Aller au contenu

Noter ce sujet


Invité Quasi-Modo

Messages recommandés

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Exactement, l'analyste n'est pas là pour réconforter.

Ping, tu as mis ton commentaire dans le post de Deja-utilise au lieu de le mettre après la balise.

Modifié par samira123
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Oh mais c'est que je voudrais bien que cela soit ainsi !

Tu me diras que dans le nombre, il y en a sans doute qui tendent vers ça, par dispersion statistique, on en revient donc à la qualité humaine du guide, et non à une prévalence particulière à un cortège théorique rigide/fixiste, ou faisant courant de pensées, ou d'écoles se réclamant freudienne, lacanienne, jungienne...

Vu comme cela, nous nous rejoignons, mais la question qui vient naturellement:

Qui se comporte de la sorte après un cursus de formation ( formatage ), hormis une poignée d'individus, que l'on pourrait très bien rencontrer dans un autre registre que psychanalytique, d'ailleurs ?

Car je soutiens que ce qui aide les personnes qui consultent, en fin de compte, n'est pas une hypothétique cure, mais avant tout d'être face à une oreille attentive, avec qui " on " se sent considéré ( je ne peux pas dire " je ", car je n'ai jamais fait d'analyse par tierce personne interposée ), et donc exister en tant qu'être singulier, c'est plus sur le registre émotionnel/animal, ce qui expliquerait brillamment pourquoi une séance chez la voyante ou le marabou du coin fasse son office aussi, voire la bonne copine à qui on déballe tout et qui compatit, feint de comprendre, etc...

Et d'où tiens-tu ce savoir que "les psychanalystes" sont dans l'ensemble des gens malhonnêtes ?

Tu estimes que la formation c'est un formatage ? :|

Tu ne peux envisager la formation comme transmission de savoirs ?

Je voudrais bien te croire sur parole, vu ton insistance à défendre la profession,

mais je crois entre nous, qu'une définition officielle, prise dans un référentiel qui fasse consensus, fournie par tes soins soit nécessaire ( j'en ai donné deux non officielles qui ne

convergent pas vraiment dans ce sens ), puisqu'il semble que tu as l'occasion de fricoter

avec des nomenclatures ou autres documents consensuels, talents que je ne possède pas !?

Si tant est qu'il soit possible de le faire en embrassant tous les courants psychanalytiques bien entendu, et pas seulement une pratique dominante.

Mais j'ai donné des liens; Les as-tu consultés ?

Tu prêtes bien des pouvoirs au psychanalyste qui ne reste qu'un individu, comme le médecin est en général bien dépourvu face à son patient, qui a vraiment besoin.

Oui, je suis d'accord avec toi, le boucher, le boulanger, le métallurgiste, la sage femme,

l'infirmière, le médecin, le psychanalyste sont des humains !

Et alors ? Quoi ? :|

Lorsque tu as une carie, tu ne consultes pas ton dentiste, tu le trouves trop dépourvu

face à ton problème ?

Tu n'as rencontré que des médecins défaillants face à tes problèmes de santé ? :|

Tout ce que tu m'as dit, dans l'absolu je suis d'accord, mais dans la réalité, les choses vont autrement, comme le médecin avec son serment d'Hippocrate dans le principe va aider tout malade,

mais dans la triste réalité, s'enlise dans d'autres considérations, tant méthodologique,

qu'éthique, que de connaissances et moyens limités, que pécuniaires ou " institutives ", voire paradoxale en s'appuyant que la pharmacopée, sans oublier ses insuffisances, sa propre obsolescence, ses propres convictions qui transparaitrons inévitablement dans la pratique de son art, tout comme

le psychothérapeute ou l'analyste de la psyché, nécessairement, partiaux, dépendants et limités.

:|

????? Tout le monde est partial ! Et toi ?

À dire vrai, je reste convaincu, que toutes les qualités indispensables pour venir en aide

à quelqu'un n'est pas de la primauté d'un psychanalyste, mais que toute personne désireuse de réconforter, d'aider une autre, peut obtenir d'aussi bons résultats, puisque la technique ou

la théorie s'efface devant les qualités humaines, l'empathie, l'amour de son prochain, et que par le questionnement, soutenu par la " connivence "/ bonne relation de confiance, mené à deux, des pistes seront trouvées. Personne ne nait psychanalyste, on le devient, quel que soit le moyen utilisé, par voie académique ou autre...

En chacun de nous sommeille, un scientifique, un psychologue, un économiste, un parent, un animal, etc...

Oui, en chacun de nous sommeille un prodige ! Je te crois ! ;)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

L’analyse a été un tournant décisif dans leur existence, un changement fondamental dont chacun est sorti plus fort, mieux armé pour affronter la vie. Mais attention, il ne s’agit pas de métamorphose. On change certes, mais on reste soi-même…

Quelles sont donc ces mutations profondes si importantes ? Tout d’abord grandir, enfin ! Se réapproprier son histoire, éprouver l’intense soulagement de se sentir libre et pleinement responsable de ses choix. Deuxième effet positif unanimement reconnu : parvenir à se connaître, à s’accepter tel qu’on est et à s’aimer. Au fil de l’enquête, une troisième constante est apparue : La possibilité, grâce à l’analyse, de se réconcilier avec son passé en retrouvant ses racines. Ce retour en arrière permet de renouer des liens avec ses parents et de mieux assumer le bonheur et la difficulté d’être soi-même parent.

Il s’avère qu’on entame souvent une analyse parce qu’on est trop déprimé pour continuer à avancer. Qu’en est-il de la dépression après ? La souffrance et les angoisses s’estompent, les peurs deviennent tolérables, les vieux démons s’apaisent, on reprend goût à la vie. Mais attention, là encore tous les témoignages concordent : l’analyse ne guérit pas tout, son but n’est pas normalisateur.

