Trouver le bon équilibre en tant que femme

à l’instant, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Marpletree, bisous.

Merci beaucoup,  je t'aime , bon enfin en toute camaraderie. Par ce que pour le reste je pourrait être ton grand père, ça se fait pas.

 

Bonjour ou bonsoir plutôt 

No soucis 

Et f.. les voisins venus des pays... sauvages, de l'est tout ça,  bruyants, irrespectueux ("Oh mais c'est dimanche soir, normal, c la teuf.." ok. )

Je chaaante fort et faux !

Et encore, je suis pas rentrée trop tard... 

il y a 9 minutes, Marla a dit :

 

Et f.. les voisins venus des pays... sauvages, de l'est tout ça,  bruyants, irrespectueux ("Oh mais c'est dimanche soir, normal, c la teuf.." ok. )

Je chaaante fort et faux !

 

Et encore, je suis pas rentrée trop tard... 

 

Bonsoir Marla, souffrez que je vous baise sur les deux joues tout content de vous retrouver  ici sur les forum .

Vous là, mais c'est la méga teuf tout les jours.

il y a 18 minutes, Promethee_Hades a dit :

Bonsoir Marla, souffrez que je vous baise sur les deux joues tout content de vous retrouver  ici sur les forum .

Vous là, mais c'est la méga teuf tout les jours.

Bonsoir très cher Prom..

Désolée, là maintenant je n'ai pas la fibre poétique ou même juste prolifique (un comble, surtout pour moi)

Vous, ici, 

Ouais, teuf et autres ( heureuse de vous retrouve aussi), vu les circonstances... Après je ne vais pas rentrer dans les détails, mais juste parfois je suis bien aise que des ancien(nne)s soient toujours là ("être là", dans tous les sens du terme), zoubis maman...)

Pardon pour le hs... 

Je m'interroge sur trouver le bon équilibre "après quarantaine".

Les priorités actuelles sont les enfants et leur éducation, le travail, caser une vie de couple "satisfaisante" entre tout ça. Sans compter le fait que je revendique de vivre pour moi-même et non plus au service des miens.

Je force le trait bien sûr.

Mais par exemple, là  je prend deux jours pour moi pour m'offrir une bulle de détente. Chose que j'aurai eu du mal à m'autoriser sans culpabiliser quelques années auparavant. 

J'espère trouver plus de sérénité pour les années à venir, être plus apaisées avec moi même notamment. Je ne sais trop pas trop par quel chemin. .. 

Quelle est votre expérience en la matière ?

Il y a 1 heure, Marpletree a dit :

Je m'interroge sur trouver le bon équilibre "après quarantaine".

Les priorités actuelles sont les enfants et leur éducation, le travail, caser une vie de couple "satisfaisante" entre tout ça. Sans compter le fait que je revendique de vivre pour moi-même et non plus au service des miens.

Je force le trait bien sûr.

Mais par exemple, là  je prend deux jours pour moi pour m'offrir une bulle de détente. Chose que j'aurai eu du mal à m'autoriser sans culpabiliser quelques années auparavant. 

J'espère trouver plus de sérénité pour les années à venir, être plus apaisées avec moi même notamment. Je ne sais trop pas trop par quel chemin. .. 

Quelle est votre expérience en la matière ?

Je te souhaite de trouver cette sérénité et cet apaisement avec toi même Marpletree  . Amicalement   

il y a 16 minutes, S.A.S a dit :

Je te souhaite de trouver cette sérénité et cet apaisement avec toi même Marpletree  . Amicalement   

Merci à toi.

Il y a 1 heure, Marpletree a dit :

Je m'interroge sur trouver le bon équilibre "après quarantaine".

Les priorités actuelles sont les enfants et leur éducation, le travail, caser une vie de couple "satisfaisante" entre tout ça. Sans compter le fait que je revendique de vivre pour moi-même et non plus au service des miens.

Je force le trait bien sûr.

Mais par exemple, là  je prend deux jours pour moi pour m'offrir une bulle de détente. Chose que j'aurai eu du mal à m'autoriser sans culpabiliser quelques années auparavant. 

J'espère trouver plus de sérénité pour les années à venir, être plus apaisées avec moi même notamment. Je ne sais trop pas trop par quel chemin. .. 

Quelle est votre expérience en la matière ?

J'en suis pas encore à réussir à prendre du temps pour moi mais j'y travaille. 

Ça me rassure dans un sens, de ne pa etre la seule à vouloir la même chose.  

Il y a 12 heures, Marpletree a dit :

Je m'interroge sur trouver le bon équilibre "après quarantaine".

Les priorités actuelles sont les enfants et leur éducation, le travail, caser une vie de couple "satisfaisante" entre tout ça. Sans compter le fait que je revendique de vivre pour moi-même et non plus au service des miens.

Je force le trait bien sûr.

Mais par exemple, là  je prend deux jours pour moi pour m'offrir une bulle de détente. Chose que j'aurai eu du mal à m'autoriser sans culpabiliser quelques années auparavant. 

