Affaire Grégory

Dans cette triste histoire il y a une tension ambiante dans cette famille, mais il faut voir aussi que le petit Grégory suscitait peut être des jalousies qui on animée la haine qui on amené par des chemins différents le drame . 

Ils n'étaient pas jaloux du petit directement mais de son père Jean-Marie

Et pour le toucher au plus haut point (effectivement ils ne pouvaient faire pire) , ils s'en sont pris au petit

De la lâcheté pure , je me souviens d'un passage où Jean-Marie criait :

"Fallait venir devant moi et s'en prendre à moi , bande de lâches !!"

 

Quelle dommage , vraiment , que l'enquête se soit aussi mal passée , sûr qu'il y aurait eu des perpètes de distribuées

Au lieu de ça , yen a qui ont dû bien ricaner durant toutes ces années , de savoir qu'ils ne seraient pas pris

D'une pierre deux coups : vengeance + pas pris...........ils se sont bien repaît de cette "vengeance réussie"

Sauf qu'aujourd'hui ça rigole beaucoup moins ,

ça fait des malaises et des menaces de grève de la faim......et des "j'utilise mon droit au silence"

Modifié le 10 juillet 2017 par Mia Adaxo

Oui mais il demeure que Grégory était un enfant bien différent  que n'avait pas B  et M  Laroche on peut penser que l'enfant était une victime satisfaisant les pensées noires de l'assassin vis a vis de l'enfant lui même . 

Modifié le 10 juillet 2017 par holdman

Le petit Sébastien Laroche était né en même temps que Grégory

Sébastien avec une infirmité , Grégory en bonne santé

Ce qui n'a fait qu'amplifier une jalousie déjà bien présente

Et si c'est là le motif principal , c'est donc que c'est signé Bernard Laroche (ou les Laroche)

 

A noter que Christine Villemin (la maman de Gregory) aurait dit du petit Sébastien Laroche :

"il faut le placer / l'enfermer , il n'est pas normal"

Si c'est vrai , ç'aurait pu effectivement être la goutte qui a fait déborder le vase

 

Modifié le 10 juillet 2017 par Mia Adaxo

Oui par principe les parents sont fiers de leur enfant , il se fait que les Laroche et les  Villemin on eu leurs enfants au même moment la comparaison était facile ;ça à rajouté a la jalousie qui datait depuis longtemps, les Laroche vivaient un drame, et les Villemin avaient le bonheur. on constate que  la famille Bolle  n'était déjà pas gâtée par la vie et arrive un enfant a problème . autrement dans le déroulement du drame il a eu complicité, mais pour l'assassina a mon avis il n'y a qu'une personne ,celle qui a mis les liens ,il y en a trois (vous savez avec les boucles)il y en a un au cou de l'enfant pour tuer ou pour s 'assurer de la mort certaine de l'enfant .

Je vois que tu insistes sur les nœuds , pour moi un nœud étant un nœud

Je suis allée voir des infos à ce sujet et effectivement , des nœuds il y en a

Il y en des spécifiques comme les nœuds de marin , ceux qui ont servi à attacher le petit

étaient des nœuds simples apparemment

http://permanent.cyconflans.free.fr/glossaire/noeuds/noeudsmarins.htm

https://www.lesnoeuds.com/liste_des_noeuds.html

Modifié le 10 juillet 2017 par Mia Adaxo

Je suis pas du même avis un double noeud n'est pas un noeud a boucle comme on fait aux chaussures .fait un double noeud a tes chaussures du verra c'est pas pareil .ce n'était justement pas des noeuds simples ,pour tenir il aurait fallu les mettre doubles ce qui n'était pas le cas .on le vois sur la vidéo que ce sont des boucles.

