain... Ce n'est pas un intellectuel de gauche pour son époque. Ce n'est pas un « pilier de syna- gogue ». Il fait partie de ces gens qui n'ont pas de quoi se vanter : pas d'église, peu de vertus. Ils sont très près de la nature, ils ne sont pas des hommes « spirituels ». Il est comme il est!

Un homme « matériel », pratique... un commerçant sans doute!

Il voit l'homme abandonné sur le bord de la route. Il s'approche. Il a vu. car il avait l'esprit en alerte : comme tout voyageur de l'époque, il se savait menacé par des truands. Sur le bord de la route, en cet homme allongé et blessé, il se reconnaît. Il aurait pu être celui-là. Il le sera peut-être au prochain voyage.

 

.............

Qui est le prochain? C'est le Samaritain pour ce pauvre homme battu, volé, dépouillé. C'est le Samaritain qui s'est comporté comme son prochain. Le Christ demande donc au blessé de la route d'aimer ce Samaritain sauveur et de l'aimer comme lui-même.

C'est à celui qui a été sauvé que Jésus enseigne l'amour. Toute sa vie il aimera l'homme dont il a reçu attention, assistance et secours matériels, celui sans qui il ;serait mort. Jamais il ne devra oublier cet homme qui l'a remis en selle.

G.S. : Finalement, le Christ demande de recon­naître toujours une dette vis-à-vis de l'autre, vis- à-vis des « samaritains » de notre vie?

F.D. : Toute notre vie, d'après le Christ, nous avons à reconnaître une dette vis-à-vis de qui nous a épaulés dans un moment où, seuls, nous n'aurions pas pu continuer notre chemin. Que nous le connaissions ou pas, nous sommes en dette vis-à-vis de qui nous secourt dans nos moments de détresse.

G.S. : Nous voilà ainsi éternellement débiteurs, dépendants, esclaves, disons le mot, de qui nous a été de quelque utilité.

F.D. : Non, ni esclaves ni dépendants, librement aimants par gratitude. Le modèle « samaritain » de cet évangile laisse l'autre libre. Il se retire de notre chemin et conti- nue le sien. Cette dette d'amour, de reconnaissance que nous avons envers le connu ou l'inconnu qui nous a aidé, nous ne pouvons la régler qu'en faisant de même avec d'autres.

 

====================================================================================================================

Le prochain est-ce celui qui vous a aidé ?

 

http://www.stylite.net/religion/rel-citationsauteurs/rel-ref-aut-dolto-bonsamaritain-tab.htm

 

le prochain ne peut être que ton fils, il est après toi et proche.

4.25
C'est pourquoi, renoncez au mensonge, et que chacun de vous parle selon la vérité à son prochain; car nous sommes membres les uns des autres.

------------

Des particules peuvent être assimiler à cela.

15.2
Que chacun de nous complaise au prochain pour ce qui est bien en vue de l'édification. 

----

l'édification dans le sens d'édité (DI le jour) le feu d'une sorte de lumière

Vue (de la famille des vitesses et rencontres

l'hOMme est dans cOMplaise

@saxopap

Le 12/03/2018 à 21:32, ouest35 a dit :

" Jésus et Moïse parlaient un français correct "

Celle-là il fallait l'oser !

 

Absolument ! DDR a des fulgurances : Et je ris pas elle est excellente celle-là ! (et je suis de son avis . Foin d'interprétations : ce qui est dit, est dit ! )

Pardon de n'avoir lu que les 10 premières pages. J'y réponds en réclament votre indulgence. 

Le 04/03/2018 à 08:19, Vilaine a dit :

Le prochain c’est « tout le monde », « n’importe qui ». Et cela comprend nos ennemis comme l’explique Jésus dans sa parabole. 

Oui Vilaine, je suis content de te lire et dire ainsi.

Le 08/03/2018 à 19:18, DroitDeRéponse a dit :

Qui aime son prochain ne le laisse pas crever . Le marchand n’etait Pas leur prochain . Par ailleurs rien n’indique que le samaritain aime cet homme pour qui il versera bien peu . Par contre par son aidé il devient de facto son prochain , l’aidant .

Faut pas déc pourquoi faudrait il voir en @Vilaine un prochain à aimer ?

