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Macron évite le piège Algérien de la demande de repentance

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Membre, 43ans Posté(e)
hanss Membre 48 440 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Arn a dit :

Quand vous parlez de génocide dans la première phrase, vous parlez de quelle situation ? J'ai une partie de ma famille qui est pied-noir de moulte générations et je sais ce que ça veut dire mais cela n'empêche pas que les Français n'avaient pas à coloniser le territoire algérien par la force. Je vous signale parce que vous semblez ne pas le savoir que les premières populations algériennes qui sont venues assez massivement en France, cela s'est passé juste après guerre car il y avait un manque de main-d'œuvre important, que la main-d'œuvre algérienne était moins coûteuse, et que ce sont des entreprises comme les entreprises automobiles qui sont allées les chercher. Si vous plaît il n'y a aucune comparaison à faire entre les populations migrantes algériennes ou autres qui qui ne sont pas venues en France par la force et la violence et la colonisation faite par les Français en Afrique et dans le monde. Parce que je sais que des gens qui qui mélangent les deux.

Certains pensent qu'en 1830 Il y a eu génocide des Algériens. 

Et Alors? Peu importe qu'ils soient venus aprés 45. L'Afrique était pleine de main d'œuvre pas cher. Ils auraient pu être refusé aprés 62. La france n'a pas fait la connasse malgré la guerre Et la déco. Je ne mélange rien. Les Algériens étaient Bien contents de venir pendant ou aprés la déco. La france ne leur a pas fermé la porte. 

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Membre, Couillon de première, 71ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
71ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
il y a 26 minutes, fx. a dit :

Sur ce passé, il n’y a pas eu de grands procès devant des juridictions civiles. Or, même si les procès ont toujours pour but de juger des individus et non des politiques conduites par des États ou des institutions, il est arrivé que, pour d’autres périodes tragiques du passé de la France, des procès aient aidé la société à réfléchir aux mécanismes qui ont conduit à de graves violations des droits de l’Homme et aux responsabilités individuelles et collectives qui les ont permises. Dans le cas de la colonisation, aucun procès ne remplira jamais ce rôle. Non seulement les faits remontent à plus d’un demi-siècle et les protagonistes ont presque tous disparu, mais le processus colonial a pesé, en réalité, pendant plusieurs siècles sur notre histoire et mis en cause de nombreuses responsabilités dans des contextes où beaucoup d’autres questions se posaient aux sociétés européennes. Même si cela avait été possible, on peut douter que le seul jugement de crimes qui avaient marqué les derniers moments de ce processus colonial aurait pu aider à prendre conscience de son essence et de ses logiques. La question de la torture dans la guerre d’Algérie ne peut pas en être isolée, elle a pu parfois occulter dans l’opinion française la généralité et l’ampleur du fait colonial lui-même qui était premier et essentiel dans son emploi.

Il nous faut aussi faire notre deuil d’un dispositif à la manière de l’opération « vérité et réconciliation » de l’Afrique du sud, qui reposait sur l’idée que l’aveu, le récit des faits et la demande de pardon pouvaient dispenser des criminels d’une poursuite judiciaire. Ici, l’amnistie ayant été accordée, rien de ce type n’est envisageable. Pourtant, l’idée d’invoquer indissociablement les notions de vérité et de réconciliation, de proclamer qu’on ne peut atteindre la seconde qu’au prix de la première, reste, en ces questions, fondamentale. Comme l’est l’idée de justice pour parvenir à un vrai dépassement des drames d’hier, même si la recherche de la justice ne peut pas passer, ici, par le jugement des individus.

  • 21 Loi du 23 décembre 1964, article 10 : « Il est interdit à tout magistrat ou fonctionnaire de l’ordr (...)
  • 22 Loi du 17 juin 1966, article 15 : « Il est interdit à toute personne en ayant eu connaissance dans (...)
  • 23 Le livre d’Olivier Dard, (Voyage au cœur de l’OAS, Librairie Académique Perrin, « Tempus », 2010, 5 (...)