Il y a 3 heures, Mia Adaxo a dit :

 

A noter que Christine Villemin (la maman de Gregory) aurait dit du petit Sébastien Laroche :

"il faut le placer / l'enfermer , il n'est pas normal"

Ce n'est pas exactement ce qu'elle avait dit, puisqu'elle avait en fait dit que MA Laroche devrait le placer dans une école spécialisée, ce qui n'aura pas forcément été dit méchamment. D'ailleurs, c'est une phrase à remettre dans son contexte.

Pour le reste, MA Laroche ne fait que polir l'image de son défunt époux, mais si l'on se resitue à l'époque, il ne faut pas oublier que ce Bernard Laroche était un sac à vin, à la réputation de jaloux, que ses supérieurs avaient décidé de le faire travailler de nuit pour qu'il n'importune plus les ouvrières qui bossaient dans la boîte. Christine Villemin l'avait éconduit lors d'un repas de noces parce qu'il s'était mal conduit avec elle. Ginette Lecomte, épouse de Michel Villemin (le frère de Jean-Marie), avait eu également à s'en plaindre pour des gestes déplacés. On sait encore que c'était un homme capable de colère et de violence : il faisait parfois des bleus à la tante Louisette Jacob chez laquelle il venait dormir le jour à cause des travaux pas terminés dans sa maison, pour pouvoir rattraper ses heures de travail nocturnes. Ce n'était par conséquent pas ce monsieur aussi clair et net que sa femme chercherait à le faire croire, outre les sérieux doutes des enquêteurs qui se sont penchés sur son écriture, son emploi du temps le jour du 16 nov. 1984, et tout le reste.

Des voisins des Villemin à Lépanges ont bien dit avoir vu sur la route un homme corpulent, moustachu avec des favoris accompagné d'une femme rousse dans une voiture verte, ce qui correspond au duo Laroche-Bolle pour l'enlèvement de l'enfant. Madame Claudon a pour sa part reçu une lettre menaçant de foutre le feu à sa ferme si elle dénonçait.

Concernant Murielle, plusieurs témoins ont entendu les cris et le raffut au domicile des Bolle le soir du 5 novembre ; il n'y a pas que ce cousin éloigné à affirmer qu'elle a subi des pressions familiales. Son témoignage, celui qui a envoyé Laroche en prison, était forcément vrai : il y avait beaucoup trop de détails qu'elle aurait été incapable d'inventer, comme le toit de la maison du couple Villemin visible à tel endroit, les couleurs du bonnet de Grégory, l'endroit où Laroche l'a laissé -Docelles- qui correspond au point où le cadavre a été jeté dans la Vologne, etc.

Pour finir, puisque vous parlez des nœuds autour des poignets et des chevilles de la petite victime, il s'agissait de nœuds de tisserand, que l'on savait forcément faire mieux que tout le monde chez les Jacob, Bernard Laroche inclus, et c'est en même temps la signature des criminels.

Le petit Grégory était quant à lui, le pauvre enfant, forcément déjà décédé quand son corps a été jeté dans la Vologne, sinon il aurait crié, se serait débattu et n'aurait pas été retrouvé dans cette position d'endormi. Qu'a-t-il pu penser, se demander quand tous ces gens l'ont emmené sur son lieu d'exécution ? Et combien de temps a-t-il souffert quand il a été étranglé par son bourreau ?

Ne connaissant pas le noeud de tisserand je me suis renseigné et ce noeud ne permet pas de serrer un lien mais de raccorder deux fils, on le comprend dans le tissage qu'il y est besoin de raccorder deux fils .donc je reste dubitatif sur ce que dit  Loargan .

il y a 5 minutes, holdman a dit :

Ne connaissant pas le noeud de tisserand je me suis renseigné et ce noeud ne permet pas de serrer un lien mais de raccorder deux fils, on le comprend dans le tissage qu'il y est besoin de raccorder deux fils .donc je reste dubitatif sur ce que dit  Loargan .

