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L’enfer du miracle allemand

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Louis Gallois, président du Conseil de Surveillance de PSA Peugeot-Citroën, a indiqué aujourd'hui qu'il n'était pas favorable à l'importation en France de "mini-jobs", ces emplois faiblement rémunérés censés inciter les personnes au chômage à revenir dans le monde du travail. "Il y a une dignité du travail, il doit être rémunéré. Moi je suis contre les 'mini-jobs' à l'allemande ou à la britannique", a expliqué Louis Gallois sur France Inter.

"Ce qui me pose problème c'est la remise en cause constante du Smic. Quand on est payé au Smic, on n'arrive pas à faire les fins de mois", a souligné l'ancien patron de la SNCF et d'EADS (aujourd'hui Airbus). "Payer des gens quatre euros (de l'heure, Ndlr) et dire ensuite, ce sera à l'Etat ou aux collectivités locales de faire le complément, ce n'est pas ce que je souhaite", a-t-il affirmé.

Plus de 2,4 millions de salariés allemands occupaient en 2013 un "mini-job", ces contrats dispensés de charges sociales dont la rémunération est plafonnée à 450 euros par mois. La mise en place sur le marché français de l'emploi d'un dispositif similaire à celui conçu par l'ancien responsable de Volkswagen Peter Hartz en Allemagne, a régulièrement été évoquée par le Medef ces dernières années dans le cadre d'une refonte du Code du Travail.

Le patron des patrons, Pierre Gattaz, a par ailleurs proposé jeudi aux entreprises d'embaucher, à 80% du Smic, des adultes qu'elles formeraient pendant 18 à 24 mois, une rémunération qui devrait être complétée par d'autres dispositifs pour atteindre le salaire minimum. Pour Louis Gallois, le retour d'un "climat favorable à la reprise de l'emploi" passe avant tout par "un véritable dialogue entre les partenaires sociaux" qui pour l'instant ne parviennent pas à s'entendre. "Ce qui me frappe c'est qu'on ne sent pas une véritable confiance entre les partenaires sociaux, or c'est ce qui fait la force de l'Allemagne", selon lui.

"Le coût du travail est un élément mais ce qui est décisif pour les chefs d'entreprise, c'est qu'ils aient une perspective de croissance parce qu'il y a des capacités de production inutilisées actuellement", juge Louis Gallois. A cet égard, "la reprise de l'emploi ne sera que progressive, elle sera plus nette en 2016 qu'en 2015", estime-t-il.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/04/25/97002-20150425FILWWW00071-louis-gallois-contre-les-mini-jobs-en-france.php

 

Preuve s'il en est de la volonté de transposition des modèles. On comprend mieux l'acharnement de certains à ne pas voir l'horreur.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 914 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 11 minutes, fx. a dit :

Je ne note que tu ne rebondis pas sur l'exonération de charges qui entraine des retraites dérisoires, il y a surement là un vivier ...

Si, j'ai rebondis je t'invite à lire mon post sur la proposition de Macron.

http://www.avocat.de/app/frankreichrecht/_media/02-10-15-entreprises-en-allemagne-salaire-minimum-et-minijobs.pdf

Le mieux serait de faire comme en France exonération des charges patronales et le salarié lui cotise ?

il y a 6 minutes, fx. a dit :

Louis Gallois, président du Conseil de Surveillance de PSA Peugeot-Citroën, a indiqué aujourd'hui qu'il n'était pas favorable à l'importation en France de "mini-jobs", ces emplois faiblement rémunérés censés inciter les personnes au chômage à revenir dans le monde du travail. "Il y a une dignité du travail, il doit être rémunéré. Moi je suis contre les 'mini-jobs' à l'allemande ou à la britannique", a expliqué Louis Gallois sur France Inter.

"Ce qui me pose problème c'est la remise en cause constante du Smic. Quand on est payé au Smic, on n'arrive pas à faire les fins de mois", a souligné l'ancien patron de la SNCF et d'EADS (aujourd'hui Airbus). "Payer des gens quatre euros (de l'heure, Ndlr) et dire ensuite, ce sera à l'Etat ou aux collectivités locales de faire le complément, ce n'est pas ce que je souhaite", a-t-il affirmé.

