Selon vous, si il y a une leçon a tirer de la vie...

Quelle est-elle ?

Une leçon je ne sais pas, mais une moralité ( sens ancien ) certainement:

Ce n'est pas la destination qui compte, mais le voyage ! À chacun de s'inventer aventurier/explorateur ou pas, d'être voyageur ou simple passager ou même encore prisonnier de la soute à bagages...

à l’instant, deja-utilise a dit :

Une leçon je ne sais pas, mais une moralité ( sens ancien ) certainement:

 

Ce n'est pas la destination qui compte, mais le voyage ! À chacun de s'inventer aventurier/explorateur ou pas, d'être voyageur ou simple passager ou même encore prisonnier de la soute à bagages...

Et l'interet du voyage ?

Je suppose que c'est pour apprendre quelque chose, mais quoi ?

Q'une leçon, ça s'apprend, justement... car tant qu'elle n'est pas acquise, elle se représente inlassablement et sous diverses formes. L'impression de nouveauté est un leurre. Métaphoriquement, c'est un fruit qui te sera proposé dans sa forme de base et reproposé en confiture, en salade composée, en jus, en bonbon, etc. jusqu'à ce que tu finisses par le reconnaître. 

C'est un shéma individuel mais aussi universel. De l'infiniment petit à l'infiniment grand.

Synthétiquement :

"Rien ne naît ni ne périt mais des choses déjà existantes se combinent puis se séparent de nouveau." Anaxagore

Ou

"Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme." Lavoisier

il y a 32 minutes, Anna Kronisme a dit :

Q'une leçon, ça s'apprend, justement... car tant qu'elle n'est pas acquise, elle se représente inlassablement et sous diverses formes. L'impression de nouveauté est un leurre. Métaphoriquement, c'est un fruit qui te sera proposé dans sa forme de base et reproposé en confiture, en salade composée, en jus, en bonbon, etc. jusqu'à ce que tu finisses par le reconnaître. 

C'est un shéma individuel mais aussi universel. De l'infiniment petit à l'infiniment grand.

Synthétiquement :

"Rien ne naît ni ne périt mais des choses déjà existantes se combinent puis se séparent de nouveau." Anaxagore

Ou

"Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme." Lavoisier

Oui, c'est une évidence pour moi ( c'est aussi la raison d'etre du Karma et du Samsara )

Mais précisément, quelle est la leçon ?

Pour moi il n'y en a qu'une.

il y a une heure, swam a dit :

Quelle est-elle ?

Qu'il ne faut pas oublier de la vivre !

il y a 36 minutes, swam a dit :

Et l'interet du voyage ?

Une pulsion animale !

Il semblerait que l'Homme depuis l'aube de l'humanité aurait été animé d'une pulsion à l'exploration ( Science et vie juillet 2017 ), c'est donc une donnée, comme le fait de vivre en est une aussi, nous sommes animés d'un élan vital.

Nous avons la chance de pouvoir choisir le sens à donner au voyage, il n'est justement pas fixé d'avance...

il y a 36 minutes, swam a dit :

Je suppose que c'est pour apprendre quelque chose, mais quoi ?

Il nous appartient d'en retirer quelque chose ou pas, puisqu'il n'y a pas de but au voyage, juste une force qui nous y pousse, qui ne dépend pas de notre volonté.

Comme il nous appartient de retirer quelque chose ou pas de nos erreurs, mais on ne peut pas dire que l'erreur ait vocation à nous faire apprendre quelque chose, nous essayons juste de rendre positif ce qui aura été négatif, de compenser un malheur par un bienfait, de positiver en quelque sorte, de voire de l'ordre dans le désordre apparent.

Pourquoi ? Parce que l'absurdité de la vie nous indispose d'une part et que d'autre part nous pouvons constater que ce que fait tout homme est le fruit d'une intention, nous ne pouvons pas penser qu'il n'en va pas de même de notre place elle-même, qu'elle est aussi investie d'une intentionnalité, mais c'est un puissant biais anthropique difficilement déboulonnable ou dont on peut faire facilement abstraction.

