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L'alcool est un antidépresseur

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Mia Adaxo

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Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
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Certes... Il est vrai que tous les médecins ne sont pas prêts non plus à passer autant de temps avec un patient. Je n'ai pas eu cette chance : tout le monde était toujours "pressé" avec moi. Une psy m'a même répondu qu'elle "n'avait pas de place pour l'urgence" (j'étais dans l'urgence...).

Maintenant il faut arrêter de dire qu'avec les antidépresseurs on est comme des zombies. A condition de trouver le bon, il n'y a parfois pas d'autres solutions. Cela peut nous permettre au contraire de "retourner à la vie", vie de laquelle on sort dès lors qu'on est dépressif (au sens médical du terme, pas la déprime passagère). En prendre m'a en tout cas permis de "raccrocher les wagons". Mais ça a été un chemin de croix pour trouver le bon traitement. Quant aux anxiolytiques, ils peuvent aider de manière ponctuelle en cas de crises d'angoisse ou d'anxiété. Il ne faut pas tout diaboliser, surtout si on n'a jamais eu l'occasion de "devoir en prendre". Même avant ma dépression, j'en consommais déjà des anxiolytiques, c'est pas la mort. Et on peut s'arrêter quand on veut dès lors qu'on en abuse pas (parce qu'il y a risque d'accoutumance dans le cas contraire).

Vous avez pour certains d'entre vous la chance de n'avoir jamais connu ni crises d'angoisse ni dépression personnellement (je dis "personnellement" car le vivre via une autre personne c'est pas pareil). Mais quand les crises d'angoisse sont comme des bêtes qui habitent votre corps dès le réveil, croyez moi, vous ne demandez qu'une chose : être soulagé. Et parlementer n'apporte parfois rien du tout. Dans une vraie dépression, le dialogue est un complément, mais en aucun cas un "traitement".

Les antidépresseurs, les anxiolytiques et l'alcool ont une action d'autant plus bénéfique que les symptômes sont forts ! Les doses absolument incroyables que l'on donnent à certains patients, tueraient à coup sûr n'importe lequel d'entre nous !!! Le risque, justement, de l'accoutumance est de les prendre à ders doses inutilement fortes. L'exemple de la pompe à morphine réglable "en fonction des besoins" est évocateur de ce dont je parle. Lorsque je buvais(beaucoup) trop il me fallait ingurgiter des doubles et triples doses en période de "crises". C'est affreux à dire, mais il y a eu des exemples de condamnés à mort qui ont "survécu" très longtemps à une injection léthale !!

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Membre, Posté(e)
passion06 Membre 355 messages
Baby Forumeur‚
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Ca fait froid dans le dos... Mais c'est tellement vrai. Enfin pour ma part je parle des médicaments ; l'alcool je connais pas.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
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Empathie ;)

Etre emphatique n'est pas la même chose.

Au départ ce n'est qu'une pensée, elle se transforme en pensée + émotion lorsque l'écoutant peut ressentir ce que la personne en face lui raconte.

C'est une belle qualité, si tant est qu'on soit doté d'un solide respect de soi-même. Sinon, on s'abîme dans le "trop d'empathie", on finit dans la compassion, on souffre comme l'autre et on plonge avec l'autre. C'est là toute la difficulté que rencontrent au quotidien les praticiens en maintenant à distance raisonnable l'empathie au profit d'un savant mélange avec la sympathie.

C'est vrai que l'empathie ça se vit souvent mal, car ce que les gens émettent avec le plus d'intensité c'est leur souffrance.

Il faut etre trés solide pour supporter cela, avoir a la base beaucoup de vitalité.

Mais la compassion est un sentiment trés élevé et trés noble, c'est la face de l'amour tournée vers la souffrance d'autrui.

Dans le Bouddhisme par exemple il y a un certain Avalokiteshvara, le Bouddha de la compassion, personnage éveillé s'il en est.

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Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
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Peut-être qu'à ce moment là , cette psychiatre avait un fils du même âge que le mien ,

et que ç'avait pu la toucher personnellement....(que ça pourrait arriver aussi à son fils) ....

Ce qui est sûr , c'est qu'elle a trouvé les mots (peut importe lesquels)

Une sacrée femme en tout cas , en plus d'être un bon médecin.