Témoignages de ceux qui en ont été satisfaits :

“J’ai renoué avec ma famille, dont l’amour autrefois m’étouffait”

“J’ai continué à faire les mêmes erreurs. Mais je sais pourquoi”

“Même si nous ne nous parlons toujours pas, je sais que mon père m’aime, à sa façon…”

“Mes relations avec les hommes se sont décoincées”

“Les crises d’angoisse inexpliquées qui me tétanisaient ont disparus"

“J’ai encore des accès de timidité terrible mais cela ne menace plus mon intégrité”

« Avant ma psychanalyse, je m’ennuyais terriblement dans mon travail parce que le métier que j’ai appris à l’université et à l’hôpital ne répondait pas à la demande qui m’était adressée par mes patients. Comme j’avais entendu parler d’inconscient, je me suis décidé à aller voir un psychanalyste. Depuis, mon métier est devenu passionnant ! »

Déçus par ce voyage au bout d’eux-mêmes qui semblait ne les mener nulle part, certains ont préféré abandonner en chemin :

« Je n’avais plus de symptômes, mais rien à mettre à la place. J’affrontais un vide “existentiel”. »

« Je suis plutôt speed, l’analyse c’est trop long pour moi. J’ai préféré consulter un comportementaliste. »

« J’ai commencé une psychanalyse sur les conseils d’un ami à cause d’un problème d’impuissance. Mais cela n’a rien arrangé. C’était même plutôt pire. J’ai préféré aller voir un sexologue. Il m’a prescrit un traitement et des médicaments, ce qui m’a rassuré. »

« Quand j’étais en analyse, j’avais tendance à vouloir tout interpréter, disséquer, décortiquer… C’était pesant, pour moi comme pour les autres. Je préfère savourer le plaisir de vivre sans me demander d’où il vient ! »

Voir détail sur lien ci-dessous :

Psychologies

J'ai mis ce lien par rapport aux témoignages sur ce que cela apporte à certains.

Modifié par samira123
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

sa propre obsolescence, ses propres convictions qui transparaitrons inévitablement dans la pratique de son art, tout comme le psychothérapeute ou l'analyste de la psyché, nécessairement, partiaux, dépendants et limités.

Un psy doit savoir mettre la distance et n'a pas à porter de jugement, son travail consiste à ne tenir compte que du langage du patient donc s'il fait des interprétations, ce ne sera que ce que renvoi le patient alors bien sûr, c'est très difficile mais ça l'est encore plus pour un proche et un bon professionnel qui a de l'expérience, sait justement être impartial et ne pas interpréter par rapport à son propre vécu et si c'est le cas, il doit s' abstenir d'en faire allusion dans les séances.

Et sûrement qu'il y a des erreurs même chez un bon professionnel et c'est d'ailleurs pour cela qu'il est important que le patient sache qu'il est le seul à pouvoir s'en sortir donc qu'il n'a pas à se laisser influencer par le psy et si besoin remettre les choses à sa place. Il m'est arrivé qu'il y a désaccord avec le psy, les conflits sont parfois inévitables mais pour se faire bien comprendre, le patient doit reprendre et en discuter avec le psy afin d'éviter tous malentendus et si un patient s'explique, il n'y a pas de raison que le psy ne l'entend pas.

Modifié par samira123
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Il m'est arrivé qu'il y a désaccord avec le psy, les conflits sont parfois inévitables mais pour se faire bien comprendre, le patient doit reprendre et en discuter avec le psy afin d'éviter tous malentendus et si un patient s'explique, il n'y a pas de raison que le psy ne l'entend pas.

Il n'y a pas de raison...

Il y a la même raison qui fait que tout le monde interprète tout ce qu'il entend à travers sa propre grille de lecture du monde. Et ça on en est conscient ou pas (et le fait d'en être conscient par exemple n'a strictement rien à voir a notre rapport a Oedipe).

On a discuté toi et moi avec un internaute (cultivé) pour qui l'islamisme était inscrit dans le Coran. Pour lui c'était la cause, la cause du problème (parce qu'il avait décidé que si on modifiait le Coran, la cause disparaissant, le problème disparaîtrait de lui-même).

On est arrivé à quoi ?

Poir la psyK c'est pareil, les types ont déjà "la cause" : la cause c'est papa-maman, c'est la base de toute leur théorie, c'est leur croyance.

... et ce quel que soit le problème avec lequel tu débarques. Un iraqien va aller chez un psy en disant : "doc je dors plus depuis que ma femme et mes enfants se sont fait décapiter par Daesh, je devient fou je délire", le type lui dira de parler de ses rapports au père...

Au mieux, on dira que le psyK est sans doute capable d'une volonté de penser, puisque lui-même s'est mis en position de le faire en cherchant les causes de ses maux... et encore, c'est sans compter les méfaits bien connus de l'usage du pouvoir, qui font que la majorité des gens changent quand ils sont investis d'un pouvoir quelconque.

Mais l'interprétation ?

Qu'est-ce qu'on peut faire face la la croyance en une théorie, une idéologie une religion ? Qu'est-ce qu'on peut faire face a des types qui disent connaitre le fonctionnement de l'inconscient ?

Qui disent savoir comment l'homme fonctionne, à savoir qu'il existe un monde souterrain qui fait que, quel que soit ce que l'on pense, on est agi comme des marionettes... et que ce monde, eux en ont les clefs !

Quelle impudence ! Quelle prétention !

Et oui, forcément que ce genre de truc peut virtuellement amener au fascisme - encore mieux que le Coran à l'islamisme. On arrive à des positions staliniennes : vous êtes conditionnés par le vilain patronnat, mais moi qui suis au dessus de vous parce que je sais cotre inconscient je vous délivre (je me dois de vous délivrer) la bonne parole euh... amen.