De ce point de vue, il y a dans les lois d’amnistie de 1964 et 1966 des articles qui sont souvent interprétés comme une interdiction d’évoquer les faits jugés et amnistiés. La loi de 1964 « interdit à tout magistrat ou fonctionnaire de l’ordre administratif […] de rappeler ou de laisser subsister sous quelque forme que ce soit, dans un dossier judiciaire ou de police ou dans tout document quelconque, les condamnations et déchéances effacées par l’amnistie21 ». On retrouve une formulation proche dans la loi de 1966 qui « interdit à toute personne en ayant eu connaissance dans l’exercice de ses fonctions, de rappeler sous quelque forme que ce soit ou de laisser subsister dans tout document quelconque, les condamnations pénales, les sanctions disciplinaires ou professionnelles et les déchéances effacées par l’amnistie22 ». Ces articles sont souvent présentés comme une interdiction de mentionner les faits historiques relatifs au putsch ou à l’OAS qui ont fait l’objet de condamnations. Une sorte de tabou sur cette histoire nuit à la connaissance de sa réalité. Tandis que ce sujet apparaît comme un trou noir pour les travaux universitaires qui n’ont pas quelque sympathie à l’égard de l’OAS, les irréductibles de l’Algérie française tentent de contrôler l’écriture de leur combat23.

  • 24 La loi du 15 juillet 2008 (n° 2008-696) stipule que les archives judiciaires dans leur ensemble son (...)

En même temps, la loi sur les archives du 15 juillet 2008 impose des délais pour la consultation des archives judiciaires relatives à la guerre d’Algérie et introduit une notion, celle de « protection de la vie privée », qui pourrait, en l’occurrence, être utilisée pour interdire la diffusion d’informations sur des poursuites judiciaires et condamnations de l’époque24. On est là à l’exact opposé du principe de « vérité et réconciliation ». Non seulement l’exposé des faits criminels n’est pas une condition de leur amnistie, mais ces amnisties s’accompagnent d’un effort pour garder secrets des faits criminels. Autant d’éléments qui facilitent la réécriture de l’histoire des crimes terroristes et racistes de l’OAS, en présentant celle-ci comme un mouvement de « résistance ».

 

http://journals.openedition.org/revdh/252

Alors après on peut parler de l'Allemagne qu'on ne blâme pas, invoquer les instrumentalisations et traiter les gens de pleureuses parce que le déni est plus fort que tout .

Je suis tout à fait d'accord avec vous, il y a réellement un déni de voir la réalité historique en France que le totalitarisme colonial français et européen a fait de par le monde.

En lisant ce topic j'ai vraiment le sentiment de lire le même type de message que sur la question du sexisme en France avec le #balance ton porc. Il y a foultitude d'hommes qui refusent de voir que nous vivons encore dans une société patriarcale et machiste, même si les choses ont évolué, et ici c'est pareil : non, non, la colonisation ça n'a pas été grave et puis c'était il y a fort longtemps (drôle de vision du temps !) Et puis on a fait plein de structures, et on les a éduqués (83 % des Algériens n'avaient pas reçu d'éducation de la part de l'éducation française jusqu'à 39 45,).

Le déni est constant et perpétuel et il n'y a pas que chez nous on voit ça en général chez tous les vainqueurs, car il est clair que les vainqueurs de la colonisation n'ont pas été les pays indépendants mais l'Europe.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 7 minutes, hanss a dit :

Le service de la préfecture qui s'occupait des harkis et de leurs descendants a été fermé sous l'ère Sarko. Ce statut n'est plus reconnu. Les enfants de harkis bénéficiaient à l'époque d'aides aux devoirs, d'aide dans la recherche d'emploi de bourses d'études etc... En 2005 Il me semble Tous les harkis  ont été convoqué Tour à Tour à la préfecture pour leur annoncer la fermeture du service et leur donner l'argent qui restait dans les caisses pour eux.

Je sais bien mais ce fut souvent un peu tard , et je n'ai pas dit qu'il fallait le faire mais que leur vie de français  Était l'affaire des francais . Réciproquement ce jeune algerien pour les doléances n'a qu'à voir avec boutef ou belhadj .

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 5 minutes, Arn a dit :

Le déni est constant et perpétuel et il n'y a pas que chez nous on voit ça en général chez tous les vainqueurs,

Vu que votre remarque concerne la guerre d'Algérie, ça peut prêter à sourire .

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Membre, Couillon de première, 71ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
71ans‚ Couillon de première,
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il y a 2 minutes, hanss a dit :

Certains pensent qu'en 1830 Il y a eu génocide des Algériens. 

Et Alors? Peu importe qu'ils soient venus aprés 45. L'Afrique était pleine de main d'œuvre pas cher. Ils auraient pu être refusé aprés 62. La france n'a pas fait la connasse malgré la guerre Et la déco. Je ne mélange rien. Les Algériens étaient Bien contents de venir pendant ou aprés la déco. La france ne leur a pas fermé la porte. 

