Qu'est ce que le bobo bien-pensant ?

La c'est du spam .

Le sujet est de cerner le bobo bien-pensant.

Seriez vous la seule à assumer le statut ?

Moi j'ai répondu NSP , je ne vote pas toujours à droite et j'ai pas de SUV :D

Le Bobo est-il le moralisateur, le censeur ?

Le bobo propage la pensée unique et l'individualisme:

la lutte des classes n'existe pas ! :smile2: dit-il :smile2:

Le Bobo bien pensant c'est selon ce que j'ai compris, une insulte qui servirait à qualifier une sorte de riche naïf aux idéologies de gauches/ gauchistes.

Personne ne peut s'identifier soit même à cela puisque c'est une insulte.

Je pense que l'inverse de Bobo bien pensant ( et j'entends, l'extrême opposé) c'est connard raciste/Fasciste (selon la préférence de l'insulteur. ).

Personne ne se considère soit même ni l'un ni l'autre. Mais ce sont des qualificatifs qui tentent de dévaloriser une personne pour affaiblir son argument (une faute de logique commune). Je pense que c'est à peu près ça.

Ces qualificatifs m'intéressent très peu, j'ai été qualifié des deux, car je suis pro-accueil des réfugiés ("Bobo bien pensant") mais je critique énormément l'Islam (" Connard de raciste") qu'à cela ne tienne, je me focalise sur les arguments et laisse le reste aux enfants.

Alors ASSUME

Tu est pour l’accueil des réfugies Syriens Chrétiens, en fait les seuls en danger de mort

Sont-ce des bobos adeptes de la pensée unique ?

Info d'importance car je cherche à savoir comment une espèce si rare ( ou alors il n'y en a pas sur le forum ? ), peut véhiculer la pensée unique ?

Ce qui sous-tend que le bobo est en fait précepteur, et que finalement les non bobos sont des suiveurs, des loosers quoi .

Je suis justement en train d'en terminer la lecture et le constat qui en sort c'est que le bobo est polymorphe.

On y parle beaucoup de bobo mixeur en opposition au bobo gentrificateur.

Par contre, le bouquin n'offre qu'une approche parisiano-centrée.

Chaque fois que je lis bobo, j'entends bonobo...

Ça fait pas avancer le schmilblick, mais j'avais envie de le dire

Ben les bonobos sont des bien-pensants . Ils règlent tous leurs conflits grâce au coït .

Donc vous n'êtes pas hors sujet

Je suis justement en train d'en terminer la lecture et le constat qui en sort c'est que le bobo est polymorphe.

On y parle beaucoup de bobo mixeur en opposition au bobo gentrificateur.

Par contre, le bouquin n'offre qu'une approche parisiano-centrée.

Il est polymorphe mais doit s'ignorer au vu du sondage :D

La pensée unique, étant fervent lecteur de Marianne , je me suis dit que le pape du concept ne pouvait être que JFK :

http://www.lalibertedelesprit.org/spip.php?article69

Jean-François Kahn discourt sur « la pensée unique médiatique »

« La presse n’a jamais été aussi libre. Mais où donc est passé l’esprit critique de la corporation journalistique ? » Avant-hier, à l’invitation de La Liberté de l’Esprit, Jean-François Kahn a décortiqué avec la verve et le brio qu’on lui connaît les mécanismes de la « pensée unique médiatique » devant plus de 700 auditeurs.

