L' instit collante...

il y a 1 minute, Dan229 a dit :

Vous pouvez répéter la question ?

 

Par qui ont été élevés ces enfants-rois ?

Et qui a éduqué les parents de ces enfants-rois ?

Ceux qui disent que c'était mieux avant. Alors où est l'erreur ?

C'est plus clair ?

S'il y a trop de "petits démons insupportables" dans une classe c'est que le casting n'est pas bon  .Demandez- vous qui a opéré une pré-sélection pour ne pas les avoir. Qui a l'autre section de même niveau:instit ancienne dans l'école qui connaît "les cas"?Conjoint(e) de quelqu'un qui les a eus auparavant et qui les a signalés à son époux (se)?Directrice qui ne veut pas s'enquiquiner avec "les pénibles"? D'autant qu'une instit n'est au cours de sa carrière  pas forcément "agissante" dans toutes les classes qu'elle a eues. 

Il faut aussi se méfier des combines entre collègues qui laissent les enfants difficiles aux derniers arrivés pour se ménager des années tranquilles et sereines avec des enfants plus socialisés et moins remuants ....

il y a 16 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Par qui ont été élevés ces enfants-rois ?

Et qui a éduqué les parents de ces enfants-rois ?

Ceux qui disent que c'était mieux avant. Alors où est l'erreur ?

C'est plus clair ?

Ca ! Il faut demander à nos ministres (qui veulent donner leur nom à la postérité) et théoriciens en pédagogie (voir les maths modernes par exemple, la lecture globale, l'école ouverte sur le quartier qu'on a vite refermée à cause de la racaille), aux pseudo-psy qui ont voulu tout changer, allant rarement sur le terrain. J'ai déjà eu des inspecteurs hyper-diplômés qui ont voulu imposer leur méthode sans avoir jamais enseigné.

68 a foutu le caca = laxisme et compagnie. Interdit d'interdire.

C'était mieux avant 68. Pour après 68, vous avez raison. Le laxisme et les enfants-rois se sont imposés. Mais sûrement pas chez moi et ma descendance.

il y a 5 minutes, querida13 a dit :

 

Il faut aussi se méfier des combines entre collègues qui laissent les enfants difficiles aux derniers arrivés pour se ménager des années tranquilles et sereines avec des enfants plus socialisés et moins remuants ....

J'ai connu ça.

55 gosses la première année dont personne ne voulait.

il y a 4 minutes, Dan229 a dit :

Ca ! Il faut demander à nos ministres (qui veulent donner leur nom à la postérité) et théoriciens en pédagogie (voir les maths modernes par exemple, la lecture globale, l'école ouverte sur le quartier qu'on a vite refermée à cause de la racaille), aux pseudo-psy qui ont voulu tout changer, allant rarement sur le terrain. J'ai déjà eu des inspecteurs hyper-diplômés qui ont voulu imposer leur méthode sans avoir jamais enseigné.

68 a foutu le caca = laxisme et compagnie. Interdit d'interdire.

C'était mieux avant 68. Pour après 68, vous avez raison. Le laxisme et les enfants-rois se sont imposés. Mais sûrement pas chez moi et ma descendance.

Cela ne relève alors peut-être pas vraiment du "c'était mieux avant", mais de l'investissement et des méthodes d'éducation des parents...

il y a 2 minutes, querida13 a dit :

S'il y a trop de "petits démons insupportables" dans une classe c'est que le casting n'est pas bon  .Demandez- vous qui a opéré une pré-sélection pour ne pas les avoir. Qui a l'autre section de même niveau:instit ancienne dans l'école qui connaît "les cas"?Conjoint(e) de quelqu'un qui les a eus auparavant et qui les a signalés à son époux (se)?Directrice qui ne veut pas s'enquiquiner avec "les pénibles"? D'autant qu'une instit n'est au cours de sa carrière  pas forcément "agissante" dans toutes les classes qu'elle a eues. 

Il faut aussi se méfier des combines entre collègues qui laissent les enfants difficiles aux derniers arrivés pour se ménager des années tranquilles et sereines avec des enfants plus socialisés et moins remuants ....

Quand bien même des connivences et disparités privilégient certains instits au détriment d'autres devant gérer des "petits démons insupportables"... il n'en reste pas moins que c'est à l'adulte de garder le contrôle face à un enfant aussi difficile soit-il. Point. 

Sinon, il ne faut pas faire ce métier... 

Dans le cas présent, c'est out !!