Plus de 2,4 millions de salariés allemands occupaient en 2013 un "mini-job", ces contrats dispensés de charges sociales dont la rémunération est plafonnée à 450 euros par mois. La mise en place sur le marché français de l'emploi d'un dispositif similaire à celui conçu par l'ancien responsable de Volkswagen Peter Hartz en Allemagne, a régulièrement été évoquée par le Medef ces dernières années dans le cadre d'une refonte du Code du Travail.

Le patron des patrons, Pierre Gattaz, a par ailleurs proposé jeudi aux entreprises d'embaucher, à 80% du Smic, des adultes qu'elles formeraient pendant 18 à 24 mois, une rémunération qui devrait être complétée par d'autres dispositifs pour atteindre le salaire minimum. Pour Louis Gallois, le retour d'un "climat favorable à la reprise de l'emploi" passe avant tout par "un véritable dialogue entre les partenaires sociaux" qui pour l'instant ne parviennent pas à s'entendre. "Ce qui me frappe c'est qu'on ne sent pas une véritable confiance entre les partenaires sociaux, or c'est ce qui fait la force de l'Allemagne", selon lui.

"Le coût du travail est un élément mais ce qui est décisif pour les chefs d'entreprise, c'est qu'ils aient une perspective de croissance parce qu'il y a des capacités de production inutilisées actuellement", juge Louis Gallois. A cet égard, "la reprise de l'emploi ne sera que progressive, elle sera plus nette en 2016 qu'en 2015", estime-t-il.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/04/25/97002-20150425FILWWW00071-louis-gallois-contre-les-mini-jobs-en-france.php

 

Preuve s'il en est de la volonté de transposition des modèles. On comprend mieux l'acharnement de certains à ne pas voir l'horreur.

Gallois nous parle des mini jobs à 4E, ça n'existe plus c'est au SMIC. Mais j'aime bien Gallois un patron comme on les aime , un premier de cordée ?

Sinon je t'invite à relire la phrase en gras puisque tu nous cites Gallois ....

 

pas as besoin de transformer le cesu permet déjà de couvrir de nombreux mini jobs, les contrats saisonniers , contrat de chantier , temps partiel etc

Par contre il faut comme pour les mini jobs ou le cesu faciliter au Max on doit pouvoir embaucher en deux clics .

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il y a 8 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Si, j'ai rebondis je t'invite à lire mon post sur la proposition de Macron.

http://www.avocat.de/app/frankreichrecht/_media/02-10-15-entreprises-en-allemagne-salaire-minimum-et-minijobs.pdf

Le mieux serait de faire comme en France exonération des charges patronales et le salarié lui cotise ?

Gallois nous parle des mini jobs à 4E, ça n'existe plus c'est au SMIC. Mais j'aime bien Gallois un patron comme on les aime , un premier de cordée ?

Sinon je t'invite à relire la phrase en gras puisque tu nous cites Gallois ....

Et oui quand on t'explique qu'il est bon que tu sois virable du jour au lendemain sous n'importe quel prétexte et qu'en plus tu n'auras plus rien à attendre des prud'hommes ça n'incite pas vraiment à la confiance, je t'invite donc à relire mes topic CPE pour tous ainsi que Les mensonges de Pénicaud face à E. Lucet. :)

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 914 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 10 minutes, fx. a dit :

Et oui quand on t'explique qu'il est bon que tu sois virable du jour au lendemain sous n'importe quel prétexte

C'est qui on ?

 

Le préavis standard c'est souvent trois mois meme pour les mini jobs en France . Du jour au lendemain sources ?

 

D'ailleurs pour changer de taff c'est parfois pénible .Pour relire faut avoir lu , liens ?

 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 318 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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Le 18/10/2017 à 23:56, fx. a dit :

 

Jobs à un euros : déjà posté

mini jobs en 2012 :

http://www.ifrap.org/europe-et-international/statistiques-des-emplois-mini-jobs-en-allemagne

7 Millions moins 200 000, ça ne fait pas zéro.

Ce qui vous fait grincer des dents c'est le "1€" mais en fait, quand on lit votre lien....ce n'est pas du tout aussi catastrophique que vous voulez nous le faire croire...