J'espère trouver plus de sérénité pour les années à venir, être plus apaisées avec moi même notamment. Je ne sais trop pas trop par quel chemin. .. 

Quelle est votre expérience en la matière ?

Je pense que tu en as déjà compris le chemin en t'accordant ces deux jours, et qu'il faut continuer dans ce sens "bulle de détente" ( activités personnelles, 'tits road-trip ...etc, suivant tes goûts/aspirations) , mais attention de ne pas t'enfermer dans une "bulle tout court" en t'isolant des autres....de tous les autres de ta vie présente et à venir car ce n'est pas l'apaisement que tu risques de trouver mais la solitude intellectuelle et affective, même au milieu de tous, un fossé d'incompréhension pouvant se creuser entre eux et toi .

à l’instant, Petit pois a dit :

Je pense que tu en as déjà compris le chemin en t'accordant ces deux jours, et qu'il faut continuer dans ce sens "bulle de détente" ( activités personnelles, 'tits road-trip ...etc, suivant tes goûts/aspirations) , mais attention de ne pas t'enfermer dans une "bulle tout court" en t'isolant des autres....de tous les autres de ta vie présente et à venir car ce n'est pas l'apaisement que tu risques de trouver mais la solitude intellectuelle et affective, même au milieu de tous, un fossé d'incompréhension pouvant se creuser entre eux et toi .

Tu as tout a fait raison petit pois 

il y a 1 minute, Marpletree a dit :

Tu as tout a fait raison petit pois 

Je ne sais pas, Marpletree, je t'exprime mon ressenti et un peu aussi mon expérience et je te souhaite toute réussite et épanouissement possible dans ta démarche.

il y a 4 minutes, Petit pois a dit :

Je ne sais pas, Marpletree, je t'exprime mon ressenti et un peu aussi mon expérience et je te souhaite toute réussite et épanouissement possible dans ta démarche.

Disons que ce que tu me dis fait sens 

Il y a 12 heures, Marpletree a dit :

Je m'interroge sur trouver le bon équilibre "après quarantaine".

Les priorités actuelles sont les enfants et leur éducation, le travail, caser une vie de couple "satisfaisante" entre tout ça. Sans compter le fait que je revendique de vivre pour moi-même et non plus au service des miens.

Je force le trait bien sûr.

Mais par exemple, là  je prend deux jours pour moi pour m'offrir une bulle de détente. Chose que j'aurai eu du mal à m'autoriser sans culpabiliser quelques années auparavant. 

J'espère trouver plus de sérénité pour les années à venir, être plus apaisées avec moi même notamment. Je ne sais trop pas trop par quel chemin. .. 

Quelle est votre expérience en la matière ?

En fait homme ou femme, à ce niveau là c'est un peu la même chose. La quarantaine est ce moment où l'on bascule dans la seconde moitié de vie. Celle où l'on quitte la période de "construction" et de l'avoir  pour entrer dans la délicate question de l'être.

"La transition du milieu de vie marque un passage obligé par lequel tout individu chemine tôt ou tard à un moment donné de sa vie. Ce passage, Carl G. Jung l’a appelé le « processus d’individuation » et comporte cinq étapes (2) :

Accommodation –> Prise de conscience –> Face-à-face –> Intégration –> Individuation

Étape 1 – L’accommodation : cette étape commence dès l’enfance ! C’est en effet la période où nous nous accommodons, nous nous conformons aux injonctions de nos parents, de l’école, ou de toute autre institution extérieure censée nous montrer « le bon chemin ». D’une certaine façon, durant cette étape on se construit par rapport aux autres et non par rapport à soi. Vous vous doutez bien qu’à la longue cela devient problématique parce qu’on passe son temps à renoncer et à occulter des dimensions essentielles de son être. Au fil du temps et surtout lorsqu’on a atteint un certain degré de maturité, ce renoncement finit par appauvrir l’individu jusqu’au moment où il constate qu’il y a des choses de fond à changer dans sa vie.

Étape 2 – La prise de conscience : la prise de conscience correspond à cette voix intérieure qui vous dit : « hey, tu ne peux plus continuer comme ça ! Tu dois réagir !». Il y a des gens qui décident de ne pas écouter cette petite voix, faisant ainsi la politique de l’autruche, et niant la réalité. Agir de la sorte n’est évidemment pas la meilleure des solutions, car le problème resurgira tôt ou tard, comme poussé par la loi d’Archimède !

Étape 3 – Le face-à-face : décider d’écouter sa petite voix, c’est commencer à réagir. Mais ce n’est pas suffisant. Il faut vraiment faire face à la situation. Le face-à-face est donc une confrontation avec soi-même durant laquelle des questions de toutes sortes fusent : qu’est-ce que j’ai vraiment accompli ? Qu’est-ce que je n’ai pas pu faire qui me tenait à cœur ? Quel sens dois-je donner à ma vie ? Qu’est-ce que je veux concrètement ? Ce que je fais est-il en accord avec mes valeurs, mes besoins ? In fine, quel est mon projet de vie ?

