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Frelser

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Personnellement, ce qui me titille (un peu) le ciboulot, c'est que lorsque tu divises la longueur du temps de planck par la longueur de planck en utilisant les constantes approximées de Planck, ce qui est un peu ton point de départ pour la différence que tu mets en évidence entre cet 'espace temps relativiste' avec un 'sous espace temps quantique' tu obtiens une valeur approchée de C qui n'est pas C.

C'est un point de départ de ta théorie sauf si j'ai rien pigé ce qui est ma grande spécialité dans la choucroute lorraine il faut bien le savoir..

Dans ce cas, je ne comprends pas ton analyse mathématique de des écarts mais peu importe...

Or dans mon esprit embrumé, la longueur de Planck comme le temps de Planck sont directement reliés par le fait que le temps de Planck que divise la longueur de Planck = C

S'il y a en effet une erreur relative à la détermination de ces constantes le rapport Tp / Lp = C dans tous les cas puisque le temps de Planck est simplement le temps qu'il faut pour un photon afin de parcourir une distance égale à la longueur de Planck (donc si on se gourre un peu pour l'un, on se gourre mécaniquement un peu pour l'autre mais nulle 'désynchronisation')

Cher Zenalpha, nous sommes en train de débattre d'une brisure de symétrie infinitésimale qui devrait servir à donner un sens à la physique théorique dans sa fondation. Certes, la longueur et le temps de Planck sont calculées sur base de la constante C (qui est la clé de voûte en RG). La longueur et le temps de Planck ont par ailleurs un rapport avec la masse, or l'une des énigmes de la physique siège très précisément sur la nature de la lumière... D'où d'une quantité d'énergie clé concernant la perturbation de densité primordiale... En physique, la précision est une condition non négociable.

Fonder les mesures à ce niveau de précision est on ne peut plus légitime, du fait que nous cherchons une faille demeurant invisible nous empêchant de descendre sous Planck. Par conséquent, la question de la variation de la charge d'un photon peut siéger au coeur de notre quête de la physique de l'ultime. Tu constateras que mon modèle se fonde très exactement sur des interactions qui persistent entre de sous-plan quantique et la surface de l'Univers. Donc, on est bien au coeur du sujet.

Tu nous dis de la même manière en manipulant la valeur de ces constantes que tu retrouves approximativement Pi ou encore que tu retrouves approximativement G

Mais la encore, c'est normal puisque modulo les approximations des constantes de Planck, racine carrée (hg / 2Pi C puissance 5) = Tp = Lp / C

On retrouve dans la liaison Tp et Lp, Pi, G et donc C sans qu'aucune approximation de mesure n'entre en considération car si on approxime l'un, l'autre est approximé mécaniquement .

Oui, je continues sur la piste de C (qui est la clé de voûte de ma théorie) pour garder les rapports sur l'indexe de C. En déduisant α et G sur une valeur indexe unique de C, j'arrives à tester le degré de cohérence et de complétude de la théorie. J'établis ainsi deux valeurs critiques de G à partir de C : l'une comme liée à l'incertitude sur la valeur de la charge d'un photon, comme une projection à l'échelle cosmique de la constante de structure fine, et l'autre comme la vitesse absolue de C dont la limite de la vitesse est pris comme valeur invariable de G. Ensuite, sur base de ces deux valeurs j'intègres la question des effets de cette divergence en liant le tout à la marge d'imprécision soulignée plus tôt.
Bref... est ce que tu ne démarres pas ta théorie sur des incertitudes liées à la mesure de la longueur et du temps de Planck qui sont en effet approximatives en occultant que dans tous les cas, les rapports de l'une par l'autre sont C et précisément C et qu'on retrouve donc G et Pi aussi ?

Bref rien ne laisse la place à cet écart qui te sert de point de départ.

Bien bon, je sais ce que je dis est con mais voila voila quoi.

Ou bien la RG est précise et les fondements de la physique sont aboutis, ou bien on a posé le doigt sur une imprécision et une faille qui permet d'unifier MQ et RG.

J'ai donc en fait souligné deux points critiques : la charge énergétique du photon (toujours en interaction entre le sous plan quantique et la surface de l'Univers) et la valeur de G (qui est l'une des autres énigmes que nous cherchons à lier à la MQ) en montrant de façon triviale comment on aboutit à deux valeurs différentes même avec la même valeur de C !). C'est ce que j'ai veillé à réaliser dans mon papier. Merci pour ton intervention, vos remarques sont précieuses pour moi. Amitié.

