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Les Etats-unis critiquent avec modération l'état des libertés religieuses an Algérie


DroitDeRéponse

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 144 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

http://www.huffpostm...n_11453246.html

Les Etats Unis ont critiqué l’état des libertés religieuses en Algérie et certaines pratiques du gouvernement à l’égard des minorités religieuses, dont des déclarations du ministre des Affaires religieuses Mohamed Aissa, dans un nouveau rapport publié mercredi 10 août.

Cette édition 2015 du rapport sur les libertés religieuses dans le monde, établi chaque année par le Département américain, a relevé une déclaration du ministre Mohamed Aissa en juillet 2015 concernant les salafistes et les chiites en Algérie.

“Le 16 juillet, le ministre Aissa a mis en garde, dans une déclaration publique, contre les dangers du salafisme radical, ainsi que contre “l'intrusion” de l’islam chiite”, a indiqué le document.

Le rapport a également constaté un nombre de cas d’emprisonnement et de “persécution” liées aux pratiques de foi en Algérie. Il évoque notamment la condamnation en février 2015 du journaliste Mohamed Chergui à trois ans de prison ferme pour “atteinte au prophète”.

M. Chergui, relaxé en appel en avril dernier soit après la période couverte par le rapport, a été licencié et attaqué en justice par son journal El Djoumhouria en 2014. Il avait repris l'article d'un chercheur européen sur les expressions coraniques qui a été considéré par la direction du journal comme une "atteinte" au prophète.

Ramadan, églises et bureaucratie

Le rapport évoque aussi les cas d’arrestation ou de harcèlement des non-jeûneurs durant le ramadan 2015.

“En juin, des forces de sécurité ont essayé de disperser un groupe d’individus qui étaient en train de boire et de manger en privé durant le ramadan”, relève le document.

Le département de John Kerry souligne également, comme dans l’édition précédente du rapport, les difficultés bureaucratiques que rencontrent certaines minorités religieuses non-musulmanes comme les églises catholiques, ce qui entrave leur fonctionnement normal.

=======================================================================================================

Le rapport 2000 des USA sur la France était finalement bien plus inquiétant :sleep:

https://www.cairn.info/revue-critique-internationale-2002-2-page-15.htm

Sur El watan il a fallu fermer les commentaires :D

http://www.elwatan.com/hebdo/magazine/liberte-religieuse-dans-le-monde-2015-13-08-2016-326837_265.php

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Membre, 64ans Posté(e)
S.A.S Membre 3 368 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

Les Etats Unis critique tout le monde c'est pas nouveau . Ils feraient mieux de balayer devant leur porte . Les attentats du 11 septembre leur a mis une belle claque . Et quand on sait pas faire le ménage chez soit ; on s'amuse pas à vouloir le faire chez les autres .

Ils se font juges de la terre entière ainsi que gendarme . Mais ça les arrangent bien de vendre leurs armes à tout le monde et de déstabiliser ( sciemment ) certains pays dans le but de dresser les uns contre les autres .Guerre d'Irak : comment tout a commencé ....... Voilà un article que certains connaissent déjà ... mais peut être pas tout le monde .

Par Arielle Thedrel Publié le 20/03/2013 à 14:38

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Le 20 mars 2003, l'armée américaine intervient en Irak. George W. Bush et les faucons de son gouvernement n'auront de cesse de convaincre leurs alliés que Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive.

«Toutes les guerres sont des erreurs», confie le général australien Peter Cosgrove, qui dirigeait les forces australiennes en Irak en 2003. «Dans le cas de l'Irak, ajoute le Suédois Hans Blix, il y a eu une tentative de la part de certains pays d'éradiquer des armes de destruction massive qui n'existaient pas». Hans Blix sait de quoi il parle. Il dirigeait à l'époque la commission de l'ONU chargée de rechercher la présence d'armes de destruction massive en Irak.

L'invasion, le 20 mars 2003, de l'Irak par la coalition menée par les États-Unis fut en effet une immense partie de poker menteur qui se solda par plusieurs centaines de milliers de morts. Dix ans plus tard, le bilan fait honte à une bonne partie des Américains eux-mêmes. L'Irak est loin, très loin, d'être cette démocratie rêvée par George W. Bush et ses éminences grises, ces néoconservateurs qui se refusent toujours à lever le voile sur les coulisses de ce conflit: le vice-président Dick Cheney, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld ou bien son secrétaire adjoint Paul Wolfowitz…

L'«Axe du Mal»

