La vie d´autrefois

On peut effectivement être fiers des progrès sociaux, des progrès technologiques

que nous avons mis en oeuvre au cours du dernier siècle écoulé !

On peut aussi s'interroger, en ce début de siècle, sur l'individualisme

forcené qui émane de nos sociétés. Ira t-on vers toujours plus d'individualisme

voire d'égoïsme ou redressera t-on la barre vers plus de solidarités, de partage,

plus d'amour ...

Le regard en arrière nous permet d'y réfléchir et de mesurer les avancées

et aussi les reculs ...

Cela peut permettre de faire les bons choix pour l'avenir !

Je n'invente rien, il suffit de lire tes interventions pour constater que tu vois du positif dans le passé mais rien de bien dans le présent.

Donc moi aussi je réponds à ton idéalisation de la vie d’autrefois pour te démontrer que tes écrits ne sont pas paroles d´évangile.

Autrefois les châtiments corporels étaient couramment pratiqués dans les écoles.

Témoignage d'un élève d'autrefois:

"Dans les années 50 il existait encore certains châtiments corporels. J'ai vu un instituteur qui donnait régulièrement la fessée. Pire encore, j'en ai vu un autre qui, outre les coups de règle sur le bout des doigts, soulevait parfois l'écolier de son banc en lui tirant la joue ou une oreille voire même les cheveux, et comme ci cela n'était pas suffisant, aux actes venait s'ajouter des paroles humiliantes.

Mais la punition la plus pénible était de se retrouver à genoux sur l'estrade avec les mains sur la tête durant la durée du cours.

Élève trop sensible j'ai souffert de ces pratiques et ma scolarité à l'école primaire en a été affectée ainsi que ma santé. j'ai découvert beaucoup plus tard que J'étais stressé (cette notion n'existait pas encore à cette époque). Mes difficultés prirent fin lorsque je me suis retrouvé au collège dans un environnement plus apaisé et qui me responsabilisait davantage."

Je n'invente rien, il suffit de lire tes interventions pour constater que tu vois du positif dans le passé mais rien de bien dans le présent.

Il s´agit de la vie d´autrefois Javiera pas de celle du présent, donc je n´en parle pas et je ne fais pas non plus de comparaisons. C´est toi qui en fait sans cesse

Autrefois les châtiments corporels étaient couramment pratiqués dans les écoles.

Oui je sais moi aussi j´en ai subi des chatiments corporels et de mon père aussi.

Mais comme je ne veux pas faire de comparaisons avec l´école de maintenant, je préfère me taire car aujourd´hui ce sont les élèves qui tiranisent les profs. J´en connais quelques un qui n´ont pas fini leur carrière et qui sont en traitement psy.

"Il s´agit de la vie d´autrefois Javiera pas de celle du présent, donc je n´en parle pas et je ne fais pas non plus de comparaisons. C´est toi qui en fait sans cesse

Oui je sais moi aussi j´en ai subi des chatiments corporels et de mon père aussi.

Mais comme je ne veux pas faire de comparaisons avec l´école de maintenant, je préfère me taire car aujourd´hui ce sont les élèves qui tiranisent les profs. J´en connais quelques un qui n´ont pas fini leur carrière et qui sont en traitement psy."

Je poste un témoignage sur les châtiments corporels d'autrefois sans aucun commentaire concernant le présent et toi tu viens ensuite nous expliquer qu'aujourd'hui ce sont les élèves qui malmènent les profs...

Encore une fois, qui fait des comparaisons, toi ou moi?

Un peu d’honnêteté , merci!

Autrefois, il n' y a pas si longtemps, les homosexuels étaient considérés comme des malades ou des pervers.

En 1960, l'homosexualité est perçue comme un fléau social, en 1968, elle est considérée comme une maladie mentale, Hélène Hazéra était militante au FHAR, front homosexuel d'action révolutionnaire crée en 1991, elle se souvient : « En France, on a pratiqué des lobotomies pour guérir les homosexuels ».

Euh... Non ça ce n'est pas "autrefois", ça a encore cours aujourd'hui cette pensée là.

Ca, ça fait partie de mon "autrefois" à moi :)

Quand tu écris que...

" il ne s´agit pas de faire des comparaisons mais peut-être de prendre conscience de la chance ou la malchance que nous avons de vivre à notre époque."

... Outre le fait que la prise de conscience entre chance et malchance est difficilement appréhensible sans comparaison, tu t'inscris quand même régulièrement en faux contre notre époque. C'est en tout cas l'impression que j'en ai et c'est d'ailleurs tout à fait ton droit, alors pourquoi s'en défendre ?

Ce peut être sympa d'en débattre et d'évoquer des souvenirs

Euh... Non ça ce n'est pas "autrefois", ça a encore cours aujourd'hui cette pensée là.

