L'homosexualité pour les nuls...

il y a 8 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Bon ben j'suis pas plus avancée. Je ne sais toujours pas ce qui provoque ces réactions de rejet, certaines carrément exacerbées...

C'est étonnant cette volonté de vouloir absolument comprendre, c'est pourtant simple, c'est scientifique, un facteur génétique, d'ailleurs une étude démontre qu'on n'est plus volontiers homophobe quand les parents le sont, et une cause hormonale aussi peut être , les études sont en cours . Bref c'est naturel .

il y a 5 minutes, Henry Martin a dit :

Oui c'est sûr que les pendaisons de déviants, c'est monnaie courante en Europe.

Choisir ce type de mise à mort d'ailleurs, n'est pas une grande preuve d'intelligence, soit dit en passant

Tu viens d'utiliser un terme qui te vaudra la corde

il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

C'est étonnant cette volonté de vouloir absolument comprendre, c'est pourtant simple, c'est scientifique, un facteur génétique, d'ailleurs une étude démontre qu'on n'est plus volontiers homophobe quand les parents le sont, et une cause hormonale aussi peut être , les études sont en cours . Bref c'est naturel .

Ah ben si c'est naturel alors...

Un homme inverti en vaut deux. Inconnu.

à l’instant, Henry Martin a dit :

Un homme inverti en vaut deux. Inconnu.

Parce qu'ils s'incrustent..?

il y a 4 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Ah ben si c'est naturel alors...

La preuve l'homophobe est bisexuel, or sa bisexualité tout comme l'atteste ta vidéo est pour sa part homo certainement lié au pic de testostérone , donc finalement c'est tout à fait naturel . C'est un état naturel, comme l'homosexualité, car finalement l'homophobie c'est le revers de la même pièce .

https://fr.wikipedia.org/wiki/Homophobie

L'homophobie comme non-acceptation de sa propre bisexualité

L'explication psychanalyste de l'homophobie comme peur inavouée de ses propres penchants homosexuels a été proposée dès 1914¹⁵. L'homosexualité est ainsi estimée provoquer de l'angoisse chez de nombreux hommes, car cela « déclenche une prise de conscience de leurs propres caractéristiques féminines, telles la passivité ou la sensibilité, qu'ils considèrent comme des signes de faiblesse¹⁶. » Cette explication permet aussi d'expliquer pourquoi les hommes sont plus homophobes que les femmes¹⁶. Élisabeth Badinter parle de l'homophobie comme un « mécanisme de défense psychique » ainsi que de « stratégie pour éviter la reconnaissance d'une part inacceptable de soi¹⁷. »

Les États-Unis ont connu plusieurs cas très médiatisés de divulgation de penchants homosexuels de personnalités se déclarant publiquement violemment opposées à l'homosexualité ; c'est notamment le cas du pasteur télévangéliste Ted Haggard (en), qui reconnaîtra quelque temps plus tard sa propre bisexualité¹⁸. Ces affaires ont attiré l'attention sur la part de l'homosexualité refoulée dans l'homophobie, et, parallèlement, ont contribué à une meilleure acceptation des homosexuels¹⁹.

En 1996, Henry Adams, professeur émérite de psychologie à l'université de Géorgie, met en place un protocole pour tester cette hypothèse, et ses conclusions sont reprises par l'American Psychological Association²⁰. L'expérience a été mené avec des personnes se déclarant exclusivement hétérosexuelles^20,21 ; les cobayes ont été divisés en deux groupes : ceux qui exprimaient des sentiments homophobes, et les autres. Après avoir posé des capteurs sur leurs pénis pour observer leurs réactions, on a fait regarder à ces hommes des films pornographiques homosexuels (plus précisément des films érotiques). À l'issue de l'expérience, 44 % des hommes se disant non homophobes ont montré des traces d'excitation, contre 80 % de ceux se déclarant homophobes. De même, 24 % des non-homophobes étaient en érection complète, contre 54 % pour les homophobes. Toutefois, les auteurs de l'expérience eux-mêmes soulignent que l'anxiété augmente l'excitation sexuelle, que cela a pu contribuer à augmenter les résultats des homophobes et que d'autres expériences sont nécessaires pour trancher^21,20. La thèse d'Adams, qui a été contestée²², a été reprise par plusieurs de ses collègues^23,24.