Saddam Hussein était-il impliqué dans les attentats du World Trade Center (11 septembre 2001)? C'est la question posée dès le lendemain des attaques par George W. Bush à ses subordonnés. Un rapport des services de celle qui est alors conseillère pour les questions de sécurité, Condoleezza Rice, assure que non: il n'y a aucun lien entre l'Irak et al-Qaida. N'empêche, les spéculations vont bon train. James Woolsey, qui dirige alors la CIA, évoque un «mariage très fructueux entre Saddam Hussein et Ben Laden». Le ministre de la Défense italien Antonio Martino se risque à aller encore plus loin. Selon Martino, Oussama Ben Laden pourrait n'être qu'un simple exécutant d'un État voyou… Ainsi va naître «l'Axe du mal», un remake de «l'Empire du mal» de Ronald Reagan. En 2002, le vice-président américain Dick Cheney entreprend une tournée diplomatique, où il martèle que Saddam «développe des armes de destruction massive». Il rencontre notamment le premier ministre britannique Tony Blair qui se rallie sans peine à ce scénario au point, quelques mois plus tard, de présenter un rapport de 55 pages démontrant que l'Irak développe non seulement des armes chimiques et bactériologiques, mais aussi des armes nucléaires qui pourraient être opérationnelles d'ici un à cinq ans…

Une «tache» dans la carrière de Colin Powell

Devant le Conseil de sécurité de l'ONU, Hans Blix et Mohamed ElBaradei, à la tête des inspecteurs de l'ONU, indiquent pourtant n'avoir trouvé aucune preuve de ces allégations. La France de Jacques Chirac appelle à la prudence. Le 5 février 2003, le prestigieux Colin Powell, alors secrétaire d'État, tente de convaincre le Conseil de sécurité des Nations-Unies de la «légitimité» d'une intervention militaire. Il s'appuie sur des photos satellitaires, des écoutes téléphoniques et agite une fiole supposée contenir de l'anthrax. Il insiste: «Chacune des déclarations que je fais aujourd'hui s'appuie sur des sources solides». Mais tout est «bidon» et le général Powell le regrettera amèrement. Une «tache dans ma carrière», va-t-il reconnaître quelques années plus tard.

Le 20 mars 2003, malgré l'hostilité de la France, de la Russie et de la Chine, Washington décide de lancer l'opération «Irak Freedom» sans l'aval du Conseil de sécurité. Une guerre éclair qui aboutit en quelques jours à la chute du régime de Saddam Hussein, mais plongera durablement l'Irak dans le chaos. Le 13 décembre 2003, Saddam Hussein est débusqué dans sa cachette près de Tikrit, barbu, hirsute, méconnaissable. Il sera exécuté par pendaison un an plus tard.

L'attentat contre un mausolée chiite de Samarra, au nord de Bagdad, en février 2006, donne le coup d'envoi d'un conflit confessionnel d'une violence inouïe. Combats de rue, attentats, assassinats mettant aux prises insurgés chiites et sunnites d'un côté, forces de la coalition de l'autre. Al-Qaida et ses affiliés s'implantent dans le pays. L'apocalypse commence. Chaque mois, les victimes se comptent par milliers. Dix ans plus tard, la situation sécuritaire, si elle n'est pas comparable avec celle qui prévalait de 2005 à 2008, demeure précaire. Mardi, cinquante-deux personnes ont été tuées lors d'une nouvelle série d'attentats antichiites revendiqués par al-Qaida.

Une «faillite» du renseignement américain

Aucune arme de destruction massive n'a été retrouvé en Irak. Alors, qui a menti? La CIA a plaidé coupable. Les informations collectées n'étaient pas solides, les analyses bâclées et les conclusions fondées sur des hypothèses erronées. Le résultat, affirme un rapport officiel d'enquête publié en 2005, a été «l'une des faillites du renseignement les plus préjudiciables de l'histoire américaine».

Mais la communauté du renseignement n'est pas seule en cause. «Affirmer que tout le processus a été imperméable au climat politique n'est tout simplement pas crédible» affirme Paul Pillar, un ancien de la CIA, spécialiste du Moyen-Orient, aujourd'hui professeur à l'université Georgetown. En février 2011, un certain Rafid Ahmed Alwan al-Janabi révèle dans une interview au quotidien britannique The Guardian qu'il est à l'origine de cette vaste «intox». Proche des services secrets américains, «Curveball» - c'est son nom de code - affirme avoir tout inventé pour convaincre les États-Unis de renverser Saddam Hussein. Outré d'avoir été aussi grossièrement manipulé, Colin Powell sort de sa réserve et demande que la CIA et le Pentagone lui expliquent pourquoi ils lui avaient transmis des informations erronées. «C'est absurde», lui répond Donald Rumsfeld qui admet des «erreurs», mais se défend, sans convaincre, d'avoir été «malhonnête».

L'enjeu pétrolier

Pourquoi l'Amérique de Gorge W. Bush a-t-elle envahi l'Irak? Pour y chasser un tyran et y parachuter des valeurs démocratiques, comme l'affirment les avocats de l'administration Bush? En réalité, il est clair qu'outre une volonté d'influencer les évolutions politiques de la région, l'intervention militaire de 2003 a permis aux États-Unis de reprendre pied dans un pays stratégique du point de vue énergétique et d'en évincer la Chine et la Russie, qui y avaient développé leurs intérêts.