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La moitié de la hausse de l'emploi recouvre du temps partiel

Alors, il y a bien sûr tous ces petits jobs, mini ou micro jobs de 1 à 400 euros encouragés par les lois Hartz. Mais il est très difficile d'établir leur vraie contribution, car beaucoup sont pratiqués en cumul d'une autre activité, ou en multi-activité. Ce qui est certain c'est que la moitié de la hausse de l'emploi sur la période recouvre de l'emploi à temps partiel.  L'emploi a donc été morcelé. Comme en témoigne aussi le fait que le volume d'heures de travail progresse moins vite que l'emploi (0,6% l'an contre 0,9%).

Ce que l'on constate aussi, c'est la montée concomitante des travailleurs pauvres : 22,5% des salariés gagnent moins de 2/3 du salaire horaire médian en 2014 en Allemagne, contre 8,8% en France, avec un salaire médian assez proche de part et d'autre du Rhin. Et même après transfert, cette inclusion à marche forcée laisse des traces, puisque le taux de pauvreté est passé de 12,2% en 2005 à 16,7% en 2015, et que les inégalités se sont globalement creusées.

La success story allemande est indissociable de sa croissance

L'Allemagne a donc résolu son problème de chômage mais non celui de la dualisation du marché du travail. Comme en France, elle a opté pour une flexibilité à deux vitesses et l'a poussée plus loin.

Néanmoins, on ne peut ignorer un autre élément qui contribue à la success story controversée allemande. Sur la période, c'est surtout l'écart de croissance entre France et Allemagne qui fait la différence. De 2005 à 2016, la croissance allemande est de 1,5% l'an, contre 0,9% en moyenne en France,alors même que la population en âge de travailler régresse.

Si je ramène le PIB à cette population disponible pour travailler, je me rends compte alors que le différentiel est considérable. Le PIB rapporté à la population de 15-64 ans a crû au rythme de 1,7% en Allemagne, contre 0,7% en France. 1 point d'écart ! C'est considérableLa réussite allemande sur le front du chômage ne peut donc être dissociée de la restauration de sa compétitivité.

Alors gare à la mauvaise imitation de l'Allemagne. Ne prendre que Hartz, c'est le risque de fragiliser la cohésion et de dégrader l'emploi, sans garantie de restaurer notre compétitivité. Pour cela il faudra déployer beaucoup plus de moyens.

 

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/faut-il-imiter-l-allemagne-pour-faire-baisser-le-chomage-726439.html

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Ne vous leurrez pas on a des déjà des mini jobs à la française pour les jeunes, cela s'appelle les stages , c'est rémunéré 30% du smic pour la majeure partie d'entre eux, c'est parfaitement destructeur d'emploi pérenne et ça ne débouche sur rien la majorité du temps. Reste plus à nos chers cons qui marchent qu'à étendre l'exercice comme ils l'ont fait en précarisant le cdi.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 914 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 6 heures, fx. a dit :

La moitié de la hausse de l'emploi recouvre du temps partiel

Alors, il y a bien sûr tous ces petits jobs, mini ou micro jobs de 1 à 400 euros encouragés par les lois Hartz. Mais il est très difficile d'établir leur vraie contribution, car beaucoup sont pratiqués en cumul d'une autre activité, ou en multi-activité. Ce qui est certain c'est que la moitié de la hausse de l'emploi sur la période recouvre de l'emploi à temps partiel.  L'emploi a donc été morcelé. Comme en témoigne aussi le fait que le volume d'heures de travail progresse moins vite que l'emploi (0,6% l'an contre 0,9%).

Ce que l'on constate aussi, c'est la montée concomitante des travailleurs pauvres : 22,5% des salariés gagnent moins de 2/3 du salaire horaire médian en 2014 en Allemagne, contre 8,8% en France, avec un salaire médian assez proche de part et d'autre du Rhin. Et même après transfert, cette inclusion à marche forcée laisse des traces, puisque le taux de pauvreté est passé de 12,2% en 2005 à 16,7% en 2015, et que les inégalités se sont globalement creusées.

La success story allemande est indissociable de sa croissance

L'Allemagne a donc résolu son problème de chômage mais non celui de la dualisation du marché du travail. Comme en France, elle a opté pour une flexibilité à deux vitesses et l'a poussée plus loin.