 

Je ne te comprends bien cher DDR. Tout autre est son prochain, à aimer.

Le 09/03/2018 à 06:58, Vilaine a dit :

Les actes ne sont pas indispensables aux yeux de Dieu. Ils représentent simplement le fruit de l’amour. La foi sans les actes est une foi morte en effet. Mais, ce ne sont pas ces actes qui assurent le salut par exemple.  .....

J'espere au contraire que les actes comptent. La "prédestination des élus" ( Luther et Calvin, le protestantisme..) ne me convient pas. Mais ce n'est que mon avis.

Le 09/03/2018 à 06:58, Vilaine a dit :

Certaines personnes ne sont pas en mesure d’aider leur prochain (incapacité physique? Mentale? Âge?), est ce qu’ils seront jugés sévèrement par Dieu? 

 

Un seul mot suffit à rendre heureux. Et même sans le moindre mot ni la moindre action, Dieu ne juge pas, il pardonne et accomplit.

Le 09/03/2018 à 09:43, Vilaine a dit :

Ce que tu considères comme "exception" ne l'est pas tant que ça.

C'est une erreur de vouloir se baser sur le "faire", surtout que cela ne sert à rien s'il n'y a pas d'amour. (Cf. 1 Corinthien 13). Tout ça pour dire que le "faire" n'est en rien un absolu. 

 

Pardonne moi Vilaine pour ma contradiction. Tes mots m'y obligent, avec toute mon amitié. 

Le "faire" existe bien; mais plus intangible que tu ne le crois, plus indulgent et bien moins "quantité", me semble t'il, que tu l'imagines.

Bien amicalement.  SaXo

Citation

Je ne te comprends bien cher DDR. Tout autre est son prochain, à aimer.

Où lis tu dans le texte que le samaritain aime ce marchand ?

Tu laisserais deux pauvres deniers qui ne suffiront pas et tu vaques à ton business alors que celui que tu aimes est mal  ?

On ne lit rien de tout ça dans le texte, Dolto a tout à fait raison.

Tu crées une injonction "à aimer" , ce n'est absolument pas ce que dit Jésus dans ce texte ....

Par ailleurs cette injonction ne colle pas , dans ce cas tu te dois d'aimer Abelslam, Brevik, dutroux et qui tu voudras , je ne crois pas que Jésus  soit le hérault d'un concept vide de sens qui finit en pleine aporie . Pourquoi interpréter , tordre , alors que le texte se comprend par lui même ?

Je ne suis pas le prochain de Dutroux ni d'Abdelslam , la porte n'est jamais fermée mais elle n'a pas à être ouverte par nécessité , c'est idiot cette injonction.

Le prochain n'est pas l'humain sinon pourquoi deux mots ?

Cette injonction , cette volonté d'universalisme louable au final ne dilue t'elle pas l'amour du prochain dans un bloudiboulga conceptuel ?

En quoi Vilaine S que tu ne connais ni d'Eve ni d'Adam et qui te méprise parce que tu es une feigne blanche au RSA devrait elle être aimée de toi , impérativement ?

Sous la torche

D'un porche

Où mon proche

Totoche

Se reproche

D'avoir perdu sa broche...

Il s'accroche !

Or elle est dans ma poche !

C'est moi qui la lui fauche !

Il a raté le coche !

Cette cloche

Après ça je filoche...

Dans ma Porsche

Fantoche

De Boche

Oui je sais : c'est très moche !

Il y a 4 heures, DroitDeRéponse a dit :

Où lis tu dans le texte que le samaritain aime ce marchand ?

...nul part. ..je crois en la bonne nature des hommes, Marchant incapable, faible ou au mieux en questionnemet..

faudrait il ne pas l'aimer?

Il y a 4 heures, DroitDeRéponse a dit :

Tu laisserais deux pauvres deniers qui ne suffiront pas et tu vaques à ton business alors que celui que tu aimes est mal  ?

Les romains auraient ils laissé plus de deux deniers?

Mais surtout, tu prends une distance surprenante avec le message du christ. . 3 deux pa

Il y a 4 heures, DroitDeRéponse a dit :

ivre On ne lit rien de tout ça dans le texte, Dolto a tout à fait raison.