Jean-François Kahn en est farouchement convaincu : « L’idéologie médiatique n’a plus de distanciation critique ». Un état de fait se traduisant par un « discours unique spontané ». « En toute liberté, les journalistes ont aujourd’hui tendance à penser la même chose ». Comment expliquer l’« unicité de la pensée » journalistique ? Le fondateur de Marianne explore pêle-mêle trois pistes. La première a pour nom la mondialisation. « A système économique unique, discours unique », affirme-t-il. Deuxième accusée : la publicité. « La pub incite à penser comme les autres. C’est plus viable économiquement ». Autre instrument du « discours unique » : la restriction du pluralisme de la presse. « La France compte aujourd’hui cinq quotidiens nationaux dont un à l’agonie et un autre qui l’est presque, note « JFK ». Pire : les journaux dits de référence sont faits dans la même ville par des gens qui fréquentent les mêmes endroits et partagent le même passé d’anciens soixante-huitards convertis avec zèle au néo-libéralisme ». Tout, quand même, ne révulse pas Jean-François Kahn dans cette nouvelle vulgate qu’il résume à du « pancapitalisme nimbé de rose ». « Ceux qui la véhiculent sont au moins favorables à l’Europe ».

« La ligne du parti »

Et Kahn d’accuser cet aréopage néo-libéral de « criminaliser la pensée minoritaire » comme le faisaient les staliniens ou les fascistes autrefois. « On a réinventé la ligne du parti », affirme-t-il. Et le thème initial de la soirée - « Médias et désinformation » - dans tout ça ? « En toute bonne foi (guerre du Golfe, Rwanda, Timisoara...) la presse est parfois le véhicule de l’intoxication, sans pour autant en être à la source, a quand même noté en début de conférence Jean-François Kahn. En fin de compte, ce sont les journaux qui finissent par corriger la désinformation ».

Et bien évidemment notre ouléma de la pensée unique Nicolas Sarkozy, attention c'est du lourd :

http://www.europe1.f...-unique-2508789

L'ancien chef de l'Etat appelle son camp à "éviter une confrontation interne permanente" dans une tribune publiée mercredi midi sur son compte Facebook.

Pour Nicolas Sarkozy, la rentrée, c'est sur Facebook. Le président du parti Les Républicains a posté mercredi un long message sur sa page officielle. Près d'un an après son retour sur le devant de la scène politique, l'ancien chef de l'Etat tire un bilan - positif - de son action, appelle son parti à l'unité et fustige "une nouvelle pensée unique".

Appel à l'unité. Dans son message, Nicolas Sarkozy commence par s'adresser à lui-même un satisfecit. "En moins d’un an, nous avons su renforcer notre unité, en faisant l’effort d’apaiser nos tensions internes", se félicite-t-il. Mais il met en garde : "Les élections primaires auront lieu à la fin de 2016. Les Français ne comprendraient pas que nous leur donnions le sentiment d’être obsédés trop tôt par cette échéance". Nicolas Sarkozy appelle donc à "éviter une confrontation interne permanente", alors que les ténors de la droite, comme Alain Juppé et François Fillon, ont effectué une rentrée en ordre dispersé.

"Une nouvelle pensée unique". Sans surprise, l'ancien chef de l'Etat ne manque pas d'épingler l'exécutif, fustigeant "une majorité sans cap, sans chef, sans cohérence", mais aussi le Front national, "englué dans la guerre de tranchées entre un père et sa fille". Surtout, Nicolas Sarkozy s'attaque à ce qu'il appelle "une nouvelle pensée unique qui voudrait nous dicter les débats qui seraient acceptables et ceux qui ne le seraient pas". "Une pensée "qui veut faire croire aux Français que la reprise est là", "qui a érigé les 35 heures en totem" ou encore "qui voudrait nous interdire de parler de notre identité, de nos valeurs", énumère-t-il. Une rhétorique qui rappelle quelque peu celle de Jacques Chirac, qui fustigeait la "pensée unique" lors de sa campagne présidentielle de 1995.

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Marrant il ne nous parle pas de la pensée unique qui a voté le mini-traité , celle qui nous a amené à privatiser les gains et socialiser les pertes nous amenant dans un grand bond en avant d'une dette de 60% du PIB en 2008 à plus de 95% aujourd'hui .

Bon la pensée unique est polymorphe . Du coup est elle unique ?

