Le 21/01/2020 à 19:39, DroitDeRéponse a dit :

Recevoir les PDGs de multinationales à Versailles

C'est aussi un retour sur investissement réalisé au ... XVII ème siècle.

Le 26/05/2016 à 00:51, stvi a dit :

je ne sais pas s'il faut le regretter ou s'en réjouir ....nous étions ne serait ce que l'an passé une destination préférée des investisseurs étrangers ??est ce que ça a changé grand chose pour les demandeurs d'emploi ?

cette étude me semble peu cohérente avec les statistiques des années 2013 2014 et 2015 ...

même s'il s'agit comme il est suggéré de nouvelles implantations sur l'année 2015 ,il faudrait connaitre la qualité de ces entreprises et les capitaux apportés ...il est préférable d'avoir une entreprise qui s'installe avec un capital conséquent que dix avec un capital ridicule

22 Mars 2016, 09h12 | MAJ : 23 Mars 2016, 12h20.

En Europe, la France est la première destination des investisseurs étrangers pour créer et développer des usines.

Alors que se tient ce mardi, à l'Elysée, un conseil stratégique sur l'attractivité de la France, selon le baromètre publié par l'agence nationale Business France, 962 entreprises étrangères se sont implantées en France en 2015.

http://www.leparisie...016-5649041.php

Au total, 476 entreprises étrangères sont venues s'installer pour la première fois en France en 2015. Elles ont permis la création de 8 669 emplois nouveaux. Par ailleurs, 394 entreprises étrangères ont développé leur dispositif en France, ce qui a généré 11 815 emplois supplémentaires contre 10 326 emplois en 2014. En revanche, les reprises d'entreprises par des investisseurs étrangers ont sensiblement diminué (-10%) par rapport à l'année précédente, ce qui a permis de sauver 13 198 emplois contre 7 134 en 2014

Selon Business France, la France compte 20 000 entreprises étrangères sur son territoire, qui sont responsables de 13% de l'emploi salarié. Les entreprises américaines (Intel, Cisco, Microsoft... ), qui sont les premières à investir, représentent 440 000 emplois directs et 2 millions d'emplois indirects. Derrière, ce sont les sociétés allemandes et italiennes qui sont les plus nombreuses à s'installer en France. Les entreprises chinoises gagnent deux places dans ce classement, se situant à la septième place et représentant 4,5 % des investissements.

Bonjour, c'est une très bonne remarque. Vous avez parfaitement raison de rester méfiant, quand en plus on attribue au phénomène moins la politique que l'effet Brexit. C'était déjà le cas l'an passé :

https://www.latribune.fr/economie/international/investissements-la-france-profite-du-brexit-781341.html

Il y a 3 heures, pluc89 a dit :

C'est aussi un retour sur investissement réalisé au ... XVII ème siècle.

Imagine t’on Louis XIV recevoir les roturiers dans ses appartements d’apparat ?

Il y a 1 heure, DroitDeRéponse a dit :

Imagine t’on Louis XIV recevoir les roturiers dans ses appartements d’apparat ?

Il devait bien recevoir des banquiers italiens de temps en temps pour financer ses frasques ?

Il y a 3 heures, pluc89 a dit :

Il devait bien recevoir des banquiers italiens de temps en temps pour financer ses frasques ?

 

Pas dans les salons d’apparat et pas lui même !

Investissements étrangers : la France seul pays européen à ne pas en profiter

"Çà c'était avant" dit la pub ... à juste titre, car aujourd'hui (je demande d'avance pardon à ceux qui sur ce forum n'aiment pas que la France réussisse) :

La France garde son attrait économique, un argument électoral pour Macron

La France reste le pays d'Europe le plus attractif pour les investisseurs, selon une étude dont le gouvernement s'est immédiatement saisi pour défendre la politique économique d'Emmanuel Macron et agiter la menace d'une victoire de l'extrême droite à la...

Pour la deuxième année de suite, la France est restée en 2020 le pays européen qui a attiré le plus d'investissements directs étrangers, à 985 projets, malgré une forte baisse sur fond de crise du Covid-19, selon une étude annuelle publiée lundi par le cabinet EY. 

Les investisseurs interrogés estiment que la France a "relativement bien défendu son attractivité" notamment "grâce aux mesures de soutien et au plan de relance" annoncé à l'automne dernier. Ils sont près de la moitié à trouver celui-ci plus performant que dans les autres pays européens.

Ces conclusions sont un bon signe pour le président Emmanuel Macron, qui voit ses choix confortés en matière de politique économique à moins d'un an de l'élection présidentielle de 2022. Sur Twitter, il a salué lundi "une excellente nouvelle avec des répercussions concrètes: plus d'emplois créés (+ 30.000!) (et) plus de relocalisations, notamment dans l'industrie".

"Les baisses de l'impôt sur les sociétés et sur le capital, et, depuis cette année, la baisse des impôts de production créent une nouvelle fiscalité stable et attractive pour les entreprises", a aussi indiqué à l'AFP le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.

La ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher a, elle, porté le débat sur le terrain politique en estimant que la France ne garderait pas un tel attrait si M. Macron - pas officiellement candidat pour le moment - n'est pas réélu président.

"Si le président Macron passe une deuxième fois, il y aura un enthousiasme pour continuer à investir en France mais c'est quelque chose de fragile", a-t-elle jugé sur LCI. 

AFP 07/06/2021 - 16:39

Selon le dernier bilan de l'année 2020, les investissement étrangers en France sont supérieurs à ceux en Allemagne et au Royaume Uni ce qui montre l'attirance de la France pour les investisseurs étrangers (qualité de la main-d'œuvre, qualité des transports (train, RER, métros, bus, trams),.

https://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2023/05/12/l-entreprise-taiwanaise-prologium-choisit-dunkerque-pour-implanter-sa-premiere-usine-de-batteries-en-europe_6173010_1656968.html
 

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Le groupe taïwanais ProLogium a annoncé, vendredi 12 mai, vouloir implanter sa première usine de batteries à l’étranger à Dunkerque (Nord), où le président de la République française, Emmanuel Macron, se rendra dans la journée pour mettre en valeur la réindustrialisation de la région Hauts-de-France.

« Les raisons pour une implantation en France sont nombreuses », déclare, dans un entretien avec plusieurs agences de presse, le vice-président responsable du développement international du groupe, Gilles Normand. L’entreprise entend faire de la France une terre pionnière, pour y produire en masse une nouvelle génération de batteries, dites « solides », plus résistantes et plus puissantes que les précédentes, assure le groupe.

Au total, ProLogium entend investir à Dunkerque 5,2 milliards d’euros d’ici à 2030, pour atteindre une capacité de production annuelle de 48 GWh suffisante à équiper des centaines de milliers de voitures. Le groupe espère commencer la production à la fin de 2026 et monter en puissance sur plusieurs années avec, à la clé, 3 000 emplois dans l’usine et 12 000 emplois indirects pour le territoire.