Tu crées une injonction "à aimer" , ce n'est absolument pas ce que dit Jésus dans ce texte ....

......

Il y a 4 heures, DroitDeRéponse a dit :

Par ailleurs cette injonction ne colle pas , dans ce cas tu te dois d'aimer Abelslam, Brevik, dutroux et qui tu voudras , je ne crois pas que Jésus  soit le hérault d'un concept vide de sens qui finit en pleine aporie . Pourquoi interpréter , tordre , alors que le texte se comprend par lui même ?

Je ne suis pas le prochain de Dutroux ni d'Abdelslam , la porte n'est jamais fermée mais elle n'a pas à être ouverte par nécessité , c'est idiot cette injonction.

Le prochain n'est pas l'humain sinon pourquoi deux mots ?

Cette injonction , cette volonté d'universalisme louable au final ne dilue t'elle pas l'amour du prochain dans un bloudiboulga conceptuel ?

En quoi Vilaine S que tu ne connais ni d'Eve ni d'Adam et qui te méprise parce que tu es une feigne blanche au RSA devrait elle être aimée de toi , impérativement ?

dessolé our cette maigre vision..  dur dur bis

il y a une heure, saxopap a dit :

...nul part. ..je crois en la bonne nature des hommes, Marchant incapable, faible ou au mieux en questionnemet..

faudrait il ne pas l'aimer?

La question dans le texte ne se pose pas , pourquoi faudrait il l'aimer c'est peut être une ordure ....

Le samaritain se fait prochain et la question de l'amour ne se pose pas . Il s'arrête 5 minutes , lui prodigue les premiers soins filent deux deniers et le largue à la première auberge et vaque à son business .

il y a une heure, saxopap a dit :

Les romains auraient ils laissé plus de deux deniers?

Il n'y a pas de romains dans l'histoire .

il y a une heure, saxopap a dit :

Mais surtout, tu prends une distance surprenante avec le message du christ. . 3 deux pa

Je ne crois pas , pas plus Dolto d'ailleurs je la trouve très proche dans ses deux bouquins sur les évangiles , loin du dolorisme ambiant et du gnagnan du j'aime tout le monde même la pire ordure qui ne tient pas deux secondes

il y a une heure, saxopap a dit :

......

 

dessolé our cette maigre vision..  dur dur bis

 

Il y a 6 heures, saxopap a dit :

...nul part. ..je crois en la bonne nature des hommes, Marchant incapable, faible ou au mieux en questionnemet..

En quoi aimer par injonction un Dutroux aurait à voir avec la bonne nature des hommes ?

Un jour un homme se fera peut être son prochain parce que ce jour là c’etait Comme ça et il n’a pas fermé la porte  . Mais la bonne nature ne consiste pas selon moi à aimer universellement de Dutroux à MLK parce que notre nature est comme ci ou comme ça . Dans le texte c’est SA nature qui a fait que ce jour là le samaritain s’est fait prochain en consacrant une heure et 2 euros à cet inconnu .

Le 12/03/2018 à 22:32, ouest35 a dit :

" Jésus et Moïse parlaient un français correct "

Celle-là il fallait l'oser !

 

Le smiley me semble t’il est explicite .

                          LA SOUPE AUX CAILLOUX

Cet l'hivers là ,le froid était intense , la neige recouvrait le village

Au bord de l'épuisement, affamé et frigorifié, un jeune soldat chemine dans la rue principale. Les regards se détournent ,  rideaux et persiennes se referment sur le passage de cet étranger.

Atteignant la place du village ,il dépose à ses pieds son paquetage, et, à la surprise de tous allume un feu . Se frottant les mains de satisfaction, il regarde fondre la neige qu'il vient de déposer dans sa marmitte et choisit avec soin quelques cailloux qu'il dépose délicatement dans l'eau bouillonnante. Au bout de quelques minutes, il trempe sa cuiéllere dans la marmite puis la porte à ses lévres et fais montre d'une grande satisfaction.

Intrigué par cet étrange manége, un villageois s'enhardit et s'approche de lui.

- Que faites-vous donc là ?

