Le 14/07/2017 à 10:41, Maxence22 a dit :

Étant donné que Chrétiens et musulmans étaient en guerre à cette époque: il est peu probable que ce soit à la demande des chrétiens.

Comte Julien

Il y a 8 heures, azed1967 a dit :

Comte Julien

 

Le comte Julien (latin: comes Julianus, espagnol: Don Julián, Conde de Ceuta, arabe : يليان, Īlyan), ou Olbán était le gouverneur de Ceuta (Septem), dans l'exarchat de Carthage, qui fut l'un des derniers bastions byzantin d'Afrique du nord. Il entretenait des relations d'amitié avec les chefs Wisigoths de la péninsule Ibérique avant de s'allier aux musulmans¹.

Selon les chroniqueurs arabes, Julián a eu un rôle important dans la conquête omeyyade de l'Hispanie, événement clé dans l'histoire de l'islam, dans lequel Al-Andalus tiens une place prépondérante, et dans l'histoire de ce qui devait devenir l'Espagne et le Portugal. Le comte Julien apporté une aide appréciable aux Arabes en leur fournissant des navires permettant le débarquement des forces arabo-berbères placées sous le commandement du commandant berbère Tariq ibn Ziyad, en avril 711.

L'existence de ce personnage de religion chrétienne, mais d'origine incertaine, très probablement berbère - reste cependant mystérieuse : il semble qu'au moment de la conquête du Maghreb par le wali omeyyade de Kairouan, Musa ibn Nusair, qui étend ainsi l'autorité du califat de Damas jusqu'au détroit de Gibraltar, Julien était gouverneur de quelques villes de l'extrême sud de l'Andalousie actuelle pour le compte des rois wisigoths, et, en Afrique du Nord, de Tanger et de Septem Magna (Ceuta).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Comte_Julien

 

Et donc ?

Les Chrétiens et les Musulmans sont en guerre à ce moment, donc peu probable qu'une aide mutuelle est pu avoir lieu.

Il y a 9 heures, Maxence22 a dit :

Et donc ?

Les Chrétiens et les Musulmans sont en guerre à ce moment, donc peu probable qu'une aide mutuelle est pu avoir lieu.

l'eveque opas de séville et le conte julien ont aidé les maures à entrer en espagne et ce sont des chrétiens qui voulaient battre les wisigoths grace aux musulmans, mais bon, apparemment vous en savez pas lire.

bonne journée

LIVRE DEUXIÈME.

PREMIÈRE PÉRIODE DE LA DOMINATION DES ARABES EN ESPAGNE : LES ÉMIRS ET LES OMMIADES.

CHAPITRE i.

LES ÉMIRS.

RODERIC était duc de Cordoue : protégé par une faction puissante, il remporta sur tous ceux qui aspiraient à recueillir l'héritage de Witisa, et monta sur ce trône ensanglanté. Mais son crime lui avait fait de dangereux ennemis : la crainte des supplices et le désir de la vengeance conduisirent en Afrique les fils de Witisa, où le comte Julien, gouverneur de la Tingitane , leur offpit un asile dans Ceuta. Ce seigneur, ainsi que son frère, était l'ennemi de Roderic.

Le premier, beau-frère de Witisa et chef de sa garde,

craignait d'être enveloppé dans la proscription que teroi avait prononcée contre la famille de son prédécesseur. Quant au second, bien qu'il fût laïque, il avait été promu par Witisa à l'évêché de Tolède, quoique ce siège ne fût point vacant. La mort de Witisa ne lui avait pas permis de consommer cette usurpation.

Julien et Appon, aigris contre Roderic, contre les grands qui l'avaient princes élu, contre les évêques qui l'avaient servi de leur crédit, embrassèrent avec chaleur le parti des princes fugitifs. Ils cherchèrent d'abord à exciter une révolte en Espagne ; mais, se défiant de l'inconstance des conjurés, ils résolurent d'appeler les Maures en Espagne. Ce fut, suivant l'historien espagnol Mariana, dans une assemblée secrète, tenue sur le mont Calderino, non loin de Consuegra, qu'ils firent part de ce dessein à leuES amis, et qu'ils reçurent leur approbation et leurs serments (1).