C'est terriblement dangereux tout ça, toutes ces interprétations, et surtout la première, tous ces types qui expliquent doctement à notre iraqien ses problèmes de délire.

Alors y'a des psyK qui feraient le job avec humilité ?

Ben oui forcément, y'a aussi des types que ça doit déranger tout ça - et surtout depuis Deleuze et Guattari hein - de bosser "au nom de " cette effroyable prétention. Y'a pas que dès débiles boursoufflés d'eux-mêmes chez les psyK j'imagine. Alors ceux-là, peut-être que la théorie ils l'oublient un peu hein... qu'ils font juste le job honnêtement, comme ils peuvent, qu'ils s'en occupent plus trop de la théorie. Ben tant mieux !

Mais la théorie, c'est pas rien !

Et l'iraqien il en a rien à foutre du délire freudien ou lacanien !

Non l'inconscient c'est pas réductible a papa-maman, pas plus qu'une structure où les mêmes sont a l'oeuvre.

Tout cas c'est une gigantesque foutaise, de l'ordre de celle des curés quand ils expliquaient au monde "l'àme" des hommes !

.

Modifié par chapati
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Mais c'est le patient qui fait son analyse et bien sûr qu'il y a des analystes qui ne sont pas biens, c'est bien pour cela qu'il faut de toute évidence, voir un professionnel qui a une formation, Psychologue ou Psychiatre. Mais si pour certains, ils n'ont pas besoin de formation, il est obligatoire qu'ils ont eux-mêmes été analysés et donc ils doivent bien savoir ce que c'est mettre une distance, avoir de la bienveillance...

Ce qui fait partie du cadre analytique qui permet au patient de faire son analyse. Et on ne force personne à faire une analyse, ce sont les gens qui décident, ils ont la possibilité d'arrêter à tout moment. C'est bien pour cela que j'insiste, le patient doit savoir qu'il est seul avec lui-même, qu'il ne doit pas compter sur le psy qui n'a aucun pouvoir de l'aider, celui-ci doit juste lui permettre de faire son analyse. Et comme à tous niveaux, de partout, il y en a des bons et des mauvais. Aucun humain n'est parfait mais si des gens ont des difficultés et que pour certains, cette méthode peut les aider, il est important que cela existe aussi pour ceux-ci.

Modifié par samira123
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Pourtant je pense avoir répondu sur divers posts d'ailleurs je me répète après je veux bien reprendre une par une tes phrases pour t'y répondre au mieux mais je le ferais ce soir car là, je n'ai pas trop de temps.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

Bah, si tu veux, comme tu veux...

Le problème c'est la théorie psyK, et je peux synthétiser le post d'avant :

Tout le monde interprète ce qu'il entend à travers sa propre grille de lecture du monde. Et là, qu'est-ce qu'on peut faire face a des types qui disent connaitre le fonctionnement de l'inconscient, qui nous affirment avec aplomb qu'ils savent ce qu'inconsciemment toi et moi on a vécu, parce qu'on vivrait tous la même chose ?

Non la théorie, c'est pas rien !

Non l'inconscient c'est pas réductible a papa-maman, pas plus qu'à une structure où les mêmes sont a l'oeuvre.

Tout cas c'est une gigantesque foutaise, de l'ordre de celle des curés quand ils expliquaient au monde "l'âme des hommes" dont eux auraient les secrets ! (l'iraqien son problème c'est pas papa-maman, c'est Daesh)

PS : sinon la pratique, le divan, je l'ai déjà dit, j'ai rien contre (en théorie)

.

Modifié par chapati
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)

Bonjour Promethee_Hades,

Il y a différentes sortes de dépressions et je ne parle pas de la dépression accompagnée de symptômes psychotiques. Après je ne suis pas médecin mais je suis sûr que sans même avoir une dépression, certains dans une grande souffrance peuvent avoir du mal à se faire comprendre par l’entourage. Et bien sûr quand une personne n’a pas le moral, des proches peuvent l’aider à aller mieux et heureusement mais quand on va voir un psy, ce n’est pas juste un problème de moral, c’est quelque chose de soi que l’on n’arrive pas à communiquer à l’autre et qui cause problème dans notre vie d’où la nécessité de voir un psy et d’ailleurs les proches ne peuvent être d’aucune aide car seul le patient peut s’en sortir, voir un psy, c’est juste le cadre analytique qui permet d’aider le patient.

Certains parlent de la psychanalyse comme si c’est juste une personne qui n’a pas le moral alors que non, ce n’est pas une question de degré de souffrance mais un mal être lié à notre vécu, c’est surtout faire le deuil avec des événements ou personnes de son passé qui ont une influence négative sur le présent.

Bonjour Samira, bisous.

Oui je pense très bien comprendre ce que tu veux dire. Mais là dedans il y a des tas de méthodes simples, faciles à mettre en jeu, bien qu'elles puissent sembler étranges. Notre espèce baigne dans le paradoxe, l'ambivalence comme le magique ( pensée principalement ).

On me reproche de faire la part belle au thérapie comportementaliste, mais la psychanalyse aussi est censé modifié le comportement, elle est censé mettre l'individu dans une meilleure adéquation avec le réel , ce serait une bonne chose, dans la mesure ou elle repose sur une base solide, hors elle repose sur des axiomes faux, c'est mon reproche principale envers cette discipline comme l’invraisemblance de ces améliorations.

