Procès pour viol collectif à Sevran : la victime seule face à 14 accusés

Procès pour viol collectif à Sevran : la victime seule face à 14 accusés

Ils sont quatorze accusés face à une adolescente. « Ma cliente appréhende énormément ce procès, elle est traumatisée, elle craint que les accusés ne reconnaissent pas leur responsabilité, mais elle va aller jusqu’au bout, pour elle, et pour celles qui n’osent pas parler », assure Me Elodie Bruyaf.

Sa cliente : une jeune bachelière aujourd’hui âgée de 18 ans qui était présente à la cour d’assises de Bobigny ce mercredi matin, au procès de ses violeurs présumés. Une audience prévue jusqu’au 8 avril qui se tiendra à huis clos puisque les accusés étaient eux aussi mineurs pour la plupart en 2013. Treize garçons, de 16 à 19 ans à l’époque, encourent vingt ans de réclusion pour viol en réunion. Le quatorzième est poursuivi pour menaces de mort, accusé d’avoir promis à la victime sur Twitter de lui crever les yeux si elle ne retirait pas sa plainte.

Un piège similaire lui avait été tendu par le passé

Le 7 décembre 2013, l’adolescente de 16 ans se rendait à Sevran pour rejoindre un « ami ». En l’attendant au pied des immeubles du quartier Rougemont, elle s’est fait voler son portable par des jeunes. D’autres l’ont convaincue qu’ils pouvaient l’aider à le récupérer. Elle connaissait l’un d’eux. Confiante, elle les a suivis. Jusqu’à ce que la porte d’un squat se referme derrière elle. Quatre, puis une dizaine de garçons l’ont violée à tour de rôle dans ce squat surnommé Tom-tom par les utilisateurs, puis dans un ou deux escaliers de la cité.

Dans son récit, elle a fourni des descriptions précises à la brigade des mineurs de Seine-Saint-Denis, décrit la violence de certains, rapporté les rires des autres et cité cette phrase entendue : « On sait que tu n’es pas d’accord mais tu es chez nous et tu le feras quand même. »

http://www.leparisien.fr/informations/proces-pour-viol-collectif-a-sevran-la-victime-seule-face-a-14-accuses-30-03-2016-5673403.php

Mais enfin, les pauvres chéris sont abandonnés des pouvoirs publics et sont donc bien obligés de trouver des activités pour occuper leurs journées. C'est pas leur faute, c'est celle de la société.

Et oser dénoncer cela c'est du "racisme" !

Une fille facile, voilà ce que l'on va penser, puisque elle avait déjà eu maille avec ses marlous

on parle pas de ses gentils violeurs, la crème des barres HLM , des z'yvas toujours prompt à sortir leurs bites en bande , et inutile de dire ,ils auront que dalle, que des peines de principe, puisque le fille était d'accord, et là , ils vont encore bien rigoler,

seule contre tous, la pauvre à perdue d'avance, la justice ne peut que trancher, mais le traumatisme pour elle demeure, mais là , on s'en fout

Procès pour viol collectif à Sevran : la victime seule face à 14 accusés

Ils sont quatorze accusés face à une adolescente. « Ma cliente appréhende énormément ce procès, elle est traumatisée, elle craint que les accusés ne reconnaissent pas leur responsabilité, mais elle va aller jusqu’au bout, pour elle, et pour celles qui n’osent pas parler », assure Me Elodie Bruyaf.

Sa cliente : une jeune bachelière aujourd’hui âgée de 18 ans qui était présente à la cour d’assises de Bobigny ce mercredi matin, au procès de ses violeurs présumés. Une audience prévue jusqu’au 8 avril qui se tiendra à huis clos puisque les accusés étaient eux aussi mineurs pour la plupart en 2013. Treize garçons, de 16 à 19 ans à l’époque, encourent vingt ans de réclusion pour viol en réunion. Le quatorzième est poursuivi pour menaces de mort, accusé d’avoir promis à la victime sur Twitter de lui crever les yeux si elle ne retirait pas sa plainte.