Des bruits étranges couraient par toute l'Espagne, et annonçaient la chute prochaine de la monarchie des Goths. Il y avait, dit-on, à Tolède un vieil édifice où personne n'était entré depuis long-temps ; car de sinistres prédictions menaçaient celui qui y pénétrerait le premier. Roderic crut que ce palais renfermait des trésors : il s'y rendit, et y trouva un souterrain fermé par une porte d'airain. Quand il la fit briser,

(1) On attribue encore la révolte du comte Julien au juste ressentiment qu'il aurait conçu des violences que Rodrigue aurait exercées contre sa fille; et l'on prétend que la porte par laquelle celle-ci sortit de Malaga pour aller rejoindre son père conserve encore son nom de Kaba.

Mais ce récit est rejeté par les meilleurs critiques.

les montagnes voisines tremblèrent sur leur base, et le tonnerre gronda. Il avança néanmoins, et arriva bientôt à une salle où se trouvaient des statues revêtues de costumes bizarres et inconnus : on eût dit des hommes venus de l'Orient. Tous avaient des sabres nus à la main, et sur la lame de l'un de ces sabres étaient gravés des caractères mystérieux, que ni le roi ni sa suite ne purent lire. Un vieux Juif consulté y lut ces mots écrits en Arabe : Le dernier jour rhLr Espagne. est venu.

C'est ainsi que l'imagination populaire revêtait de couleurs fantastiques ce grand événement de l'invasion des Arabes.

Le comte Julien se hâta de faire des ouvertures à Muza; et, pour gage de la sincérité de ses offres, il lui livra Tanger. Muza était ambitieux et entreprenant ; mais la prudence tempérait en lui l'amour de la gloire et des conquêtes. Avant de faire au rebelle aucune réponse positive, il prit d'abord des informations détaillées sur l'état de l'Espagne. Un habitant de Tanger les lui donna exactes etcomplètes : il lui parla de Roderic comme d'un prince peu aimé et considéré comme un usurpateur; il lui vanta la douce température de l'Espagne , son beau ciel, ses richesses, la bonté de ses fruits, la variété de ses productions, l'antiquité de ses monuments., ses vastes et populeuses cités.

« L'Espagne, lui dit-il, l'emporte sur toutes les régions connues : c'est la Syrie pour la douceur du climat et la pureté de l'air ; c'est l'Yémen pour la richesse du sol ; c'est l'Inde pour ses fleurs et ses aromes ; c'est le Catay (1) pour ses mines; c'est l'Adcn pour ses ports et ses beaux rivages. »

(4) Nom de la Chine au moyen-âge.

Enflammé par ces récits du désir de faire une aussi riche conquête, Muza en sollicita et en obtint facilement la permission du calife son maître. Mais, pour ne rien laisser au hasard, il voulut d'abord sonder les dispositions du peuple espagnol, et juger de l'effet que produirait son invasion. 11 envoya un chef dont le courage lui était connu, Tarik-ben-Zeyad, à la tête de cinq cents chevaux d'élite, tenter une descente en Espagne. Tarik aborda heureusement sur le rivage de l'Andalousie (1), au pied d'une montagne qui depuis a gardé son nom et l'a rendu célèbre ( Gebelcl-Tarik, Gibraltar). Les Arabes parcoururent la côte sans éprouver nulle part de résistance, et retournèrent en Afrique sains et saufs, et chargés de butin (710). Encouragé par ce succès, Tarik fit, l'année suivante, une seconde tentative, qui fut encore plus heureuse que la première. 11 se fortifia et s'établit au pied du mont Gibraltar. Le Goth Théodemir essaya en vain de le forcer de se rembarquer : battu dans toutes les rencontres, et déconcerté par la. façon de combattre de ces étrangers, il écrivit au roi Roderic : « Il vient de paraître sur nos côtes une horde d'Africains. Je ne sais s'ils sont tombés du ciel. Ils m'ont attaqué à l'improviste; je leur ai disputé de toutes mes forces l'entrée du pays, mais je n'ai pu ni résister à leur nombre, ni soutenir leur choc impétueux. Maintenant ils campent, bien malgré moi, sur nos terres.

