La liberté ou l'amour ?

Si l'amour fait perdre sa liberté, alors ce n'est pas de l'amour. Pour moi, les deux sont conciliables.

:plus:Très juste

Liberté ou amour ?....je choisis l'amour libre !

bonjour

l'amour est la liberté d'aimer . la liberté sans amour n'aurait pas de saveur . en fait , certain sont fait pour l'amour et d'autre pour la liberté.

l'amour serait un piège ou la liberté viendrait se prendre dans ses filets enchanteurs .

la seul liberté de l'amour serai d'aimer ?

bonne journée

Je pense que l'amour, c'est la liberté d'aimer tout en étant libre, tandis que la liberté, c'est l'amour d'être libre tout en aimant dans l'amour de la liberté. À moins que l'amour de la liberté aimante ne soit que de l'amour libéré de la liberté d'aimer, tout en considérant que la liberté d'aimer ne se conçoit que dans un amour libéré de la liberté d'être aimer dans l'amour libre.

Liberté ou amour ?....je choisis l'amour libre !

Moi je choisis la liberté d'aimer dans l'amour libre libéré de l'amour de la liberté !

bonjour

l'amour est la liberté d'aimer . la liberté sans amour n'aurait pas de saveur . en fait , certain sont fait pour l'amour et d'autre pour la liberté.

l'amour serait un piège ou la liberté viendrait se prendre dans ses filets enchanteurs .

la seul liberté de l'amour serai d'aimer ?

bonne journée

Mais aimer n'est pas la liberté si l'amour libre n'est pas l'amour d'aimer librement, mais n'est plutôt que la liberté d'aimer l'amour d'aimer librement.

Si l'amour fait perdre sa liberté, alors ce n'est pas de l'amour. Pour moi, les deux sont conciliables.

De même que si l'amour libre d'aimer fait perdre la liberté d'aimer librement l'amour d'aimer, alors les deux ne sont pas conciliables.

On peut dire que l'amour c'est la liberté de s'enchainer à l'autre... mais le paradoxe est aussi flagrant qu'avec la liberté et la loi.

Il y a un temps pour l'amour et un temps pour la liberté, mais puisqu'il faut choisir, alors pour moi ce sera l'amour si l'homme le mérite, s'il a su gagner mon admiration et mon coeur. Mais si je m'aperçois qu'il n'était pas sincère, alors il commence à m'inspirer du mépris et je reprends ma liberté.

Il y a aussi un temps pour la liberté d'aimer librement l'amour libre, ainsi qu'un autre pour l'amour d'aimer librement la liberté d'aimer l'amour libre. Mais dans un monde idéal, j'opterais pour la liberté d'aimer l'amour libre de la liberté d'aimer librement l'amour d'être aimé d'un amour libre d'aimer librement d'amour.

Tout dépend de là où on place nous-mêmes nos libertés et où l'on place nous-même l'amour... Si il faut faire un choix, c'est qu'il y a un soucis.

En effet: si l'on place l'amour dans la liberté d'aimer, alors nous ne sommes pas libérés d'aimer librement l'amour libre.

Le vrai amour rend libre.

Maintenant, nous sommes en philo, donc je doute que ma vision religieuse soit conforme à la pensée des philosophes.

Edit. Ah mais ce sujet a été créé par Savonarol..C'est bon alors, on a le droit de partir dans tous les sens.

Le vrai amour rend libre.

Maintenant, nous sommes en philo, donc je doute que ma vision religieuse soit conforme à la pensée des philosophes.

Une vision ? Où ça ? Je n'ai vu qu'un slogan de pop-culture !

Où l'as tu vu?

On peut dire que l'amour c'est la liberté de s'enchainer à l'autre... mais le paradoxe est aussi flagrant qu'avec la liberté et la loi.

Rien que de devoir se mettre d'accord sur la liberté du couple , prouve qu on est moins libre

Qu'est-ce que tu veux dire ? Qu'il n'est pas vraiment possible de les définir ?

Je veux dire que trop de sens tue le sens.

Ce sont des mots fourre-tout et philosopher sur ces mots n'apportera aucune clarté. Il n'y a rien d'autre qu'une somme de fantasmes à découvrir.

En partant de la définition des mots tels qu'ils sont déjà et en admettant que chaque mot contienne son opposé au verso, c'est à dire que la définition d'un mot signifie à la fois une chose et son contraire, il est assez amusant de relire les commentaires en changeant chaque terme "liberté" par "esclavage" et "amour" par "haine"...De quoi spoiler sans résoudre le shimlblick certes et l'intérêt de la démarche n'est pas là, mais plutôt de mettre à jour les limites d'un raisonnement partant de prémisses fausses dés le départ. Du coup, le résultat... :gurp:

Je ne sais pas si cette approche est pertinente. Dans l'amour, il y a de nombreuses facettes, qui ne peuvent donc être observée sous cet angle là.

En ce qui me concerne, je sais depuis très très très longtemps que les gens sont méchants, vraiment méchants.

et je ne parle pas de gnan gnan , là

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Je ne sais pas si cette approche est pertinente. Dans l'amour, il y a de nombreuses facettes, qui ne peuvent donc être observée sous cet angle là.

Peut-être s'entendre déjà sur la définition du mot "amour". Pour ma part celle proposée par Leveilleur me convient. Personnellement, je n'en ai pas trouvé de plus juste et lorsque je ne sais plus ce qu'aimer veut dire, je reviens sur ces précisions :

L'amour libère.