Je reprends deux point que tu as donné: " c’est quelque chose de soi que l’on n’arrive pas à communiquer à l’autre et qui cause problème dans notre vie Si on arrive pas à les communiquer, il y a bien une raison profonde me semble, et psyk ou pas psyk ce sera pareil. J'ai suffisamment côtoyé de personnes ayant fait des psychanalyses depuis plus de dix ans toujours ne rien dire à leur analyste. Certain même se servent de leur souffrance pour justifier leur comportement pour s’apitoyer sur eux même. Je suis pas bien je suis donc malade, faut me plaindre, prendre soin de moi, j'ai souvent vu un infantilisation chez les analysé, certes il y a régressions, mais il s'enferment dedans au lieu de s'en libérer, en restant enfant ils imposent à leur entourage sa protection. Entre nous c'est pas des plus libérateurs. De plus pour une personne voulant réellement s'en sortir, la raison profonde pour laquelle il ne peut verbaliser correctement , voir être atteint de mutisme c'est qu'il en est incapable, pourquoi, bien par ce que nous avons à faire à une personne épuisée nerveusement ou les pensées courent dans tout les sens ou l'individu n'est plus dans la capacité de les gérer. Donnons du repos à cette personne apprenons lui une discipline pour canaliser être maître de ses idéations, et tout rentrera facilement dans l'ordre l'individu fera son propre travail aisément, il en aura toute la force mentale nécessaire.

" Seul le patient peut s’en sortir ", c'est des plus évident, seul le patient peut s'en sortir par ce qu'il le veut, et il n'a nul besoin d'un gugus qui va lui raconter des sornettes sans queue ni tête, et surtout qui va encore plus le soumettre au diktats d'une stupide société. Évidemment qu'il faut l'aider, il faut l'armer en lui donnant les armes nécessaire, pour son combat personnel, faut l’entraîner a devenir fort et non pas l'écouter geindre, larmoyer sur lui même, en lui racontant des fadaises qui justifie sa souffrance, la souffrance c'est pas mamancacapipipapa, rien à voir avec Œdipe, Caïn, et tout le tremblement, rien a voir avec les inventions de castration et on en passe des meilleurs. La souffrance est lié à beaucoup de choses, souvent des incompréhension qui se justifient, des non dit, des peurs honteuses, et surtout cette putain de bordel de merde d'enculée de culpabilité complétement incomprise, toute notre société repose sur le fait d'une culpabilité à tout niveau, alors qu'il n'y a aucune culpabilité à avoir.

Je vais offrir aux lecteurs deux traitements traditionnel faisant intervenir la pensée magique qui fonctionnent souvent très bien, le magique peut faire des miracles c'est sa fonction.

Le premier, on prend n'importe quel objet, papier, bois, chiffon. Sur lequel on va parler en le serrant dans les mains de son malaise, de son mal de vivre, de ses angoisses, on va le charger de tout son malheur nous allons nous en délester dessus. Cela risque de prendre plusieurs jours voir pour certain plusieurs semaines, mais une fois que tout sera vidé sur l'objet, on se fait un petit rituel de son choix et on brûle le dit objet ( volt c'est ainsi que ça s'appelle ) en disant tout ce qui m'a fait souffrir je l'ai détruit, anéanti, plus rien maintenant existe. Les cendres ont les met dans la cuvette des toilettes puis tirer la chasse d'eau.

Le deuxième, bien c'est encore plus curieux. Souvent il s'agit dans ce qui fait souffrir, de problème de non dit avec l'entourage familial, mais celui ci n'est plus, les protagonistes sont décédés. Ce qui importe avant tout c'est les vivants, quand au morts ils existent au moins dans notre psyché. Alors on les évoque par notre souvenir, puis on les invoque en discutant avec eux, tout se passe dans notre imaginaire, oui peut être, mais quand on fait la chose, l'imaginaire devient bel est bien d'une réalité. On raconte ce que l'on a sur le cœur on se soulage de notre fardeau. Et après faite l'expérience, en général on se sent mais vraiment mieux et pour longtemps.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je reviens par ici, je pense n'être pas au courant d'environ ce qui a été répondu sur les deux dernières pages et mille excuses si j'ai manqué un truc !

Françoise Dolto a dit ceci :

(oui, Chapati, la grosse dondon mère du gros dindon Carlos père du Papayoulélé, celui-là même !)

"La psychanalyse, c'est aider les gens à devenir ce qu'ils sont."

Alors, bien éloignés que nous sommes des Freud, Lacan, Jung, etc. nous pouvons enfin envisager de répondre bien plus philosophiquement à ce sujet.

Aider les gens à devenir ce qu'ils sont...

Ça veut dire quelque chose ! Non ?

Est-ce que cela voudrait dire qu'ils sont déformés par l'éducation qu'ils ont reçus, les gens ? Ou absents à eux-même ? Ou dans la répétition voire la reproduction d'un rôle qui ne leur appartient pas, une sorte de mimétisme transgénérationnel de comportements transmis voire imposé implicitement, "Tiens ! On dirait ton père !" ; "Toute la tronche à sa mémé, cette gosse !" ; "Mais regardez comme il ressemble à sa grande-soeur, ce petit ange... !"

Porteurs de valises, de bagages qui ne sont pas à eux, ces gens... Oui, ils en gros et lourd sur les épaules... Ils ne comprennent même pas pourquoi ni comment ils souffrent, tellement tout ça ne leur appartient pas, tellement cela ne leur correspond pas, tellement ce n'est pas eux !

Alors, ça veut dire quelque chose, oui.

Françoise Dolto participe, avec Jacques Lacan, à la création de l'École freudienne de Paris

et développera au cours des années suivantes son enseignement dans ce cadre, notamment son

séminaire sur la psychanalyse des enfants.

En 1971 paraît Le Cas Dominique et une réédition de sa thèse Psychanalyse et Pédiatrie

qui seront des succès en libraire et sont réédités jusqu'à aujourd'hui....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Bah, si tu veux, comme tu veux...