ça été long mais je pense qu'aujourd'hui les mentalités ont quand même évoluées, du moins un peu. Sauf bien sûr ceux et celles qui sont bien ancrés dans leur jugement et tu pourras toujours leur expliquer que ce n'est pas une tare, ils ne comprendront jamais.

Quand tu écris que...

" il ne s´agit pas de faire des comparaisons mais peut-être de prendre conscience de la chance ou la malchance que nous avons de vivre à notre époque."

... Outre le fait que la prise de conscience entre chance et malchance est difficilement appréhensible sans comparaison, tu t'inscris quand même régulièrement en faux contre notre époque. C'est en tout cas l'impression que j'en ai et c'est d'ailleurs tout à fait ton droit, alors pourquoi s'en défendre ?

Ce peut être sympa d'en débattre et d'évoquer des souvenirs

Quand tu me cites Mite alors il faut citer la phrase entière:

il ne s´agit pas de faire des comparaisons mais peut-être de prendre conscience de la chance ou la malchance que nous avons de vivre à notre époque." Chacun est libre de choisir

Je n´écris rien en faux contre notre époque mais quand on me décrit les mauvais côtés de la vie d´autrefois, je réplique en disant que pour certaines choses le présent n´est pas mieux. Ce n´est pas un débat ça ???

Je pourrais aussi raconter des anecdotes de mon enfance qui feraient frémir les jeunes d´ajourd´hui mais en toute sincérité, nous savions être heureux et satisfait de peu ce qui n´est pas le cas de la jeunesse actuelle (encore une comparaison ).

Euh... Non ça ce n'est pas "autrefois", ça a encore cours aujourd'hui cette pensée là.

En 1960, l'homosexualité est perçue comme un fléau social, en 1968, elle est considérée comme une maladie mentale, Hélène Hazéra était militante au FHAR, front homosexuel d'action révolutionnaire crée en 1991, elle se souvient : « En France, on a pratiqué des lobotomies pour guérir les homosexuels ».

Tu penses vraiment qu'aujourd'hui encore, on lobotomise les homosexuels?

J'ai bien dit les "pensées"

il ne s´agit pas de faire des comparaisons mais peut-être de prendre conscience de la chance ou la malchance que nous avons de vivre à notre époque." Chacun est libre de choisir

Je pourrais aussi raconter des anecdotes de mon enfance qui feraient frémir les jeunes d´ajourd´hui mais en toute sincérité, nous savions être heureux et satisfait de peu ce qui n´est pas le cas de la jeunesse actuelle (encore une comparaison ).

Encore une fois il ne s'agit pas de faire des comparaisons et pourtant tu t'empresses d'en faire une...

La jeunesse d'aujourd'hui s'amuse avec les jeux d'aujourd'hui.

:)

Autrefois la plupart des gens ne voyageaient pas, ils avaient peur de l'inconnu, ils s'éloignaient rarement de leur lieu de vie et avaient de ce fait une vision réduite du monde.

Les moyens de transport n'étaient ni confortables, ni rapides...

Un patient au début du 19 ème siècle

Nous sommes aujourd'hui la vie d'autrefois celle de l'avenir des nos arrière petit enfants, la vie d'autrefois pour aujourd'hui est passé, chaque vie à ses richesses, chaque vie a ses malheurs, quand je vois des jeunes aujourd'hui qui me parle des 30 glorieuses en me disant que j'avais une sacré chance, aujourd'hui ils sont à la recherches d'emplois ses gamins, ils ont des emplois précaires, même des diplômés. Rien n'est pareil, et demain l’autrefois se sera tout les dix ans ou les 5 ans par ce que tout va très vite de plus en plus vite, tout se transforme si vite. La famille n'a plus rien a voir avec le passé, avant des familles d'un 8 ou 15 enfants étaient fréquents, tout le monde connaissait sa famille oncles tantes, aujourd'hui tout le monde est éclaté et que dire des familles monoparentales, avec x mères et x pères. Et demain les parents ne verront plus leur enfants et encore moins leur petit enfants sauf par écran interposé, mais le contact l'odeur, ne seront plus là, les vieux finiront leur vie seul, au mieux dans des appartements de grandes villes, mais la grande majorité dans des maisons spécialisé, avec l'amour d'une employé sous payé qui en a souvent sa claque. Et je parle pas de maladie neurodégénérative actuellement 25% et qui commence assez tôt d'ailleurs, et qui vont prendre de l'ampleur sans compter le reste. Chaque époque à ses bonheurs qui font passer la pilule de la misère qu'elle renferme. Ravissons nous, nous somme l'autrefois de demain que notre descendance regardera avec une profonde nostalgie.