@Maxence22

Finalement le bobo bien-pensant adepte de la pensée unique c'est un polymorphe à 3 dimensions , je suis perdu , pourriez vous éclairer ma lanterne ?

Bordel de merde ( pour reprendre votre cri de guerre ) .

Bonjour,

L'accusation de bien-pensance/bobo etc équivaut sensiblement à son accusation antagoniste celle de racisme/nazi/facho/extreme droite.

C'est le procédé par lequel on disqualifie un adversaire et donc son discours sans avoir besoin d'argumenter. Il s'agit d'un jugement de valeur suprême.

Mais bien sur comme toute exagération cela comporte un fond de vérité. L'argument de bien-pensance contrairement à celui de racisme est de plus conjoncturel, à l'origine de cette expression elle servait aux progressistes à décrier les bigots, et aujourd'hui les progressistes sont les bigots sclérosés dans leur religion de "tolérance" et d' "anti-racisme", totalement étanches aux faits.

Il y a sur ce forum des personnes qui prennent position vis à vis de ce qui devrait-être en principe, et qui croient de toute évidence sincèrement que ce qui devrait être est.

Il y a aussi des gens qui croient sans sincérité aucune pouvoir nous duper en jouant sur les sentiment sincères que nous éprouvons, jouant sur l'empathie pour nous faire accepter que des milliardaires prennent notre argent pour se payer des putes et investir dans les gaz neurotoxiques en nous faisant croire qu'on sauve des innocents d'un terrible destin.

Bref, l'accusation de bobo/bien-pensant constitue bon an mal an la réponse à l'accusation symétrique de racisme/fascisme. Comme elle, elle ne vise pas forcément la bonne cible et pas non plus de la bonne façon, mais elle fait ce à quoi elle sert : éviter de répondre en disqualifiant.

Sauf qu'un raciste, ben il est raciste, c'est tout.

Non.

Vos accusations de racisme ne constituent pas des faits réels ou avérés, ça constitue une accusation vous permettant de traiter toute personne en désaccord avec vos idées de diable démoniaque et donc d'invalider tous leurs propos par principe sans avoir à répondre aux arguments qu'ils vous opposent. Bref c'est l'option "qui perd gagne".

L'option "bobo/bien-pensant" est une réponse un peu moins-disante mais aussi éliminatoire. Le but est de décider que j'ai raison car vous êtes qui vous êtes, en postulant que je sais qui vous êtes effectivement derrière "votre masque".

Rappelez vous que si vous avez traité 96 ou 97 % des membres de ce forum de racistes/fascistes, il n'est pas certain que ce fut toujours à raison.

Il est polymorphe mais doit s'ignorer au vu du sondage :D

C'est possible qu'il s'ignore, qu'il ne se l'avoue pas, qu'il ne l'avoue pas.

Mais le topic est récent, et tout le monde ne participe pas forcément à ce dernier.

On utilise ce terme pour ne pas dire autre chose: quand on traite quelqu'un de bobo/bienpensant face à un autre qui traite de raciste/nazi, c'est pour ne pas dire, en réalité, des injures bien plus violentes.

En réalité: quand tu écrit "bobo/bienpensant/raciste", le mec il pense "connard".

C'est marrant parce que j'ai choisi de m'affubler du qualificatif de connard sur ce forum. Pourtant je suis ni bobo/bien-pensant, ni nazi/raciste.

Bref, l'accusation de bobo/bien-pensant constitue bon an mal an la réponse à l'accusation symétrique de racisme/fascisme. Comme elle, elle ne vise pas forcément la bonne cible et pas non plus de la bonne façon, mais elle fait ce à quoi elle sert : éviter de répondre en disqualifiant.

Pour moi non, pas du tout. J'imagine le bobo comme un bourgeois plutôt snob, qui s'occupe un peu d'écologie mais pas tellement de politique, ou alors en dilettante. Les antiracistes professionnels (dont nous avons quelques échantillons sur ce forum) se recrutent ailleurs.