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Membre, nyctalope, 40ans Posté(e)
Criterium Membre 2 871 messages
40ans‚ nyctalope,
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Passionnant!

:)

Tes intuitions rejoignent assez précisément la théorie d'unification anisotrope que j'ai contribué à développer il y a quelques années, il sera très intéressant d'en débattre. J'avoue que j'ai hésité avant de poster étant l'ambiance pas toujours propice aux recherches originales sur cette partie du forum, mais tes derniers posts m'ont convaincu de me lancer car je crois que l'on bénéficierait tous deux de débattre des différences entre nos modélisations physiques.

Dans un modèle auto-référentiel se basant sur les puissances successives (dans un centre barycentrique donc) des dimensions de la vitesse de la lumière (c1, c2, c3 et ainsi de suite jusqu'à cc), on voit bien que cette anisotropie apporte une complétion à l'ébauche de la théorie des cordes (21 dimensions). Aux périodes subatomiques l'on tend vers les constantes de Planck, et c'est là où s'immisce la MQ car certaines constantes varient alors (dualité onde-corpuscule). Le meilleur exemple pour une formulation non-conventionnelle et auto-divergente de cette qualité c'est l'équation de Bekenstein:

95bb3d8be42c6e55e1b52afc846a8c25.png

La valeur de kB communément usée dans la PC (dimensions < c^3) est la suivante:

625bd3457ffc9bea35ab909706a6b4a9.png

Il ne t'a pas échappé qu'il y a un problème de dimension. Lorsque l'on tend vers cc la portée de cette implication dans un système de vecteurs orthogonaux prend tout son sens (au sens de Holtzmann), car on se retrouve avec un kB dépendant du temps! Et donc du temps de Planck. Einstein pensait résoudre le problème en introduisant une seconde constante gravitationnelle afin d'équilibrer l'équation, mais cette solution orthodoxe ne peut être correcte dans un espace dimensionel brut superposé.

C'est là où je propose d'introduire un nouvel état 8a8e88e1fc4307341751233c12f09c47.png dont la limite sous-jacente se calcule de la façon suivante (avec un seul paramètre, donc en c1):

fe7948a060fd1fca1b59b0540d5a0b90.png

Avec ce nouvel état quantique on peut poser l'équation pour chaque nouvelle dimension orthogone. Je reviens donc aux trous noirs illustratifs de cette propriété anisotrope et cristalline de la MQ dans lesquels l'on conclut que kB est relative à l'état indéterminé du système entier (et pas seulement électrofaible car on introduit la gravitation observables de spin négatif). Conclusion aux temps de Planck le vecteur tend vers cc; mais je propose d'aller plus loin car au temps de Planck "de Planck" un second référentiel est auto-généré par le barytone hödlerienne: cc^2 . Vois-tu le système? L'on continue jusqu'à cc^c et voilà la fractale quantique qui permet la grande unification. Ce qu'il faut introduire, ce sont les flèches de Knuth.

J'espère que notre conversation sera fructueuse.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Bonsoir criterium. Je suis content qu'une personne initiée en MQ soit interpellé par ma théorie. En toute modestie, la physique est un de mes centres d'intérêt mais pour l'écriture des formules je rames... Et l'aide d'une personne capable de m'aider à rendre mon modèle "présentable" pour la publier m'est nécessaire.

Pour ta thèse, je pense, en toute humilité que le souci avec la théorie des cordes vient de la recherche d'une trace observable du sous-plan quantique...

En fait, je pense que l'intuition de cordes vient d'une confusion sur la distance de l'espace-temps en regard de la surface du mur de Planck.

J'ai, comme expliqué à Zenalpha, pointé du doigt sur une réduction de la dimension spatiale de C sur le mur de Planck et insisté sur le lien entre une variable 3 produisant apparemment un décalage canonique. Cela est une violation de la RG... J'ai ensuite montré comment on obtient la constante alpha d'interaction de structures fines à partir de la valeur nue de cette variable. Et montré comment on trouve la constante de gravitation à partir d'elle.

-- > En fait, selon mon approche, lors du passage de l'espace-temps obéissant à C au sous-espace obéissant à C^, le temps et l'espace sont brisés par des jets de photons (caractérisant les interactions corpusculaires), permettant un nouvel état thermodynamique séparant les deux espace spatio-temporellement. La valeur de C sur l'échelle de Planck est une rémanence figée à la surface du mur de Planck.

La divergence obtenue pour G à partir de ce décalage brisant la symétrie et faisant fluctuer la densité (le cosinus de la variable en est à l'origine et reste en contact comme par couture) et la valeur nue de C obtenue sur base de la valeur relativiste de C montre que le sous-espace interagit avec l'espace-temps, qui est bien au contact de celui-ci à la surface.