Justement, cela signifie que le but de ces nœuds n'étaient pas d'entraver les pieds et poings de l'enfant qui était de toute façon déjà mort quand il a été jeté dans la Vologne, mais bien de signer le crime. L'enquêteur Steve Hodel appellerait cela une "empreinte de pensée". Un nœud de tisserand, ce n'est en effet pas anodin dans la vallée de la Vologne où bon nombre sont passés de la ferme à la filature avec l'essor industriel (comme la famille Jacob).

Modifié le 10 juillet 2017 par Loargan

Mais l'enfant en avait un autour du cou utile pour signer un meurtre ou de tuer , je suis pas d'accord la dessus .

il y a 8 minutes, holdman a dit :

Mais l'enfant en avait un autour du cou utile pour signer un meurtre ou de tuer , je suis pas d'accord la dessus .

Si tu te renseignes bien, les enquêteurs ont dit que les liens autour du cou, des poignets et chevilles n'étaient pas suffisamment serrés pour entraver des mouvements dans l'eau, et qu'il s'agissait bien de nœuds de tisserand, or l'enfant ne s'est pas débattu dans l'eau. Le corbeau, dans sa lettre de revendication, a d'ailleurs précisé qu'il l'avait étranglé avant de le jeter dans la Vologne. Alors si on prend le temps d'y réfléchir : pourquoi faire des nœuds de tisserand avec des cordelettes qui passent autour du cou, des poignets et des chevilles si ce n'est pas utile pour tuer quelqu'un qui est déjà mort ? D'où l'avis de certains enquêteurs qui y ont vu une signature.

J'écoute MA là sur BFM!

J'arrive pas à avoir pitié de cette femme...

 

Une lettre écrite au président pour "que ça s'arrête" tout comme une lettre du corbeau au tribunal à l'époque, pour la même raison!

Z'aime pas que la justice fasse son travail....

On peut se demander ce que tous ces gens qui ont eu à voir de près ou de loin avec l'assassinat de Grégory espéraient en se taisant, que la justice les oublie peut-être ? Sauf que le meurtre d'un gosse, c'est assez grave pour que des enquêteurs reviennent donner un coup de pied dans la fourmilière de temps à autres. Jamais ils ne vivront tranquilles et c'est bien fait pour eux. Fallait y penser avant de répandre toutes ces médisances sur le couple Villemin et fomenter d'abominables complots contre eux.

Quand le journaliste a demandé à Marie-Ange Laroche si elle continuerait à croire à l'innocence de B. Laroche si on lui apportait des preuves irréfutables de sa culpabilité, genre par l'adn, etc. elle a répondu qu'elle ne croirait toujours pas à sa culpabilité, elle est par conséquent volontairement dans le déni et ce n'est même pas la peine de l'écouter. On sait que Laroche était un harceleur sexuel qui cherchait à se taper les femmes des autres et enquiquinait les employées dans l'entreprise où il travaillait. Comment une femme peut-elle voir un saint dans un mec comme lui, qui a tenté de la tromper tant de fois ? Faut être un peu naïve quand même. En plus elle n'a aucune preuve à fournir de son innocence, puisqu'elle le dit elle-même : elle a travaillé de 13 h à 21 h le jour du meurtre et ne sait pas ce qu'a fait son mari pendant ce temps, en dehors de bouteilles de vin qu'il comptait acheter et d'un tiercé qu'il devait toucher. Elle ne fait donc que clamer l'innocence du mec par parti pris parce que c'était son mari.

Il y a 15 heures, holdman a dit :

Je suis pas du même avis un double noeud n'est pas un noeud a boucle comme on fait aux chaussures .fait un double noeud a tes chaussures du verra c'est pas pareil .ce n'était justement pas des noeuds simples ,pour tenir il aurait fallu les mettre doubles ce qui n'était pas le cas .on le vois sur la vidéo que ce sont des boucles.

