Méritez-vous d'être heureux ?

il y a 51 minutes, sirielle a dit :

Bonjour Arielle A,

oui, le malheur est perçu par la sensibilité mentale. Et l'existentialisme considère qu'il est possible d'influencer le cours de sa propre vie, et celle d'autres, aussi par la pensée et par anticipation, en fonction des choix qu'on fait et des valeurs auxquelles on tient ou pas. De composer avec le destin et le contexte.

Je crois pour ma part qu'un malheur peut aussi exister quelle que soit la réaction qu'on y oppose, tant qu'il n'a pas été consolé efficacement (et en sachant ne pas se limiter forcément à l'autosuffisance individuelle), ce qui dans certains cas peut s'avérer extrêmement difficile, et dans d'autres plus facile. Mais qu'il peut cependant quand même rester temporairement en suspend, sans donc être toujours également éprouvant. 

Bonjour Sirielle, bisous

Je le vois comme une chose de dépendant pas de moi, que je ne peux qu'accepter, ou le vouloir j'ai une approche stoïcienne.

il y a une heure, sirielle a dit :

Bonjour Arielle A,

oui, le malheur est perçu par la sensibilité mentale. Et l'existentialisme considère qu'il est possible d'influencer le cours de sa propre vie, et celle d'autres, aussi par la pensée et par anticipation, en fonction des choix qu'on fait et des valeurs auxquelles on tient ou pas. De composer avec le destin et le contexte.

Je crois pour ma part qu'un malheur peut aussi exister quelle que soit la réaction qu'on y oppose, tant qu'il n'a pas été consolé efficacement (et en sachant ne pas se limiter forcément à l'autosuffisance individuelle), ce qui dans certains cas peut s'avérer extrêmement difficile, et dans d'autres plus facile. Mais qu'il peut cependant quand même rester temporairement en suspend, sans donc être toujours également éprouvant. 

bonsoir Sirielle,

oui, bien sûr ... personne ne dit que c'est facile, loin de là ! mais quand on réussi à le dépasser, alors ce n'est plus un malheur : c'est une expérience qu'on n'a pas envie de renouveler mais qui nous a fait grandir... 

Hé bien je dis qu'on devrait créer un ministère du bonheurisme,avec  pour ministre christophe maé

il y a 23 minutes, cry baby a dit :

Hé bien je dis qu'on devrait créer un ministère du bonheurisme,avec  pour ministre christophe maé

C'est pas possible ... parce que lui , il le cherche encore .  

Je pense qu'on est heureux seulement si on le souhaite, donc dans un sens, si on est malheureux c'est mérité.  ...après ces histoires de pourcentages, on s'en fiche un peu non ?

il y a une heure, cry baby a dit :

Hé bien je dis qu'on devrait créer un ministère du bonheurisme,avec  pour ministre christophe maé

Ah non j aime pas sa voix ..

Je crois que la recherche du bonheur pour un etre humain c'est l'équivalent pour un arbre de se hisser jusqu'a trouver la lumière du soleil dans une foret plus ou moins touffue.

Prenons un arbre dans la foret amazonienne, certains ont la chance de pousser dans des endroits dégagés comme une clairière, alors que d'autres naissent en terrain nettement moins favorables.

Pour un etre humain un terrain peu favorable ce peut etre la conjonction de multiples facteurs qui s'accordent difficilement entre eux.

Il me semble que l'important dans tout ça c'est de réaliser qu'il n'y a rien a attendre d'une quelconque providence, rien a attendre de personne, il faut se hisser seul vers la lumière.

Bien sur il peut arriver de rencontrer des personnes empathiques qui auront la volonté d'aider les autres, mais elles n'y arriveront pas.

Le bonheur il faut le conquérir, le prendre au lasso.

C'est meme mieux que ça:    C'est le bonheur lui-meme qui vous courtise quand vous avez fait une percée vers la lumière.

En fait l'enjeu n'est pas d'être heureux ou malheureux. Le veritable enjeu c'est le choix entre vivre et fonctionner. Tu peux trouver du bonheur même dans la difficulté quand tu es vivant.

il y a 6 minutes, ping a dit :

En fait l'enjeu n'est pas d'être heureux ou malheureux. Le veritable enjeu c'est le choix entre vivre et fonctionner. Tu peux trouver du bonheur même dans la difficulté quand tu es vivant.