Néanmoins, on ne peut ignorer un autre élément qui contribue à la success story controversée allemande. Sur la période, c'est surtout l'écart de croissance entre France et Allemagne qui fait la différence. De 2005 à 2016, la croissance allemande est de 1,5% l'an, contre 0,9% en moyenne en France,alors même que la population en âge de travailler régresse.

Si je ramène le PIB à cette population disponible pour travailler, je me rends compte alors que le différentiel est considérable. Le PIB rapporté à la population de 15-64 ans a crû au rythme de 1,7% en Allemagne, contre 0,7% en France. 1 point d'écart ! C'est considérableLa réussite allemande sur le front du chômage ne peut donc être dissociée de la restauration de sa compétitivité.

Alors gare à la mauvaise imitation de l'Allemagne. Ne prendre que Hartz, c'est le risque de fragiliser la cohésion et de dégrader l'emploi, sans garantie de restaurer notre compétitivité. Pour cela il faudra déployer beaucoup plus de moyens.

 

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/faut-il-imiter-l-allemagne-pour-faire-baisser-le-chomage-726439.html

Article élogieux pour la politique allemande s'il en est qui n'est pas très flatteur pour la France . Par ailleurs je cite ton article "il ne faudrait pas prendre que Harz" , te voilà ordo libéral ?

D'apres ton article l'Allemagne aurait résolu un problème sur deux , nous aucun , après nous avoir cité le tres germanophile Gallois , tu me vois étonné , serions nous sur la meme ligne ?

Ta conversion au social libéral fait chaud au coeur . A moins que pour cacher les questions auxquelles tu ne veux pas répondre tu nous proposes une forêt d'articles que tu n'as pas vraiment lus ?

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Il y a 4 heures, DroitDeRéponse a dit :

Article élogieux pour la politique allemande s'il en est qui n'est pas très flatteur pour la France . Par ailleurs je cite ton article "il ne faudrait pas prendre que Harz" , te voilà ordo libéral ?

D'apres ton article l'Allemagne aurait résolu un problème sur deux , nous aucun , après nous avoir cité le tres germanophile Gallois , tu me vois étonné , serions nous sur la meme ligne ?

Ta conversion au social libéral fait chaud au coeur . A moins que pour cacher les questions auxquelles tu ne veux pas répondre tu nous proposes une forêt d'articles que tu n'as pas vraiment lus ?

On peut y  voir un éloge avec un certain cynisme ...

L'article a l'hônneteté d'établir la correlation avec l'explosion de la pauvreté et de mettre en lumière le morcellement du travail.

Il a de plus la qualité de bien montrer qu'au fond résoudre un problème de chômage avec ce type de recettes est surtout un leurre qui ne profite qu'aux mêmes, c'est effectivement ton crédo quoi que tu en dises, dans la justice sociale telle que tu la revendiques.

Il a enfin le mérite d'expliquer que la croissance ne tient pas à ces remèdes et ça c'est primordial.

Je note que tu n'as pas envie de commenter nos mini jobs à nous que sont les stages, la pudeur probablement.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 914 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 8 minutes, fx. a dit :

On peut y  voir un éloge avec un certain cynisme ...

L'article a l'hônneteté d'établir la correlation avec l'explosion de la pauvreté et de mettre en lumière le morcellement du travail.

Il a de plus la qualité de bien montrer qu'au fond résoudre un problème de chômage avec ce type de recettes est surtout un leurre qui ne profite qu'aux mêmes, c'est effectivement ton crédo quoi que tu en dises, dans la justice sociale telle que tu la revendiques.

Je t'invite à relire ton article ....

" L'Allemagne a donc résolu son problème de chômage mais non celui de la dualisation du marché du travail. Comme en France, elle a opté pour une flexibilité à deux vitesses et l'a poussée plus loin. "

Quant à l'explosion , le différentiel de pauvreté Allemagne vs France ne milite pas en faveur de ton explosion, voir chiffres en amont , il existe et est indéniable mais nous sommes loin de tes outrances .

il y a 8 minutes, fx. a dit :

Il a enfin le mérite d'expliquer que la croissance ne tient pas à ces remèdes et ça c'est primordial.