À l'époque, les Américains n'ont d'autre choix que de projeter leur puissance là où se situent les réserves pétrolières essentielles à la poursuite de leurs activités économiques. Les stratèges de l'administration Bush entretenaient des liens étroits avec les milieux d'affaires. Président en 1995 d'Halliburton, Dick Cheney assurera ainsi au géant de l'équipement pétrolier de mirobolants contrats. Dans son livre Le Temps des turbulences paru en 2007, Alan Greenspan, qui dirigea la Réserve fédérale de 1987 à 2006, n'a pas hésité à dire tout haut «ce que tout le monde sait: l'un des grands enjeux de la guerre d'Irak était le pétrole».

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 788 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)

Tu vas aussi remonter à la guerre de sécession ?

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 788 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)

Les Etats Unis critique tout le monde c'est pas nouveau . Ils feraient mieux de balayer devant leur porte . Les attentats du 11 septembre leur a mis une belle claque . Et quand on sait pas faire le ménage chez soit ; on s'amuse pas à vouloir le faire chez les autres .

Ils se font juges de la terre entière ainsi que gendarme . Mais ça les arrangent bien de vendre leurs armes à tout le monde et de déstabiliser ( sciemment ) certains pays dans le but de dresser les uns contre les autres .Guerre d'Irak : comment tout a commencé ....... Voilà un article que certains connaissent déjà ... mais peut être pas tout le monde .

Par Arielle Thedrel Publié le 20/03/2013 à 14:38

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Le 20 mars 2003, l'armée américaine intervient en Irak. George W. Bush et les faucons de son gouvernement n'auront de cesse de convaincre leurs alliés que Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive.

«Toutes les guerres sont des erreurs», confie le général australien Peter Cosgrove, qui dirigeait les forces australiennes en Irak en 2003. «Dans le cas de l'Irak, ajoute le Suédois Hans Blix, il y a eu une tentative de la part de certains pays d'éradiquer des armes de destruction massive qui n'existaient pas». Hans Blix sait de quoi il parle. Il dirigeait à l'époque la commission de l'ONU chargée de rechercher la présence d'armes de destruction massive en Irak.

L'invasion, le 20 mars 2003, de l'Irak par la coalition menée par les États-Unis fut en effet une immense partie de poker menteur qui se solda par plusieurs centaines de milliers de morts. Dix ans plus tard, le bilan fait honte à une bonne partie des Américains eux-mêmes. L'Irak est loin, très loin, d'être cette démocratie rêvée par George W. Bush et ses éminences grises, ces néoconservateurs qui se refusent toujours à lever le voile sur les coulisses de ce conflit: le vice-président Dick Cheney, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld ou bien son secrétaire adjoint Paul Wolfowitz…

L'«Axe du Mal»

Saddam Hussein était-il impliqué dans les attentats du World Trade Center (11 septembre 2001)? C'est la question posée dès le lendemain des attaques par George W. Bush à ses subordonnés. Un rapport des services de celle qui est alors conseillère pour les questions de sécurité, Condoleezza Rice, assure que non: il n'y a aucun lien entre l'Irak et al-Qaida. N'empêche, les spéculations vont bon train. James Woolsey, qui dirige alors la CIA, évoque un «mariage très fructueux entre Saddam Hussein et Ben Laden». Le ministre de la Défense italien Antonio Martino se risque à aller encore plus loin. Selon Martino, Oussama Ben Laden pourrait n'être qu'un simple exécutant d'un État voyou… Ainsi va naître «l'Axe du mal», un remake de «l'Empire du mal» de Ronald Reagan. En 2002, le vice-président américain Dick Cheney entreprend une tournée diplomatique, où il martèle que Saddam «développe des armes de destruction massive». Il rencontre notamment le premier ministre britannique Tony Blair qui se rallie sans peine à ce scénario au point, quelques mois plus tard, de présenter un rapport de 55 pages démontrant que l'Irak développe non seulement des armes chimiques et bactériologiques, mais aussi des armes nucléaires qui pourraient être opérationnelles d'ici un à cinq ans…

Une «tache» dans la carrière de Colin Powell

Devant le Conseil de sécurité de l'ONU, Hans Blix et Mohamed ElBaradei, à la tête des inspecteurs de l'ONU, indiquent pourtant n'avoir trouvé aucune preuve de ces allégations. La France de Jacques Chirac appelle à la prudence. Le 5 février 2003, le prestigieux Colin Powell, alors secrétaire d'État, tente de convaincre le Conseil de sécurité des Nations-Unies de la «légitimité» d'une intervention militaire. Il s'appuie sur des photos satellitaires, des écoutes téléphoniques et agite une fiole supposée contenir de l'anthrax. Il insiste: «Chacune des déclarations que je fais aujourd'hui s'appuie sur des sources solides». Mais tout est «bidon» et le général Powell le regrettera amèrement. Une «tache dans ma carrière», va-t-il reconnaître quelques années plus tard.