L'an dernier Quand le pére de mon amie est décédé allah y rahmou la chambre d'hôpital ne désemplissait pas ses enfants lui tenaient les mains les pieds les gens se succédaient pour le voir et lui adresser des prières. Tout le monde amenait à manger du café du thé etc pour la famille. Il y avait la salle d'attente la famille à sans cesse été accompagnée d'ailleurs le personnel de l'hôpital est super compréhensif humain. Il y avait une dame seule chose à ce moment là au chevet de son fils en phase terminale messkine lui aussi Et Elle est restée avec Nous la pauvre. 

Depuis Je me dis que je veux vivre ma vie sans oublier que cet instant arrivera j'aimerais qu'il y ai ces présences pour Moi pour mon mari et mes enfants peu importe l'âge qu'ils auront. Je ne sais pas si je suis On topic là. 

il y a 23 minutes, swam a dit :

Oui, c'est une évidence pour moi ( c'est aussi la raison d'etre du Karma et du Samsara )

Mais précisément, quelle est la leçon ?

 

Pour moi il n'y en a qu'une.

La leçon est :

Quoi que je pense, dise et fasse, rien ne vient seulement de moi, rien ne m'appartient et rien de moi ne subsistera.

(Là, c'est ultra synthétique (lavage à 40°)) 

il y a 4 minutes, hanss a dit :

L'an dernier Quand le pére de mon amie est décédé allah y rahmou la chambre d'hôpital ne désemplissait pas ses enfants lui tenaient les mains les pieds les gens se succédaient pour le voir et lui adresser des prières. Tout le monde amenait à manger du café du thé etc pour la famille. Il y avait la salle d'attente la famille à sans cesse été accompagnée d'ailleurs le personnel de l'hôpital est super compréhensif humain. Il y avait une dame seule chose à ce moment là au chevet de son fils en phase terminale messkine lui aussi Et Elle est restée avec Nous la pauvre. 

Depuis Je me dis que je veux vivre ma vie sans oublier que cet instant arrivera j'aimerais qu'il y ai ces présences pour Moi pour mon mari et mes enfants peu importe l'âge qu'ils auront. Je ne sais pas si je suis On topic là. 

C'est trés touchant en tout cas.

il y a 3 minutes, Anna Kronisme a dit :

La leçon est :

Quoi que je pense, dise et fasse, rien ne vient seulement de moi, rien ne m'appartient et rien de moi ne subsistera.

 

 

 

 

(Là, c'est ultra synthétique (lavage à 40°)) 

 

Oui c'est Anna en mode ( momentanément ) désespérée ?

Je partage ce que tu dis la mais avec une petite variante :

La satisfaction du désir est impossible dans la vie, telle est la leçon.

il y a 16 minutes, deja-utilise a dit :

Une pulsion animale !

Il semblerait que l'Homme depuis l'aube de l'humanité aurait été animé d'une pulsion à l'exploration ( Science et vie juillet 2017 ), c'est donc une donnée, comme le fait de vivre en est une aussi, nous sommes animés d'un élan vital.

Nous avons la chance de pouvoir choisir le sens à donner au voyage, il n'est justement pas fixé d'avance...

 

Il nous appartient d'en retirer quelque chose ou pas, puisqu'il n'y a pas de but au voyage, juste une force qui nous y pousse, qui ne dépend pas de notre volonté.

Comme il nous appartient de retirer quelque chose ou pas de nos erreurs, mais on ne peut pas dire que l'erreur ait vocation à nous faire apprendre quelque chose, nous essayons juste de rendre positif ce qui aura été négatif, de compenser un malheur par un bienfait, de positiver en quelque sorte, de voire de l'ordre dans le désordre apparent.

 

Pourquoi ? Parce que l'absurdité de la vie nous indispose d'une part et que d'autre part nous pouvons constater que ce que fait tout homme est le fruit d'une intention, nous ne pouvons pas penser qu'il n'en va pas de même de notre place elle-même, qu'elle est aussi investie d'une intentionnalité, mais c'est un puissant biais anthropique difficilement déboulonnable ou dont on peut faire facilement abstraction.