Et moi aussi, je sais de quoi je parle... 7 ans d'Education Nationale.

Je pense que certains instits devraient aussi apprendre à cerner dans quel état de fatigue ils se trouvent et utiliser l'arrêt maladie quand ils sont très surmenés.

Il y a 8 heures, January a dit :

C'est très bien. Mais là on te parle d'autres modes de fonctionnement. On discute. Qu'est ce qu'il y a à analyser, décortiquer de ça ? Dans un débat, dire "moi c'était comme ça et comme ça" ça ne sert à rien. Nous sommes dans un débat, alors on demande une réflexion accrue sur cette évolution, pas juste un "moi c'était comme ça". Il y a la "transmission", pourquoi les enfants d'une génération soi-disant "parfaite" est devenue ça ? Il est là le débat. Marteler "moi de mon temps", ça ne sert à rien. La plupart dit ça pour se dédouaner. Et la logique implacable est là : ça ne marche pas. Seulement voilà, ça devient trop compliqué de réfléchir aux paramètres qui auraient pu corrompre nos enfants, malgré ce que nous leur avons enseigné ? 

Il est là le débat. 

Pour moi, les générations antérieures se sont forcément plantées, sinon ça n'aurait pas donné ça. Mais voilà, ces générations antérieures sont là, à crier à corps et à cris : c'est nous qui savions faire ! Ah oui ? Vraiment ?

Je ne suis absolument pas d'accord avec toi ! Sans agressivité bien sûr

Commençons par la fin : "Pour moi, les générations antérieures se sont forcément plantées, sinon ça n'aurait pas donné ça."

On élève pas un enfant seul et isolé du monde extérieur. La société et l'environnement dans lesquels ils baignent ont changé. Il n'y a qu'à voir les tricheries du secteur automobile, politique & co... Le modèle avancé a changé. Les personnes dirigeantes véhiculent un message empreint de déni, détournement et tromperie. Comment l'enfant peut-il se développer avec des valeurs morales dans ces conditions ? Tout ne relève pas de la seule éducation des parents même si elle fait beaucoup.

Je reprends le début. Le "c'était mieux avant" est pour moi une formule qui sans mettre le doigt précisément sur la cause du problème a le mérite de le soulever. Les jeunes ont beaucoup changé. Quelques messages après le tiens, un intervenant décrivait une situation pénible en pharmacie ou la mère de l'enfant la laissait tout faire, manquer de respect envers l'enseigne et le travail des pharmaciens dans les rayons... Il y a quelques décennies (je suis vieux :p), tu n'aurais pas assisté à ce comportement. D'un le responsable serait intervenu et aurait remis la personne à sa place, mère et enfant, de deux la mère se serait préoccupée du comportement de sa progéniture. Mais à présent, l'autorité est un mot tabou, de même que la moral et l'ordre. Ne rien faire et pourrir la vie des autres semblent être élevés au rang d'objectifs de vie... Le plus dingue, c'est que je suis persuadé que si le pharmacien était intervenu, la mère l'aurait remis à sa place car c'est son enfant et son éducation !

Je doute également que la génération précédente se dédouane. Elle s'insurge, tire les sonnettes d'alarme. Mais rien n'y fait. Pire, ils sont stigmatisés et raillés. L'éducation était clairement présente et plus répandue avant. Les parents avaient la charge de leurs enfants. A présent dans ce milieu où tout est réparti en pédopsy, éducateur, enseignant... le parent se sent à peine concerné. Certains sautent à grand pas dans cette faille d'ailleurs.

Bref, je ne partageais pas ton point de vue

Il y a 18 heures, Dan229 a dit :

A mon époque, pas besoin de scotch, on respectait l'enseignant.

 

Ces enfants sont des "paumés" reflets de leurs parents. 

Il y a 1 heure, Fred_d a dit :

Je ne suis absolument pas d'accord avec toi ! Sans agressivité bien sûr

 

Commençons par la fin : "Pour moi, les générations antérieures se sont forcément plantées, sinon ça n'aurait pas donné ça."

On élève pas un enfant seul et isolé du monde extérieur. La société et l'environnement dans lesquels ils baignent ont changé. Il n'y a qu'à voir les tricheries du secteur automobile, politique & co... Le modèle avancé a changé. Les personnes dirigeantes véhiculent un message empreint de déni, détournement et tromperie. Comment l'enfant peut-il se développer avec des valeurs morales dans ces conditions ? Tout ne relève pas de la seule éducation des parents même si elle fait beaucoup.