Aimer c'est dans chaque acte qui rend libre.

Le reste est le reste.

Comment raisonner à partir des détails (les nombreuses facettes) si l'on ne voit pas ce qu'il n'est pas. Ce n'est pas un faux débat dont il s'agit mais bien de sentir en soi la résonance de ces mots là

"aimer libère"...

Si cela ne résonne pas, c'est qu'il y a bien un schmilblick quelque part avec ces nombreuses facettes.

Au plaisir

Où l'as tu vu?

Vu quoi ?

Je veux dire que trop de sens tue le sens.

Ce sont des mots fourre-tout et philosopher sur ces mots n'apportera aucune clarté. Il n'y a rien d'autre qu'une somme de fantasmes à découvrir.

Mais en les définissant, ne cessent-ils justement pas d'être des mots fourre-tout ?

***

Disons que amour et liberté sont des mots qui ont une indéniable composante morale. Définir la liberté, c'est nécessairement s'avancer sur le plan de la morale, c'est nommer ce que l'on croit que devrait être l'état moral supérieur de l'homme. C'est le cas par exemple lorsque Nietzsche nous donne son idée de la liberté:

Car' date=' qu’est-ce que la liberté ? C’est avoir la volonté de répondre de soi. C’est maintenir les distances qui nous séparent. C’est être indifférent aux chagrins, aux duretés, aux privations, à la vie même. C’est être prêt à sacrifier les hommes à sa cause, sans faire exception de soi-même. Liberté signifie que les instincts virils, les instincts joyeux de guerre et de victoire, prédominent sur tous les autres instincts, par exemple sur ceux du « bonheur ». L’homme devenu libre, combien plus encore l’esprit devenu libre, foule aux pieds cette sorte de bien-être méprisable dont rêvent les épiciers, les chrétiens, les vaches, les femmes, les Anglais et d’autres démocrates. L’homme libre est guerrier.

[/quote']

Or, cela amène certainement de la clarté quant à la philosophie morale de Nietzsche. Et à partir d'une telle définition, on peut réfléchir sur une foule de thèmes qui impliquent de près ou de loin l'idée de liberté. Réfléchir: c'est-à-dire non pas vomir plus ou moins arbitrairement des pensées éparses, mais plutôt dérouler un fil de pensées cohérentes.

Faut-il ramener la morale à une somme de fantasmes ? Ma foi, je ne pense pas qu'il soit besoin d'argumenter sur le côté réducteur d'une telle affirmation.

Mais en les définissant, ne cessent-ils justement pas d'être des mots fourre-tout ?

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Disons que amour et liberté sont des mots qui ont une indéniable composante morale. Définir la liberté, c'est nécessairement s'avancer sur le plan de la morale, c'est nommer ce que l'on croit que devrait être l'état moral supérieur de l'homme. C'est le cas par exemple lorsque Nietzsche nous donne son idée de la liberté:

Or, cela amène certainement de la clarté quant à la philosophie morale de Nietzsche. Et à partir d'une telle définition, on peut réfléchir sur une foule de thèmes qui impliquent de près ou de loin l'idée de liberté. Réfléchir: c'est-à-dire non pas vomir plus ou moins arbitrairement des pensées éparses, mais plutôt dérouler un fil de pensées cohérentes.où il se troyu

Faut-il ramener la morale à une somme de fantasmes ? Ma foi, je ne pense pas qu'il soit besoin d'argumenter sur le côté réducteur d'une telle affirmation.

Oui, on peut pondre toutes sortes de définitions de la liberté, dans cette citation Nietzsche nous donne celle du moment qu'il vit, vous intérrogez mille personnes, elles vous en fourniront toutes au moins une, le souci n'est pas là qu'il y auait carences de définition, mais que pour ces mille personnes, le lendemain, la liberté serait encore autre chose, vous n'échaperez pas à cela, personnellement je me suis échappé, je dis que la liberté est une idée vague qui se classe parmi les fantasmes, en bref, qu'eelle n'existe pas, que ce terme ne fait référence à rien d'absolu, ou rien de réel non plus, que tout ce qui se rattache à ce terme n'existe que dans les facéties intellectuelles de l'humain.

Alors évidemment que reste t-il ? La philosophie !

La philosophie pour prétendre y voir clair dans les caprices inventifs ou erratifs de cerveaux pensants comme d'autres divaguent. Philosopher sur le rêve, voila tout ce qu'il reste, ne vous en privez donc pas.

« Peut-on concilier les deux ? Non, je ne crois pas. Alors vous, quel serait votre choix : l'amour ou la liberté ?) »

L’amour véritable se suffit à lui-même…

Si l’amour pour se maintenir doit s’appuyer sur une béquille telle que la liberté, alors il vaut mieux renoncer à cet amour bancal et choisir la liberté.

Bonjour à vous

C'est pas parce que l'on aime , que nous sommes obligés de nous cloitrer , chacun est libre d'aimé et de vivre le chacun chez sois , perdre ses habitudes et sont célibat pour vivre à deux , c'est compliqué pour certains (es) . Donné avec sincérité à cette autre faut avoir une confiance hors norme , mais l'amour vaux tout les combats du monde , sinon à quoi sa sert de vivre si c'est resté seul sans avoir aimé .