Je me rends compte d'ailleurs tout à coup que l'expression "bobo bien-pensant" me gêne. Les bobos sont une chose, les bien-pensants autre chose. Mais c'est un point de vue. Ca vient peut-être que je connais l'expression "bobo" depuis très longtemps, et qu'au départ elle était réservée à une toute petite minorité parisienne. En s'élargissant, son sens s'est déformé.

C'est marrant parce que j'ai choisi de m'affubler du qualificatif de connard sur ce forum. Pourtant je suis ni bobo/bien-pensant, ni nazi/raciste.

Vous le dites mais je vous ai démasqué, vous êtes un pédo-nazi déconnecté d'extrême droite bobo.

Ah... Les bobos. Un sujet qui anime toujours autant les discussions entre amis entre deux cigarettes dans un salon qu'au PMU du coin, sur les réseaux sociaux et ici, sur le forum.

Le "bobo" serait une personne vivant dans une relative aisance matérielle et au fort capital culturel, votant de préférence à gauche.

Problème : en France, on est doté d'une importante classe moyenne (assez hétérogène cependant) qui se définit justement par une relative aisance matérielle et un accès plus facile à la culture et à l'éducation.

Bref, le bobo est juste une façon de qualifier une partie de la classe moyenne actuelle dont les orientations politiques sont de gauche. Mais là encore, c'est pas suffisant, car les individus appartenant aux classes moyennes forment un électorat volatile, prompt à changer aisément ses intentions de vote, etc. Et les bobos, votent aussi bien pour Mélenchon que Manuel Valls ou bien pour les écologistes, taraudé entre la volonté de vivre dans un monde d'opportunités professionnelles comme le promet(tait) l'économie de marché tout en répugnant les effets délétères de ce dernier, accentuant les inégalités et la pauvreté des classes populaires.

Le fait est que le terme bobo désigne à peu près n'importe qui de la classe moyenne coincé entre différentes aspirations politiques et sociales, désirant à la fois garantir son statut social offrant un certain confort (crainte de la paupérisation) et en même temps désireux d'éviter un développement des inégalités sociales et injustices sociales, jouissant d'une relative aisance matérielle et au capital culturel relativement développé.

Alors pourquoi n'importe qui peut être un bobo ? Parce que notre société en offre l'opportunité (du moins, jusqu'à maintenant) : une certaine sécurité de l'emploi, un enseignement supérieur peu onéreux ouvrant des opportunités professionnelles, une société marquée par l'accès facile aux divertissements, à la culture et à l'information, etc. Bref, tout amène à devenir plus ou moins un jour à être un bobo (ou du moins acquérir des "caractéristiques" du bobo).

En gros, le bobo désigne n'importe qui, donc personne. C'est un sociostyle flou, fourre-tout qui sert uniquement dans le débat politique a effectivement faire dans l'attaque personnelle et non dans l'argumentation construite. C'est un terme creux, prisée par une partie des débatteurs qui, manquant cruellement d'arguments sur un sujet spécifique ou se lassant d'expliquer leur position, se reportent sur des solutions argumentatives de ce type.

Il n'est en fait qu'une des nombreuses astuces maladroites et puériles qui pullulent dans les débats. Et il existe d'autres techniques similaires pour attaquer le camp opposé, des procédés aussi douteux que stériles.

On utilise ce terme pour ne pas dire autre chose: quand on traite quelqu'un de bobo/bienpensant face à un autre qui traite de raciste/nazi, c'est pour ne pas dire, en réalité, des injures bien plus violentes.

En réalité: quand tu écrit "bobo/bienpensant/raciste", le mec il pense "connard".

Sauf que le mec ne te traite pas forcément de raciste/nazi.

En ce qui me concerne quand je pense connard j'écris bas de plafond .

Je note que vous m'avez donc traité de connard :p

Le terme bobo bien pensant renvoie au PS, c'est à dire un parti déconnecté de toute réalité et qui ne connait que le social comme réponse à tous les problèmes de la société.