Le 20 mars 2003, malgré l'hostilité de la France, de la Russie et de la Chine, Washington décide de lancer l'opération «Irak Freedom» sans l'aval du Conseil de sécurité. Une guerre éclair qui aboutit en quelques jours à la chute du régime de Saddam Hussein, mais plongera durablement l'Irak dans le chaos. Le 13 décembre 2003, Saddam Hussein est débusqué dans sa cachette près de Tikrit, barbu, hirsute, méconnaissable. Il sera exécuté par pendaison un an plus tard.

L'attentat contre un mausolée chiite de Samarra, au nord de Bagdad, en février 2006, donne le coup d'envoi d'un conflit confessionnel d'une violence inouïe. Combats de rue, attentats, assassinats mettant aux prises insurgés chiites et sunnites d'un côté, forces de la coalition de l'autre. Al-Qaida et ses affiliés s'implantent dans le pays. L'apocalypse commence. Chaque mois, les victimes se comptent par milliers. Dix ans plus tard, la situation sécuritaire, si elle n'est pas comparable avec celle qui prévalait de 2005 à 2008, demeure précaire. Mardi, cinquante-deux personnes ont été tuées lors d'une nouvelle série d'attentats antichiites revendiqués par al-Qaida.

Une «faillite» du renseignement américain

Aucune arme de destruction massive n'a été retrouvé en Irak. Alors, qui a menti? La CIA a plaidé coupable. Les informations collectées n'étaient pas solides, les analyses bâclées et les conclusions fondées sur des hypothèses erronées. Le résultat, affirme un rapport officiel d'enquête publié en 2005, a été «l'une des faillites du renseignement les plus préjudiciables de l'histoire américaine».

Mais la communauté du renseignement n'est pas seule en cause. «Affirmer que tout le processus a été imperméable au climat politique n'est tout simplement pas crédible» affirme Paul Pillar, un ancien de la CIA, spécialiste du Moyen-Orient, aujourd'hui professeur à l'université Georgetown. En février 2011, un certain Rafid Ahmed Alwan al-Janabi révèle dans une interview au quotidien britannique The Guardian qu'il est à l'origine de cette vaste «intox». Proche des services secrets américains, «Curveball» - c'est son nom de code - affirme avoir tout inventé pour convaincre les États-Unis de renverser Saddam Hussein. Outré d'avoir été aussi grossièrement manipulé, Colin Powell sort de sa réserve et demande que la CIA et le Pentagone lui expliquent pourquoi ils lui avaient transmis des informations erronées. «C'est absurde», lui répond Donald Rumsfeld qui admet des «erreurs», mais se défend, sans convaincre, d'avoir été «malhonnête».

L'enjeu pétrolier

Pourquoi l'Amérique de Gorge W. Bush a-t-elle envahi l'Irak? Pour y chasser un tyran et y parachuter des valeurs démocratiques, comme l'affirment les avocats de l'administration Bush? En réalité, il est clair qu'outre une volonté d'influencer les évolutions politiques de la région, l'intervention militaire de 2003 a permis aux États-Unis de reprendre pied dans un pays stratégique du point de vue énergétique et d'en évincer la Chine et la Russie, qui y avaient développé leurs intérêts.

À l'époque, les Américains n'ont d'autre choix que de projeter leur puissance là où se situent les réserves pétrolières essentielles à la poursuite de leurs activités économiques. Les stratèges de l'administration Bush entretenaient des liens étroits avec les milieux d'affaires. Président en 1995 d'Halliburton, Dick Cheney assurera ainsi au géant de l'équipement pétrolier de mirobolants contrats. Dans son livre Le Temps des turbulences paru en 2007, Alan Greenspan, qui dirigea la Réserve fédérale de 1987 à 2006, n'a pas hésité à dire tout haut «ce que tout le monde sait: l'un des grands enjeux de la guerre d'Irak était le pétrole».

Ce pauvre Saddam Hussein comme Kadhafi, des criminels en puissance dégommés, quelle injustice :smile2:

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Membre, Posté(e)
Henry Martin Membre 4 459 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ce pauvre Saddam Hussein comme Kadhafi, des criminels en puissance dégommés, quelle injustice :smile2:

Directement ou indirectement, la 2ième guerre des Bush orchestrée sur un mensonge d'état pour redessiner le Moyen Orient à la sauce américaine à causé au bas mot 500 000 morts.

