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Selon l’OCDE, la France est l’un des pays où le milieu social influe le plus sur le niveau scolaire

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Invité Magus

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Donc elle ne les encourage pas ;) 

Je t'invite également à voir la dernière interview d'Hélène Carrère d'Encausse sur le sujet. Elle est moins conciliante que ne l'est cette annonce. 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 850 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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Il y a 2 heures, PLS maker a dit :

C'est bien entendu faux, encore une fois !

 L'EN n'a aucun pouvoir en la matière. 

La dernière "rectification orthographique" (pas une réforme, comme déjà expliqué, mais dont vous n'avez rien à faire...) a été élaborée par trois instances : le Conseil Supérieur de la Langue Française, l'Académie française et un comité constitué de linguistes et de lexicographes. Tout ce monde a été convoqué par Michel Rocard afin de réfléchir aux rectifications qui s'imposaient. 

L'Académie Française a d'abord entériné le projet de rectifications, mais a fait volte-face après que l'intelligentsia ait manifesté sa vive opposition contre ces rectifications pourtant minimes. Ce retournement a fait capoté le projet : désormais l'Académie n'interdit pas les graphies rectifiées, mais elle ne recommande pas leur usage ! Helène Carrère d'Encausse fait comme si ces rectifications ne constituaient qu'une anecdote. C'est une manifestation claire des prétentions de l'institution en matière d'orthographe. Certes, elle entérine les usages, mais aux conditions qu'elle décide, quand elle le décide, et selon les modalités qu'elle décide. Sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit.... 

http://www.academie-francaise.fr/actualites/declaration-de-lacademie-francaise-sur-la-reforme-de-lorthographe

 

Au moment où le ministère de l’Éducation nationale décide de mettre en application les rectifications orthographiques recommandées par le Conseil supérieur de la langue française et publiées par le Journal officiel le 6 décembre 1990, qui serviront de référence dès la prochaine rentrée scolaire pour l’enseignement de l’orthographe dans les collèges, l’Académie française, dans sa séance du 11 février 2016, tient à rappeler la position qui a été la sienne lors de l’adoption de ces recommandations.

Par trois textes successifs, l’Académie française s’est exprimée sur ce sujet.

Dans sa séance du 16 novembre 1989, confrontée à un projet de simplification de l’orthographe, elle a adopté à l’unanimité une déclaration qui rappelait fermement son opposition à toute modification autoritaire de l’orthographe. L’Académie a réaffirmé qu’il n’appartient ni au pouvoir politique ni à l’administration de légiférer ou de réglementer en matière de langage, l’usage, législateur suprême, rendant seul compte des évolutions naturelles de la langue, qui attestent sa vitalité propre.

Sans se montrer fermée à certains ajustements ou tolérances, l’Académie  s’est donc prononcée en faveur du maintien de l’orthographe d’usage, conseillant « de laisser au temps le soin de la modifier selon un processus naturel d’évolution » qui ne porte pas atteinte au génie de la langue et ne rende pas plus difficile d’accès l’héritage culturel.

Après qu’eut été constitué un groupe d’étude sur cette question au sein du Conseil supérieur de la langue française, l’Académie, sollicitée de rendre un avis, et informée des seuls principes guidant l’action de cet organisme – refus de toute imposition autoritaire de normes graphiques et sanction de l’usage pour les rectifications proposées –, a voté à l’unanimité dans sa séance du 3 mai 1990 un second texte, marquant son accord avec les lignes directrices du projet en préparation. C’est cet accord, voté en l’absence de tout texte et ne portant que sur des principes, qui est invoqué aujourd’hui comme une approbation des directives devant entrer en application dans l’enseignement secondaire à partir de la prochaine rentrée.

L’Académie s’interroge sur les raisons de l’exhumation par le ministère de l’Éducation nationale d’un projet vieux d’un quart de siècle et qui, à quelques exceptions près, n’a pas reçu la sanction de l’usage. Plus que la maîtrise de l’orthographe, défaillante, c’est la connaissance même des structures de la langue et des règles élémentaires de la grammaire qui fait complètement défaut à un nombre croissant d’élèves, comme le montrent les enquêtes internationales menées ces dernières années, qui, toutes, attestent le net recul de la France par rapport à d’autres pays européens dans le domaine de la langue.