Je n'ai jamais lu un seul historien écrire qu'il y avait eu un génocide en Algérie.

Apparemment vous ne connaissez pas l'Afrique du tout, vous comparez des populations qui avaient une écriture une culture et qui avait eu aussi des siècles de lumière et fait évoluer la science, jusqu'à son jusqu'au déclin du monde arabe, les populations d'Afrique Noire étaient encore beaucoup moins éduquées à l'écriture à la lecture de la langue française. Pratiquement aucun d'entre eux n'allait à l'école parce que la France ne voulait rien faire ; j'ajoute même qu'en Algérie 83 % des personnes n'avaient pas été scolarisé avant la guerre 39 45.

Ensuite il y a la proximité l'Algérie n'est pas loin, Dakar qui au plus près c'est déjà de l'ordre de trois à 4000 km. De plus pour travailler dans l'industrie française il fallait parler et écrire correctement le français ce qui était davantage le cas et population algérienne ou maghrébine que des populations noires qui ne vivaient pas dans un monde industriel comme en Europe ou même en Afrique du Nord.

Que s'est-il passé après la fin de la colonisation où on a laissé ces pays dans des états pitoyables pour la quasi-totalité d'entre eux ? Des populations des pays colonisés par l'Angleterre sont allées en Grande-Bretagne, comme les hindous les Bengalais ou autre. Ces populations ne sont pas venus en général en France et inversement les anciennes colonisations françaises ont fait que les anciens colonisés sont venus en France et pendant Angleterre. Ceci est de logique est-ce que je dirais le retour de bâton.

il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

Vu que votre remarque concerne la guerre d'Algérie, ça peut prêter à sourire .

Mais vous êtes vraiment idiots pour n'arriver à rien interprété : d'un point de vue globale qui a été vainqueur de la colonisation les colonisés ou les colonisateurs ? La réponse est tellement évidente qu'il n'y a pas besoin de chercher sur quoi que ce soit pour trouver la réponse, mais apparemment vous êtes myopes.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 3 minutes, Arn a dit :

Je n'ai jamais lu un seul historien écrire qu'il y avait eu un génocide en Algérie.

 

Il me semble qu'invité fx. avait du donner des noms sur ce topic .

 

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, 43ans Posté(e)
hanss Membre 48 440 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je sais bien mais ce fut souvent un peu tard , et je n'ai pas dit qu'il fallait le faire mais que leur vie de français  Était l'affaire des francais . Réciproquement ce jeune algerien pour les doléances n'a qu'à voir avec boutef ou belhadj .

L'essentiel c'est que le statut de harkis a été pris en compte mieux vaut tard que jamais. 

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Il me semble qu'invité fx. avait du donner des noms sur ce topic .

 

J'en ai d'autres aussi:

Au total, cent trente deux ans de colonisation française en Algérie (1830-1862) aurait fait, selon l’historien Mostafa Lacheraf, environ 6 millions de morts algériens (22)

(22) Cf. Lacheraf Mostefa, L’Algérie : Nation et Société, Alger, Ed. Casabah, 2004

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Membre, 43ans Posté(e)
hanss Membre 48 440 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, Arn a dit :

Je n'ai jamais lu un seul historien écrire qu'il y avait eu un génocide en Algérie.

Apparemment vous ne connaissez pas l'Afrique du tout, vous comparez des populations qui avaient une écriture une culture et qui avait eu aussi des siècles de lumière et fait évoluer la science, jusqu'à son jusqu'au déclin du monde arabe, les populations d'Afrique Noire étaient encore beaucoup moins éduquées à l'écriture à la lecture de la langue française. Pratiquement aucun d'entre eux n'allait à l'école parce que la France ne voulait rien faire ; j'ajoute même qu'en Algérie 83 % des personnes n'avaient pas été scolarisé avant la guerre 39 45.

Ensuite il y a la proximité l'Algérie n'est pas loin, Dakar qui au plus près c'est déjà de l'ordre de trois à 4000 km. De plus pour travailler dans l'industrie française il fallait parler et écrire correctement le français ce qui était davantage le cas et population algérienne ou maghrébine que des populations noires qui ne vivaient pas dans un monde industriel comme en Europe ou même en Afrique du Nord.

Que s'est-il passé après la fin de la colonisation où on a laissé ces pays dans des états pitoyables pour la quasi-totalité d'entre eux ? Des populations des pays colonisés par l'Angleterre sont allées en Grande-Bretagne, comme les hindous les Bengalais ou autre. Ces populations ne sont pas venus en général en France et inversement les anciennes colonisations françaises ont fait que les anciens colonisés sont venus en France et pendant Angleterre. Ceci est de logique est-ce que je dirais le retour de bâton.