Le problème c'est la théorie psyK, et je peux synthétiser le post d'avant :

Tout le monde interprète ce qu'il entend à travers sa propre grille de lecture du monde. Et là, qu'est-ce qu'on peut faire face a des types qui disent connaitre le fonctionnement de l'inconscient, qui nous affirment avec aplomb qu'ils savent ce qu'inconsciemment toi et moi on a vécu, parce qu'on vivrait tous la même chose ?

Non la théorie, c'est pas rien !

Non l'inconscient c'est pas réductible a papa-maman, pas plus qu'à une structure où les mêmes sont a l'oeuvre.

Tout cas c'est une gigantesque foutaise, de l'ordre de celle des curés quand ils expliquaient au monde "l'âme des hommes" dont eux auraient les secrets ! (l'iraqien son problème c'est pas papa-maman, c'est Daesh)

PS : sinon la pratique, le divan, je l'ai déjà dit, j'ai rien contre (en théorie)

.

Merci Chapati d’avoir résumé, là je comprends mieux ce que tu veux dire, la théorie, le patient n’y attache aucune importance et il faut savoir qu’un bon psy parle très peu car c’est la parole qui va libérer le patient et quant à la compréhension, elle vient souvent systématiquement en exposant les choses puisque de parler à un autre permet de s’en faire une autre vision. Freud s’est rendu compte que certains symptômes disparaissaient quand ses patients parlaient de leurs problèmes, et suite au nombre de ses patients, il a trouvé en commun, cette théorie complexe d'Œdipe, papamaman car même si on a des histoires différentes, on a tous des points en commun et c’est cette théorie qui permet donc au psy de situer le patient et de savoir où il en est.

La théorie, ça évoque l’inconscient, le transfert, pulsion, refoulement, complexe d'Œdipe…Tout cela va être appliqué au cours des séances sans que le patient le provoque mais en parlant au psy, il va y avoir transfert…car tout le monde fonctionne pareil, ce sont des choses en commun que l’on retrouvera chez tous les patients mais le patient c’est en parlant de son problème qu’il arrivera à s’en libérer. Le psy va répondre par rapport à ce que dit le patient et c’est souvent rare qu’un psy intervienne, c’est plus pour l’aider à s’exprimer, que le patient se sente compris, si le patient est vraiment mal, il va y avoir un soutien du psy…

Après que l'on soit pour ou contre la théorie, ça ne change rien vu que ce qui importe surtout c'est que le patient exprime ses problèmes. Quant à papa-maman, ce sont les parents qui nous donnent une éducation qui va avoir une influence la plus importante sur notre vie ou ceux qui nous ont éduqués donc on ne peut pas l'ignorer et je ne trouve pas qu'à ce niveau, la théorie est fausse. Pour ma part, j'ai abordé des problèmes d'une autre personne mais comme j'ai parlé de mon vécu, j'ai parlé aussi des parents et certains problèmes ont pu en dépendre.

Je te mets un lien sur la psychanalyse :

24 questions sur la psychanalyse :

Laethier

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 158ans Posté(e)
chapati Membre 6 957 messages
Baby Forumeur‚ 158ans‚
Posté(e)

C'est bizarre, tu n'as pas l'air du tout de comprendre l'importance que ça peut avoir de prétendre connaître la façon dont l'inconscient fonctionne... j'ai pourtant fait le comparatif avec "l'âme" dont les curés ont longtemps prétendu connaître les secrets, avec tout le discours religieux qui s'y greffait, ça n'a pas l'air de te parler du tout.

C'est-à-dire que c'est toute une image de la pensée qui est en jeu, rien de moins : qu'est-ce que c'est "penser", qu'est-ce qui est en jeu (l'inconscient bien sûr... mais quel inconscient ? c'est quoi l'inconscient ? ).

Bref tout ce qui peut amener à dire : "oui vous dites ça mais moi je sais mieux que vous ce que vous voulez dire", ou "pourquoi vous dites ça au lieu de dire ce que vous devriez dire"

... c'est-à-dire qu'à la fin, les types t'expliquent que tu dis quelque chose, mais que tu voudrais dire autre chose, parce que ce que tu dis veut dire "autre chose" : une chose qu'ils savent mieux que toi bien entendu, une chose que eux ils savent, mais pas toi !

C'est ni plus ni moins qu'une façon de nier le discours de l'autre !

Et le fascisme d'une pensée qui nie l'autre au travers de son discours.

Tout ça tu n'en dis pas un mot.

(encore une fois je ne parle pas du divan et tu ne réponds que le divan)

Bref et donc, c'est pas comme ça l'inconscient : l'inconscient c'est pas papa-maman.

Et quelle arrogance incroyable de prétendre connaître l'inconscient, de prétendre en cerner les secrets !!!

.

Modifié par chapati
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour Samira, bisous.

Oui je pense très bien comprendre ce que tu veux dire. Mais là dedans il y a des tas de méthodes simples, faciles à mettre en jeu, bien qu'elles puissent sembler étranges. Notre espèce baigne dans le paradoxe, l'ambivalence comme le magique ( pensée principalement ).

On me reproche de faire la part belle au thérapie comportementaliste, mais la psychanalyse aussi est censé modifié le comportement, elle est censé mettre l'individu dans une meilleure adéquation avec le réel , ce serait une bonne chose, dans la mesure ou elle repose sur une base solide, hors elle repose sur des axiomes faux, c'est mon reproche principale envers cette discipline comme l’invraisemblance de ces améliorations.