Dis nous Anatole, c'est un ratonnage de masse qui t'es nécessaire pour bander encore ou quoi ? :hum:

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 144 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Directement ou indirectement, la 2ième guerre des Bush orchestrée sur un mensonge d'état pour redessiner le Moyen Orient à la sauce américaine à causé au bas mot 500 000 morts.

Dis nous Anatole, c'est un ratonnage de masse qui t'es nécessaire pour bander encore ou quoi ? :hum:

Il faut aussi rendre justice à Tony Blair .

L'Algérie n'a elle pas eu besoin des US pour revenir au sujet.

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Membre, Posté(e)
Henry Martin Membre 4 459 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il faut aussi rendre justice à Tony Blair .

Oui, on peut dire qu'il a respecté l'alignement à 100% dans la plus pure tradition anglo-saxonne.

Une fiction cinématographique je crois développait la thèse que sa femme était un agent de la CIA qui l'aurait manipulé tout au long de sa carrière politique. Bien que peu crédible, la fiction était rigolote.

L'Algérie n'a elle pas eu besoin des US pour revenir au sujet.

C'est ça avec ceux qui ont la prétention de pisser au vent, il n'ont besoin de personne pour la tenir. :sleep:

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

http://www.huffpostm...n_11453246.html

Les Etats Unis ont critiqué l’état des libertés religieuses en Algérie et certaines pratiques du gouvernement à l’égard des minorités religieuses, dont des déclarations du ministre des Affaires religieuses Mohamed Aissa, dans un nouveau rapport publié mercredi 10 août.

Cette édition 2015 du rapport sur les libertés religieuses dans le monde, établi chaque année par le Département américain, a relevé une déclaration du ministre Mohamed Aissa en juillet 2015 concernant les salafistes et les chiites en Algérie.

“Le 16 juillet, le ministre Aissa a mis en garde, dans une déclaration publique, contre les dangers du salafisme radical, ainsi que contre “l'intrusion” de l’islam chiite”, a indiqué le document.

Le rapport a également constaté un nombre de cas d’emprisonnement et de “persécution” liées aux pratiques de foi en Algérie. Il évoque notamment la condamnation en février 2015 du journaliste Mohamed Chergui à trois ans de prison ferme pour “atteinte au prophète”.

M. Chergui, relaxé en appel en avril dernier soit après la période couverte par le rapport, a été licencié et attaqué en justice par son journal El Djoumhouria en 2014. Il avait repris l'article d'un chercheur européen sur les expressions coraniques qui a été considéré par la direction du journal comme une "atteinte" au prophète.

Ramadan, églises et bureaucratie

Le rapport évoque aussi les cas d’arrestation ou de harcèlement des non-jeûneurs durant le ramadan 2015.

“En juin, des forces de sécurité ont essayé de disperser un groupe d’individus qui étaient en train de boire et de manger en privé durant le ramadan”, relève le document.

Le département de John Kerry souligne également, comme dans l’édition précédente du rapport, les difficultés bureaucratiques que rencontrent certaines minorités religieuses non-musulmanes comme les églises catholiques, ce qui entrave leur fonctionnement normal.

=======================================================================================================

Le rapport 2000 des USA sur la France était finalement bien plus inquiétant :sleep:

https://www.cairn.info/revue-critique-internationale-2002-2-page-15.htm

Sur El watan il a fallu fermer les commentaires :D

http://www.elwatan.com/hebdo/magazine/liberte-religieuse-dans-le-monde-2015-13-08-2016-326837_265.php

Bsr DroitDeRéponse,

sont marrant ses américains, au lendemain du 11-09-01, ils dressent des lauriers aux algériens, et aujourd'hui, apparemment,ils ont besoin d'argent de poche

a+

Il faut aussi rendre justice à Tony Blair .

L'Algérie n'a elle pas eu besoin des US pour revenir au sujet.

Bsr DroitDeRéponse,

a vrai dire se sont les states qui hier ont eu besoin de l'algérie. je vous rappel que tout recemment, ils ont eu besoin de l'iran, le pire ennemi des states

a+

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 144 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Bsr DroitDeRéponse,

sont marrant ses américains, au lendemain du 11-09-01, ils dressent des lauriers aux algériens, et aujourd'hui, apparemment,ils ont besoin d'argent de poche

a+

Bsr DroitDeRéponse,

a vrai dire se sont les states qui hier ont eu besoin de l'algérie. je vous rappel que tout recemment, ils ont eu besoin de l'iran, le pire ennemi des states

a+

En fait le rapport est très très modéré , l'Algérie au vu du rapport assure bien plus la liberté religieuse que la France, donc pas de quoi fouetter un chat. Pourtant ça n'a pas plu . :sleep:

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 144 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Oui, on peut dire qu'il a respecté l'alignement à 100% dans la plus pure tradition anglo-saxonne.

Une fiction cinématographique je crois développait la thèse que sa femme était un agent de la CIA qui l'aurait manipulé tout au long de sa carrière politique. Bien que peu crédible, la fiction était rigolote.