Mais vous êtes vraiment idiots pour n'arriver à rien interprété : d'un point de vue globale qui a été vainqueur de la colonisation les colonisés ou les colonisateurs ? La réponse est tellement évidente qu'il n'y a pas besoin de chercher sur quoi que ce soit pour trouver la réponse, mais apparemment vous êtes myopes.

:D

oui je ne connais rien au Maghreb. Je suis issue de l'immigration. Mon pére a été recruté par Manpower au Maroc pour venir travailler dans le bâtiment c'était en 78. 

Je n'étais même pas née encore.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 16 minutes, Arn a dit :

Mais vous êtes vraiment idiots pour n'arriver à rien interprété : d'un point de vue globale qui a été vainqueur de la colonisation les colonisés ou les colonisateurs ? La réponse est tellement évidente qu'il n'y a pas besoin de chercher sur quoi que ce soit pour trouver la réponse, mais apparemment vous êtes myopes.

La réponse n'a rien d'évident et vous omettez la réponse C : personne . Si De Gaulle a compris tout le monde peut être est-ce parce qu'il avait compris .

 

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/les-couteuses-colonies-de-la-france_1414563.html

 

il y a 8 minutes, fx. a dit :

J'en ai d'autres aussi:

Au total, cent trente deux ans de colonisation française en Algérie (1830-1862) aurait fait, selon l’historien Mostafa Lacheraf, environ 6 millions de morts algériens (22)

(22) Cf. Lacheraf Mostefa, L’Algérie : Nation et Société, Alger, Ed. Casabah, 2004

 

il y a 16 minutes, Arn a dit :

Je n'ai jamais lu un seul historien écrire qu'il y avait eu un génocide en Algérie.

 

Vous ne lisez pas assez . En comptant les grippes et en partant des extrapolations de Yacono on peut largement arriver à un génocide qui a conduit à une augmentation de la population et à des millions d'algériens en France .

il y a 10 minutes, hanss a dit :

L'essentiel c'est que le statut de harkis a été pris en compte mieux vaut tard que jamais. 

 

Par contre pas sur que chez les harkis soient à fond pour la flagellation devant boutef . On se demande pourquoi

 

 

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 19 minutes, hanss a dit :

 Mon pére a été recruté par Manpower au Maroc pour venir travailler dans le bâtiment c'était en 78. 

 

Encore une victime du capitalisme neoliberal de la mort qui tue :(

 

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Membre, 43ans Posté(e)
hanss Membre 48 440 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Encore une victime du capitalisme neoliberal de la mort qui tue :(

 

Il était marchand de légumes pour la petite histoire et Manpower recrutait des gaillards. Mon pére est grand et costaud. Il a vieilli il a 74 ans Mais Il ne Fait pas son âge.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 4 minutes, hanss a dit :

Il était marchand de légumes pour la petite histoire et Manpower recrutait des gaillards. Mon pére est grand et costaud. Il a vieilli il a 74 ans Mais Il ne Fait pas son âge.

Pire que tout, il a été obligé de prostituer son corps, il a du être usé par le grand capital jusque la corde . Ne lâchons rien . Tous les primeurs de mon bled sont maghrébins , ça sent le néocolonialisme .

Modifié par DroitDeRéponse
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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)

Au niveau démographique, la conquête génocidaire menée par les troupes françaises provoqua une importante baisse de la population algérienne. En quelques années, le peuple algérien fut véritablement décimé. Avant la conquête française de 1830, l’Algérie comptait entre 3 et 5 millions d’habitants sur son territoire. La population algérienne a connu un recul démographique quasiment constant durant la période de la conquête jusqu'à son étiage le plus bas en 1872. La période de la conquête de l’Algérie (1830-1871) fut marquée par trois grandes phases démographiques d'évolution de la population algérienne. De 1830 à 1856, la population algérienne tomba d’environ 5 à 3 millions d’habitants à environ 2,3 millions. Par la suite, elle remonta jusqu'à 2,7 millions en 1861 avant de connaître sa chute la plus brutale à 2,1 millions d’habitants en 1872. La population algérienne ne retrouva son niveau d’environ 3 millions d’individus qu’en 1890 (14).