 

Je reprends le début. Le "c'était mieux avant" est pour moi une formule qui sans mettre le doigt précisément sur la cause du problème a le mérite de le soulever. Les jeunes ont beaucoup changé. Quelques messages après le tiens, un intervenant décrivait une situation pénible en pharmacie ou la mère de l'enfant la laissait tout faire, manquer de respect envers l'enseigne et le travail des pharmaciens dans les rayons... Il y a quelques décennies (je suis vieux :p), tu n'aurais pas assisté à ce comportement. D'un le responsable serait intervenu et aurait remis la personne à sa place, mère et enfant, de deux la mère se serait préoccupée du comportement de sa progéniture. Mais à présent, l'autorité est un mot tabou, de même que la moral et l'ordre. Ne rien faire et pourrir la vie des autres semblent être élevés au rang d'objectifs de vie... Le plus dingue, c'est que je suis persuadé que si le pharmacien était intervenu, la mère l'aurait remis à sa place car c'est son enfant et son éducation !

 

Je doute également que la génération précédente se dédouane. Elle s'insurge, tire les sonnettes d'alarme. Mais rien n'y fait. Pire, ils sont stigmatisés et raillés. L'éducation était clairement présente et plus répandue avant. Les parents avaient la charge de leurs enfants. A présent dans ce milieu où tout est réparti en pédopsy, éducateur, enseignant... le parent se sent à peine concerné. Certains sautent à grand pas dans cette faille d'ailleurs.

 

Bref, je ne partageais pas ton point de vue

Je doute également que la génération précédente se dédouane. Elle s'insurge, tire les sonnettes d'alarme. Mais rien n'y fait. Pire, ils sont stigmatisés et raillés. L'éducation était clairement présente et plus répandue avant. Les parents avaient la charge de leurs enfants. A présent dans ce milieu où tout est réparti en pédopsy, éducateur, enseignant... le parent se sent à peine concerné. Certains sautent à grand pas dans cette faille d'ailleurs.

(Je n'aurais pas dit mieux)

Il y a 1 heure, Fred_d a dit :

Je ne suis absolument pas d'accord avec toi ! Sans agressivité bien sûr

 

Commençons par la fin : "Pour moi, les générations antérieures se sont forcément plantées, sinon ça n'aurait pas donné ça."

On élève pas un enfant seul et isolé du monde extérieur. La société et l'environnement dans lesquels ils baignent ont changé. Il n'y a qu'à voir les tricheries du secteur automobile, politique & co... Le modèle avancé a changé. Les personnes dirigeantes véhiculent un message empreint de déni, détournement et tromperie. Comment l'enfant peut-il se développer avec des valeurs morales dans ces conditions ? Tout ne relève pas de la seule éducation des parents même si elle fait beaucoup.

 

Je reprends le début. Le "c'était mieux avant" est pour moi une formule qui sans mettre le doigt précisément sur la cause du problème a le mérite de le soulever. Les jeunes ont beaucoup changé. Quelques messages après le tiens, un intervenant décrivait une situation pénible en pharmacie ou la mère de l'enfant la laissait tout faire, manquer de respect envers l'enseigne et le travail des pharmaciens dans les rayons... Il y a quelques décennies (je suis vieux :p), tu n'aurais pas assisté à ce comportement. D'un le responsable serait intervenu et aurait remis la personne à sa place, mère et enfant, de deux la mère se serait préoccupée du comportement de sa progéniture. Mais à présent, l'autorité est un mot tabou, de même que la moral et l'ordre. Ne rien faire et pourrir la vie des autres semblent être élevés au rang d'objectifs de vie... Le plus dingue, c'est que je suis persuadé que si le pharmacien était intervenu, la mère l'aurait remis à sa place car c'est son enfant et son éducation !

 

Je doute également que la génération précédente se dédouane. Elle s'insurge, tire les sonnettes d'alarme. Mais rien n'y fait. Pire, ils sont stigmatisés et raillés. L'éducation était clairement présente et plus répandue avant. Les parents avaient la charge de leurs enfants. A présent dans ce milieu où tout est réparti en pédopsy, éducateur, enseignant... le parent se sent à peine concerné. Certains sautent à grand pas dans cette faille d'ailleurs.

 

Bref, je ne partageais pas ton point de vue

Et pourtant c'est vraiment implacable. Dire "moi de mon temps c'était comme ça" et bien ça ne sert à rien. 