- Et bien je prépare mon repas : la SOUPE AUX CAILLOUX

- Mais cela a t il un goût ? demande le villageois intrigué et curieux

- Bien sur, la meilleur des saveurs répondit le soldat mais encore faut il savoir la préparer !

- HOHo s'esclama le villageois , je suis certain qu'un bel oignon serait le bien venu dans cette marmitte.

Ce faisant, il retourne chez lui et rapporte un magnifique oignon. À sont retour de nombreux villageois se sont approchés et les remarques vont bon train:

- Quelques patates sont indispensables dit l'un d'entre eux, je m'en vais vous les chercher de ce pas .

- Cest un morceau de lard qu'il manque renchérit un autre

Au fil du temps, chacun voulu apporter sa contribution

Ce soir là, le jeune soldat, accompagné du  village tout entier, dégusta une SOUPE AUX CAILLOUX encore plus délicieuse que toutes celles qu'il avait gouté auparavant.

Le 08/07/2018 à 19:44, DroitDeRéponse a dit :

En quoi aimer par injonction un Dutroux aurait à voir avec la bonne nature des hommes ?

Un jour un homme se fera peut être son prochain parce que ce jour là c’etait Comme ça et il n’a pas fermé la porte  . Mais la bonne nature ne consiste pas selon moi à aimer universellement de Dutroux à MLK parce que notre nature est comme ci ou comme ça . Dans le texte c’est SA nature qui a fait que ce jour là le samaritain s’est fait prochain en consacrant une heure et 2 euros à cet inconnu .

Des histoires bien banales.  

Le seule vraie question n'est pas d'aimer tout le monde! La vrai charité, croyance, c'est être convaincu qu'il est toujours possible de remettre un homme sur le chemin du " bon" ( Les misérables)

Dutroux est pathologique...rien à voir avec le sujet des " hommes".  Une preuve par l'exemple dont tu connais la stérilité DDR.

La bise

il y a 2 minutes, saxopap a dit :

Des histoires bien banales.  

Le seule vraie question n'est pas d'aimer tout le monde! La vrai charité, croyance, c'est être convaincu qu'il est toujours possible de remettre un homme sur le chemin du " bon" ( Les misérables)

Dutroux est pathologique...rien à voir avec le sujet des " hommes".  Une preuve par l'exemple dont tu connais la stérilité DDR.

La bise

intéressant votre débat ça me fait penser a laurent baffie qui avait pour pote un tueur en série guy georges si ma mémoire est bonne.

il le connaissait pas plus que ça il le croisait dans les bars et buvait des verres ensemble en discutant de tout et de rien et se marrant ensemble ( c'est du moins l'explication qu'on en a eu de baffie en tout cas)

le chemin du bon tu cite et croyance et tout en est exemple... de conquérir l'amérique était le chemin du bon et du juste le croyance était et est encore la si un homme s'écartait de cela il fallait le remettre sur le chemin du bon car il prenais alors le mauvais chemin donc partant de ce postulat tout ceux qui ont participé de près ou de loin a la conquête de l'amérique était pathologique ? charité que d'écrire tout cela  

il y a 8 minutes, Korzybski a dit :

intéressant votre débat ça me fait penser a laurent baffie qui avait pour pote un tueur en série guy georges si ma mémoire est bonne.

il le connaissait pas plus que ça il le croisait dans les bars et buvait des verres ensemble en discutant de tout et de rien et se marrant ensemble ( c'est du moins l'explication qu'on en a eu de baffie en tout cas)

Et?   la france entière est faite bernée par ce tueur d'enfant comédien etc... quel enseignement en tirer? Aucun, Baffie n'en savait rien.  Et ce Guy Georges lui est pathologique.

il y a 8 minutes, Korzybski a dit :

 

le chemin du bon tu cite et croyance et tout en est exemple... de conquérir l'amérique était le chemin du bon et du juste le croyance était et est encore la si un homme s'écartait de cela il fallait le remettre sur le chemin du bon car il prenais alors le mauvais chemin donc partant de ce postulat tout ceux qui ont participé de près ou de loin a la conquête de l'amérique était pathologique ? charité que d'écrire tout cela  

Tu me fais tout mélanger.  Tueur en série ( Guy Georges etc..) sont pathologiques oui. 