Le bobo bien pensant est celui qui milite pour un impôt fort afin de soi disant contribuer aux pauvres. Le problème est que pour le PS, on est déjà un salop de riches si on gagne à peine au dessus du salaire médian. Donc, au final, les bobos bien pensants, qui eux, sont aisés financièrement, tendent à appauvrir les travailleurs. C'est ce qu'on appelle en France la fabrique des pauvres. Car le bobo bien pensant veut toujours défendre le pauvre même quand il est indéfendable. Cela a pour conséquence de favoriser le laxisme.

Le bobo bien pensant est pro système car pour lui, tout va bien... Mais pour se donner bonne conscience, il veut jouer les bons samaritains et adopte une philosophie de vie pro sociale et anti riche. Ils critiquent le système mais ne remettra jamais en cause le système afin de préserver ses acquis. C'est un hypocrite en quelque sorte.

Le bobo n'est pas une personne c'est un archétype.

Je note que vous m'avez donc traité de connard :p

Bah... vous en êtes pas mort... vous en avez l'air fier en plus... (d'être un bienpensant) :blush:

Bah... vous en êtes pas mort... vous en avez l'air fier en plus... (d'être un bienpensant) :blush:

En fait je ne suis pas du tout bienpensant , vous l'apprendrez peut être à vos dépens

Pour moi non, pas du tout. J'imagine le bobo comme un bourgeois plutôt snob, qui s'occupe un peu d'écologie mais pas tellement de politique, ou alors en dilettante. Les antiracistes professionnels (dont nous avons quelques échantillons sur ce forum) se recrutent ailleurs.

Je me rends compte d'ailleurs tout à coup que l'expression "bobo bien-pensant" me gêne. Les bobos sont une chose, les bien-pensants autre chose. Mais c'est un point de vue. Ca vient peut-être que je connais l'expression "bobo" depuis très longtemps, et qu'au départ elle était réservée à une toute petite minorité parisienne. En s'élargissant, son sens s'est déformé.

Vous ne m'avez pas bien compris, je n'ai jamais dit que le bobo était un anti-raciste virulent, mais que ce sont des concepts accusatoire symétriques.

Le bobo n'est pas censé exister mais être dénoncé chez mon interlocuteur. Mon argument dans le cours de la discussion est : "sale bobo bien-pensant !"

Qui est effectivement "bobo" ou "bien pensant" n'est pas un enjeu réel, ce qui compte c'est que je parvienne à détecter chez vous cette caractéristique afin d'invalider vos interventions précédentes.

Exemple : Vous voulez accueillir un maximum de migrants syrien ou afghans dans votre ville, je vous accuse de ne pas réaliser la difficulté ou le coût de vos propositions, mais plutôt que de discuter du coût effectif ou des difficultés logistiques, je vous accuse de regarder la réalité du haut d'une tour d'ivoire d'ou vous ne voyez pas le monde réel et de vous laisser gouverner par des principes d'empathie aux dépends de vos concitoyens.

Il en va de même pour l'accusation de "fascisme".

Je suis contre l'arrivée de migrants dans ma ville ou le chômage me parait déjà très important, ou les sdf sont innombrables et ou des prostituées étrangères issues de réseaux d'esclavage font le trottoir à chaque coin de rue, je crains que ça ne dégrade encore la situation sociale de mes concitoyens, vous me traitez de "fasciste" parce que vous n'avez pas d'élément concret à m'apporter en contradiction.

Le pivot entre les deux est la condition sociale, celui qui se fait accuser de nazisme défend ses concitoyens, celui qui se fait accuser de bobo postule que leur condition leur permet des sacrifices ou des investissements. C'est une posture pessimiste et défensive dans un cas optimiste et offensive dans l'autre.

En réalité ni vous ni moi ne sommes des nazis ou des bien-pensants, ce ne sont que des mots pour exprimer son dépit.