En conclusion, pour l’Académie, il est urgent d’engager dès l’enseignement primaire le redressement souhaité par tant de nos concitoyens, en rétablissant les conditions d’une vraie transmission du savoir. Tel est l’enjeu d’une réforme véritable de notre système éducatif, qui placerait de nouveau l’acquisition et la maîtrise des connaissances au cœur de ses préoccupations, et dont des dispositions incidentes ne permettent pas de se dispenser.

 

==============================================

C'est bel et bien l'EN qui a décidé que les manuels seraient désormais décorés de nénufar et d'ognons .

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Académie_française

 

L'Académie française s'est toujours défendue d'être la créatrice de la langue, considérant que son rôle est uniquement de constater, de recueillir et de normaliser les usages8. En cela, elle opérait de la même manière que les autres institutions royales, comme celles qui recueillaient les us et coutumes, et les codifiaient en lois sans se donner le droit d'en changer les dispositions.

L'Académie française détient pourtant de fait un pouvoir moral dans le domaine de la langue française : on la considère volontiers en France, en raison de son Dictionnaire en constante reconstruction, comme autorité naturelle pour décider du bon usage en matière de langue française : nomenclature des mots, orthographe et même règles de grammaire.

Cette autorité est concurrencée en premier lieu par des ministères français comme celui de l'Éducation nationale (circulaires sur les tolérances en matière de correction de l'orthographe aux examens9) ou celui de la condition féminine (texte sur la féminisation des noms de métiers10) ; ensuite par certaines institutions de normalisation internationales, voire par une conception libérale qui donne une égale autorité à tous les éditeurs privés ; mais aussi par les décisions d'autres pays francophones, en particulier le Canada et plus précisément le gouvernement du Québec et son Office québécois de la langue française, dont la communauté est très vigilante à l'égard des anglicismes.

La dernière autorité s'avère en fin de compte l'usage : menée par quelques défenseurs inattendus dont François Cavanna et Delfeil de Ton, ordinairement peu enclins à soutenir l'ordre établi, la réforme de 1990 (rectification d'anomalies orthographiques, suppressions de certains accents circonflexes, francisation des noms d'origine étrangère, etc.) fut fortement contestée et l'Académie, tout en indiquant que les modifications proposées possédaient une logique, réaffirma la nécessité de laisser l'usage seul trancher.

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Vous parliez de réforme "émanant" de l'EN. 

En crise d'hypercorrection ? ;) 

Quant à l'article de wikipedia sur le sujet, il dit ce qu'il veut, mais les faits sont là : l'Académie a toujours affirmé son autorité en matière de contrôle de l'orthographe. A ce sujet, plutôt que wikipedia, on consultera les travaux sur l'histoire de l'orthographe française, comme celui-ci : 

http://www.persee.fr/doc/lgge_0458-726x_1994_num_28_114_1678

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il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

 

L’Académie s’interroge sur les raisons de l’exhumation par le ministère de l’Éducation nationale d’un projet vieux d’un quart de siècle et qui, à quelques exceptions près, n’a pas reçu la sanction de l’usage.

Ils sont quand même fort à la Gagadémie : ils refusent de promouvoir et de diffuser largement les rectifications apportées, pour après s'étonner que les graphies n'ont pas reçu la sanction de l'usage :ange2:

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il y a 14 minutes, DroitDeRéponse a dit :

C'est bel et bien l'EN qui a décidé que les manuels seraient désormais décorés de nénufar et d'ognons .

Elle a décidé de suivre les recommandations éditées en 1990. Voilà tout. 

https://blogs.msdn.microsoft.com/correcteurorthographiqueoffice/2008/09/07/lorthographe-rvise-est-la-rfrence-dans-les-programmes-scolaires-2008-2009-de-leducation-nationale/ (lien vers les BO pour le coup)

Comme toutes les institutions françaises et des pays francophones, donc. Cette norme avait d'ores et déjà été adoptée en Belgique et au Québec. 