Quel rapport avec ces rigoristes religieux qu'étaient les colons d'Amérique selon tes dires?

Je parlais de Jean Valjean, Victor Hugo.  explique mieux stp merci

il y a 1 minute, saxopap a dit :

Et?   la france entière est faite bernée par ce tueur d'enfant comédien etc... quel enseignement en tirer? Aucun, Baffie n'en savait rien.  Et ce Guy Georges lui est pathologique.

Tu me fais tout mélanger.  Tueur en série ( Guy Georges etc..) sont pathologiques oui. 

Quel rapport avec ces rigoristes religieux qu'étaient les colons d'Amérique selon tes dires?

Je parlais de Jean Valjean, Victor Hugo.  explique mieux stp merci

je ne me serais pas permis si je ne t'avais pas lu toi meme écrire dutroux visiblement en réponse a quelqu'un ici donc que vous mélangiez déja tout ceci avec le réel vous-meme dans votre échange j'ai donc juste ajouté un peut plus de matière réel a cela...oh et au passage de près ou de loin signifie un peut plus que les seuls colons   

il y a 31 minutes, saxopap a dit :

Des histoires bien banales.  

Le seule vraie question n'est pas d'aimer tout le monde!

C’est pourtant ce que tu prétendais in fine 

il y a 31 minutes, saxopap a dit :

a vrai charité, cr

Il n’est pas question de charité mais de qui est le prochain....

il y a 31 minutes, saxopap a dit :

oyance, c'est être convaincu qu'il est toujours possible de remettre un homme sur le chemin du " bon" ( Les misérables)

Le samaritain ne se pose pas cette question ....

Celui dont il s’est fait prochain est peut être un Dutroux.

il y a 31 minutes, saxopap a dit :

Dutroux est pathologique...rien à voir avec le sujet des " hommes"

Pathologique ?

Par rapport à qui à quoi ?

Abdelslam est pathologique ?

La justice ne les a pas considérés pathologiques 

il y a 31 minutes, saxopap a dit :

.  Une preuve par l'exemple dont tu connais la stérilité DDR.

La bise

Non un contrexemple suffit à balayer une généralité. C’est fécond 

il y a 9 minutes, Korzybski a dit :

je ne me serais pas permis si je ne t'avais pas lu toi meme écrire dutroux visiblement en réponse a quelqu'un ici donc que vous mélangiez déja tout ceci avec le réel vous-meme dans votre échange j'ai donc juste ajouté un peut plus de matière réel a cela...oh et au passage de près ou de loin signifie un peut plus que les seuls colons   

Non mais je ne te reproche rien, je cherche juste à dénouer la pelote  ...pas facile. 

il y a 6 minutes, DroitDeRéponse a dit :

C’est pourtant ce que tu prétendais in fine 

lol. j'apportais donc une précision 

il y a 6 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Il n’est pas question de charité mais de qui est le prochain....

 

Le samaritain ne se pose pas cette question ....

Celui dont il s’est fait prochain est peut être un Dutroux.

Pathologique ?

Par rapport à qui à quoi ?

Abdelslam est pathologique ?

La justice ne les a pas considérés pathologiques 

vrai...et pourtant.....

il y a 6 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Non un contrexemple suffit à balayer une généralité. C’est fécond 

Une preuve par l'exemple? toi un scientifique...passons 

Dis moi plutôt si tu/vous avez aimé mon histoire ( SOUPE AU CAILLOUX) Je la trouve instructive. Et vous?

il y a 47 minutes, saxopap a dit :

Non mais je ne te reproche rien, je cherche juste à dénouer la pelote  ...pas facile. 

lol. j'apportais donc une précision 

vrai...et pourtant.....

Une preuve par l'exemple? toi un scientifique...passons 

Dis moi plutôt si tu/vous avez aimé mon histoire ( SOUPE AU CAILLOUX) Je la trouve instructive. Et vous?

Un contrexemple suffit à invalider en science , c’est même un des critères pour discriminer ce qui l’est et ce qui ne l’est pas , c’est une preuve , la plus efficace pour prouver que le faux d’une assertion est vrai . Mais osef le sujet n’est en rien scientifique. Es tu le prochain d’abdelslam ?

Moi pas et je ne l’aime pas .