C'est ça avec ceux qui ont la prétention de pisser au vent, il n'ont besoin de personne pour la tenir. :sleep:

Entre 100 et 200 000 victimes et des charniers encore découverts en 2014. Les US ne sont vraiment pas un prérequis .

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

En fait le rapport est très très modéré , l'Algérie au vu du rapport assure bien plus la liberté religieuse que la France, donc pas de quoi fouetter un chat. Pourtant ça n'a pas plu . :sleep:

Bsr DroitDeRéponse,

nous sommes en 2016, j'ai passé les fetes de fin d'années de 2009 en Algérie, et je n'ai pas vu le rapport,mais je peux vous dire qu'il est bidon, les chrétiens sont en effet mal vu et pratique leur culte durant cette période, en cachette, il n'y a pas de quoi fouettez un chat ou les algériens, mais juste Boutef. ce pourquoi je me demandais si les states n'avait pas besoin d'argent de poche

a+

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Membre, Posté(e)
Henry Martin Membre 4 459 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Entre 100 et 200 000 victimes et des charniers encore découverts en 2014. Les US ne sont vraiment pas un prérequis .

Ah mais entièrement d'accord, ils ont réussis à faire ça tout seuls comme des grands.

Je ne faisais que rétorquer à la vision simpliste selon laquelle Saddam Hussein et Kadafi étaient des grands criminels nécessitant l'élimination alors que la chape de plomb dictatoriale maintenait un statu quo qu'ont fait sauter les occidentaux.

Après on peut m'opposer que les régions, les régimes ainsi que les populations sont suffisamment merdiques pour que l'issue fut assurément du même tonneau. Rien n'est moins sûr, d'autant plus que les choses sont suffisamment chaotiques pour que l'exercice d'uchronie soit douteux.

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Membre, Posté(e)
Henry Martin Membre 4 459 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

sont marrant ses américains, au lendemain du 11-09-01, ils dressent des lauriers aux algériens, et aujourd'hui, apparemment,ils ont besoin d'argent de poche

a vrai dire se sont les states qui hier ont eu besoin de l'algérie. je vous rappel que tout recemment, ils ont eu besoin de l'iran, le pire ennemi des states

Besoin ? argent de poche ? Mais de quoi tu parles ? :hum:

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 144 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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Bsr DroitDeRéponse,

nous sommes en 2016, j'ai passé les fetes de fin d'années de 2009 en Algérie, et je n'ai pas vu le rapport,mais je peux vous dire qu'il est bidon, les chrétiens sont en effet mal vu et pratique leur culte durant cette période, en cachette, il n'y a pas de quoi fouettez un chat ou les algériens, mais juste Boutef. ce pourquoi je me demandais si les states n'avait pas besoin d'argent de poche

a+

Je pensais qu'un chrétien ou apostât ne pouvait hériter d'un vrai algérien ( musulman )

http://www.joradp.dz/TRV/FFam.pdf

1984 c'est pas boutef mais inspire de la charia

Sinon je ne sais pas si le chat sera fouetté mais il aura de l'ombre http://www.atlantico.fr/pepites/algerie-chretien-condamne-5-ans-prison-pour-atteinte-islam-et-au-prophete-2810218.html

Et la liberté religieuse n'inclut pas celle de ne pas croire , dommage http://www.europe1.fr/international/algerie-deux-hommes-arretes-pour-blaspheme-sur-facebook-2778835

Ah mais entièrement d'accord, ils ont réussis à faire ça tout seuls comme des grands.

Je ne faisais que rétorquer à la vision simpliste selon laquelle Saddam Hussein et Kadafi étaient des grands criminels nécessitant l'élimination alors que la chape de plomb dictatoriale maintenait un statu quo qu'ont fait sauter les occidentaux.

Après on peut m'opposer que les régions, les régimes ainsi que les populations sont suffisamment merdiques pour que l'issue fut assurément du même tonneau. Rien n'est moins sûr, d'autant plus que les choses sont suffisamment chaotiques pour que l'exercice d'uchronie soit douteux.

Pour khadafi ce n'est pas aussi simple , la guerre civile avait commencé AVANT .

http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/09/15/nicolas-sarkozy-epingle-sur-la-libye_4998102_3232.html

Etabli par la commission des affaires étrangères des Communes, le rapport contient un rappel des faits détaillé. Déclenchée dans la foulée des « printemps arabes », une guerre civile s’installe dans la Libye du colonel Mouammar Kadhafi. Le gros d’une insurrection armée naissante, appuyée par l’Arabie saoudite et le Qatar notamment, est replié sur la côte Est, à Benghazi. La population civile de la deuxième ville du pays est menacée d’une contre-attaque des colonnes blindées du régime.