+10

il y a 5 minutes, swam a dit :

C'est trés touchant en tout cas.

Oui c'est Anna en mode ( momentanément ) désespérée ?

 

Je partage ce que tu dis la mais avec une petite variante :

La satisfaction du désir est impossible dans la vie, telle est la leçon.

 

 

 

 

 

En tout cas c'est pas gagné pour ma part avec les gens que je me mets à dos Et dont Je me fous 

.

il y a 13 minutes, Tequila Moor a dit :

Qu'elle est une activité spontanée de la matière en certains endroits de l'univers, dépendante des conditions d'organisation de la dite matière et du milieu qui l'entoure en ces endroits, et qu'elle est condamnée à disparaître sitôt que l'organisation, le milieu, l'endroit, ou même la matière, voire l'univers disparaîtront.

Donc si leçon il y avait à tirer, elle ne pourrait avoir de sens que pour un point de vue extérieur à cet univers : tout point de vue intérieur, le nôtre y compris, est biaisé, ne pouvant embrasser la totalité de la leçon, que ce soit dans la perception et plus encore dans la compréhension, et se heurte au final à l'impensable de l'extinction de la vie.

La philosophie se retrouve ainsi dépassée dialectiquement, puisque prenant sa source dans la vie à hauteur d'humain, et ayant servi pour ce dernier à se définir, à se justifier, à s'affirmer, etc... en un mot à se penser, elle devrait ici faire l'effort de se hisser à hauteur de l'univers et au-delà, pour devenir une meta-physique de l'extinction.

Non pas donc métaphysique de l'étant, à hauteur d'humain, mais meta-physique de ce qui ne sera plus et pourrait même être considéré comme n'ayant jamais été, à hauteur de l'univers et au-delà... Bon courage.

Mais si leçon il y a, il faut qu'elle nous serve a quelque chose.

Faire diminuer la souffrance ou la faire cesser, nous indiquer la meilleure maniére de vivre...

il y a 26 minutes, swam a dit :

Oui c'est Anna en mode ( momentanément ) désespérée ?

 

Je partage ce que tu dis la mais avec une petite variante :

La satisfaction du désir est impossible dans la vie, telle est la leçon.

Forcément, puisque le désir n'est pas le plaisir. Le désir ne se satisfait pas, il se nourrit, il se poursuit, il se transforme, il se réalise (parfois), etc. Le désir n'est pas un but à atteindre, il est un véhicule ou le carburant d'un véhicule. 

Pourquoi voir du désespoir dans la lucidité ?  

.

La première, la plus importante leçon nous est dictée par notre instinct de conservation et défense : s'adapter pour survivre.

il y a 1 minute, Anna Kronisme a dit :

Forcément, puisque le désir n'est pas le plaisir. Le désir ne se satisfait pas, il se nourrit, il se poursuit, il se transforme, il se réalise (parfois), etc. Le désir n'est pas un but à atteindre, il est un véhicule ou le carburant d'un véhicule. 

Pourquoi voir du désespoir dans la lucidité ?  

Tous les désirs ne se valent pas.

Désirs matériels ou désirs nettement plus profonds dont la satisfaction est indispensable a notre bonheur, qui peuvent nous faire aimer la vie, souhaiter etre réincarné...

Le désespoir amene parfois a la lucidité.

Il y a 2 heures, swam a dit :

Quelle est-elle ?

Qu'il faille vivre !

il y a 1 minute, Talon 1 a dit :

La première, la plus importante leçon nous est dictée par notre instinct de conservation et défense : s'adapter pour survivre.

N'importe quoi !  (excuse moi )

Avant de penser a survivre il faut déja aetre accro a la vie, tout le monde n'est pas pret a faire n'importe quoi pour survivre.

il y a 4 minutes, Tequila Moor a dit :

Pour la première phrase : non (voir pourquoi dans le message auquel tu réponds).

Pour la seconde :

Et bien sûr :

Pardon mais ça mériterait un plus long développement, je ne situe pas vraiment ta pensée.