En fait, comme dans ton intuition, j'ai aussi imaginé il y a quelques années que l'espace-temps grossirait à C^C en sorte de rendre les étrangetés de la MQ intelligibles... Mais finalement, j'ai compris qu'il y avait probablement un contact direct sur le mur de Planck figeant le temps à C^2, rendant la MQ infiniment lente à notre échelle.

Or, C serait un tenseur de courbure L^2. Il y aurait bien une série de réductions en profondeur, mais sur des sous-espaces séparés physiquement indétectables depuis un espace parrallèle.

L'intuition de cordes vient de cette idée à chercher les sous-espaces multiples après le mur du big bang. Mais si ma théorie est juste, on n'aura jamais d'indice observable de ces sous-univers, hormis cette rémanence au mur de Planck et la variable d'équilibrage intermédiaire.

Amitié.

P.S. : Cet écart serait une distorsion exceptionnelle relativiste de C lors du passage d'un espace au suivant. Ou une illusion de distorsion induisant précisément la brisure de symétrie et rendant cette impression (moyenne ?) de variation intoporellement figée. Ainsi aucune lumière provenant du sous-espace C^2 ne nous parviendra jamais. Et ses effets resteront définitivement indécelables depuis l'espace-temps dans lequel la lumière voyage trop lentement pour permettre une telle détection du plan inférieur.

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Bonjour. En fait, pour revenir à ma théorie sur le décalage au mur de Planck, si il s'agit bien d'un effet relativiste quantique, cet effet, quel qu'il soit pourrait-il avoir un rapport quelconque avec l'accélération de l'expansion de l'Univers ? Qu'une accélération énigmatique ait été détecté vers 4 milliards d'années dans le passé pourrait-ce être un genre d'effet de distorsion persistante isotropique à l'approche d'un seuil clé du moment relativiste du big bang ? Cela aurait-il un rapport avec le décalage que je pointes dans mon papier ?

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)

Bonjour,

Dommage que tu es ignoré la demande de Loopy, car je ne proposais pas autre chose :

Bonjour Frelser,

...

Alors vas y, lances toi, et explique nous ton idée principale en quelques lignes, sans faire appel à des notions trop complexes.

Maintenant, si les questions te dérangent et que tes idées sont trop compliquées pour que tu les expliques à des non initiés dit le clairement, au lieu de nous laisser inutilement dans l'attente.

En attendant, je rappelle que la question :

Qui sait dénombrer des ensembles équipotents aux plus grands entiers premiers pairs ?

Veut dire :

Qui sait compter jusqu'à 2 ?

En espérant avoir une réponse.

Cordialement.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Ça fait plaisir de voir une pointure rencontrer une pointure

Merci de m'avoir répondu Freiser, argument puéril de ma part mais j'ai bien compris ta réponse

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Bonjour les amis,

Cher contrexemple :

Quand nous posons que les volumes planckiens sont une rémanence du mur de Planck qui constitue le sous-espace devenu invisible du fait qu'il est régi au delà de la vitesse C que la RG prédit comme rendant le temps et la longueur nulles : les deux physiques fusionnent complètement dès que nous démontrons que la matière consiste en un retours à une mécanique quantique en atteignant le niveau d'énergie de C^2 ponctuellement sur la surface du mur de Planck.

-- > Mon modèle démontre que c'est le cas. Ce sont les interactions qui décélèrent les particules qui les ramènent ponctuellement vers la RG à C. A l'espace-temps relativiste.

Cordialement.

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
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Pourquoi c^2, il suffit de c+1 pour être supérieur à la vitesse de la lumière ?

Ensuite tu parles de la vitesse de c^c, or c n'est pas un entier, donc qu'elle sens donne tu à 2^pi par exemple ?

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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P.S. : Les lois physiques, la stabilité des particules obtenues dans un même milieu intriqué, la causalité, les constantes sont ainsi la conséquence de l'intrication quantique qui synchronise chaque univers sous forme d'un système intriqué uni obéissant à une causalité propre.

Passé, présent et futur tout est inscrit à la surface du mur de Planck, le temps devient asynchronique et entrelacé.

(La relativité quantique fonctionne comme un super-calculateur quantique sans dimension contenu à la surface du mur de Planck.)

Pourquoi c^2, il suffit de c+1 pour être supérieur à la vitesse de la lumière ?

Ensuite tu parles de la vitesse de c^c, or c n'est pas un entier, donc qu'elle sens donne tu à 2^pi par exemple ?