Un article de The Economist rédigé par un journaliste spécialement dépêché en Amérique latine, connue pour sa culture bisexuelle masculine généralisée et sa très forte homophobie culturelle, constate que « L'Amérique Latine a une longue histoire d'ambivalence et d'hypocrisie sur l'homosexualité²⁵. » La culture latinoaméricaine, très machiste, accepte que des hommes aient des relations sexuelles avec d'autres hommes, mais seulement s'ils tiennent le rôle actif^25,26 ; les hommes en question, qui s'engagent dans des relations sexuelles avec des hommes et des femmes se voient comme « hétérosexuels »²⁷. Seuls sont stigmatisés les hommes efféminés, ceux qui sont supposés être passifs dans la relation²⁵.

Une anthropologiste norvégienne écrit sur ce phénomène : « Le mépris pour l'homosexuel efféminé est précisément ce qui rend acceptable la bisexualité pour les hommes masculins, et c'est pourquoi l'homophobie, le machisme et une bisexualité masculine généralisée forment un ensemble parfaitement cohérent²⁵. »

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D'ailleurs le dernier terro de Miami était homo .

il y a 34 minutes, Dan229 a dit :

Où en sommes-t'on ?

Ici. le dernier post qui commente le sujet et qui n'a pas eu de réponse :

Il y a 2 heures, Savonarol a dit :

Point 1: Une déviance se distingue toujours par rapport aux moeurs d'une société à un instant T. Donc dire "ça n'est pas une déviance" est toujours subjectif puisque ça dépend de la société dans laquelle la dite-déviance s'établit ou non. Dans la société consumériste du 21e siècle l'homosexualité n'est plus une déviance, dans  le monde musulman elle en est une , etc.

Point 2 : Les statistiques sur le devenir des enfants selon qu'ils sont élevés par des parents homos ou hétéros, ça n'aurait aucune incidence. C'est très discutable et ça dépend des recherches que l'on commande et de l'honnêteté que l'on met dans la lecture du résultat de ces dites-recherches. Je me souviens qu'à l'époque du débat sur le mariage homo, on pouvait trouver des enquêtes établissant que le nombre d'adolescents fragiles mentalement et affectivement, en proie à la dépression allait jusqu'à tripler au sein des familles homos, et le type qui commandait l'enquête de conclure "qu'il n y avait aucune différence avec une famille hétéro".  Ne pas sous-estimer la part de mauvaise foi du au conditionnement idéologique.

Point 3: Freud contesté ? Ca dépend par qui. Les tenants de l'égalitarisme abstrait selon lequel rien ne sépare les hommes en terme de différence parce que "tout le monde est normal à sa façon" relève encore une fois d'un paradigme idéologique en forme de sophisme. En gros les différences n'existent pas parce qu'elles sont contraire au vivre-ensemble. Ou comment gommer une problématique en simplement niant son existence. (ce qui est la définition du déni)

Point 4: L'histoire du noyau racontée à la fin n'est qu'une théorie, qui à l'instar de n'importe quelle autre théorie restera une hypothèse jusqu'à ce qu'elle soit démontrée de manière irréfutable.

 

Bref, de bonnes intentions mais ça n'est pas très sérieux.

il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

La preuve l'homophobe est bisexuel, or sa bisexualité tout comme l'atteste ta vidéo est pour sa part homo certainement lié au pic de testostérone , donc finalement c'est tout à fait naturel . C'est un état naturel, comme l'homosexualité, car finalement l'homophobie c'est le revers de la même pièce .