Attention questions en forme de clichés (pas les miens) : 

Dans le monde d'aujourd'hui, laisseriez-vous votre enfant de 6 ans aller seul à l'école avec un trajet de trois kilomètres ?

S'il ne veut pas manger, le priveriez-vous tout simplement de manger ? (et subsidiaire, si ça dure deux repas de suite que faites-vous ?)

S'il a manqué de respect devant vous à Tante Georgette, lui balancez-vous une calotte sans autre forme de procès ? 

S'il a été puni à l'école, pareil, une bonne calotte est le meilleur moyen de montrer que vous êtes d'accord avec la punition ! PAF ! 

Voilà, en vrac... Celle que je préfère c'est vraiment la première. Combien de fois je l'ai entendue celle-là ! "Et on partait le matin, avec le cartable et la gamelle, il faisait -10°C, on marchait dans la neige pendant trois kilomètres, dans la nuit ! Ah ça ! De mon temps on n'était pas en sucre !"

C'est comme ça qu'on tire des sonnettes d'alarme ? Sérieusement... 

il y a 22 minutes, January a dit :

Voilà, en vrac... Celle que je préfère c'est vraiment la première. Combien de fois je l'ai entendue celle-là ! "Et on partait le matin, avec le cartable et la gamelle, il faisait -10°C, on marchait dans la neige pendant trois kilomètres, dans la nuit ! Ah ça ! De mon temps on n'était pas en sucre !"

 

 

Souvenirs ! Souvenirs !

On courait pour se réchauffer.

Quand je rentrais seul la nuit à 19 heures car il y avait étude, j'étais mort de trouille en passant par certains endroits et je prenais mes jambes à mon cou. Pas le temps d'avoir froid.

(Dommage de t'imposer encore ce souvenir qui t'énerve).

Rassure-toi, notre génération est en train de disparaître et on n'en parlera plus.

Souvenirs ! Souvenirs !

Il y a 19 heures, Dan229 a dit :

A mon époque, pas besoin de scotch, on respectait l'enseignant.

 

Oui , parce que pas content , une baffe ou un coup de trique celle qui servait à montrer au tableau

sont jamais heureux les moutards à l'école, ils foutent le bazar, et faut les prendre pour des anges 

il y a 51 minutes, January a dit :

Et pourtant c'est vraiment implacable. Dire "moi de mon temps c'était comme ça" et bien ça ne sert à rien. 

Attention questions en forme de clichés (pas les miens) : 

Dans le monde d'aujourd'hui, laisseriez-vous votre enfant de 6 ans aller seul à l'école avec un trajet de trois kilomètres ?

S'il ne veut pas manger, le priveriez-vous tout simplement de manger ? (et subsidiaire, si ça dure deux repas de suite que faites-vous ?)

S'il a manqué de respect devant vous à Tante Georgette, lui balancez-vous une calotte sans autre forme de procès ? 

S'il a été puni à l'école, pareil, une bonne calotte est le meilleur moyen de montrer que vous êtes d'accord avec la punition ! PAF ! 

Voilà, en vrac... Celle que je préfère c'est vraiment la première. Combien de fois je l'ai entendue celle-là ! "Et on partait le matin, avec le cartable et la gamelle, il faisait -10°C, on marchait dans la neige pendant trois kilomètres, dans la nuit ! Ah ça ! De mon temps on n'était pas en sucre !"

C'est comme ça qu'on tire des sonnettes d'alarme ? Sérieusement... 

 

Ah! tu m'en fait une bonne enseignante, toi, tu as pas appris à connaitre ce que à dit Dan plus haut, on a tous un peu vécu ce qu'il dit et on en est pas mort , la preuve on est là, et nos parents étaient pas des anges eux non plus, ça nous a pas empêché d'aller à l'école et continuer notre vie.

La seule différence c'est qu'on était pas en sucre, on avait pas  les petits mamours de maman avant de partir à l'école, c'était" vas y tout seul , tu es un grand garçon maintenant"

Je répète : sérieusement, c'est comme ça qu'on tire des sonnettes d'alarme ? 

Bah non, mais effectivement, c'est comme ça qu'on se fait railler.