En se basant sur ces chiffres, nous pouvons établir que l’Algérie a perdu entre 30 et 58% de sa population au cours des quarante-deux premières années (1830-1872) de la colonisation française. Des pertes humaines d’une telle ampleur, volontairement provoquées par une autorité politique responsable, ne peuvent être qualifiées que par le terme de génocide (15).

http://www.ism-france.org/analyses/Le-passe-genocidaire-de-la-France-en-Algerie-article-16433

https://books.google.fr/books?id=yEvQZ7bdybgC&pg=PR21&lpg=PR21&dq=kateb+population+algérienne&source=bl&ots=dSZY-BFbDq&sig=vbHOU5bZhclzNKb7IjlOhSC_DB4&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwje2NeNlo3YAhUMmbQKHRcvCcYQ6AEIYTAJ#v=onepage&q=kateb population algérienne&f=false

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Pour ceux souhaitant savoir d'où viennent ces chiffres de 3 à 5 millions issus d'une extrapolation sur des chiffres variant de 1 à 10 voir le lien sur le topic colonisation quelques posts au dessus . Ces chiffres ont déjà été postés par le forumeur "invité Fx." , inutile de poursuivre le HS , ceux intéressés par la question n'ont qu'à suivre la flèche .

 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 752 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Arn a dit :

bien sûrs qu'ils n'ont pas été colonisés que par les Français. Écrire cela c'est la vérité et c'est un lieu commun. Énormément de peuples dans l'histoire ont été colonisés par d'autres peuples c'est tout à fait le cas du territoire français où il y a eu les Romains, les francs, les carolingiens, les mérovingiens, les Mongols, les Arabes, enfin bref la liste est longue.

Mais, il est incroyable que vous ne preniez jamais en compte l'aspect temporel. Aujourd'hui, il y a encore des juifs qui souffrent des conséquences de la Shoah, les noirs aux États-Unis en particulier souffrent toujours des conséquences de l'esclavage et on le voit bien dans le quotidien , des gens sont encore en manque et en souffrance de leurs parents ou grands-parents qu'ils ont perdus pendant la guerre 14 18 ou la guerre 39 45.

Prenant le cas de la colonisation arabe en Espagne : celle-ci a débuté en 711, époque où l'Espagne, ou plutôt la péninsule Ibérique, était largement peuplé par des Wisigoths, les Basques existaient déjà. La reconquête espagnole s'est terminée en 1492. On peut considérer qu'elle a commencé à la fin du Xe siècle. Autrement dit entre la fin de la colonisation arabe en 716 et la fins de la reconquête espagnole en 1492, il s'est passé huit siècles ! Ce qui veut dire, entre autres, que ces gens n'avaient jamais digéré cette colonisation. Il faut admettre que c'était très souvent une guerre entre nobles chrétiens et nobles musulmans. Mais, pendant cette période, il y avait quasi égalité de droits dans ce califat entre les musulmans, les chrétiens, et les juifs. Il n'empêche que les gens n'acceptait pas cette colonisation et ont été marqué par celle-ci pendant des siècles.

Alors, quand vous parlez des ancêtres, je vous signale que beaucoup de Français comme beaucoup d'Algériens qui ont vécu la guerre d'indépendance de l'Algérie, sont toujours vivants et parfois même assez « jeunes ». Les pieds noirs sont encore marqués aujourd'hui par cette guerre qu'ils ont vécue ; comment reprocher aux populations algériennes la même chose ! Et les souffrances de la colonisation qui les a vécus les pieds noirs ou les populations algériennes ? Qui ont été les victimes principales de cette colonisation ? Qui a pris fin en 1962.

Bien sûr qu'il faut voir le futur mais construire le futur sans tenir compte du passé est une erreur qui se révèle souvent funeste.

Sans vos ancêtres, sans l'apport sociétal de nos ancêtres, nous ne serions rien. Nos ancêtres, il y a quelques centaines de milliers d'années, avait les mêmes capacités cognitives et intellectuelles que nous aujourd'hui. Si un jour par les hasards de la science on faisait renaître le premier Homo sapiens sapiens (homme qui pense qu'il pense) aujourd'hui, il serait en capacité de vivre dans la société actuelle tout autant que vous ou moi. Mais la grosse différence est que ces personnes n'avaient pas les mêmes compétences et ceci est normale puisque les compétences sont transmises de génération en génération à chaque fois en s'enrichissant de nouvelles connaissances.