J'ai rien compris...

@DDR

Oui ça fait aussi penser à American Beauty avec Kevin Spacey qui se fait tuer à la fin par un homophobe (l'archétype du beauf militaire de carrière inculte qui a envie de casser du pédé.) Sauf qu'il est amoureux de Kevin Spacey et ça le rend encore plus cinglé qu'au départ.

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

J'ai rien compris...

Tourne-toi, il va t'expliquer ça en profondeur...

Et c'est l'avis des personnes ici qui sont homophobes qui m'intéresse.

il y a 59 minutes, hdbecon a dit :

Tourne-toi, il va t'expliquer ça en profondeur...

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

 

J'ai rien compris...

Ce sont les homosexuels refoulés, ou disons les bisexuels (tout le monde l'est un peu à minima), qui peuvent se montrer les homophobes les plus virulents.

il y a une heure, Henry Martin a dit :

Ce sont les homosexuels refoulés, ou disons les bisexuels (tout le monde l'est un peu à minima), qui peuvent se montrer les homophobes les plus virulents.

Ah bon ! C'est ça que ça veut dire ? J'ai beau relire...

Sérieusement, vous espérez combattre les clichés homophobes par des clichés sur les homophobes ?

ça devient n'importe quoi ce topic.

il y a 1 minute, Théia a dit :

Sérieusement, vous espérez combattre les clichés homophobes par des clichés sur les homophobes ?

ça devient n'importe quoi ce topic.

les homosexuels sont homophobes, les homophobes sont homosexuels, c'est effectivement pour les nuls...

il y a 3 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Ah bon ! C'est ça que ça veut dire ? J'ai beau relire...

Non. Ce qu'il explique c'est que le pic de testostérone définissant ton orientation sexuelle, au départ on est tous bi. Selon le pic, soit on sera hétéro, soit on sera homo.

il y a 5 minutes, Mite_Railleuse a dit :

 

J'ai rien compris...

L'homophobe est lui même homo et hétéro . Au vu de ta vidéo on peut donc conclure qu'il y a de grande chance que sa bisexualité soit tout aussi naturelle que l'homosexualité, la tension interne et externe qu'il peut alors ressentir face à l'homosexualité est elle aussi sans doute naturelle . Du coup il faut aborder l'homophobe sans préjugés et comprendre que cet état d'être est naturel, il n'y a rien à comprendre, il est comme ça . Le stigmatiser en tant que gros con, qui reste sa préférence affichée et non refoulée, relève alors de la faute morale.

il y a 3 minutes, titenath a dit :

Non. Ce qu'il explique c'est que le pic de testostérone définissant ton orientation sexuelle, au départ on est tous bi. Selon le pic, soit on sera hétéro, soit on sera homo.

C'est un peu confus quand même. "Au départ on est tous bi", ça reste à expliciter...

il y a 4 minutes, titenath a dit :

Non. Ce qu'il explique c'est que le pic de testostérone définissant ton orientation sexuelle, au départ on est tous bi. Selon le pic, soit on sera hétéro, soit on sera homo.

Oui mais cette histoire de pic est vraiment à prendre avec précaution. 

(En plus pour être exact dans ce raisonnement, les femmes n'ont pas ce pic qui développent "le bulbe", elles ne sont pas bi pour autant, selon cette théorie...). 

il y a 13 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Et c'est l'avis des personnes ici qui sont homophobes qui m'intéresse.

La plupart te diront que ne pas blairer les homos est naturel . Aucun ne t'a jamais répondu ?

il y a 1 minute, hdbecon a dit :

C'est un peu confus quand même. "Au départ on est tous bi", ça reste à expliciter...

Effectivement, il serait plus judicieux de dire "sans orientation sexuelle définie", donc potentiellement hétéro ou homo.

Après je rejoins Marple sur la précaution à prendre sur cette histoire de pic.