Je reprends deux point que tu as donné: " c’est quelque chose de soi que l’on n’arrive pas à communiquer à l’autre et qui cause problème dans notre vie Si on arrive pas à les communiquer, il y a bien une raison profonde me semble, et psyk ou pas psyk ce sera pareil. J'ai suffisamment côtoyé de personnes ayant fait des psychanalyses depuis plus de dix ans toujours ne rien dire à leur analyste. Certain même se servent de leur souffrance pour justifier leur comportement pour s’apitoyer sur eux même. Je suis pas bien je suis donc malade, faut me plaindre, prendre soin de moi, j'ai souvent vu un infantilisation chez les analysé, certes il y a régressions, mais il s'enferment dedans au lieu de s'en libérer, en restant enfant ils imposent à leur entourage sa protection. Entre nous c'est pas des plus libérateurs. De plus pour une personne voulant réellement s'en sortir, la raison profonde pour laquelle il ne peut verbaliser correctement , voir être atteint de mutisme c'est qu'il en est incapable, pourquoi, bien par ce que nous avons à faire à une personne épuisée nerveusement ou les pensées courent dans tout les sens ou l'individu n'est plus dans la capacité de les gérer. Donnons du repos à cette personne apprenons lui une discipline pour canaliser être maître de ses idéations, et tout rentrera facilement dans l'ordre l'individu fera son propre travail aisément, il en aura toute la force mentale nécessaire.

" Seul le patient peut s’en sortir ", c'est des plus évident, seul le patient peut s'en sortir par ce qu'il le veut, et il n'a nul besoin d'un gugus qui va lui raconter des sornettes sans queue ni tête, et surtout qui va encore plus le soumettre au diktats d'une stupide société. Évidemment qu'il faut l'aider, il faut l'armer en lui donnant les armes nécessaire, pour son combat personnel, faut l’entraîner a devenir fort et non pas l'écouter geindre, larmoyer sur lui même, en lui racontant des fadaises qui justifie sa souffrance, la souffrance c'est pas mamancacapipipapa, rien à voir avec Œdipe, Caïn, et tout le tremblement, rien a voir avec les inventions de castration et on en passe des meilleurs. La souffrance est lié à beaucoup de choses, souvent des incompréhension qui se justifient, des non dit, des peurs honteuses, et surtout cette putain de bordel de merde d'enculée de culpabilité complétement incomprise, toute notre société repose sur le fait d'une culpabilité à tout niveau, alors qu'il n'y a aucune culpabilité à avoir.

Je vais offrir aux lecteurs deux traitements traditionnel faisant intervenir la pensée magique qui fonctionnent souvent très bien, le magique peut faire des miracles c'est sa fonction.

Le premier, on prend n'importe quel objet, papier, bois, chiffon. Sur lequel on va parler en le serrant dans les mains de son malaise, de son mal de vivre, de ses angoisses, on va le charger de tout son malheur nous allons nous en délester dessus. Cela risque de prendre plusieurs jours voir pour certain plusieurs semaines, mais une fois que tout sera vidé sur l'objet, on se fait un petit rituel de son choix et on brûle le dit objet ( volt c'est ainsi que ça s'appelle ) en disant tout ce qui m'a fait souffrir je l'ai détruit, anéanti, plus rien maintenant existe. Les cendres ont les met dans la cuvette des toilettes puis tirer la chasse d'eau.

Le deuxième, bien c'est encore plus curieux. Souvent il s'agit dans ce qui fait souffrir, de problème de non dit avec l'entourage familial, mais celui ci n'est plus, les protagonistes sont décédés. Ce qui importe avant tout c'est les vivants, quand au morts ils existent au moins dans notre psyché. Alors on les évoque par notre souvenir, puis on les invoque en discutant avec eux, tout se passe dans notre imaginaire, oui peut être, mais quand on fait la chose, l'imaginaire devient bel est bien d'une réalité. On raconte ce que l'on a sur le cœur on se soulage de notre fardeau. Et après faite l'expérience, en général on se sent mais vraiment mieux et pour longtemps.

Bonsoir Promethee_Hades,

Personne ne remet en cause qu’il y a d’autres méthodes plus simples, plus rapides déjà pour ma part, je trouve que la psychanalyse est difficile et on ne sait pas à l’avance le résultat donc pas sûr qu’au final, cela correspond au patient.

Je pense que la personne qui a parlé sur la thérapie comportementaliste voulait surtout évoqué que c’est modifié un comportement sans en comprendre la cause alors que la psychanalyse peut modifier un comportement parce qu’on va résoudre la cause. Si tu veux parler de la théorie, possible qu’elle soit fausse mais ce qui ne l’est pas c’est le problème du patient et s’il arrive à pouvoir faire le deuil de cet événement ou de cette personne qui lui a causé problème, c’est le plus important.

Non psyk ou pas psyk, ce n’est pas pareil car avec le psy, on peut s’en exprimer car on est là pour cela d’autant que les gens n’auraient pas pu comprendre car ils ne sont pas là pour être disponible pour notre problème qui ne se résout pas du jour au lendemain, qu’il faut aborder différents thèmes et revenir plusieurs fois sur le problème avant qu’il s’en aille et les proches ne sont pas compétents dans ce domaine entre autres, car il faut savoir y mettre une distance…

Bien sûr qu’il y a des gens qui ne parleront pas de leur réel problème, certains reproduisent exactement ce qu’ils doivent pourtant arriver à se défaire, peut être quand fin de compte, ces personnes sont satisfaits de ce que leurs séances leur apportent, certains vont en séance pour y trouver ce qu’ils n’ont pas dans leur vie. Peut être que ces gens ne recherchent pas d’être libres, enfin ce que je veux dire, c’est à eux de décider de leurs vies, c’est leur choix, on ne peut pas leur imposer quoique ce soit d’autant que la « guérison » ne dépend que de la personne.