L'histoire ne s'efface pas d'un trait de crayon ; il n'a pas suffi du procès de Nuremberg pour oublier ce qui a été fait par les nazis ; la chute du communisme c'était il y a 28 ans, la fin de la colonisation algérienne c'était il y a 55 ans, soit même pas le double. Et vous pensez que le monde et tout particulièrement l'Europe de l'Est va oublier d'un seul coup la chute du communisme en 89. Impossible et compréhensible.

Puisque il ne faut pas tenir compte du passé, alors oublions le communisme bolchevique ou le nazisme allemand et tentons de refaire la même chose ! Bien entendu, je vous comprends, vous allez répondre non bien sûr, comme moi je le ferai car une société qu'elle soit-elle ne peut pas se construire correctement sans tenir compte du passé. C'est tellement évident écrire ceci.

Tenir compte du passé est évident, mais s'y complaire, non!

L'instinct naturel n'est pas de juste survivre, sauf en temps de guerre!

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Invité
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Je n'ai pas lu tout le topic, et ça a peut-être déjà été posté. 

Waouh, je découvre et j'en reste pantoise. Je crois que côté terrorisme, c'est pas mal dans le genre, et ça ne remonte pas si loin que ça dans l'histoire. 

Quand donc ces crânes seront-ils rendus ? Et avec des excuses ce serait mieux. 

« Les crânes de résistants algériens » n’ont rien à faire au Musée de l’homme

Les crânes des révoltés de 1849 doivent être restitués pour rappeler l’histoire de la colonisation en Algérie, explique un collectif d’intellectuels, parmi lesquels l’écrivain Didier Daeninckx, l’historien Gilles Manceron ou l’universitaire Mohamed Tayeb Achour.

 

En mai 2011, l’archéologue et historien algérien Ali Farid Belkadi lançait une pétition « pour le rapatriement des restes mortuaires algériens conservés dans les musées français », en particulier les crânes de résistants algériens tués par le corps expéditionnaire français dans les années 1840 et 1850, qu’il venait de retrouver dans les réserves du Musée de l’homme à Paris.

Alors que cet appel était lancé un an après le vote, par le Parlement français, d’une loi exigeant la « restitution [à la Nouvelle-Zélande] de toutes les têtes maories détenues en France », il n’a eu malheureusement que très peu d’écho. En mai dernier, l’universitaire et écrivain algérien Brahim Senouci a lancé un nouvel appel pour que soient restituées les « têtes des résistants algériens détenues par le Musée de l’homme », afin que leur pays les honore, avec cette fois un écho nettement plus large.

Il nous a paru important de le relayer en rappelant la raison de la présence dans un musée parisien de ces restes mortuaires, à partir de l’histoire de l’un d’entre eux : le crâne du cheikh Bouziane, chef de la révolte de Zaâtcha en 1849, écrasée par une terrible répression, emblématique de la violence coloniale.

Un siège de quatre mois

En 1847, après la reddition d’Abd-el- Kader, les militaires français croient que c’en est fini des combats en Algérie après plus de dix ans d’une guerre de conquête d’une sauvagerie inouïe. Mais, alors que le danger était surtout à l’ouest, il réapparaît à l’est début 1849, dans le Sud-Constantinois, près de Biskra, où le cheikh Bouziane reprend le flambeau de la résistance. Après des affrontements, il se retranche dans l’« oasis » de Zaâtcha, une véritable cité fortifiée où, outre des combattants retranchés, vivent des centaines d’habitants, toutes générations confondues.

 

Le 17 juillet 1849, les troupes françaises envoyées en hâte entament un siège, qui durera quatre mois. Après un premier assaut infructueux, l’état-major prend la mesure de la résistance et envoie une colonne de renfort de plus de 5 000 hommes, commandée par le général Émile Herbillon (1794-1866), commandant de la province de Constantine, suivie d’une autre, des zouaves dirigés par le colonel François Canrobert (1809-1895). Deux officiers supérieurs, plusieurs milliers d’hommes contre une localité du grand sud algérien, deux décennies après la prise d’Alger : la résistance algérienne était d’une ampleur et d’une efficacité exceptionnelles.

Le 26 novembre, les assiégeants, exaspérés par la longueur du siège, voyant beaucoup de leurs camarades mourir (des combats et du choléra), informés du sort que les quelques Français prisonniers avaient subi (tortures, décapitations, émasculations…), s’élancent à l’assaut de la ville. Chaque maison devient un fortin, chaque terrasse un lieu d’embuscade contre les assaillants. Après d’âpres combats, au cours desquels les Français subissent de lourdes pertes, le drapeau tricolore flotte sur le point culminant de l’oasis.