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il y a 18 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Cette autorité est concurrencée en premier lieu par des ministères français comme celui de l'Éducation nationale (circulaires sur les tolérances en matière de correction de l'orthographe aux examens9)

Il convient de nuancer cette concurrence : si elle a été voulue par des politiques (pas vraiment par les ministres eux-mêmes), ces tolérances ne bénéficient que d'une faible diffusion et sont largement méconnues du personnel enseignant. 

D'ailleurs, les tolérances concernent essentiellement des points de grammaire (notamment l'absence d'accord avec l'auxiliaire avoir dans de nombreux cas, censé être toléré depuis 1901 mais dont presque personne ne connaît l'existence...). 

Et, encore une fois : il n'y a aucune autorité en matière de rectification ou de réforme de l'orthographe (ce dont nous parlions il me semble). Les tolérances, c'est ce que je préconise depuis le début de la discussion, mais à plus grande échelle que ce qui se fait actuellement. 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 850 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 34 minutes, PLS maker a dit :

Ils sont quand même fort à la Gagadémie : ils refusent de promouvoir et de diffuser largement les rectifications apportées, pour après s'étonner que les graphies n'ont pas reçu la sanction de l'usage :ange2:

Et c'est donc bien l'EN de fait qui fixe la norme pour les nouvelles générations. L'académie l'a bel et bien dans l'ognon . Les manuels sont revus , et de fait à contrario de la préconisation de l'académie , c'est oignon qui devient toléré , Il y a un topic et la liste est assez longue, dont certaines à meme de générer de l'hypercorrection ..,

 

Modifié par DroitDeRéponse
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à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Et c'est donc bien l'EN de fait qui fixe la norme pour les nouvelles générations. L'académie l'a bel et bien dans l'ognon .

L'EN précise que les deux graphies restent correctes, hein. 

Et l'EN, une fois encore, n'a fais que suivre tous les autres ministères et tous les autres pays de la francophonie sur lesquels elle était en retard : la nouvelle orthographe est appliquée dans les publications grands public (médias, éducation) depuis 10 ans au Québec et 8 ans en Belgique, alors bon... ^^" 

Par ailleurs, l'orthographe, encore une fois, en tant que norme, n'a pas vocation à évoluer d'elle-même. Une orthographe rectifiée, une nouvelle norme, pour pouvoir s'inscrire dans l'usage, a forcément besoin d'être portée par l'institution ! C'est pour ça que quand l'Académie vient nous jouer ses fausses aires de chaste innocente sur le sujet, c'est franchement gonflé. Elle ne l'a pas dans l'ognon puisqu'elle a dans un premier temps donné son accord à une liste de rectifications qui avaient vocations à être portée par l'institution... 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 850 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 26 minutes, PLS maker a dit :

Elle a décidé de suivre les recommandations éditées en 1990. Voilà tout. 

Pas la recommandation de l'académie et avec 25 ans de retard . Les gagas ne sont ils pas plutôt de l'EN ?

:sleep:

 

il y a 19 minutes, PLS maker a dit :

Il convient de nuancer cette concurrence : si elle a été voulue par des politiques (pas vraiment par les ministres eux-mêmes), ces tolérances ne bénéficient que d'une faible diffusion et sont largement méconnues du personnel enseignant. 

D'ailleurs, les tolérances concernent essentiellement des points de grammaire (notamment l'absence d'accord avec l'auxiliaire avoir dans de nombreux cas, censé être toléré depuis 1901 mais dont presque personne ne connaît l'existence...). 

Et, encore une fois : il n'y a aucune autorité en matière de rectification ou de réforme de l'orthographe (ce dont nous parlions il me semble). Les tolérances, c'est ce que je préconise depuis le début de la discussion, mais à plus grande échelle que ce qui se fait actuellement. 

