Comment lutter contre le féminisme ?

Attention, je ne parle pas du féminisme extrémiste, celui qui vise à mette la femme au dessus de l'homme, mais bien celui qui prône l'égalité, voir même pour les plus audacieux l'équité des deux sexes.

En effet ce mouvement est une traduction de la tendance globale de notre société à l'uniformisation et au nivellement.

Les différences des sexes ont toujours existé, elles sont une des bases de la fondation de notre société, et chacun peut en tirer parti à sa manière. Elles apportent de la diversité et du choix, voir même plus de libertés et de confort qu'un régime équivalent pour tous. Vouloir les gommer, en plus d'être une tâche presque impossible et vouée à l'échec, en devient donc même nocif pour notre société.

Quand au motivations apportées, elle sont souvent très floues, ou mal justifiée.

La plupart des combattants féministes prônent l'accès aux femmes à certains postes listés par des critères choisis d'eux-mêmes, tout en taisant la volonté inverse et équivalente des hommes à s'intégrer à d'autres branches spécifiques. De plus, les revendications sont souvent le fruit du travail d'un groupe restreint, qui, sous prétexte d'être constitué majoritairement de femmes, se dit représentant de toutes les dites femmes sans jamais leur avoir demandé leur avis.

Comment peut-on donc endiguer ce processus avant qu'il n'augmente encore l'ampleur phénoménale qu'il a pris aujourd'hui ?

Sachez je ne considérerai même pas les réponses bateau et vides de sens, ne répondant pas à la question, du genre "mais on s'est battu des siècles pour ça" !

Très simple : LA PARTHENOGENESE.

Là où les critiques du féminisme ont raison c'est sur le fait que le féminisme ne transcende pas les rapports de classe !

La femme ouvrière a finalement peu d'intérêts communs avec la femme bourgeoise (sinon aucun). En réalité, le féminisme permet aux bourgeoises de prendre en otage ces premières pour parler au nom de toutes les femmes, riches ou pauvres, et ainsi défendre leurs intérêts de classe.

Qu'une femme veuille travailler c'est très bien quand elle a fait de hautes études : le problème est différent quand elle n'a pas de diplôme ou possibilité d'accéder à des boulots autre qu'ingrats. D'un points de vue objectif (c'est à dire sans jugement de valeur) pourquoi le voile n'est-il pas accepté par les féministes bourgeoises sinon parce que cela dissimule des intérêts/conflits de classe, le voile étant souvent l'affaire des musulmanes de classe populaire?

Pourquoi les femmes au foyer ne peuvent elles pas être rémunérées pour élever leurs enfants et faire le ménage (ce qui laisserait aux femmes le choix réel de travailler ou non) : tout simplement parce que cela ne correspond pas aux intérêts des classes dominantes pour lesquelles le travail est un moyen d'émancipation et non une aliénation nécessaire (parce que la paie du mari ouvrier ne permet pas de nourrir la marmaille).

En somme le féminisme bien qu'il parte de bons sentiments n'a fait concrètement que dégrader la condition féminine ces dernières années. Et on ne parle pas de l'augmentation du nombre de séparations et d'enfances traumatisées par les procédures judiciaires et les parents toxiques en instance de divorce.

Là où les critiques du féminisme ont raison c'est sur le fait que le féminisme ne transcende pas les rapports de classe !

La femme ouvrière a finalement peu d'intérêts communs avec la femme bourgeoise (sinon aucun). En réalité, le féminisme permet aux bourgeoises de prendre en otage ces premières pour parler au nom de toutes les femmes, riches ou pauvres, et ainsi défendre leurs intérêts de classe.

Qu'une femme veuille travailler c'est très bien quand elle a fait de hautes études : le problème est différent quand elle n'a pas de diplôme ou possibilité d'accéder à des boulots autre qu'ingrats. D'un points de vue objectif (c'est à dire sans jugement de valeur) pourquoi le voile n'est-il pas accepté par les féministes bourgeoises sinon parce que cela dissimule des intérêts/conflits de classe, le voile étant souvent l'affaire des musulmanes de classe populaire?