Envoyez-moi des troupes sans délai ; rassemblez tous

(4) Vandalousie , pays qui fut occupé par les Vandales, avant leur invasion en Afrique.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6221845w/texteBrut

Il y a 7 heures, azed1967 a dit :

l'eveque opas de séville et le conte julien ont aidé les maures à entrer en espagne et ce sont des chrétiens qui voulaient battre les wisigoths grace aux musulmans, mais bon, apparemment vous en savez pas lire.

bonne journée

Pas vraiment non. C'est plutôt les Omeyyades qui ont envahi l'Espagne alors wisigoth depuis la chute de l'Empire romain d'occident.

Les Wisigoths étant eux-même Chrétiens.

Il y a 16 heures, Maxence22 a dit :

Pas vraiment non. C'est plutôt les Omeyyades qui ont envahi l'Espagne alors wisigoth depuis la chute de l'Empire romain d'occident.

Les Wisigoths étant eux-même Chrétiens.

bon, .. ce sont bien des chrétiens qui ont mis à disposition des bateaux pour aller envahir l'espagne , ..

si tu n'es pas d'accord c'est que tu as un problème

Il y a 3 heures, azed1967 a dit :

bon, .. ce sont bien des chrétiens qui ont mis à disposition des bateaux pour aller envahir l'espagne , ..

si tu n'es pas d'accord c'est que tu as un problème

De quels navires chrétiens tu parles ?

Le problème c'est que tu veux faire passer la centaine de chrétiens dans une armées de 20 000 hommes pour une participation décisive à l'invasion musulmane de la péninsule ibérique en prenant en plus une source datant de 1882. C'est pas vraiment crédible tout ça.

Le 16/11/2017 à 11:29, azed1967 a dit :

LIVRE DEUXIÈME.

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PREMIÈRE PÉRIODE DE LA DOMINATION DES ARABES EN ESPAGNE : LES ÉMIRS ET LES OMMIADES.

CHAPITRE i.

LES ÉMIRS.

RODERIC était duc de Cordoue : protégé par une faction puissante, il remporta sur tous ceux qui aspiraient à recueillir l'héritage de Witisa, et monta sur ce trône ensanglanté. Mais son crime lui avait fait de dangereux ennemis : la crainte des supplices et le désir de la vengeance conduisirent en Afrique les fils de Witisa, où le comte Julien, gouverneur de la Tingitane , leur offpit un asile dans Ceuta. Ce seigneur, ainsi que son frère, était l'ennemi de Roderic.

Le premier, beau-frère de Witisa et chef de sa garde,

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craignait d'être enveloppé dans la proscription que teroi avait prononcée contre la famille de son prédécesseur. Quant au second, bien qu'il fût laïque, il avait été promu par Witisa à l'évêché de Tolède, quoique ce siège ne fût point vacant. La mort de Witisa ne lui avait pas permis de consommer cette usurpation.

Julien et Appon, aigris contre Roderic, contre les grands qui l'avaient princes élu, contre les évêques qui l'avaient servi de leur crédit, embrassèrent avec chaleur le parti des princes fugitifs. Ils cherchèrent d'abord à exciter une révolte en Espagne ; mais, se défiant de l'inconstance des conjurés, ils résolurent d'appeler les Maures en Espagne. Ce fut, suivant l'historien espagnol Mariana, dans une assemblée secrète, tenue sur le mont Calderino, non loin de Consuegra, qu'ils firent part de ce dessein à leuES amis, et qu'ils reçurent leur approbation et leurs serments (1).

Des bruits étranges couraient par toute l'Espagne, et annonçaient la chute prochaine de la monarchie des Goths. Il y avait, dit-on, à Tolède un vieil édifice où personne n'était entré depuis long-temps ; car de sinistres prédictions menaçaient celui qui y pénétrerait le premier. Roderic crut que ce palais renfermait des trésors : il s'y rendit, et y trouva un souterrain fermé par une porte d'airain. Quand il la fit briser,

(1) On attribue encore la révolte du comte Julien au juste ressentiment qu'il aurait conçu des violences que Rodrigue aurait exercées contre sa fille; et l'on prétend que la porte par laquelle celle-ci sortit de Malaga pour aller rejoindre son père conserve encore son nom de Kaba.