La Ligue arabe et l’Union africaine réclament une intervention extérieure. Nombre de journalistes et d’ONG pointent le risque, plus que plausible, d’un massacre de civils à Benghazi de la part de la soldatesque kadhafiste. Le Conseil de sécurité de l’ONU donne son accord à une intervention au nom de la protection des civils. Mais Londres, Paris et Washington vont bien au-delà et, durant plus de deux mois, mènent une campagne de bombardements qui appuie, de facto, l’avance de la rébellion au sol.

....

Les élus britanniques écrivent que la menace pesant sur Benghazi a été exagérée. Peut-être. Mais, à l’époque, au moment même de la décision politique, ce n’est pas ce que jugeait la majorité des observateurs, y compris chinois et russes.

Sans les raids occidentaux, Tripoli ne serait pas tombée aux mains de la rébellion, certes, mais la guerre civile aurait pu se poursuivre longtemps, aboutissant au même résultat : la désintégration d’un Etat qui n’en n’était pas un et l’entrée en action de groupes djihadistes (déjà présents au sein de la rébellion).

La Libye de Kadhafi n’était pas ce parangon de stabilité politique intérieure et régionale que laisse entrevoir le rapport. Mais le travail des députés britanniques confirme bel et bien qu’il aurait fallu arrêter la campagne de bombardements après la défense de Benghazi. Aller au-delà supposait un retour devant l’ONU et une vraie réflexion sur l’avenir de ce pays. On ne l’a pas fait, hélas !

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/09/15/nicolas-sarkozy-epingle-sur-la-libye_4998102_3232.html#SmyzzzlOPJ8TlLzh.99================================================================

Le rapport british me parait honnête.Attribuer le bordel et les morts aux occidentaux est un raccourci non ?

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Membre, Posté(e)
Henry Martin Membre 4 459 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Oui je suis d'accord.

Alors disons les occidentaux et leurs alliés Qatar et AS. Je ne suis pas assez connaisseur pour savoir qui des influences extérieures ou du chaudron intérieur fût le plus déterminant, si tant est que la question ait un sens.

Chaque situation comporte ses spécificités et le grand vent d'espoir du printemps arabe a rapidement pris un goût amer.

Merci pour les références.

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Je pensais qu'un chrétien ou apostât ne pouvait hériter d'un vrai algérien ( musulman )

http://www.joradp.dz/TRV/FFam.pdf

1984 c'est pas boutef mais inspire de la charia

Sinon je ne sais pas si le chat sera fouetté mais il aura de l'ombre http://www.atlantico.fr/pepites/algerie-chretien-condamne-5-ans-prison-pour-atteinte-islam-et-au-prophete-2810218.html

Et la liberté religieuse n'inclut pas celle de ne pas croire , dommage http://www.europe1.fr/international/algerie-deux-hommes-arretes-pour-blaspheme-sur-facebook-2778835

Pour khadafi ce n'est pas aussi simple , la guerre civile avait commencé AVANT .

http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/09/15/nicolas-sarkozy-epingle-sur-la-libye_4998102_3232.html

Etabli par la commission des affaires étrangères des Communes, le rapport contient un rappel des faits détaillé. Déclenchée dans la foulée des « printemps arabes », une guerre civile s’installe dans la Libye du colonel Mouammar Kadhafi. Le gros d’une insurrection armée naissante, appuyée par l’Arabie saoudite et le Qatar notamment, est replié sur la côte Est, à Benghazi. La population civile de la deuxième ville du pays est menacée d’une contre-attaque des colonnes blindées du régime.

La Ligue arabe et l’Union africaine réclament une intervention extérieure. Nombre de journalistes et d’ONG pointent le risque, plus que plausible, d’un massacre de civils à Benghazi de la part de la soldatesque kadhafiste. Le Conseil de sécurité de l’ONU donne son accord à une intervention au nom de la protection des civils. Mais Londres, Paris et Washington vont bien au-delà et, durant plus de deux mois, mènent une campagne de bombardements qui appuie, de facto, l’avance de la rébellion au sol.

....

Les élus britanniques écrivent que la menace pesant sur Benghazi a été exagérée. Peut-être. Mais, à l’époque, au moment même de la décision politique, ce n’est pas ce que jugeait la majorité des observateurs, y compris chinois et russes.

Sans les raids occidentaux, Tripoli ne serait pas tombée aux mains de la rébellion, certes, mais la guerre civile aurait pu se poursuivre longtemps, aboutissant au même résultat : la désintégration d’un Etat qui n’en n’était pas un et l’entrée en action de groupes djihadistes (déjà présents au sein de la rébellion).

La Libye de Kadhafi n’était pas ce parangon de stabilité politique intérieure et régionale que laisse entrevoir le rapport. Mais le travail des députés britanniques confirme bel et bien qu’il aurait fallu arrêter la campagne de bombardements après la défense de Benghazi. Aller au-delà supposait un retour devant l’ONU et une vraie réflexion sur l’avenir de ce pays. On ne l’a pas fait, hélas !