Ce n’est pas le psy qui raconte mais le patient et si, pour moi, il était important que je puisse évoquer mes problèmes et pour d’autres aussi. Et c’est de parler qui libère et le patient n’a pas besoin de l’aide de l’autre s’il veut s’en sortir car il est le seul à comprendre son problème mais par contre, il a besoin de l’autre pour l’exposer. Justement, c’est en s’exprimant au cours des séances que la compréhension se fait. L’analyste n’apprend pas à l’autre à être plus fort et si le patient veut geindre et que ça l’aide, c’est cela qui compte et si le patient parle de ses problèmes, c’est cela qui l’aidera à être plus fort et c’est bien souvent ceux qui se plaignent, ceux qui pleurent qui sont plus solides que celui qui va rester dans un mutisme.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

C'est bizarre, tu n'as pas l'air du tout de comprendre l'importance que ça peut avoir de prétendre connaître la façon dont l'inconscient fonctionne... j'ai pourtant fait le comparatif avec "l'âme" dont les curés ont longtemps prétendu connaître les secrets, avec tout le discours religieux qui s'y greffait, ça n'a pas l'air de te parler du tout.

C'est-à-dire que c'est toute une image de la pensée qui est en jeu, rien de moins : qu'est-ce que c'est "penser", qu'est-ce qui est en jeu (l'inconscient bien sûr... mais quel inconscient ? c'est quoi l'inconscient ? ).

Bref tout ce qui peut amener à dire : "oui vous dites ça mais moi je sais mieux que vous ce que vous voulez dire", ou "pourquoi vous dites ça au lieu de dire ce que vous devriez dire"

... c'est-à-dire qu'à la fin, les types t'expliquent que tu dis quelque chose, mais que tu voudrais dire autre chose, parce que ce que tu dis veut dire "autre chose" : une chose qu'ils savent mieux que toi bien entendu, une chose que eux ils savent, mais pas toi !

C'est ni plus ni moins qu'une façon de nier le discours de l'autre !

Et le fascisme d'une pensée qui nie l'autre au travers de son discours.

Tout ça tu n'en dis pas un mot.

(encore une fois je ne parle pas du divan et tu ne réponds que le divan)

Bref et donc, c'est pas comme ça l'inconscient : l'inconscient c'est pas papa-maman.

Et quelle arrogance incroyable de prétendre connaître l'inconscient, de prétendre en cerner les secrets !!!

.

Je n’ai pas parlé du discours du curé car tu m’as dit de tenir compte de ton autre post que tu en faisais un résumé. D’après ce que je comprends, tu voudrais dire que les curés qui prétendent connaître les secrets de l’âme influenceraient inconsciemment les autres, c’est cela que tu veux dire ? Donc tu penses que pour la théorie du psy, c’est pareil, cela influenceraient les patients, fort possible pour certains qui s’intéressent à la théorie, d’ailleurs pour ceux-ci, ils peuvent aborder directement la théorie mais une personne qui a un problème y va surtout par rapport à son problème non suite à la théorie et je ne vois pas comment cela pourrait l’influencer puisque ce patient n’y accordera aucun intérêt d'autant que la plupart du temps, il ne connaît pas la théorie.

L’inconscient c’est ce dont l’on n’a pas connaissance.

Je parle juste en connaissance de mes expériences et des personnes que j’ai connues qui ont suivis des analyses d’autant qu’en ce qui concerne la théorie, je t’ai bien précisé que je n’y connais rien à ce niveau.

Qu’est ce qui te fait dire que j’aurais exprimé que je connais l’inconscient ? Que je connais les secrets, secrets de qui d’ailleurs ? Un peu surprise que tu fasses ces interprétations, je n’ai fait que donner mon avis sur ce que j’en pense de part mes expériences. Tu considères que la théorie est fausse donc explique en quoi elle est fausse, pour ma part, je ne remets pas en cause, les professionnels à ce niveau car je n’ai rien qui pourrait définir qu’ils se trompent d’autant plus quand cette théorie n’a eu aucune importance dans mon analyse. Et je ne vois pas en quoi, je nierais ton discours, tu es contre la théorie et je ne le remets même pas en cause sauf que perso, je n’ai rien contre cette théorie que je ne connais pas d’ailleurs pour en avoir une idée.

Modifié par samira123
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)

Je me rends compte que pour les détracteurs de la psychanalyse, il y pas beaucoup de réponse sur leur argument excepté à peu de chose prés la psychanalyse c'est super chouette. Sur le questionnement sur Deuleuze et Guetari que demande notre ami Chapati, franchement dégun ( personne ) et sur les miens bé ça va pas bien loin, je montre d'autre thérapie qui sont considéré comme fiable justement par des professionnel du domaine, non psychanalyste c'est vrai, elles sont balayé d'un revers de mains sous des prétextes que je juges foireux aucune recherche dessus aucune réflexion, la psychanalyse c'est le bon dieu.

Pourtant j'ai parlé des EMDR eye movement desensitization and reprocessing offert un lien , degun n'a été voir, pourtant la chose mérite aussi une certaine attention, car là on aborde aussi avec cette technique la psychologie des profondeurs. Aux fanatiques de la psyK je devrais leur mentionné que cette technique en 2002 se voit décerner le prix Sigmund Freud par l'Association mondiale de psychothérapie et par la ville de Vienne.

Par ce qu'on assiste a un dialogue de sourd au final, Chapati ( qui attends toujours sa réponse simple et claire ), et ma pomme d'un coté qui sommes des plus sceptiques, et des dévots de l'autre qui refusent de voir d'autres arguments.

En tout cas je suis admiratif devant le discours des plus compréhensible avec de bons exemples et la patience de Chapati

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Bref tout ce qui peut amener à dire : "oui vous dites ça mais moi je sais mieux que vous ce que vous voulez dire", ou "pourquoi vous dites ça au lieu de dire ce que vous devriez dire"

... c'est-à-dire qu'à la fin, les types t'expliquent que tu dis quelque chose, mais que tu voudrais dire autre chose, parce que ce que tu dis veut dire "autre chose" : une chose qu'ils savent mieux que toi bien entendu, une chose que eux ils savent, mais pas toi !