Non mais ne t'inquiètes pas , je n' y connais rien en nœud , et quand j'ai dit que c'était des nœuds simples

je voulais dire "apparemment"  (n' y connaissant rien)

     Nœud de tisserand

Il y a 12 heures, Loargan a dit :

Ce n'est pas exactement ce qu'elle avait dit, puisqu'elle avait en fait dit que MA Laroche devrait le placer dans une école spécialisée, ce qui n'aura pas forcément été dit méchamment. 

Oui quelque chose du genre , mais même si ce n'était pas méchant , ça a pu énerver les Laroche

Citation

Pour le reste, MA Laroche ne fait que polir l'image de son défunt époux, mais si l'on se resitue à l'époque, il ne faut pas oublier que ce Bernard Laroche était un sac à vin, à la réputation de jaloux, que ses supérieurs avaient décidé de le faire travailler de nuit pour qu'il n'importune plus les ouvrières qui bossaient dans la boîte. Christine Villemin l'avait éconduit lors d'un repas de noces parce qu'il s'était mal conduit avec elle. Ginette Lecomte, épouse de Michel Villemin (le frère de Jean-Marie), avait eu également à s'en plaindre pour des gestes déplacés. On sait encore que c'était un homme capable de colère et de violence : il faisait parfois des bleus à la tante Louisette Jacob chez laquelle il venait dormir le jour à cause des travaux pas terminés dans sa maison, pour pouvoir rattraper ses heures de travail nocturnes. Ce n'était par conséquent pas ce monsieur aussi clair et net que sa femme chercherait à le faire croire, outre les sérieux doutes des enquêteurs qui se sont penchés sur son écriture, son emploi du temps le jour du 16 nov. 1984, et tout le reste.

 L'enlèvement de Gregory a eu lieu le 16 octobre 1984

Oui ce devait être un cas ce Bernard Laroche , m'étonnerait pas qu'il aurait eu aussi des gestes déplacés envers Murielle

Citation

Des voisins des Villemin à Lépanges ont bien dit avoir vu sur la route un homme corpulent, moustachu avec des favoris accompagné d'une femme rousse dans une voiture verte, ce qui correspond au duo Laroche-Bolle pour l'enlèvement de l'enfant. Madame Claudon a pour sa part reçu une lettre menaçant de foutre le feu à sa ferme si elle dénonçait.

Concernant Murielle, plusieurs témoins ont entendu les cris et le raffut au domicile des Bolle le soir du 5 novembre ; il n'y a pas que ce cousin éloigné à affirmer qu'elle a subi des pressions familiales. Son témoignage, celui qui a envoyé Laroche en prison, était forcément vrai : il y avait beaucoup trop de détails qu'elle aurait été incapable d'inventer, comme le toit de la maison du couple Villemin visible à tel endroit, les couleurs du bonnet de Grégory, l'endroit où Laroche l'a laissé -Docelles- qui correspond au point où le cadavre a été jeté dans la Vologne, etc.

Et malgré tout cela , ce n'est pas suffisant pour arrêter qui que ce soit , d'après les enquêteurs

En se taisant ils se protègent les uns les autres

Citation

Le petit Grégory était quant à lui, le pauvre enfant, forcément déjà décédé quand son corps a été jeté dans la Vologne, sinon il aurait crié, se serait débattu et n'aurait pas été retrouvé dans cette position d'endormi. Qu'a-t-il pu penser, se demander quand tous ces gens l'ont emmené sur son lieu d'exécution ? Et combien de temps a-t-il souffert quand il a été étranglé par son bourreau ?