Pourquoi les femmes au foyer ne peuvent elles pas être rémunérées pour élever leurs enfants et faire le ménage (ce qui laisserait aux femmes le choix réel de travailler ou non) : tout simplement parce que cela ne correspond pas aux intérêts des classes dominantes pour lesquelles le travail est un moyen d'émancipation et non une aliénation nécessaire (parce que la paie du mari ouvrier ne permet pas de nourrir la marmaille).

En somme le féminisme bien qu'il parte de bons sentiments n'a fait concrètement que dégrader la condition féminine ces dernières années. Et on ne parle pas de l'augmentation du nombre de séparations et d'enfances traumatisées par les procédures judiciaires et les parents toxiques en instance de divorce.

Qu'on soit bien d'accord : le féminisme est contre les inégalités entre les sexes, la lutte des classes cela porte encore un autre nom, même si cela n'empêche pas que le féminisme puisse s'adapter à différentes situations et s'ajouter à d'autres mouvements comme le syndicalisme, etc.

Soral prétend que le féminisme n'est à la base qu'un hobby de bourgeoise désoeuvrée qui desservirait les femmes des autres classes ; c'est faux. Le féminisme veut que les femmes de toutes les classes aient les mêmes droits que les hommes : droit au vote, droit de faire de la politique, droit de faire valoir ses opinions, droit de choisir sa formation, droit d'avoir son propre compte en banque, droit de se marier ou pas, de divorcer, d'avoir des enfants ou pas, droit de pouvoir se défendre juridiquement, droit de bénéficier de protection dans son travail et son quotidien...

Quasi-Modo, on n'a pas attendu les grandes réformes féministes pour inculquer aux femmes des boulots ingrats, elles en faisaient déjà avant : les boniches, les ouvrières, les paysannes, celles qui descendaient à la mine... toutes ces femmes exerçaient des travaux pénibles ou ingrats, ou les deux, et à côté de cela elles n'étaient pas défendues sur leur lieu de travail : un patron pouvait abuser d'elles, il avait toujours raison ! Elles ne pouvaient pas se faire entendre non plus parce qu'il n'y avait que des hommes fermés à leur condition, à leurs causes, au gouvernement, au sénat, et dans plein de corps de métier déterminants comme la police, la gendarmerie, la justice... Elles ne pouvaient avoir de compte en banque sans l'accord de leur époux, ne pouvaient divorcer que très difficilement si elles souffraient dans leur ménage et celles qui franchissaient ce pas étaient rejetées par la société...

Donc, merci : ça va bien avec ce poncif soralo-zemmourien totalement éculé et bidon selon lequel le féminisme n'aurait pas rendu service aux femmes.

Maintenant, verser une allocation conséquente au parent qui choisit de rester à la maison pour s'occuper des enfants pendant que l'autre parent travaille, là je suis d'accord, mais à la condition de laisser le choix aux couples de décider si c'est monsieur ou madame qui restera à la maison, en sachant que madame peut très bien avoir des revenus meilleurs que monsieur, il n'y a pas de honte à cela.

Concernant le droit à la femme d'avoir accès au compte en banque, un jour, je me suis brûlé les doigts en voulant retirer la Mastercard Gold de la main de ma femme ... c'est dire, nessepô !!

J'avais le même problème avec un ex quand il mettait les pieds dans un magasin de bricolage : il rachetait ce qu'il avait déjà, plus des planches qu'il foutait dans un coin en attendant de faire ceci ou cela, c'est-à-dire jamais

Là, c'est simple à comprendre: votre ex, en voulant échapper à son enfer quotidien, espérait trouver le paradis auprès de monsieur bricolage

Très délicat, je pourrais en dire autant de votre femme : elle noyait son ennui dans le shopping.

Non-non, je l'envoyais faire du shopping pour ne plus subir l'enfer à la maison ... mais comme ça me coûtait cher, désormais c'est moi qui fais les courses ...

Plus la femme est légère plus les dépenses sont lourdes mais dans le même temps plus l'homme est lourd et plus les dépenses sont légères.

Il faut une femme lourde et un homme lourd si on veut un budget positif.