Qu'est ce que vous voulez que je vous dise, à longueur de topic c'est la même chose : nous ceci, nous cela, et zéro réflexion derrière. Personne ne vous empêche de raconter vos souvenirs, mais encore faut-il ensuite se projeter dans le présent (parce-que voilà, vous êtes restés un peu en arrière) et admettre que les choses comme elles étaient ne sont plus comme ça et que les "solutions" appliquées par vos parents ne peuvent plus l'être aujourd'hui. C'est si difficile que ça de l'admettre ? C'est si difficile que ça d'admettre que vous ne laisseriez pas vos petits enfants marcher trois bornes sur la route dans la nuit ? 

Ce qu'on vous demande, c'est un peu de raison et d'honnêteté.

Maintenant si vous me dites, quand je garde mon petit-fils de six ans il se tape trois bornes à pied le matin à 7h00 pour aller à l'école, c'est comme ça et pas autrement, ok.... 

il y a 14 minutes, January a dit :

Je répète : sérieusement, c'est comme ça qu'on tire des sonnettes d'alarme ? 

Bah non, mais effectivement, c'est comme ça qu'on se fait railler.

Qu'est ce que vous voulez que je vous dise, à longueur de topic c'est la même chose : nous ceci, nous cela, et zéro réflexion derrière. Personne ne vous empêche de raconter vos souvenirs, mais encore faut-il ensuite se projeter dans le présent (parce-que voilà, vous êtes restés un peu en arrière) et admettre que les choses comme elles étaient ne sont plus comme ça et que les "solutions" appliquées par vos parents ne peuvent plus l'être aujourd'hui. C'est si difficile que ça de l'admettre ? C'est si difficile que ça d'admettre que vous ne laisseriez pas vos petits enfants marcher trois bornes sur la route dans la nuit ? 

Ce qu'on vous demande, c'est un peu de raison et d'honnêteté.

Maintenant si vous me dites, quand je garde mon petit-fils de six ans il se tape trois bornes à pied le matin à 7h00 pour aller à l'école, c'est comme ça et pas autrement, ok.... 

Entre les deux peut-être, puisqu'il est nécessaire parfois de vivre avec son temps. Cela n'empêche que l'on constate une dégradation de l'éducation des parents même si ça en gêne quelques uns.

il y a 1 minute, l'abbe resina a dit :

Entre les deux peut-être, puisqu'il est nécessaire parfois de vivre avec son temps.

Voilà, ça devient mieux. 

il y a 1 minute, l'abbe resina a dit :

Cela n'empêche que l'on constate une dégradation de l'éducation des parents même si ça en gêne quelques uns.

Dégradation de l'éducation des parents je veux bien, mais pas de généralité, et pas que. Ca aussi il faut le reconnaître. 

C'est juste parce-que sinon on parle dans le vide

il y a 18 minutes, January a dit :

Je répète : sérieusement, c'est comme ça qu'on tire des sonnettes d'alarme ? 

Bah non, mais effectivement, c'est comme ça qu'on se fait railler.

Qu'est ce que vous voulez que je vous dise, à longueur de topic c'est la même chose : nous ceci, nous cela, et zéro réflexion derrière. Personne ne vous empêche de raconter vos souvenirs, mais encore faut-il ensuite se projeter dans le présent (parce-que voilà, vous êtes restés un peu en arrière) et admettre que les choses comme elles étaient ne sont plus comme ça et que les "solutions" appliquées par vos parents ne peuvent plus l'être aujourd'hui. C'est si difficile que ça de l'admettre ? C'est si difficile que ça d'admettre que vous ne laisseriez pas vos petits enfants marcher trois bornes sur la route dans la nuit ? 

Ce qu'on vous demande, c'est un peu de raison et d'honnêteté.

Maintenant si vous me dites, quand je garde mon petit-fils de six ans il se tape trois bornes à pied le matin à 7h00 pour aller à l'école, c'est comme ça et pas autrement, ok.... 

Mais non, on en est pas là, on ne va pas reproduire ce que l'on a vécu et le contexte n'est plus le même, maintenant on les chouchoutent nos gamins, on s'inquiètent pour eux, de leurs petits bobos, sauf qu'on te rappelle ce que l'on a enduré et ce n'est pas un mal, ça nous a forgé le caractère, après chacun vit sa vie

il y a 2 minutes, January a dit :

Voilà, ça devient mieux. 

Dégradation de l'éducation des parents je veux bien, mais pas de généralité, et pas que. Ca aussi il faut le reconnaître. 

C'est juste parce-que sinon on parle dans le vide

 

Je me suis précisément servi de mon vécu pour ne pas reproduire les mêmes traitements.