Les mots peuvent être utilisés pour "inciter" un patient à s'exprimer, mais le plus important est qu'il puisse le faire sans qu'il y ait le moindre jugement de la part de l'écoutant. Pour celà il faut que cet écoutant soit "au clair" avec lui-même, c'est à dire n'amène pas ses tabous ou ses inhibitions personnelles sur la table. C'est pour celà qu'on ne peut "l'apprendre" dans les livres...Il y a malheureusement bon nombre de psys qui ont été attirés dans ce métier parce que souffrant eux-mêmes de divers problèmes psychologiques (et ça n'a rien de rédhibitoire) mais s'il n'ont pas "fait un travail" sur eux, ils ne pourront jamais permettre à leur patient "d'aller plus loin" qu'ils n'ont été eux-mêmes. C'est bien pour celà qu'un psychanalyste doit "obligatoirement" être analysé avant de commencer à exercer. Je trouve que cette obligation devrait s'étendre à TOUS les futurs psys, alors qu'elle n'est qu'optionnelle et laissée en libre-arbitre !

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
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Maintenant il faut arrêter de dire qu'avec les antidépresseurs on est comme des zombies.

Je pense que les confondent les AD avec les neuroleptiques.

Ils n'ont pas tout à fait la même application clinique et on peut aussi les combiner.

Dans ce dernier cas j'avoue, de toutes les personnes ainsi traitées, je n'en ai jamais rencontrée une qui avait bien toutes ses facultés crying8vr.gif

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passion06 Membre 355 messages
Baby Forumeur‚
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Les mots peuvent être utilisés pour "inciter" un patient à s'exprimer, mais le plus important est qu'il puisse le faire sans qu'il y ait le moindre jugement de la part de l'écoutant. Pour celà il faut que cet écoutant soit "au clair" avec lui-même, c'est à dire n'amène pas ses tabous ou ses inhibitions personnelles sur la table. C'est pour celà qu'on ne peut "l'apprendre" dans les livres...Il y a malheureusement bon nombre de psys qui ont été attirés dans ce métier parce que souffrant eux-mêmes de divers problèmes psychologiques (et ça n'a rien de rédhibitoire) mais s'il n'ont pas "fait un travail" sur eux, ils ne pourront jamais permettre à leur patient "d'aller plus loin" qu'ils n'ont été eux-mêmes. C'est bien pour celà qu'un psychanalyste doit "obligatoirement" être analysé avant de commencer à exercer. Je trouve que cette obligation devrait s'étendre à TOUS les futurs psys, alors qu'elle n'est qu'optionnelle et laissée en libre-arbitre !

C'est vrai mais psychiatre et psychanalyste ce n'est pas tout à fait pareil... Les psychanalystes font parfois plus de mal que de bien (ceci dit je parle d'exemples que j'ai pu constater extérieurement, pas pour moi personnellement).

Comme disait Coluche dans un de ses sketches : "les psychanalystes c'est bien. J'ai été en voir un. Avant je faisais pipi au lit. Maintenant je fais toujours pipi au lit, mais j'en suis fier".

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
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Mais la compassion est un sentiment trés élevé et trés noble, c'est la face de l'amour tournée vers la souffrance d'autrui.

Dans le Bouddhisme par exemple il y a un certain Avalokiteshvara, le Bouddha de la compassion, personnage éveillé s'il en est.

C'est joli dans le texte, mais pas dans la réalité clinique. Lorsque tu ressens véritablement la souffrance de l'autre, tu peux en arriver à te suicider. Je passe mon tour.

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Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
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C'est vrai que l'empathie ça se vit souvent mal, car ce que les gens émettent avec le plus d'intensité c'est leur souffrance.

Il faut etre trés solide pour supporter cela, avoir a la base beaucoup de vitalité.

Mais la compassion est un sentiment trés élevé et trés noble, c'est la face de l'amour tournée vers la souffrance d'autrui.

Dans le Bouddhisme par exemple il y a un certain Avalokiteshvara, le Bouddha de la compassion, personnage éveillé s'il en est.

Marie de Hennezel, pionnière en France de "l'accompagnement en fin de vie" exige des "écoutants" qu'elle forme de NE PAS RENTRER dans la souffrance ou dans les angoisses des mourants. Non par manque d'empathie, mais tout au contraire pour être à leur écoute de la manière la plus neutre possible. Ca n'est pas facile devant une personne qui va bientôt mourir et qui exprime une très forte et très légitime angoisse, mais c'est une necessité absolue pour ne pas ajouter une angoisse à l'angoisse.

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passion06 Membre 355 messages
Baby Forumeur‚
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Je pense que les confondent les AD avec les neuroleptiques.

Ils n'ont pas tout à fait la même application clinique et on peut aussi les combiner.

Dans ce dernier cas j'avoue, de toutes les personnes ainsi traitées, je n'en ai jamais rencontrée une qui avait bien toutes ses facultés crying8vr.gif

Oui : antidépresseurs, neuroleptiques, psychotiques... autant de branches différentes à l'arbre. C'est peut-être en effet la combinaison de plusieurs d'entre eux qui provoque l'effet "zombie".