 

Deux ans plus tard, Charles Bourseul, un « ancien officier de l’armée d’Afrique » ayant participé à l’assaut, publiera son témoignage : « Les maisons, les terrasses sont partout envahies. Des feux de peloton couchent sur le sol tous les groupes d’Arabes que l’on rencontre. Tout ce qui reste debout dans ces groupes tombe immédiatement sous la baïonnette. Ce qui n’est pas atteint par le feu périt par le fer. Pas un seul des défenseurs de Zaâtcha ne cherche son salut dans la fuite, pas un seul n’implore la pitié du vainqueur, tous succombent les armes à la main, en vendant chèrement leur vie, et leurs bras ne cessent de combattre que lorsque la mort les a rendus immobiles. ». Il s’agissait là des combattants.

Destruction méthodique

Or, l’oasis abritait aussi des femmes, des vieillards, des enfants, des adolescents. La destruction de la ville fut totale, méthodique. Les maisons encore debout furent minées, toute la végétation arrachée. Les « indigènes » qui n’étaient pas ensevelis furent passés au fil de la baïonnette.

Dans son livre La Guerre et le gouvernement de l’Algérie, le journaliste Louis de Baudicour racontera en 1853 avoir vu les zouaves « se précipiter avec fureur sur les malheureuses créatures qui n’avaient pu fuir », puis s’acharner : « Ici un soldat amputait, en plaisantant, le sein d’une pauvre femme qui demandait comme une grâce d’être achevée, et expirait quelques instants après dans les souffrances ; là, un autre soldat prenait par les jambes un petit enfant et lui brisait la cervelle contre une muraille ; ailleurs, c’étaient d’autres scènes qu’un être dégradé peut seul comprendre et qu’une bouche honnête ne peut raconter. Des procédés aussi barbares n’étaient pas nécessaires, et il est très fâcheux que nos officiers ne soient pas plus maîtres en expédition de leurs troupes d’élite, qu’un chasseur ne l’est d’une meute de chiens courants quand elle arrive avant lui sur sa proie. »

D’après les estimations les plus basses, il y eut ce jour-là huit cents Algériens massacrés. Tous les habitants tués ? Non. Le général Herbillon se crut obligé de fournircette précision : « Un aveugle et quelques femmes furent seuls épargnés ». Le pire est que la presse française d’alors reprit ce rapport cynique.

 

Fusillés puis décapités

Il y eut trois autres « épargnés »… provisoirement. Les Français voulurent capturer vivant – dans le but de faire un exemple – le chef de la résistance, le cheikh Bouziane. Au terme des combats, il fut fait prisonnier. Son fils, âgé de quinze ans, l’accompagna, ainsi que Si-Moussa, présenté comme un marabout. Que faire d’eux ? Ces « sauvages » n’eurent pas droit aux honneurs dus aux combattants.

Le général Herbillon ordonna qu’ils soient fusillés sur place, puis décapités. Leurs têtes, au bout de piques, furent emmenées jusqu’à Biskra et exposées sur la place du marché, afin d’augmenter l’effroi de la population. Un observateur, le docteur Ferdinand Quesnoy, qui accompagnait la colonne, dessina cette macabre mise en scène qu’il publia en 1888 dans un livre, témoignage promis à un certain avenir

Que devinrent les têtes détachées des corps des combattants algériens ? Qui a eu l’idée de les conserver, pratique alors courante ? Où le furent-elles et dans quelles conditions ? Quand a eu lieu leur sordide transfert en « métropole » ? Cela reste à établir, même si certaines sources indiquent la date de 1874, d’autres la décennie 1880. Il semble certaines d’elles aient été d’abord exposées à la Société d’anthropologie de Paris, puis transférées au Musée de l’homme. Elles y sont encore aujourd’hui.

Soutenir les appels de citoyens algériens à rapatrier ces dépouilles dans leur pays, pour leur donner une sépulture digne comme cela fut fait pour les rebelles maori ou les résistants kanak Ataï et ses compagnons (en 2014), ne revient aucunement pour nous à céder à un quelconque tropisme de « repentance » ou d’une supposée « guerre des mémoires », ce qui n’aurait strictement aucun sens. Il s’agit seulement de contribuer à sortir de l’oubli l’une des pages sombres de l’histoire de France, celles dont l’effacement participe aujourd’hui aux dérives xénophobes qui gangrènent la société française.