"Croivent " ou "fesez " on est plus dans la tolérance . Lol 

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à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Pas la recommandation de l'académie et avec 25 ans de retard . Les gagas ne sont ils pas plutôt de l'EN ?

Nan, ils sont bien à l'Académie, qui a pesé de tout son absurde poids pour ne pas que les nouvelles graphies s'inscrivent dans le champ scolaire dès 1991. Ce que Rocard voulait faire au départ. 

Michel Rocard a été obligé de reculé à l'époque à cause des gueulantes de l'élite et du monde médiatique. 

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il y a 8 minutes, DroitDeRéponse a dit :

"Croivent " ou "fesez " on est plus dans la tolérance . Lol 

On le devrait. 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 850 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 11 minutes, PLS maker a dit :

Nan, ils sont bien à l'Académie, qui a pesé de tout son absurde poids pour ne pas que les nouvelles graphies s'inscrivent dans le champ scolaire dès 1991. Ce que Rocard voulait faire au départ. 

Michel Rocard a été obligé de reculé à l'époque à cause des gueulantes de l'élite et du monde médiatique. 

Ce ne sont donc pas les recommandations et c'est bien l'EN qui a décidé 25 ans plus tard de la nouvelle norme que j'invite chacun à relire . Nénufar et ognon est désormais la norme des manuels scolaire mais il y a des éléments bien plus à même de susciter l'hypercorrection . Sinon l'enseignement du prédicat est à revoir le cadet au collège est perturbé . 

il y a 11 minutes, PLS maker a dit :

On le devrait. 

Pas à l'école , sinon autant s'en passer pour apprendre la langue . Le j'aime lire fait mieux .

 

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il y a 5 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Ce ne sont donc pas les recommandations

Franchement, osef de la versatile recommandation de l'Académie française. 

Comme dit précédemment, l'Académie ne pouvait pas exiger de mettre à l'épreuve du temps ces rectifications si dans le même temps elle-même ou les autres institutions ne les proposait pas à ceux à qui appartient l'écriture : les francophones. Les institutions s'en sont chargé, et c'est parfaitement cohérent : c'est le destin de toute proposition de ce genre. 

D'autant que, comme dit précédemment, le recul de l'Académie n'a été le fait que des protestations de l'intelligentsia, pas sur des considérations linguistiques. 

Modifié par PLS maker
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Membre, 55ans Posté(e)
Foraveur Membre 6 426 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
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"Les tolérances, c'est ce que je préconise depuis le début de la discussion, mais à plus grande échelle que ce qui se fait actuellement."

Oui d'accord PLS mais la tolérance alors elle porte sur certaines graphies ou sur toutes ...parceque il faut quand même, fixer ce qui fait partie des formes tolérées non?

Pour dire clairement comme avec le "eszett " ( scharfes S)....

Si j'écris p.ex. "draußen" en suisse-allemand, alors que les suisses-allemands ils utilisent plus le "eszett " on tolérera et comprendra sans problème....

Si j'écris  Süßstoff  tout le monde sera capable de comprendre aussi bien en Allemagne que en Suisse-allemande....même si ces derniers préfèrent cette façon d'écrire Süssstoff .....mais cette dernière forme elle me pique les yeux....comme Massstab...

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 850 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 13 minutes, PLS maker a dit :

Franchement, osef de la versatile recommandation de l'Académie française. 

Comme dit précédemment, l'Académie ne pouvait pas exiger de mettre à l'épreuve du temps ces rectifications si dans le même temps elle-même ou les autres institutions ne les proposait pas à ceux à qui appartient l'écriture : les francophones. Les institutions s'en sont chargé, et c'est parfaitement cohérent : c'est le destin de toute proposition de ce genre. 

D'autant que, comme dit précédemment, le recul de l'Académie n'a été le fait que des protestations de l'intelligentsia, pas sur des considérations linguistiques. 