Mais ce récit est rejeté par les meilleurs critiques.

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les montagnes voisines tremblèrent sur leur base, et le tonnerre gronda. Il avança néanmoins, et arriva bientôt à une salle où se trouvaient des statues revêtues de costumes bizarres et inconnus : on eût dit des hommes venus de l'Orient. Tous avaient des sabres nus à la main, et sur la lame de l'un de ces sabres étaient gravés des caractères mystérieux, que ni le roi ni sa suite ne purent lire. Un vieux Juif consulté y lut ces mots écrits en Arabe : Le dernier jour rhLr Espagne. est venu.

C'est ainsi que l'imagination populaire revêtait de couleurs fantastiques ce grand événement de l'invasion des Arabes.

Le comte Julien se hâta de faire des ouvertures à Muza; et, pour gage de la sincérité de ses offres, il lui livra Tanger. Muza était ambitieux et entreprenant ; mais la prudence tempérait en lui l'amour de la gloire et des conquêtes. Avant de faire au rebelle aucune réponse positive, il prit d'abord des informations détaillées sur l'état de l'Espagne. Un habitant de Tanger les lui donna exactes etcomplètes : il lui parla de Roderic comme d'un prince peu aimé et considéré comme un usurpateur; il lui vanta la douce température de l'Espagne , son beau ciel, ses richesses, la bonté de ses fruits, la variété de ses productions, l'antiquité de ses monuments., ses vastes et populeuses cités.

« L'Espagne, lui dit-il, l'emporte sur toutes les régions connues : c'est la Syrie pour la douceur du climat et la pureté de l'air ; c'est l'Yémen pour la richesse du sol ; c'est l'Inde pour ses fleurs et ses aromes ; c'est le Catay (1) pour ses mines; c'est l'Adcn pour ses ports et ses beaux rivages. »

(4) Nom de la Chine au moyen-âge.

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Enflammé par ces récits du désir de faire une aussi riche conquête, Muza en sollicita et en obtint facilement la permission du calife son maître. Mais, pour ne rien laisser au hasard, il voulut d'abord sonder les dispositions du peuple espagnol, et juger de l'effet que produirait son invasion. 11 envoya un chef dont le courage lui était connu, Tarik-ben-Zeyad, à la tête de cinq cents chevaux d'élite, tenter une descente en Espagne. Tarik aborda heureusement sur le rivage de l'Andalousie (1), au pied d'une montagne qui depuis a gardé son nom et l'a rendu célèbre ( Gebelcl-Tarik, Gibraltar). Les Arabes parcoururent la côte sans éprouver nulle part de résistance, et retournèrent en Afrique sains et saufs, et chargés de butin (710). Encouragé par ce succès, Tarik fit, l'année suivante, une seconde tentative, qui fut encore plus heureuse que la première. 11 se fortifia et s'établit au pied du mont Gibraltar. Le Goth Théodemir essaya en vain de le forcer de se rembarquer : battu dans toutes les rencontres, et déconcerté par la. façon de combattre de ces étrangers, il écrivit au roi Roderic : « Il vient de paraître sur nos côtes une horde d'Africains. Je ne sais s'ils sont tombés du ciel. Ils m'ont attaqué à l'improviste; je leur ai disputé de toutes mes forces l'entrée du pays, mais je n'ai pu ni résister à leur nombre, ni soutenir leur choc impétueux. Maintenant ils campent, bien malgré moi, sur nos terres.

Envoyez-moi des troupes sans délai ; rassemblez tous

(4) Vandalousie , pays qui fut occupé par les Vandales, avant leur invasion en Afrique.

 

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6221845w/texteBrut

Ca ressemble à un conte, comme les mille et une nuit...

il y a 5 minutes, Morfou a dit :

Ca ressemble à un conte, comme les mille et une nuit...