Les signataires: Pascal Blanchard historien ; Raphaëlle Branche, historienne ; Christiane Chaulet Achour, universitaire ; Didier Daeninckx, écrivain ; René Gallissot, historien ; François Gèze, éditeur ; Mohammed Harbi, historien ; Aïssa Kadri, sociologue ; Olivier Le Cour Grandmaison, universitaire ; Gilles Manceron, historien ; Gilbert Meynier, historien ; François Nadiras, Ligue des droits de l’homme ; Tramor Quemeneur, historien ; Malika Rahal, historienne ; Alain Ruscio, historien ;Benjamin Stora, historien ; Mohamed Tayeb Achour, universitaire.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/07/09/les-cranes-de-resistants-algeriens-n-ont-rien-a-faire-au-musee-de-l-homme_4966904_3232.html#vz0I2JP44PsF50AB.99

 

Modifié par Ines Presso
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Membre, Couillon de première, 71ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
71ans‚ Couillon de première,
Posté(e)
Il y a 1 heure, fx. a dit :

J'en ai d'autres aussi:

Au total, cent trente deux ans de colonisation française en Algérie (1830-1862) aurait fait, selon l’historien Mostafa Lacheraf, environ 6 millions de morts algériens (22)

(22) Cf. Lacheraf Mostefa, L’Algérie : Nation et Société, Alger, Ed. Casabah, 2004

j'ai lu le lien Internet il est clairement indiqué que la personne qui a écrit ce texte a plutôt tendance à contredire le terme de génocide. Et par ailleurs ce lien, s'il est fiable et il le semble, il dit bien les grandes divergences qu'il y avait entre les différentes estimations de la population de ce territoire dont certains estimés même jusqu'à 10 millions d'habitants ce qui semble très invraisemblable.

Selon le livre que j'ai lu sur la colonisation qui est pour moi la référence, le livre noir du colonialisme écrit par 30 historiens sous la direction de Marc Ferro, livre épais et très étayé de documentation, la population du territoire algérien (il est préférable de dire ceci, car ce territoire n'avait rien à voir avec l'Algérie d'aujourd'hui) colonisés par les Français entre entre 1830 et 1860 avaient baissé de 25 %, avec beaucoup de massacres et aussi des maladies comme le choléra. L'estimation faite de la population algérienne du début du XIXe siècle étend estimée entre 750 000 et 800 000 habitants. L'estimation des victimes et de l'ordre de 250 à 300 000 pour les Algériens est très faible pour les Français. Le salauds de général Boulanger s'est lui-même contredit parce que dans une première estimation, il avait estimé à 4 millions d'habitants mais réalité ce chiffre ne tenait pas la route et il a lui-même reconnu

Modifié par Arn
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 621 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

 

Il y a 7 heures, Ines Presso a dit :

Soutenir les appels de citoyens algériens à rapatrier ces dépouilles dans leur pays, pour leur donner une sépulture digne comme cela fut fait pour les rebelles maori ou les résistants kanak Ataï et ses compagnons (en 2014), ne revient aucunement pour nous à céder à un quelconque tropisme de « repentance » ou d’une supposée « guerre des mémoires », ce qui n’aurait strictement aucun sens. Il s’agit seulement de contribuer à sortir de l’oubli l’une des pages sombres de l’histoire de France, celles dont l’effacement participe aujourd’hui aux dérives xénophobes qui gangrènent la société française.

Les signataires: Pascal Blanchard historien ; Raphaëlle Branche, historienne ; Christiane Chaulet Achour, universitaire ; Didier Daeninckx, écrivain ; René Gallissot, historien ; François Gèze, éditeur ; Mohammed Harbi, historien ; Aïssa Kadri, sociologue ; Olivier Le Cour Grandmaison, universitaire ; Gilles Manceron, historien ; Gilbert Meynier, historien ; François Nadiras, Ligue des droits de l’homme ; Tramor Quemeneur, historien ; Malika Rahal, historienne ; Alain Ruscio, historien ;Benjamin Stora, historien ; Mohamed Tayeb Achour, universitaire.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/07/09/les-cranes-de-resistants-algeriens-n-ont-rien-a-faire-au-musee-de-l-homme_4966904_3232.html#vz0I2JP44PsF50AB.99

Rendre ses têtes à qui de droit a du sens , mais je ne vois pas bien en quoi le fait que des algeriens ignorent que des francais aient été torturés de façon barbare en algerie et que réciproquement l'armée française ait fait de meme contribuerait à la xénophobie en France ou en Algerie . Vous pourriez expliquer ?

 

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