Je ne fais que répondre à votre propos"faux c'est pas l'EN " 

Les institutions s'en sont chargés comme vous dites , lesquelles ont décidé unilatéralement que la tolérance devenait la norme ? :D

Norme au demeurant que j'invite chacun à relire , va y avoir de l'hypercorrection ...

 

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à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Je ne fais que répondre à votre propos"faux c'est pas l'EN " 

Les institutions s'en sont chargés comme vous dites , lesquelles ont décidé unilatéralement que la tolérance devenait la norme ?

1) Vous parliez de réforme "émanant" de l'EN, ce qui est faux, je l'ai montré. La rectification émane du Conseil Supérieur de la Langue Française et a été approuvée par l'Académie. Vous avez peut-être fait une erreur dans le choix du verbe, ça arrive, mais dans ce cas répondez en conséquence, au lieu de nous imposé des pavés c/c. 

2) Les institutions n'ont pas décidé unilatéralement, puisque l'Académie voulait laisser faire "l'épreuve du temps", ce qui supposais une diffusion, qui ne pouvait être qu'institutionnelle. 

Par ailleurs, les rectifications n'étaient pas des tolérances : elles étaient appelées à devenir la nouvelle norme. 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 850 messages
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il y a 8 minutes, PLS maker a dit :

1) Vous parliez de réforme "émanant" de l'EN, ce qui est faux, je l'ai montré. La rectification émane du Conseil Supérieur de la Langue Française et a été approuvée par l'Académie. Vous avez peut-être fait une erreur dans le choix du verbe, ça arrive, mais dans ce cas répondez en conséquence, au lieu de nous imposé des pavés c/c. 

2) Les institutions n'ont pas décidé unilatéralement, puisque l'Académie voulait laisser faire "l'épreuve du temps", ce qui supposais une diffusion, qui ne pouvait être qu'institutionnelle. 

Par ailleurs, les rectifications n'étaient pas des tolérances : elles étaient appelées à devenir la nouvelle norme. 

Non l'épreuve du temps ne consiste pas à ce que l'EN décide que c'est désormais la norme qui sera enseignée et figurera dans les manuels scolaires . De fait la nouvelle norme émane bien de l'EN . Une tolérance n'est pas en faire la référence . 

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il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

Non l'épreuve du temps ne consiste pas à ce que l'EN décide que c'est désormais la norme qui sera enseignée et figurera dans les manuels scolaires

Alors expliquez nous donc en quoi ça consiste, grand génie :D Parce que bon, c'est pas pour dire, mais même l'Académie n'a rien dit des moyens à mettre en oeuvre, ou du temps qu'il faudrait pour cette mise à l'épreuve... La formule est volontairement vague et laisse quand même pas mal le champ libre aux institutions. 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
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il y a 14 minutes, PLS maker a dit :

Alors expliquez nous donc en quoi ça consiste, grand génie :D Parce que bon, c'est pas pour dire, mais même l'Académie n'a rien dit des moyens à mettre en oeuvre, ou du temps qu'il faudrait pour cette mise à l'épreuve... La formule est volontairement vague et laisse quand même pas mal le champ libre aux institutions. 

L'académie a dit toléré , donc simple si l'un prefere l'avoir dans l'ognon , inutile de le corriger il est dans l'ortho et non caco. Rien à mettre en œuvre , la langue evolue et puis voila . Mais l'EN a sacralise . L'institution a choisi voila tout , et c'était bien mon propos :D

 

Modifié par DroitDeRéponse
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il y a 2 minutes, DroitDeRéponse a dit :

L'académie a dit toléré , donc simple si l'un prefere l'avoir dans l'ognon , inutile de le corriger il est dans l'ortho et non caco. Rien à mettre en œuvre , la langue evolue et puis voila . 

La langue et l'orthographe, ce sont deux choses différentes. La norme orthographique ne peut évoluer seule puisqu'il s'agit d'une norme. 

Expliquez-nous donc comment l'orthographe évolue dans le sens des corrections décidées si les institutions ne les diffuse pas. Encore une fois, sans aucune spécification des moyens à observer et d'un délais à respecter. 

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