Ah je n'ai pas bien lu alors, il dit ça où ?

Il explique bien que l'Allemagne a bien moins de chômeurs grâce à la croissance , mais comment a t'elle la croissance ?

il y a 8 minutes, fx. a dit :

Je note que tu n'as pas envie de commenter nos mini jobs à nous que sont les stages, la pudeur probablement.

Ah donc en fait nous avons bien des mini jobs, en pire cqfd .... L'horreur du non libéralisme français .

 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
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Il y a 3 heures, DroitDeRéponse a dit :

Je t'invite à relire ton article ....

" L'Allemagne a donc résolu son problème de chômage mais non celui de la dualisation du marché du travail. Comme en France, elle a opté pour une flexibilité à deux vitesses et l'a poussée plus loin. "

C'est faux, l'Allemagne n'a pas résolu son problème de chomage, elle produit juste des chiffres bidons qui permettent grâce à une interprétation relevant du délire, de s'imaginer que posséder un emploi sans salaire est une solution.

Si on parle du "problème du chomage" il s'agit en fait du problème de l'absence de ressources, c'est à dire de l'absence d'un salaire permettant de vivre.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 914 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 40 minutes, Roger_Lococo a dit :

C'est faux, l'Allemagne n'a pas résolu son problème de chomage, elle produit juste des chiffres bidons qui permettent grâce à une interprétation relevant du délire, de s'imaginer que posséder un emploi sans salaire est une solution.

Si on parle du "problème du chomage" il s'agit en fait du problème de l'absence de ressources, c'est à dire de l'absence d'un salaire permettant de vivre.

Les mini jobs sont payés au SMIC, comme en France .

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Le 20/10/2017 à 12:27, DroitDeRéponse a dit :

Je t'invite à relire ton article ....

" L'Allemagne a donc résolu son problème de chômage mais non celui de la dualisation du marché du travail. Comme en France, elle a opté pour une flexibilité à deux vitesses et l'a poussée plus loin. "

Quant à l'explosion , le différentiel de pauvreté Allemagne vs France ne milite pas en faveur de ton explosion, voir chiffres en amont , il existe et est indéniable mais nous sommes loin de tes outrances .

Ah je n'ai pas bien lu alors, il dit ça où ?

Il explique bien que l'Allemagne a bien moins de chômeurs grâce à la croissance , mais comment a t'elle la croissance ?

Ah donc en fait nous avons bien des mini jobs, en pire cqfd .... L'horreur du non libéralisme français .

 

Et c’est toute cette boue qui s’habille de « pragmatisme » et d’« efficacité ». « Réduire le chômage, c’est de droite ou de gauche ? » demande encore le secrétaire d’État à on ne sait pas quoi. Le plus drôle étant que, si Macron Magazine ne voit rien à objecter à cet argument qui éclaire sa semaine, ce sont les ingénieurs mêmes de la « réforme » qui transpirent à grosses gouttes quand la question leur est posée un peu plus sérieusement. Certains se souviennent peut-être de cette stupéfiante émission de C dans l’air du 26 juin où la présentatrice lit benoîtement une question d’internaute : « Y a-t-il des exemples de dérégulation du droit du travail ayant permis de réduire le chômage et la précarité des salariés ? ». Grand silence frisé, tout le monde se regarde. Et puis Raymond Soubie, dans un demi-borborygme : « euh non… ». La présentatrice enchaîne – car on ne se rend pas compte mais c’est un vrai métier – : « très bien, question suivante ».

Le 21 septembre au 7-9 de France Inter, la science économique en majesté avec Philippe Aghion. Question : « Y a-t-il un lien prouvé et démontré entre la facilité à licencier et la facilité à embaucher ? ». Réponse aux avirons : « Je pense qu’il y a eu des études, je ne peux pas vous dire quelle étude, mais enfin c’est prouvé, c’est établi ». La science donc, un peu bafouillante, mais la science : il doit y avoir « une étude » quelque part, mais on ne sait plus où on l’a mise, ni même si elle existe, peu importe en vérité : « c’est prouvé ». Ah mais flûte, voilà qu’on a retrouvé une « étude », du Conseil d’Analyse Economique, dont Aghion fut membre de 2006 à 2012, et qui dit ceci : « Il n’y a pas de corrélation démontrée entre le niveau de protection de l’emploi et le chômage (8) »… Dans n’importe quelle société démocratique décemment constituée, voir engagé si lourdement le sort de tant de personnes par de pareils tocards sur des bases aussi inexistantes serait instantanément un objet de scandale national. Pas ici.