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
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Les mots peuvent être utilisés pour "inciter" un patient à s'exprimer, mais le plus important est qu'il puisse le faire sans qu'il y ait le moindre jugement de la part de l'écoutant. Pour celà il faut que cet écoutant soit "au clair" avec lui-même, c'est à dire n'amène pas ses tabous ou ses inhibitions personnelles sur la table. C'est pour celà qu'on ne peut "l'apprendre" dans les livres...Il y a malheureusement bon nombre de psys qui ont été attirés dans ce métier parce que souffrant eux-mêmes de divers problèmes psychologiques (et ça n'a rien de rédhibitoire) mais s'il n'ont pas "fait un travail" sur eux, ils ne pourront jamais permettre à leur patient "d'aller plus loin" qu'ils n'ont été eux-mêmes. C'est bien pour celà qu'un psychanalyste doit "obligatoirement" être analysé avant de commencer à exercer. Je trouve que cette obligation devrait s'étendre à TOUS les futurs psys, alors qu'elle n'est qu'optionnelle et laissée en libre-arbitre !

On n'est jamais soignant par hasard ;)

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Mia Adaxo Membre 8 792 messages
Baby Forumeur‚
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C'est bien pour celà qu'un psychanalyste doit "obligatoirement" être analysé avant de commencer à exercer. Je trouve que cette obligation devrait s'étendre à TOUS les futurs psys, alors qu'elle n'est qu'optionnelle et laissée en libre-arbitre !

Je suis d'accord , car il y a un passage que j'ai omis volontairement , car déjà trop long ce que j'ai écrit ,

mais avant d'aller voir cette femme psychiatre , mon fils avait été suivi durant 1 an par un psychologue en ville.

A raison d'une séance par mois à 50 euros non-remboursés , soit 600 euros , il n' a été d'aucune aide

Et voilà ce que cette psychiatre a apporté en une (longue) séance (consultation 26 euros remboursée)

Bien sûr , je ne regrette pas d'avoir dépenser 600 € pour soigner mon fils (que ne ferait on pas pour ses enfants)

Modifié par Mia Adaxo
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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
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Marie de Hennezel, pionnière en France de "l'accompagnement en fin de vie" exige des "écoutants" qu'elle forme de NE PAS RENTRER dans la souffrance ou dans les angoisses des mourants. Non par manque d'empathie, mais tout au contraire pour être à leur écoute de la manière la plus neutre possible. Ca n'est pas facile devant une personne qui va bientôt mourir et qui exprime une très forte et très légitime angoisse, mais c'est une necessité absolue pour ne pas ajouter une angoisse à l'angoisse.

Ce que tu racontes me rappelle quelque chose qui m'avait fait rire (dédramatisons). Une personne me raconte qu'à la dernière tentative de consultation d'un psychothérapeute, elle tombe sur une jeune femme avec qui ça accroche tout de suite. Au bout de trois séances, la psychothérapeute s'effondre en larmes dans les bras de la patiente !

Bonjour le soutien laugh.gif

Ce qui est moins drôle c'est que la patiente est repartie avec l'idée que jamais personne ne pourrait l'aider...

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Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
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C'est vrai mais psychiatre et psychanalyste ce n'est pas tout à fait pareil... Les psychanalystes font parfois plus de mal que de bien (ceci dit je parle d'exemples que j'ai pu constater extérieurement, pas pour moi personnellement).

Comme disait Coluche dans un de ses sketches : "les psychanalystes c'est bien. J'ai été en voir un. Avant je faisais pipi au lit. Maintenant je fais toujours pipi au lit, mais j'en suis fier".

Oui, il y a aussi le gars qui fume toujours mais maintenant : il sait pourquoi !

Blague à part à partir du moment ou après un "travail" psychanalytique ou psychothérapeutique tu "sais pourquoi" tu as tel ou tel comportement qui te pose des problèmes dans ta vie, tu as le moyen de changer ou pour le moins d'avoir le recul nécessaire pour te dire : là, ce que je suis en train de faire ne me convient pas ou ne correspond pas à ce que JE SUIS réellement. Par contre si tu ne sais rien du tout, tu es comme une "marionnette" dont quelqu'un tirerais les fils. Je ne suis pas sûr que le pauvre Gainsbourg - pour ne citer que lui - SAVAIT pourquoi il se défonçait à l'alcool...

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Rodolphe YTTRIUM Membre 2 501 messages
Baby Forumeur‚
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Ce que tu racontes me rappelle quelque chose qui m'avait fait rire (dédramatisons). Une personne me raconte qu'à la dernière tentative de consultation d'un psychothérapeute, elle tombe sur une jeune femme avec qui ça accroche tout de suite. Au bout de trois séances, la psychothérapeute s'effondre en larmes dans les bras de la patiente !