Je viens de lire le lien...un conte, la bible musulmane...

il y a une heure, Maxence22 a dit :

De quels navires chrétiens tu parles ?

Le problème c'est que tu veux faire passer la centaine de chrétiens dans une armées de 20 000 hommes pour une participation décisive à l'invasion musulmane de la péninsule ibérique en prenant en plus une source datant de 1882. C'est pas vraiment crédible tout ça.

c'est historique !

à l’instant, azed1967 a dit :

c'est historique !

Y a rien d'historique dans votre lien!

C'est juste l'hymne à l'Islam...

il y a 1 minute, Morfou a dit :

Y a rien d'historique dans votre lien!

C'est juste l'hymne à l'Islam...

Le "Comte Julien" est très connu par les historiens Arabes et Berbères dans le passé et par les Historiens Occidentaux dans le passé et le présent. Il est le personnage clé qui a aidé l'Invasion Musulmane, vers l'Al-Andalus aux côtés de Tarik Ibn Ziyad, en l'an 711, pour les raisons citées ci-dessus (Les injustices du Roi Rodrigue) et afin de faire récupérer le Pouvoir pour la descendance de Witiza, Roi Wisigothe et Chrétien. 
 

Selon un historien Espagnol : Le débarquement des forces Arabo-berbères placées sous le commandement de Tarik Ibn Ziyad, a bénéficié de l'aide d'un chef Byzantin, connu dans les sources arabes sous le nom « Youlyân », et dans l'historiographie Chrétienne sous celui de « Comte Julien ».



Le comte Julien avait alors pris part aux tractations engagées par Agila (Akhila dans les textes Arabes), fils du Roi Witiza, avec Moussa Ibn Nouceïr, l’incitant à franchir le détroit de Gibraltar pour aller soutenir dans la Péninsule les prétentions de ce Prince.  

le Comte Julien a notamment apporté une aide appréciable aux Arabes en leur fournissant des navires permettant le débarquement des forces Arabo-berbères placées sous le commandement du Berbère Tarik Ibn Ziyad Al-Oulhassi, en avril 711.
 

https://ghommo.fr.gd/2-_-Le-Comte-Julien-_-Gouverneur-du-Pays-des-Ghomara.htm

il y a 5 minutes, azed1967 a dit :

c'est historique !

tu es décidément ,un drole d'historien !!!  évite de trop ,nous faire rigoler et va plutot dans une bibliothéque !!!

à l’instant, boeingue a dit :

tu es décidément ,un drole d'historien !!!  évite de trop ,nous faire rigoler et va plutot dans une bibliothéque !!!

Retournement d'alliance

Au-delà des légendes qui entourent les circonstances relativement obscures dans lesquelles se déroulent les premiers épisodes de la conquête musulmane de la péninsule Ibérique, plusieurs documents indiquent assez clairement (« au-delà de tout doute raisonnable », selon l'historien espagnol Pedro Chalmeta) que le débarquement des forces arabo-berbères placées sous le commandement de Tariq ibn Ziyad a bénéficié de l'aide d'un chef byzantin, connu dans les sources arabes sous le nom « Youlyân », et dans l'historiographie chrétienne sous celui de « comte Julien ». Certaines sources Arabes de l'époque indiquent clairement que le comte Julien était le gouverneur byzantin de Ceuta. Ceuta et Tanger étant les deux derniers bastions byzantins au Maroc avant l'arrivée des musulmans.

Fidèle vassal des rois Égica (687-700) et Wittiza (702-710), il a pris, après la mort de ce dernier, le parti du prince Agila (« Akhila » pour les Arabes), écarté du trône de Tolède au profit du prétendant Rodéric.