Parceque e=mC^2. C est un tenseur de courbure qui décroit en passant à une racine inférieure lors de chaque passage à un nouvel espace-temps.

# Je ne parle pas de C^C. J'ai corrigé cette erreur, on a besoin des puissance consécutives élevées siccessivement au carré.

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)

On ne dirait pas :

...

Autant pour moi je ne citais pas le premier message...

D'après ce que j'ai put lire le successeur de c^2 est c^4, mais quelle le successeur de c^4 ?

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

On ne dirait pas :

D'après ce que j'ai put lire le successeur de c^2 est c^4, mais quelle le successeur de c^4 ?

Son propre carré, de façon fractale.
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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

C^|4| x C^4 = C^8

Désolé, je vais devoir m'absenter. A bientot ?

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Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)

A bientôt.

Une question pour après :

1/Qu'est-ce qu'une expansion isotrope ?

Un agrandissement d'échelle qui n'obéit à aucune direction privilégiée. Chaque direction subit le même équlibre...

Une homothétie ?

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

A bientot. Une isotropie intègre également les mêmes propriétés physiques indifféremment de la direction. Alors que l'homothétie se limite juste à l'absence de direction privilégiée.

Dans mon modèle de relativité quantique, l'isotropie consiste en la racine de la loi fractale, probabiliste, tandis que chaque univers a sa propre échelle relative et est synchronisée par intrication en elle-même...

Comme la cristalisation de l'eau :

fractal-neige.jpg

Chaque bifurcation crée une paire d'Univers, qui rétrécissent à une longueur nulle dès qu'une autre paire est créée... Sous forme de strates superposées sur le "mur de Planck".

Chaque Univers, devrait selon mon intuition être organisé selon un espace à 2^2 dimensions. Ou a 2n^2n dimensions.

Modifié par Frelser
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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

En l'absence d'interaction avec un effet relativiste, les particules semblent se démultiplier et vouloir interférer avec leurs jumeaux des univers parrallèles et se démultiplier dans un rayon grandissant. Ce que la MQ qualifie comme un domaine de probabilité. Les interactions les ramènent chacune vers leur univers ponctuel.

C'est pour cela que mon intuition me dit que tous les univers sont des versions du notre liés par intrication en amont, à l'infini...

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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

La dimension rémanante réduite d'espace-temps de Planck semble être sa dernière image, laissant une empreinte imprimée physiquement en trame de fond.

La valeur de 3 qui est de 0,000033601 semble être le passage de l'énergie dans notre dimension comme tenseur de courbure imprimant sa taille apparente à la longueur de Planck. Qui est la valeur de la fammeuse gravité quantique, l'énergie noire, qui dirige comme montré dans mon papier la constante de la vitesse, la constante de structure fine, la constante de gravitation, mais également la constante de gravité quantique canonique reliant l'Univers par intrication et la rappelant à la source, car 2*0,000 000 0033 601=6,72e-9. La version primitive qui va fixer la nouvelle vitesse de la lumière dans le nouvel univers créé. Equivalente à la fonction inverse de C qui quitte l'Univers précédent et sert de tenseur de courbure pour le nouvel Univers.

N.B. Avec soit un effet léger de distorsion relativiste quantique, soit une infime erreur dans les calculs de Planck, qu'on retrouve très légèrement dans l'obtention de la valeur de la constante de structure fine. L'exponentiel de cette valeur constituant bien la limite de la célérité de la lumière, comme l'asymptote de C donne la constante de gravitation quantique.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Je pense qu'il s'agit de l'expansion de notre univers répondant aux lois de la RG

Univers qui serait asynchrone au sous espace temps quantique dont il est issu et qui lui est plus fondamental par brisure de symétrie d'autant plus asynchrone que le temps disparait au niveau quantique de même que l'espace générant au point de contact sur la surface de l'ère de Planck cette variation de métrique entre l'espace temps cosmologique et l'espace temps quantique qui générait un débordement de quantum depuis cette surface de l'ère de Planck où les deux physiques relativiste et quantique coïncideraient d'où l'expansion

Ce point de rupture ressemblerait à la zone où le temps imaginaire du modèle KLM ou du modèle des Bogdanoff avec l'instanton primordial de taille zéro prendrait une réalité physique et ou la célérité de la lumière se fixerait dans un espace temps relativiste ou l'espace comme le temps prenne la réalité de l'espace temps physique que nous lui connaissons.

J'ai présenté toutes les émissions des Bogdanoff en voix off je fais assez bien la chose.

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