La c'est la conclusion de Camus dans:" il faut imaginer Sisyphe heureux".

Être "heureux", c'est une décision, une volonté. Ou comment voir le verre à moitié plein...

il y a 5 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Être "heureux", c'est une décision, une volonté. Ou comment voir le verre à moitié plein...

Je ne crois pas, non.

Ou alors dans certains cas, comme les personnes qui se s'autorisent pas a etre heureuses par la faute d'un sentiment de culpabilité.

Tu n'aimes pas mon image de l'arbre qui doit se frayer un chemin vers la lumière ?

Sans lumière il est impossible d'etre heureux, malgré la volonté que l'on en a.

Et a la limite, quand on s'est hissé jusqu'a la lumière, etre heureux ou non n'a plus vraiment d'importance, on "fonctionne".

L'arbre n'a pas le choix, s'il est cerné par d'autres qui l'empêchent de s'épanouir. Nous, avons le choix. Celui de geindre à perpétuité, ou celui de prendre le moindre rayon de soleil et s'en gorger sans condition et avec délectation. C'est comme ça que je vois...

il y a 4 minutes, Mite_Railleuse a dit :

L'arbre n'a pas le choix, s'il est cerné par d'autres qui l'empêchent de s'épanouir. Nous, avons le choix. Celui de geindre à perpétuité, ou celui de prendre le moindre rayon de soleil et s'en gorger sans condition et avec délectation. C'est comme ça que je vois...

Si tu le vois comme ça c'est que tu as atteint la lumière depuis longtemps.

On a pas d'autre choix pour parvenir a etre heureux que de se hisser vers cette lumiére, au dessus de ce qui la cache.

Et comme je l'ai dit, certains poussent en terrain favorable, d'autres en terrain trés défavorable.

à l’instant, swam a dit :

Si tu le vois comme ça c'est que tu as atteint la lumière depuis longtemps.

On a pas d'autre choix pour parvenir a etre heureux que de se hisser vers cette lumiére, au dessus de ce qui la cache.

Et comme je l'ai dit, certains poussent en terrain favorable, d'autres en terrain trés défavorable.

 

Avoir une "philosophie" de vie, n'induit pas nécessairement d'y parvenir d'un claquement de doigts. Mais je persiste et signe, c'est une décision. Et qu'importe le terrain.

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

Avoir une "philosophie" de vie, n'induit pas nécessairement d'y parvenir d'un claquement de doigts. Mais je persiste et signe, c'est une décision. Et qu'importe le terrain.

Tu es heureuse ?

à l’instant, swam a dit :

Tu es heureuse ?

Tiens, je vais te faire une réponse à la Swam : c'est tellement difficile à expliquer qu'il me faudrait écrire une encyclopédie en 2O volumes pour y parvenir...

Il y a 2 heures, CM07591 a dit :

Je pense qu'on est heureux seulement si on le souhaite, donc dans un sens, si on est malheureux c'est mérité.  ...après ces histoires de pourcentages, on s'en fiche un peu non ?

Hum! 'va le dire aux parents des victimes d'attentats, de meurtre, de maladie létale....etc, qu'ils l'ont mérité !

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Tiens, je vais te faire une réponse à la Swam : c'est tellement difficile à expliquer qu'il me faudrait écrire une encyclopédie en 2O volumes pour y parvenir...

Oh c'est pas gentil ça.

Sur cette question tu pourrais te contenter de dire:  plutot oui ou plutot non.

Ou mieux encore:  Je ne le suis pas mais je m'y efforce.

à l’instant, swam a dit :

Oh c'est pas gentil ça.

Sur cette question tu pourrais te contenter de dire:  plutot oui ou plutot non.

Ou mieux encore:  Je ne le suis pas mais je m'y efforce.

 

C'est chiant hein ?

L'abscence de bonheur ne veut pas dire malheur heureusement. Le malheur peu le méritent mais chacun de nous y a droit un jour, tandis que le bonheur n'est pas pour tout le monde mais seulement pour ceux qui savent le trouver.