Modifié le 18 novembre 2015 par zenalpha

Non-non, je l'envoyais faire du shopping pour ne plus subir l'enfer à la maison ... mais comme ça me coûtait cher, désormais c'est moi qui fais les courses ...

En effet, c'est pas la peine de continuer avec quelqu'un si ça devient l'enfer à la maison au point qu'on l'envoie faire du shopping dehors. Par contre, en ce qui me concerne, vous vous êtes trompé en fait : s'il ne prenait pas le temps de mener à bien ses projets avec ces planches qu'il achetait, c'est parce que mes charmes ne lui en laissaient jamais l'occasion Eh oui !

En effet, c'est pas la peine de continuer avec quelqu'un si ça devient l'enfer à la maison au point qu'on l'envoie faire du shopping dehors. Par contre, en ce qui me concerne, vous vous êtes trompé en fait : s'il ne prenait pas le temps de mener à bien ses projets avec ces planches qu'il achetait, c'est parce que mes charmes ne lui en laissaient jamais l'occasion Eh oui !

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Je vous crois volontiers DONC c'est logique qu'il ne pouvait terminer une affaire alors qu'il avait tant à faire avec vous !!

Qu'on soit bien d'accord : le féminisme est contre les inégalités entre les sexes,

la lutte des classes cela porte encore un autre nom, même si cela n'empêche pas que

le féminisme puisse s'adapter à différentes situations et s'ajouter à d'autres mouvements

comme le syndicalisme, etc.

Soral prétend que le féminisme n'est à la base qu'un hobby de bourgeoise désoeuvrée

qui desservirait les femmes des autres classes ; c'est faux.

Le féminisme veut que les femmes de toutes les classes aient les mêmes droits que les hommes :

droit au vote,

droit de faire de la politique,

droit de faire valoir ses opinions,

droit de choisir sa formation,

droit d'avoir son propre compte en banque,

droit de se marier ou pas, de divorcer,

d'avoir des enfants ou pas,

droit de pouvoir se défendre juridiquement,

droit de bénéficier de protection dans son travail et son quotidien (...)

Quasi-Modo, on n'a pas attendu les grandes réformes féministes pour inculquer aux femmes

des boulots ingrats, elles en faisaient déjà avant :

les boniches, les ouvrières, les paysannes, celles qui descendaient à la mine...

toutes ces femmes exerçaient des travaux pénibles ou ingrats, ou les deux,

et à côté de cela elles n'étaient pas défendues sur leur lieu de travail :

un patron pouvait abuser d'elles,

il avait toujours raison !

Elles ne pouvaient pas se faire entendre non plus parce qu'il n'y avait que des hommes fermés à leur condition, à leurs causes, au gouvernement, au sénat, et dans plein de corps de métier déterminants comme la police, la gendarmerie, la justice... Elles ne pouvaient avoir de compte en banque sans l'accord de leur époux, ne pouvaient divorcer que très difficilement si elles souffraient dans leur ménage et celles qui franchissaient ce pas étaient rejetées par la société...

Donc, merci : ça va bien avec ce poncif soralo-zemmourien totalement éculé et bidon

selon lequel le féminisme n'aurait pas rendu service aux femmes.

Maintenant, verser une allocation conséquente au parent qui choisit de rester à la maison pour

s'occuper des enfants pendant que l'autre parent travaille, là je suis d'accord,

mais à la condition de laisser le choix aux couples de décider si c'est monsieur

ou madame qui restera à la maison, en sachant que madame peut très bien avoir

des revenus meilleurs que monsieur, il n'y a pas de honte à cela.

:bo:

Le " féminisme " est un courant pluriel et certains

courants ont lutté et continuent de lutter pour l'émancipation

des femmes, contre toute oppression, contre toute exploitation

des femmes et des hommes !

En France, nous avons conquis des droits, et nous devons poursuivre

le combat contre les 'réactionnaires' qui souhaitent le retour en arrière;

nous devons participer au combat en soutien à celles et ceux qui, ailleurs

luttent pour l'émancipation et contre l'exploitation !

Le mouvement féministe est un mouvement SOLIDAIRE et UNIVERSEL !