Étranglé je ne pense pas , il y aurait quand même eu des marques autour du cou , le larynx écrasé

Je crois plutôt qu'on lui a fait une piqûre d'insuline (c'est Murielle qui faisait ses piqûres d'insuline à sa mère diabétique)

Et oui le pauvre , il a bien dû se demander ce qu'il faisait là et qui étaient tous ces gens 

Il y a 11 heures, Loargan a dit :

Si tu te renseignes bien, les enquêteurs ont dit que les liens autour du cou, des poignets et chevilles n'étaient pas suffisamment serrés pour entraver des mouvements dans l'eau, et qu'il s'agissait bien de nœuds de tisserand, or l'enfant ne s'est pas débattu dans l'eau. Le corbeau, dans sa lettre de revendication, a d'ailleurs précisé qu'il l'avait étranglé avant de le jeter dans la Vologne. Alors si on prend le temps d'y réfléchir : pourquoi faire des nœuds de tisserand avec des cordelettes qui passent autour du cou, des poignets et des chevilles si ce n'est pas utile pour tuer quelqu'un qui est déjà mort ? D'où l'avis de certains enquêteurs qui y ont vu une signature.

Une signature ou peut-être pour écarter l'hypothèse que la police pense à un accident , que le petit serait tombé à l'eau

Il fallait absolument que les parents sachent que le petit avait été assassiné par vengeance

Il y a 8 heures, Morfou a dit :

 J'arrive pas à avoir pitié de cette femme...

Oh non moi non plus......Elle continue à dire que son mari était innocent pour s'innocenter elle-même

Si elle avouait que c'était lui , elle avouerait sa complicité du même coup......

Il y a 8 heures, Loargan a dit :

On peut se demander ce que tous ces gens qui ont eu à voir de près ou de loin avec l'assassinat de Grégory espéraient en se taisant, que la justice les oublie peut-être ?

Depuis toutes ses années c'est certainement ce qu'ils se sont dit , que c'était fini

Citation

Sauf que le meurtre d'un gosse, c'est assez grave pour que des enquêteurs reviennent donner un coup de pied dans la fourmilière de temps à autres. Jamais ils ne vivront tranquilles et c'est bien fait pour eux.

Même s'ils ne vivront jamais tranquille , c'est toujours mieux de vivre chez soi qu'en prison

Citation

Quand le journaliste a demandé à Marie-Ange Laroche si elle continuerait à croire à l'innocence de B. Laroche si on lui apportait des preuves irréfutables de sa culpabilité, genre par l'adn, etc. elle a répondu qu'elle ne croirait toujours pas à sa culpabilité, elle est par conséquent volontairement dans le déni

et ce n'est même pas la peine de l'écouter. On sait que Laroche était un harceleur sexuel qui cherchait à se taper les femmes des autres et enquiquinait les employées dans l'entreprise où il travaillait. Comment une femme peut-elle voir un saint dans un mec comme lui, qui a tenté de la tromper tant de fois ? Faut être un peu naïve quand même

Comme j'ai dit , elle est forcément complice , parce qu'en continuant à protéger son défunt mari ,

c'est elle qu'elle continue à protéger

Imagines , c'est Bernard Laroche l'assassin et que Marie-Ange dise :

"Bah après tout qu'on en finisse avec cette histoire , c'est mon mari qui a fait ça et il est mort , point final"

Mais non , elle sait très bien que si elle dit ça , elle sera embarquée et jugée au minimum pour non dénonciation

de crime , au pire pour complicité d'assassinat

Et la Marie-Ange ben elle a pas envie de finir sa vie en prison

Citation

 . En plus elle n'a aucune preuve à fournir de son innocence, puisqu'elle le dit elle-même : elle a travaillé de 13 h à 21 h le jour du meurtre et ne sait pas ce qu'a fait son mari pendant ce temps, en dehors de bouteilles de vin qu'il comptait acheter et d'un tiercé qu'il devait toucher. Elle ne fait donc que clamer l'innocence du mec par parti pris parce que c'était son mari.

Quand Murielle Bolle s'est rétractée ,  elle a donné une autre version :

"Je suis bien monté dans le car en sortant du collège , et quand je suis arrivée à la maison , (chez les Laroche)

Bernard était déjà rentré et son fils sébastien était sur ses genoux"

Bernard Laroche est questionné à son tour à ce sujet et répond :

"Quand je suis rentré chez moi , il n ' y avait  personne , Murielle est arrivée après moi"

 

Non mais c'est fort de café aussi ça !!

