La nature du désir est-elle différente chez les hommes et chez les femmes ?

Tu sais je suis un cynique pas du tout un épicurien , mais alors là pas du tout. Puis tu as les gens aussi qui sont dans le précipice, à qui tu tends la main, la saisisse pour te jeter dans le précipice en leur compagnie. Pour le reste je place la connaissance, la raison avant, car elles impliquent le dernier terme en le rendant plus fort.

Oh moi non plus je ne suis pas un épicurien, quoique le terme approprié soit hédoniste.

Un peu stoicien sur les bords, mais pas trop quand meme.

Sinon la raison et la connaissance, il en faut bien sur, mais perso ça ne suffit pas a remplir ma vie, a lui donner un sens.

Le sens, je ne crois pas que l'on puisse le trouver avec la raison, je ne suis pas Cartésien non plus.

Je ne suis pas cartésien du tout, pour l'époque je dirai spinoziste , je préfère de très loin Spinoza à Descartes, mais je suis surtout un cynique.

Pour moi cela comble ma vie, me rends heureux, j'aimerai que chacun trouve le bonheur, mais là c'est une autre histoire que j'ai évoqué par ailleurs.

Bien sur !

Avec une telle signature, tu devrais pouvoir comprendre ce que j'essaye d'exprimer.

Oui, je pense comprends que le désir vient de l'envie.C'est parce que nous sommes en vie que nous désirons. Envie d'avoir toujours plus pour encore avoir envie de plus. Je ne désir pas posséder... les choses, les autres. Je désir découvrir, avancer et me sentir bien avec ce que j'ai. Je n'ai plus envie d'attendre des autres.

Je veux continuer de me pleindre d'expérience parce que c'est à ça que nous pousse le désir.

Le désir de deux corps qui se rencontre c'est plutôt plaisant. Le sentiment de posséder l'autre, de perdre l'autre me fait encore trop peur (que cela soit dans un sens ou dans l'autre). Au temps de faire son oeuvre.

Oui, je pense comprends que le désir vient de l'envie.C'est parce que nous sommes en vie que nous désirons. Envie d'avoir toujours plus pour encore avoir envie de plus. Je ne désir pas posséder... les choses, les autres. Je désir découvrir, avancer et me sentir bien avec ce que j'ai. Je n'ai plus envie d'attendre des autres.

Je veux continuer de me pleindre d'expérience parce que c'est à ça que nous pousse le désir.

Le désir de deux corps qui se rencontre c'est plutôt plaisant. Le sentiment de posséder l'autre, de perdre l'autre me fait encore trop peur (que cela soit dans un sens ou dans l'autre). Au temps de faire son oeuvre.

Tu aimes jouer avec les mots manifestement.

Pour certains le désir c'est de se remplir, pour d'autres c'est de s'épancher.

Trop plein ou trop vide.

Et on retrouve ça aussi dans une conversation.

Ce n'est pas seulement soit de se remplir soit de se vider. C'est un échange, une recherche d'équilibre dans un monde toujours en mouvement.

Ou les vases communiquant sur un camion roulant sur une route bien défoncée en montagne au milieu d'un ouragan. L'image me plaît bien, ça manque pas de grosse surprise ni de grosse frayeur.

Oh moi non plus je ne suis pas un épicurien, quoique le terme approprié soit hédoniste.

Un peu stoicien sur les bords, mais pas trop quand meme.

Sinon la raison et la connaissance, il en faut bien sur, mais perso ça ne suffit pas a remplir ma vie, a lui donner un sens.

Le sens, je ne crois pas que l'on puisse le trouver avec la raison, je ne suis pas Cartésien non plus.

Bonsoir mon ami Swam, très grosse poigne de mains.

Je suis long à la détente parfois, mon aspect saturnien. Mais j'ai compris ce que tu es, aspire. Amour uniquement amour rien qu'amour, sans amour tu es mort, comme moi je suis mort sans action, sans conquêtes. Sans t'en rendre compte tu m'a appris une bonne leçon.

Ou les vases communiquant sur un camion roulant sur une route bien défoncée en montagne au milieu d'un ouragan. L'image me plaît bien, ça manque pas de grosse surprise ni de grosse frayeur.

J'aime bien la description de l'image que tu t'en fais.

^^ tu as oublié la tremblement de terre, le tsunami et la pluie d'astéroïdes... L'apocalypse tant qu'on y est.

trouver un équilibre tout seul c'est une chose mais à deux c'en est une autre (à trois, quatre ou plus, je n'en dirais rien).