http://blog.mondediplo.net/2017-10-03-Le-service-de-la-classe

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  • 1 mois après...
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En Allemagne, entre chômage et mendicité, il faut choisir

Un habitant de Dortmund se tenant régulièrement dans la rue pour procéder à « une collecte de dons privée », selon une formule de l’administration, a vu le montant de ses allocations réduit de 300 euros.

 

Avis aux chanteurs de métro, aux ramasseurs de bouteilles consignées ou autres indigents réduits à la mendicité : l’exercice de ces activités peut être considéré comme du vrai travail en Allemagne. Et donc être pris en compte dans le calcul des allocations-chômage, qui sont normalement dégrevées du montant des gains de toute activité rémunératrice exercée en complément. Tout contrevenant s’exposant bien sûr au risque de devoir rembourser les sommes indues.

Cette leçon, Michael Hansen, 50 ans, et sa chienne Molly ne sont pas prêts de l’oublier. Plusieurs fois par mois, ils s’installaient tous les deux devant un centre commercial de la zone piétonne de Dortmund pour faire appel à la générosité des passants. Pour cet enfant de l’assistance publique, chômeur depuis 2005, la vie n’a pas été tendre. Le minimum social étant bien maigre – 760 euros par mois pour lui et sa femme, en plus du loyer et du chauffage pris en charge par l’Etat – il s’était résolu à cet expédient quand il voulait « se permettre quelque chose de nouveau chez lui ». Jusqu’à ce qu’une employée du Jobcenter (le Pôle emploi allemand) le reconnaisse.

 

Le Jobcenter exige qu’il tienne un journal de son activité, avec le décompte exact de ses revenus et une projection pour les douze prochains mois

...

http://abonnes.lemonde.fr/europe/article/2017/11/25/en-allemagne-entre-chomage-et-mendicite-il-faut-choisir_5220335_3214.html

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  • 5 mois après...
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Avoir du boulot et vivre pauvre, c’est le miracle Allemand

Berlin. Une longue file d’attente devant une agence pour l’emploi nous surprend. L‘économie allemande est florissante et le taux de chômage bas, alors pourquoi autant de monde ? La réponse est simple. La plupart de ces gens ont déjà un travail mais ce sont des travailleurs pauvres. Ils postulent donc aux aides sociales en complément de leurs modestes salaires. Leur vie professionnelle est faite d’emplois précaires et mal payés, de temps partiels, même s’ils ont souvent une bonne formation.

Et il n’y a pas que le nombre de travailleurs pauvres qui augmente en Allemagne. Le nombre de retraités pauvres, augmente lui aussi. C’est le cas de Monika. Qualifiée pour être directrice des ventes elle n’a jamais signé de contrat à temps plein. “Ils ne veulent pas payer. Je suis trop chère. Ils préfèrent embaucher du personnel qui n’est pas qualifié à 8.50 euros de l’heure. Pour m’embaucher, ils devraient payer davantage”, explique-t-elle.

Partons maintenant à Halle. Après la réunification, l’Allemagne a dû créer des emplois alors que les employeurs se plaignaient du coût élevé de la main d’oeuvre… Elle devait aussi rester compétitive.
Alors, en 2003, elle a lancé une réforme radicale du marché du travail avec comme mots d’ordre libéralisation et flexibilité. Cela signifiait moins d’argent pour les gens sans emploi, feu vert aux agences de travail temporaire. Conséquence : le secteur le moins bien payé s’est développé, le chômage a baissé mais la pauvreté relative a augmenté.

Notre journaliste a rencontré Rolf Maurer : un artisan, très qualifié qui sait tout faire. Il trouve ses clients sur internet. Son modèle économique : la flexibilité totale.
“Je dois vivre avec le risque de ne jamais savoir quand je travaille ni quelle sera ma mission le lendemain ou le jour d’après. En plus de ça, il y a le risque que les clients ne me paient pas. Ça m’est déjà arrivé”, explique-t-il.