La première version était donc forcément la bonne

 

 

Modifié le 11 juillet 2017 par Mia Adaxo

L'affaire Grégory était un piège il y a 32 ans, et c'en est toujours un aujourd'hui. Et comme en 1985, la justice s'y plonge avec délectation.

Modifié le 11 juillet 2017 par Gouderien

Je suis pas convaincu avec les noeuds de tisserants il faudrait que Loargan en est la preuve par elle même ,moi d'après la vidéo je vois bien une boucle dans la représentation du lien au cou , et en croquis on vois bien des boucles .mais je peut me tromper .que les liens ne soit pas serrés c'est possible ,après immersion les liens se sont  certainement détendus . c'est comme la signature qui serait volontaire c'est risqué quant même .    je ne sais pas a quelle heure on a retrouvé l'enfant?

Modifié le 11 juillet 2017 par holdman

Il y a 3 heures, Mia Adaxo a dit :

Je crois plutôt qu'on lui a fait une piqûre d'insuline (c'est Murielle qui faisait ses piqûres d'insuline à sa mère diabétique)

Oui, ça aussi c'est une hypothèse : après tout, il a été prouvé que Murielle savait faire les piqûres et une capsule et une seringue d'insuline ont été retrouvées à l'endroit où s'est arrêté Laroche avec le petit. Ce n'est pas anodin. Dans un article de P. Match on peut lire : "C’est Murielle qui, à la fin, lui fait ses piqûres d’insuline (à sa mère, sic), ce médicament dont on a retrouvé un flacon et une seringue au bord de la Vologne, là où est repêché le corps de Grégory Villemin, un indice supplémentaire dans l’enquête. En ces années, l’infirmière Jacqueline Golbain passe chaque jour au domicile des Bolle. Elle connaît bien Murielle. « Dans ce milieu, on gueule, explique-t-elle. Pour se faire entendre, se faire respecter, obtenir une réponse, il faut crier aussi fort, sinon plus, qu’eux. On doit employer leur langage et répondre avec la même brutalité verbale. » "Je pense que Marie-Ange et son père Lucien Bolle l’ont sévèrement corrigée. Il est évident que Murielle a pris des coups », confie cette infirmière en 1990.

M. B. avait d'ailleurs commencé par mentir aux gendarmes en disant qu'à sa sortie du collège, elle était montée dans le car, avait décrit le chauffeur. Le hic : quatre filles de son collège l'ont vue monter dans une voiture verte, le chauffeur décrit n'était pas de service ce jour-là et c'est un remplaçant qui tenait le volant, qui a certifié lui aussi qu'elle n'était pas à bord (elle était de surcroit facilement repérable à cause de sa couleur de cheveux). C'est seulement après, quand les gendarmes lui ont démontré qu'elle avait menti, qu'elle a donné cette version accablant B. Laroche, et ne pouvait qu'être vrai vu le nombre de détails ne pouvant être imaginaires.

il y a 45 minutes, holdman a dit :

Je suis pas convaincu avec les noeuds de tisserants il faudrait que Loargan en est la preuve par elle même ,moi d'après la vidéo je vois bien une boucle dans la représentation du lien au cou , et en croquis on vois bien des boucles .mais je peut me tromper .que les liens ne soit pas serrés c'est possible ,après immersion les liens se sont  certainement détendus . c'est comme la signature qui serait volontaire c'est risqué quant même .    je ne sais pas a quelle heure on a retrouvé l'enfant?

Lu dans P. Match (pour ne citer qu'un exemple) : Ses petites mains et ses petits pieds sont ficelés par un noeud de tisserand, la spécialité des ouvriers des filatures où travaillent la plupart des membres de la famille.

Ce n'est pas moi qui l'invente, c'est ce qui est dit dans les articles de journaux et plusieurs documentaires.

 

Bon regarde holdman, sur cette photo on distingue bien qu'il s'agit d'un nœud de tisserand :