Bonjour le soutien laugh.gif

Ce qui est moins drôle c'est que la patiente est repartie avec l'idée que jamais personne ne pourrait l'aider...

Comme dirait Jean-Marie Bigard : maintenant mon psy va mieux !

Et pourquoi pas ? Je trouve très bien qu'un psy puisse laisser aller ses émotions avec son patient, s'il en a ! Il vaut mieux ça que d'être très tendu et de ne plus avoir l'écoute nécessaire...Je ne vois pas pourquoi, une fois son émotion exprimée il ne pourrait reprendre le cours de la séance ?

A l'évidence, dans le cas qui nous occupe, la patiente à eu "peur" de l'émotion de son psy et que celui-ci n'a sans doute pas été en mesure de la rassurer. Au moins est elle repartie dans l'idée qu'elle aura fait du bien à quelqu'un...C'est toujours ça de gagné... hehe3.gif

P.S.:Celà dit le psy en question avait besoin de...voir un psy !

Je suis d'accord , car il y a un passage que j'ai omis volontairement , car déjà trop long ce que j'ai écrit ,

mais avant d'aller voir cette femme psychiatre , mon fils avait été suivi durant 1 an par un psychologue en ville.

A raison d'une séance par mois à 50 euros non-remboursés , soit 600 euros , il n' a été d'aucune aide

Et voilà ce que cette psychiatre a apporté en une (longue) séance (consultation 26 euros remboursée)

Bien sûr , je ne regrette pas d'avoir dépenser 600 € pour soigner mon fils (que ne ferait on pas pour ses enfants)

Oui, mais grâce à toi il est devenu un brillant scientifique qui finira bien un jour ou l'autre par obtenir le prix Nobel et il te remboursera au centuple !!! hehe3.gif

Modifié par Rodolphe YTTRIUM
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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
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Au moins est elle repartie dans l'idée qu'elle aura fait du bien à quelqu'un...C'est toujours ça de gagné... hehe3.gif

Ah je t'assure que non. Lorsqu'une personne est en détresse elle a souvent déjà très peur, une réaction pareille d'un professionnel terrorise littéralement. Non seulement elle était sûre après ça qu'elle ne s'en sortirait jamais, mais affublée d'un complexe de culpabilité XXL, elle était sûre d'avoir fait du mal à cette personne !

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

J'ai une question un peu perso, tu réponds ou non à toi de voir pas de soucis :

Penses-tu que si tu arrêtais le traitement, tu replongerais dans l'alcool à coup sûr aujourd'hui ?

Je ne sais pas. Vraiment, je ne sais pas.

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Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
Posté(e)

Oui, il y a aussi le gars qui fume toujours mais maintenant : il sait pourquoi !

Blague à part à partir du moment ou après un "travail" psychanalytique ou psychothérapeutique tu "sais pourquoi" tu as tel ou tel comportement qui te pose des problèmes dans ta vie, tu as le moyen de changer ou pour le moins d'avoir le recul nécessaire pour te dire : là, ce que je suis en train de faire ne me convient pas ou ne correspond pas à ce que JE SUIS réellement. Par contre si tu ne sais rien du tout, tu es comme une "marionnette" dont quelqu'un tirerais les fils. Je ne suis pas sûr que le pauvre Gainsbourg - pour ne citer que lui - SAVAIT pourquoi il se défonçait à l'alcool...

Si quelqu'un boit, y a une cause, boire en étant l'effet. Interdire l'effet, sans soigner la cause, ne peut donc être la solution durable. J'ai vu un film y a pas longtemps, où un alcoolique, après plusieurs cures suivies de rechute, a été aidé pour trouver la cause, et la sachant, il a enfin pu guérir.

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 992 messages
108ans‚ ©,
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Je ne sais pas. Vraiment, je ne sais pas.

Merci d'avoir répondu :)

Dans ce cas j'espère que le traitement ne t'amoindrit pas et que tu peux "vivre ta vie".

Arrêter de boire est très difficile, c'est une sacrée victoire que tu as remportée là.

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Membre, 64ans Posté(e)
S.A.S Membre 3 368 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
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Bon . Je ne veux pas faire l'oiseau de mauvais augure .

Mais un alcoolique sevré de l'alcool depuis longtemps ( même très longtemps ) plus de 10 ans .... peut replonger d'un seul coup s'il retouche à l'alcool .

Il en est de même pour les anciens drogués .

Peut être qu'il existe l'exception qui confirme la règle aussi dans ces domaines .

Mais je n'encourage pas d'essayer .

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