S'étant soumis aux musulmans, qui lui enlèvent Tanger mais laissent momentanément Ceuta sous son gouvernement, Julien a alors pris part aux tractations engagées par Agila avec les Arabes, les incitant à franchir le détroit de Gibraltar pour aller soutenir dans la péninsule les prétentions de ce prince. Julien a notamment apporté une aide appréciable aux Arabes en leur fournissant des navires permettant, en juillet-août 710, le succès du raid de pillage dirigé par Tarif ibn Malik (qui laisse son nom à l'actuelle Tarifa), puis celui, infiniment plus décisif, du débarquement des forces arabo-berbères placées sous le commandement de Tariq ibn Ziyad, en avril 711, débouchant sur la bataille de Guadelete en juillet 711.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Comte_Julien

il y a 29 minutes, Morfou a dit :

Je viens de lire le lien...un conte, la bible musulmane...

 

http://www.persee.fr/doc/rebyz_0766-5598_1946_num_4_1_936?q=espagne wisigoth byzance

sur  ce lien aussi on en parle ça en fait des sources ! bizarre ce négationnisme alors que les espagnoles le savent

Il y a 3 heures, azed1967 a dit :

Retournement d'alliance

Au-delà des légendes qui entourent les circonstances relativement obscures dans lesquelles se déroulent les premiers épisodes de la conquête musulmane de la péninsule Ibérique, plusieurs documents indiquent assez clairement (« au-delà de tout doute raisonnable », selon l'historien espagnol Pedro Chalmeta) que le débarquement des forces arabo-berbères placées sous le commandement de Tariq ibn Ziyad a bénéficié de l'aide d'un chef byzantin, connu dans les sources arabes sous le nom « Youlyân », et dans l'historiographie chrétienne sous celui de « comte Julien ». Certaines sources Arabes de l'époque indiquent clairement que le comte Julien était le gouverneur byzantin de Ceuta. Ceuta et Tanger étant les deux derniers bastions byzantins au Maroc avant l'arrivée des musulmans.

Fidèle vassal des rois Égica (687-700) et Wittiza (702-710), il a pris, après la mort de ce dernier, le parti du prince Agila (« Akhila » pour les Arabes), écarté du trône de Tolède au profit du prétendant Rodéric.

S'étant soumis aux musulmans, qui lui enlèvent Tanger mais laissent momentanément Ceuta sous son gouvernement, Julien a alors pris part aux tractations engagées par Agila avec les Arabes, les incitant à franchir le détroit de Gibraltar pour aller soutenir dans la péninsule les prétentions de ce prince. Julien a notamment apporté une aide appréciable aux Arabes en leur fournissant des navires permettant, en juillet-août 710, le succès du raid de pillage dirigé par Tarif ibn Malik (qui laisse son nom à l'actuelle Tarifa), puis celui, infiniment plus décisif, du débarquement des forces arabo-berbères placées sous le commandement de Tariq ibn Ziyad, en avril 711, débouchant sur la bataille de Guadelete en juillet 711.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Comte_Julien

 

"certaines sources arabes de l'époque indiquent clairement..."

Certaines sources donc... Lesquelles ?

Il y a 12 heures, Maxence22 a dit :

"certaines sources arabes de l'époque indiquent clairement..."

Certaines sources donc... Lesquelles ?

 

voltaire parle de ce comte et de son role dans l'invasion musulmane de l'espagne.

tu tapes "voltaire comte julien" sur google.

à la prochaine

https://books.google.be/books?id=LZ0MAQAAMAAJ&pg=PA451&lpg=PA451&dq=voltaire+le+comte+julien&source=bl&ots=oSX9fx9OJ9&sig=PR6pBnu388Kt_glIAn9GOajxc8Q&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjBzozGpcfXAhVCcBoKHSjrBJAQ6AEIKjAB#v=onepage&q=voltaire le comte julien&f=false

sur ce lien voltaire en parle !

l'encyclopédie universalis en parle aussi !

https://www.universalis.fr/encyclopedie/espagne-musulmane/

Voltaire... un homme qui vivait au XVIIIe siècle. C'est tout ce que tu as trouvé comme source ?

Il y a 7 heures, Maxence22 a dit :

Voltaire... un homme qui vivait au XVIIIe siècle. C'est tout ce que tu as trouvé comme source ?

tu es vraiment de très mauvaise foi ! l'encyclopédie universalis en parle et voltaire était un érudit.

j'ai donné pas mal de sources qui en parle.

mais bon reste ignorant comme tu l'es !