Un piège similaire lui avait été tendu par le passé

Le 7 décembre 2013, l’adolescente de 16 ans se rendait à Sevran pour rejoindre un « ami ». En l’attendant au pied des immeubles du quartier Rougemont, elle s’est fait voler son portable par des jeunes. D’autres l’ont convaincue qu’ils pouvaient l’aider à le récupérer. Elle connaissait l’un d’eux. Confiante, elle les a suivis. Jusqu’à ce que la porte d’un squat se referme derrière elle. Quatre, puis une dizaine de garçons l’ont violée à tour de rôle dans ce squat surnommé Tom-tom par les utilisateurs, puis dans un ou deux escaliers de la cité.

Dans son récit, elle a fourni des descriptions précises à la brigade des mineurs de Seine-Saint-Denis, décrit la violence de certains, rapporté les rires des autres et cité cette phrase entendue : « On sait que tu n’es pas d’accord mais tu es chez nous et tu le feras quand même. »

http://www.leparisien.fr/informations/proces-pour-viol-collectif-a-sevran-la-victime-seule-face-a-14-accuses-30-03-2016-5673403.php

"tu es chez nous "

toutes ces banlieues vertes devraient être quadrillées et expurgées

Je plains les filles qui doivent vivre dans ces quartiers avec ces sauvages...

Et oser dénoncer cela c'est du "racisme" !

Je n'ai pas vu d'allusions concernant une quelconque nationalité ...parler de racisme relève donc de la stupidité .........

14 ....en manque de repères mais putain on se fout de qui ?

En manque de tarte dans la gueule oui !!

Pauvre gamine ...

Une fille facile, voilà ce que l'on va penser, puisque elle avait déjà eu maille avec ses marlous

on parle pas de ses gentils violeurs, la crème des barres HLM , des z'yvas toujours prompt à sortir leurs bites en bande , et inutile de dire ,ils auront que dalle, que des peines de principe, puisque le fille était d'accord, et là , ils vont encore bien rigoler,

seule contre tous, la pauvre à perdue d'avance, la justice ne peut que trancher, mais le traumatisme pour elle demeure, mais là , on s'en fout

:mef2: T'as vu où qu'elle était d'accord pour se faire violer par 14 connards ?

:mef2: T'as vu où qu'elle était d'accord pour se faire violer par 14 connards ?

Si tu lis bien, elle était déjà tomber dans le piège, car elle avait déjà fait une "sucette" à un mec pour le même motif

c'est donc bien ce que l'on va penser, une fille qui a pas" froid aux yeux", ça veut bien dire ce que ça veut dire, n'est-ce pas?

Ça commence bien ce fil.

Avec les fhaineux, on n'est jamais déçu...

Si tu lis bien, elle était déjà tomber dans le piège, car elle avait déjà fait une "sucette" à un mec pour le même motif

c'est donc bien ce que l'on va penser, une fille qui a pas" froid aux yeux", ça veut bien dire ce que ça veut dire, n'est-ce pas?

Non, ça veut juste dire qu'elle était jeune, sûrement impressionnée et naïve (peut être un peu con aussi....), mais entre sucer un mec et se faire violer par 14 gars, y'a un fossé à ne pas négliger.

Apparemment ces 14 jeunes ont le cerveau en dessous de la ceinture, il faut donc les lobotomiser.

Là on est sur qu'ils ne recommenceront pas ...

Et cela fera peut être réfléchir leurs copains

Ça commence bien ce fil.

Avec les fhaineux, on n'est jamais déçu...

Tu es priez de ne pas mettre le FN là dedans, avec ton argumentaire à la noix

Ça commence bien ce fil.

Avec les fhaineux, on n'est jamais déçu...

C'est quoi le plus dangereux ? Les supposés "frontistes" sortis de ton imagination fertile ou les milliers de sauvages des banlieues qui violent, pillent, détruisent, insultent ?

Faut déjà sacrément manquer de repères de part et d'autre.

Qui les donne ?

les zones de non-droit que personne ne peut plus nettoyer parce qu'elles sont nombreuses.

Et quand est-ce qu'on bossera en amont et qu'on surveillera correctement les familles ?

les zones de non-droit que personne ne peut plus nettoyer parce qu'elles sont nombreuses.

Depuis 40 ans l'Etat ne fait rien à part arroser de subventions les "associations" et de construire des équipements publics (gymnases, bibliothèques, aides à l'emploi...) aussitôt détruits par les "jeunes"...

Ca veut dire quoi "nettoyer" les zones de non droit ?