C'est ni plus ni moins qu'une façon de nier le discours de l'autre !

Pour toi, c'est le discours des psys, alors que non...

On dit souvent que les psychanalystes ne parlent pas, est-ce vrai ?

Ce qui importe dans le processus de la psychanalyse, c’est la parole du patient dans la relation avec son analyste (ce que l’on appelle le transfert). Le fait que ce soit votre parole qui compte avant celle de votre psychanalyste, ne signifie pas qu’il doive s’obliger au mutisme. Votre psychanalyste peut parler, mais il doit parler pour faciliter votre parole et vous aider à faire que cette parole advienne. Cependant, il est possible qu’au cours de l’analyse, il y ait des moments de silence. Ce silence a aussi un sens. Pourquoi ne pas lui laisser sa place ?

LAETHIER

Je me rends compte que pour les détracteurs de la psychanalyse, il y pas beaucoup de réponse sur leur argument excepté à peu de chose prés la psychanalyse c'est super chouette. Sur le questionnement sur Deuleuze et Guetari que demande notre ami Chapati, franchement dégun ( personne ) et sur les miens bé ça va pas bien loin, je montre d'autre thérapie qui sont considéré comme fiable justement par des professionnel du domaine, non psychanalyste c'est vrai, elles sont balayé d'un revers de mains sous des prétextes que je juges foireux aucune recherche dessus aucune réflexion, la psychanalyse c'est le bon dieu.

Pourtant j'ai parlé des EMDR eye movement desensitization and reprocessing offert un lien , degun n'a été voir, pourtant la chose mérite aussi une certaine attention, car là on aborde aussi avec cette technique la psychologie des profondeurs. Aux fanatiques de la psyK je devrais leur mentionné que cette technique en 2002 se voit décerner le prix Sigmund Freud par l'Association mondiale de psychothérapie et par la ville de Vienne.

Par ce qu'on assiste a un dialogue de sourd au final, Chapati ( qui attends toujours sa réponse simple et claire ), et ma pomme d'un coté qui sommes des plus sceptiques, et des dévots de l'autre qui refusent de voir d'autres arguments.

En tout cas je suis admiratif devant le discours des plus compréhensible avec de bons exemples et la patience de Chapati

Que tu sois contre la psychanalyse, c'est une chose mais ce n'est pas pour cela que d'autres doivent te donner raison, quand à dire que la psychanalyse, c'est super chouette, ce n'est même pas ce que j'en pense même si cela m'a aidé à m'en sortir. Mais ce qui est sûr, c'est que je trouve que parler de ses problèmes est nécessaire afin de s'en libérer que d'autres y trouvent d'autres moyens, tant mieux, chacun va vers les méthodes qui lui conviennent le mieux. Que tu as parlé d'EMDR, il paraît que c'est efficace, chacun donne son avis sur les méthodes et c'est aux concernés de choisir.

Modifié par samira123
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)

Je n'ai jamais dit que l'on me donne raison, mais que l'on confronte avec ce qu'on peut amener. C'est sans aucun attrait d'avoir raison ou pas, ce qui importe, c'est de comparer, réfléchir un petit peu, voir soupeser, ce faire son avis perso. Le discours psyK qui peu crédible, nous d'autres voies aussi existent, bien plus performantes.

Complexe d’œdipe, n'est en rien universel, de nombreux peuples l'ignorent complétement, et tout à l'avenant

Nous avons aussi la méthode Tomatis, mais qui elle touche d'autre troubles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Tomatis

Modifié par Promethee_Hades
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Je n'ai jamais dit que l'on me donne raison, mais que l'on confronte avec ce qu'on peut amener. C'est sans aucun attrait d'avoir raison ou pas, ce qui importe, c'est de comparer, réfléchir un petit peu, voir soupeser, ce faire son avis perso. Le discours psyK qui peu crédible, nous d'autres voies aussi existent, bien plus performantes.

Complexe d’œdipe, n'est en rien universel, de nombreux peuples l'ignorent complétement, et tout à l'avenant

Nous avons aussi la méthode Tomatis, mais qui elle touche d'autre troubles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Tomatis

Là, il est question de la psychanalyse, il y aurait un autre topic où l'on parlerait des diverses méthodes, on aborderait aussi les autres d'ailleurs j'avais fait un topic où justement je parlais des diverses méthodes et comme je l'ai dit, chacun va vers ce qui lui correspond. Ce n'est pas une question de dire que la psychanalyse est mieux mais de dire ce qu'elle apporte et il n'y a d'ailleurs pas que du positif parce que c'est très difficile, parce qu'on peut tomber sur un psy où cela se passe mal...Pour moi, il ne s'agit pas du discours du psy mais du discours du patient qui importe.

Modifié par samira123
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Un iraqien va aller chez un psy en disant : "doc je dors plus depuis que ma femme et mes enfants se sont fait décapiter par Daesh, je devient fou je délire", le type lui dira de parler de ses rapports au père...

Sauf que non, cela ne se passe pas comme ça, un psy ne va pas demandé à son patient de parler de tel sujet, que les psys connaissent la cause, c’est à travers son problème que le patient l’évoquera et c’est surtout la parole qui est libératoire.

Mais l'interprétation ?

Qu'est-ce qu'on peut faire face la la croyance en une théorie, une idéologie une religion ? Qu'est-ce qu'on peut faire face a des types qui disent connaitre le fonctionnement de l'inconscient ?

L’interprétation, c’est le patient qui le fait, je dirais même que c’est plutôt une compréhension qui devient évidente à un moment donné du discours. Mais la psychanalyse, c’est surtout l’expression, la parole qui permet de libérer, en gros c’est plus cela que le fait d’y chercher des causes.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×