Pour ce qui est des tarifs, la chambre des métiers lui recommande de se faire payer au moins 35 euros de l’heure. “Mais ces dernières années, je demande bien moins, habituellement autour de 15 ou 10 euros”, raconte-t-il.

Payer le loyer de son petit appartement est la première dépense de Rolf Maurer; acheter du matériel professionnel pour faire du bon travail, la deuxième. Impossible dans ce contexte de mettre de côté pour sa retraite.

Quand il était jeune il a eu un emploi fixe dans une fonderie puis l’usine a fermé. Ont alors suivi des années de chômage et des contrats à courte durée. Sans espoir de retrouver un temps plein Rolf Maurer s’est tourné vers l’agence pour l’emploi qui le considère trop âgé. Pour ne pas être au chômage, il a monté son affaire.

“A mon âge ce n’est pas drôle d‘être obligé de travailler à mon compte. Quand on atteint un certain âge, c’est mieux d’avoir un emploi normal, durable. A 60 ans vous n‘êtes plus vraiment disposé à partir de rien pour lancer un business”, ajoute Rolf Maurer.

Maurer n’‘envisage pas s’arrêter de travailler bientôt. Sa situation confirme une tendance actuelle : le nombre d’Allemands qui continuent à travailler tard a doublé ces dix dernières années. De 5 à 11% pour des actifs entre 65 et 74 ans. La plupart d’entre eux le font pour compléter de petites retraites et vivre décemment. C’est une nécessité. Pas un choix.

“En ce qui concerne les heures de travail, je m’adapte aux souhaits du client. S’il veut que je travaille le week-end, je le fais. S’il veut que je travaille le soir, je le fais. Je suis totalement flexible pour satisfaire mon client”.

A Berlin, certains syndicalistes surnomment la ville, “capitale de l’emploi précaire et des travailleurs pauvres”. C’est le cas de Dierk Hirschel, économiste en chef de l’un des plus importants syndicats des métiers du service, ver.di.

“En Allemagne le problème c’est qu’un travailleur sur 5 gagne moins de 10 euros par heure; il est donc considéré comme un travailleur pauvre. C’est le résultat de la destruction des règles du marché du travail. L’Allemagne est un pays riche, il n’y a pas de doute là-dessus. Mais l’Allemagne est aussi un pays divisé socialement. Dans ce pays riche, les travailleurs pauvres existent, des gens qui travaillent 40 ou 50 heure par semaine mais qui ne gagnent pas leur vie en travaillant”, explique-t-il.

Le problème concerne l’industrie du bâtiment, l’hôtellerie, la restauration, la vente au détail et le secteur du service en général, mais aussi des métiers qui nécéssitent des années de formations : Andriana et Jan enseignent dans des écoles publiques de musique à Berlin. Aujourd’hui, ils ont rendez-vous avec leur ami Tilman, vidéo-blogueur.

Jan est marié, il a deux enfants. Il lutte pour mettre de l’argent de côté pour sa retraite.
Adriana enseigne la musique depuis plus de 20 ans. Elle prendra sa retraite en 2033. Elle raconte le choc qu’elle a eu en recevant la lettre de son organisme de retraite.

“Personne ne me croit quand j’en parle. Donc je vous la montre. Je vais toucher une retraite mensuelle de 351 euros et 82 cents. Je paie déjà 400 euros pour mon appartement… ma retraite ne me permettra même pas de payer mon loyer”, raconte Adriana Balboa, professeure de musique à Berlin.

“351 euros? Ce n’est rien! C’est la conséquence des contrats freelance, du fait d‘être obligé de facturer chaque heure ou de ne pas être payé pendant les vacances, de ne pas avoir de revenu stable. Ce système nous pénalise. Mais que peut-on faire ?”, s’interroge son ami Tilman Shulze, professeur de musique également.

“Un accord de travail commun pour le personnel des écoles de musique est à l‘étude. Il est question de salaire décent, d’arrêter les contrats freelance pour chaque heure, de poursuivre le versement du salaire en cas de maladie. Aujourd’hui, si vous tombez malade, vous risquez vite de ne plus avoir d’argent et quand une femme accouche, elle ne devrait pas perdre son travail en même temps”, ajoute leur ami Jan Hoppenstedt.