Cette confrontation peut sembler a priori douloureuse et pourtant elle est salutaire… à condition qu’on ne tourne pas en rond comme un fauve dans sa cage ! La confrontation est le point de départ d’un processus de développement personnel et de croissance.

Étape 4 – L’intégration : Durant cette étape, le questionnement est toujours très présent, mais, et là est la beauté de toute notre humanité, on accepte cette phase de questionnement. Le simple fait d’accepter rend les questions véritablement créatrices de valeur pour soi-même, ce qui permet de faire les premiers ajustements. D’une certaine façon, l’intégration est cette étape où vous décidez d’être l’acteur de votre propre vie.

Étape 5 – L’individuation : Expliquer « l’individuation » en quelques lignes peut s’avérer périlleux, voire prétentieux, tant ce concept est riche. Les puristes m’excuseront donc de ne pas rentrer dans les détails qu’ils pourront trouver ici  ! Ce qu’il faut retenir simplement, c’est que lorsque vous êtes rendu à cette dernière étape du processus de transition du milieu de vie, vous vous reconnaissez comme une personne à part entière : vous avez la maturité nécessaire pour savoir ce qui est bon pour vous et ce vers quoi vous voulez aller."

Lire la suite: http://www.habitudes-zen.fr/2014/votre-transition-du-milieu-de-vie-est-une-vraie-mine-dor/#ixzz4aoCIRSkI
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il y a 12 minutes, ping a dit :

La transition du milieu de vie marque un passage obligé par lequel tout individu chemine tôt ou tard à un moment donné de sa vie. Ce passage, Carl G. Jung l’a appelé le « processus d’individuation » 

Merci pour cet apport  Ping 

Bon j'ai justement commencé a lire Jung ( enfin, sa biographie pour l'instant)  un livre a la fois

Il convient surtout de ne pas sous-estimer cet "appel interieur" et essayer de le faire taire. Au contraire, se mettre à l'ecoute de soi-même et ne pas reduire tout ça à de vagues lubies qui passeront. C'est vraiment de soi qu'il s'agit, et quelque part de ce qu'on appèlle souvent sans savoir de quoi on parle du " sens de la vie".

..de toute façon, si tu ne l'écoutes pas, ton corps va l'exprimer en manifestations psycho-somatiques, diverses manifestations inconfortables à mortelles, chutes,   blessures ( bénignes ou pas) ...la répétition doit alerter, et les rêves inconfortables mais récurrents aussi.

Perso j'ai des "signes repères" qu'il y a une dissonance en moi et que je dois résoudre.

Il y a 1 heure, Petit pois a dit :

..de toute façon, si tu ne l'écoutes pas, ton corps va l'exprimer en manifestations psycho-somatiques, diverses manifestations inconfortables à mortelles, chutes,   blessures ( bénignes ou pas) ...la répétition doit alerter, et les rêves inconfortables mais récurrents aussi.

Perso j'ai des "signes repères" qu'il y a une dissonance en moi et que je dois résoudre.

Les anciens orientaux avaient une belle metaphore pour illuster ça, cette idée qu'il faille mieux ecouter son "maître interieur" avant qu'il ne soit obligé de nous mettre en panne pour essayer d'être "entendu":

http://www.macrolivres.com/fiches/le_chemin_de_vie.php

il y a 9 minutes, ping a dit :

Les anciens orientaux avaient une belle metaphore pour illuster ça, cette idée qu'il faille mieux ecouter son "maître interieur" avant qu'il ne soit obligé de nous mettre en panne pour essayer d'être "entendu":

http://www.macrolivres.com/fiches/le_chemin_de_vie.php

Ha oui , bel exemple métaphorique .  Michel Odoul, j'ai lu beaucoup de  ses bouquins et j'y replonge à l'occasion 

"Pour pouvoir parler avec le maître intérieur, il est parfois nécessaire de s’arrêter…  " 

Par expérience je dirais "mais pas trop longtemps", au risque de ne pouvoir re-démarrer....les chevaux paissent tranquillement,  s'évadent dans la prairie et toi, tu réfléchis à ta roue à réparer et t'as pas forcément le matos....alors oui, on peut aussi continuer à pieds 

Pour le coup c'est s'arreter au sens de faire le point que pour se mettre à l'arrêt. Pour illustrer on pourrait prendre l'exemple du caillou dans la chaussure. Imaginons la personne trop occupée pour s'arrêter qui ignore la petite gène du caillou dans sa chaussure. Petit à petit la gêne va devenir douleur, et pour eviter la douleur la personne va adopter une posture qui va la soulager mais va finir par lui causer des douleurs articulaires aux genoux, puis des douleurs dorsales, et de fil en aiguille lui alterer sa santé en general. Alors qu'en s'arrêtant au bon moment pour oter le caillou, le temps perdu à s'arrêter ne represente pas grand chose par rapport aux ennuis évités. Savoir ecouter ses "signes repères" comme tu les appellent est ce que l'on peut faire de plus judicieux.