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/09/15/nicolas-sarkozy-epingle-sur-la-libye_4998102_3232.html#SmyzzzlOPJ8TlLzh.99================================================================

Le rapport british me parait honnête.Attribuer le bordel et les morts aux occidentaux est un raccourci non ?

Bsr DroitdeRéponse,

moi ce que j'en disais c'est qu'en 2009 quand les médias algériens sont parti filmer les algeriens dans des églises, ses derniers ont témoignés a visage masqué. la code de la famille selon le pouvoir, je chie dessus, c'est une raison pour laquelle lorsque je me rend au consulat, je n'y rentre pas, c'est mon épouse qui s'occupe des démarches, une fois qu'elle a fini, elle m'appel sur le portable,je rentre, j'appose ma signature et nous sortons. si je devais rester a l'interieur a les ecouter, alors je prend mon passeport, ma carte national, ma carte consulaire, et j'y met le feu, et ensuite je ferais une distribution de coup de front sans recul. 5 ans de prison pour atteinte a l'islam, on peu aussi prendre 5 ans de prison pour avoir buté un repenti par boutef, c'est ce qui est arrivé a un habitant de Batna, il a buté un repenti par boutef qui avait eliminé une parti de sa famille, il a pris cinq ans, alors le code de la famille!!

a+

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 144 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Bsr DroitdeRéponse,

moi ce que j'en disais c'est qu'en 2009 quand les médias algériens sont parti filmer les algeriens dans des églises, ses derniers ont témoignés a visage masqué. la code de la famille selon le pouvoir, je chie dessus, c'est une raison pour laquelle lorsque je me rend au consulat, je n'y rentre pas, c'est mon épouse qui s'occupe des démarches, une fois qu'elle a fini, elle m'appel sur le portable,je rentre, j'appose ma signature et nous sortons. si je devais rester a l'interieur a les ecouter, alors je prend mon passeport, ma carte national, ma carte consulaire, et j'y met le feu, et ensuite je ferais une distribution de coup de front sans recul. 5 ans de prison pour atteinte a l'islam, on peu aussi prendre 5 ans de prison pour avoir buté un repenti par boutef, c'est ce qui est arrivé a un habitant de Batna, il a buté un repenti par boutef qui avait eliminé une parti de sa famille, il a pris cinq ans, alors le code de la famille!!

a+

Le code de la famille bien avant boutef implique qu'il n'est pas bon si vous souhaitez hériter qu'il se sache que vous allez à l'église . Par ailleurs ne pas être masque serait une forme de prosélytisme . Ce n'est permis que pour le musulman , les autres n'ont pas à etre ostensibles ^^.

Pourquoi incriminer boutef quand la constitution indique que la religion de l'Algérie est l'islam ?

Le reste n'en est que la conséquence .

L'Algérie n'a pas à rougir elle pratique comme son voisin marocain , et puis l'excuse de la religion est bien pratique pour gauler le kabyle.

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Membre, 44ans Posté(e)
hanss Membre 49 116 messages
Maitre des forums‚ 44ans‚
Posté(e)

Pitié que personne n'excite les Algériens avec des rapports ou autre :D

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Le code de la famille bien avant boutef implique qu'il n'est pas bon si vous souhaitez hériter qu'il se sache que vous allez à l'église . Par ailleurs ne pas être masque serait une forme de prosélytisme . Ce n'est permis que pour le musulman , les autres n'ont pas à etre ostensibles ^^.

Pourquoi incriminer boutef quand la constitution indique que la religion de l'Algérie est l'islam ?

Le reste n'en est que la conséquence .

L'Algérie n'a pas à rougir elle pratique comme son voisin marocain , et puis l'excuse de la religion est bien pratique pour gauler le kabyle.

Bsr DroitDeRéponse,

l'algérie ne pratique absolument pas comme son voisin marocain, je prefère encore la pratique algérienne que celle du voisin marocain;

L'islam est en effet religion d'etat, enfin c'est ce que dit la constitution, alors que dans la réalité, c'est la religion qui est devenu un etat. Voyez vous quand l'islam etait religion d'etat sous boumedienne, ce dernier expliquait que les algériens n'avait pas besoin de mosquée, mais d'hopitaux. sous boutef, l'etat est une religion, puisque ce dernier a l'an passé gelé la construction de 5 CHU pour consacrer tout les fond disponible a la grande mosquée d'alger. Quand un etre sous developpé dirige un etat, le peuple n'a plus qu'a s'en remettre a dieu pour se faire soigner, selon boutef bien entendu

a+

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 144 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Pitié que personne n'excite les Algériens avec des rapports ou autre :D

C'est vrai que les marocains réagissent différemment .

Ils adorent les rapports sur les algériens :D

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