“Ici à Berlin, un très petit nombre d’emplois sont stables : c’est la pire situation de toute l’Allemagne. 93% des travailleurs sont en freelance et seulement 7% ont un emploi fxe”, explique Adriana Balboa.

Berlin a décidé de placer 20% des professeurs de musique sous contrats permanents. Un chiffre insuffisant pour les trois amis. Tilman a écrit une chanson pour protester : “Notre paie est juste assez pour acheter un kebab” déplore-t-il.

https://www.les-crises.fr/avoir-du-boulot-et-vivre-pauvre-cest-le-miracle-allemand/

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Le 20/10/2017 à 00:40, Morfou a dit :

Ce qui vous fait grincer des dents c'est le "1€" mais en fait, quand on lit votre lien....ce n'est pas du tout aussi catastrophique que vous voulez nous le faire croire...

Tu plaisantes ? Si tu était dans cette situation, tu serais la première à te plaindre. Depuis quand un salaire de 400 € suffit pour vivre, même avec les aides qu’ils reçoivent. Nier la vérité de la pauperisation, ne la fait pas disparaître. 

En mars 2012, près de 7,29 millions de personnes bénéficiaient d'un contrat à salaire modéré (« mini-job »). Parmi eux, seuls 4,76 millions n'avaient pas d'autre salaire que ce mini-job. Près d'un million de jeunes vivent avec ce revenu, qui est généralement majoré de l'allocation « Hartz IV » de 375 euros. Une des principales critiques faites aux mini-jobs allemands est de créer des emplois au prix d'une augmentation de la pauvreté. "

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La face cachée du miracle économique allemand

 

L'économie allemande est montrée en exemple par de nombreux politiques et économistes européens, notamment français. La réalité est loin d'être aussi rose qu'ils le disent.

Le miracle économique allemand, c'est avant tout un taux de chômage très bas : 5,6% en 2017, contre 12% en 2005. Le pays est proche du plein-emploi, et certaines villes (par exemple en Bavière) sont à peine à plus de 1% de taux de chômage!

Mais la face cachée de l'économie allemande, ce sont aussi tous ces emplois à temps partiel. Le risque de tomber dans la pauvreté a doublé en dix ans, passant au-delà de la moyenne européenne. Les jeunes (15-24 ans) et les seniors travaillent plus en Allemagne qu'en France. Et les femmes travaillent plus, mais sont plus souvent à temps partiel.

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La durée légale du travail est de 40 heures en Allemagne et de 35 heures en France.

Le salaire minimum est plus élevé en France, si l'on se base sur le taux horaire. Mais du coup, sur un mois, il atteint 1 498 euros en Allemagne contre 1 480 euros en France.

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Un Allemand sur cinq est menacé de pauvreté. Chez les familles monoparentales, c'est encore pire : un quart, soit deux fois plus qu'en 2005, risquent de basculer dans la misère.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 914 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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Quand on pense que c’est vers cet enfer que se dirigent tant de migrants , on a froid dans le dos :(

De nouveaux damnés de la terre .

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 914 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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Il y a 1 heure, fx. a dit :

640_visactu-linflation-en-allemagne-et-e

 

La compétitivité allemande s’eroderait par l’inflation si elle proposait les mêmes produits mais ce n’est pas le cas . Ceci étant notre coût du travail redevient compétitif vs l’Allemagne , qui de surcroît est en tension par manque d’actifs , la Sarre déroule déjà le tapis rouge aux français , le cice malheureusement n’a ramené les prélèvements sur les entreprises qu’au niveau de 2010, sera ce suffisant pour que l’Allemagne redevienne friande de salariés français ?

 

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Membre, Greuh, 44ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
44ans‚ Greuh,
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Tous ces beaux graphiques, tous ces jolis chiffres, c'est tellement croquignou ...

Et ça évite de demander pourquoi des actionnaires anonymes touchent des dividendes vertigineux sans rien faire quand on licencie des centaines de gens, pourquoi des sociétés privées sont exonérées de charges alors qu'elles affichent des bénéfices colossaux.

Pendant qu'on s'entredéchire pour des miettes, certains se gavent du gâteau qu'ils nous font fabriquer

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