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Communisme = Stalinisme, donc Communisme = Nazisme ?

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Maxence22

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

En effet, le communisme c'est aussi 100 millions de morts, des camps de travail forcés (la Corée du Nord actuelle en a plusieurs), le parti unique (Corée du Nord actuelle), , la dictature (Corée du Nord actuelle), la pauvreté (Corée du Nord actuelle), la faillite économique (Corée du Nord actuelle), les famines organisée (3 millions de morts en 1933 en Ukraine, la Corée du Nord actuelle, c'est famine sur famine).

Le communisme, et les faits historiques sont là, c'est la pauvreté du peuple, c'est la misère. Aucun pays communistes n'a rendu son peuple heureux. Aucun pays communistes n'a prospéré économiquement.

De toute façon, Leste t'as mouché magistralement.

Aujourd'hui, c'est 2,5%. C'est ça l'histoire.

"Je préfère mourir debout que vivre à genoux."

Stéphane Charbonnier, dit, Charb.

Et toi, toujours paré de cette maxime de Charb,

le communiste ! :smile2:

Où est ta cohérence ? :hehe:

Où est ta crédibilité ?

Tu mélanges tout et tu étales à longueur

de pages ton incohérence et ton inculture ! :blush:

Tu es aussi pathétique que Leste ...

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Essayer de débatte du rêve communiste

avec des nazis ou des conservateurs,

c'est un peu comme jouer aux échecs

contre un pigeon :

on a beau être meilleur que lui,

il va faire n'importe quoi, chier sur le plateau

et renverser les pièces,

puis il se pavanera fièrement en pensant qu'il a gagné.

Vous voyez, tous les capitalistes endoctrinés et autres

fous haineux nazis, sont un peu comme ce pigeon,

peu importe la cohérence du discours

ou la pertinence des arguments ou des preuves fournies,

ils vont se contenter de beugler des slogans tout faits,

d' insulter, de se référer à des visions préfabriquées

des choses et vont ensuite considérer qu'ils ont remporté

le débat

:hi:

:smile2:

Vous n'avez pas répondu à ma question d'hier Louise Aragon :

Que pensez-vous par exemple quand on dit que le marxisme ne respecte pas les droits de l'homme ?

Voulez-vous répondre à la manière de Karl Max qui disait :

Quel est cet « homme » distinct du citoyen ? Personne d’autre que le membre de la société bourgeoise. Pourquoi le membre de la société bourgeoise est-il appelé « homme », homme tout court, et pourquoi ses droits sont-ils appelés droits de l’homme ? Qu’est-ce qui explique ce fait ?

http://www.gaucheliberale.org/post/2008/02/14/Karl-Marx-et-les-droits-de-lhomme

J'aime bien l'analyse en bleu clair dessous ce chapitre de Marx que je cite :

Voilà un texte édifiant qui démontre que Marx (et beaucoup de ses disciples) n'a rien compris au concept révolutionnaire contenu dans ces Droits de l'Homme distincts des droits du citoyen.

Car cette distinction est précisément ce qui est remarquable dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Pour la première fois le peuple réuni en Nation attribuait des droits à chaque Homme en tant que tel. Il ne s'agissait donc plus de légiférer pour déterminer le comportement des hommes entre eux ou par rapport à une autorité supérieure, mais d'accorder des droits imprescriptibles à chaque être humain. L'Homme devenait donc un individu souverain dotés de droits qui ni la collectivité, ni l'Etat ni même la religion ne pouvaient lui contester. C'est contre ce concept prodigieux, qui permettait enfin aux individus de s'affranchir de la tribu, du clan, de la famille ou de la caste, que s'élève Marx : "l'homme séparé de l'homme et de la communauté, c'est l'homme égoïste" et c'est seulement lorsque l'homme devient un "être générique" que l'émancipation humaine est accomplie". Incroyable contresens qui fait retomber l'homme dans le collectivisme, qui nie sa liberté à peine conquise et qui confond volontairement individualisme et égoïsme.

Autre étonnante lacune dans la pensée de Marx, son interprétation de la notion de propriété. Il cite l'article 16 de la constitution de 1793 : « Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de dispo­ser à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie. » qu'il résume par : "le droit de jouir de sa fortune et d'en disposer « à son gré », sans se soucier des autres hommes, indépendamment de la société". A t-il lu le texte ? pourquoi les biens et le fruit de son travail se sont-ils transformés en "fortune" ? En quoi la déclaration des Droits de l'Homme indique t-elle qu'il ne faut pas se soucier des autres hommes ? Il s'agit là d'une pure déformation du texte qui frise la mauvaise foi. Pire, Marx n'a pas compris ce que Proudhon allait finalement comprendre, à savoir que la propriété garantie par la Déclaration des Droits de l'Homme, ce n'est pas l'accumulation des richesses mais la condition nécessaire à l'exercice de la liberté de chacun. La première des propriétés affirmée par la Déclaration des Droits de l'Homme c'est celle de son corps, ce qui met légalement fin à l'esclavage.

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Membre, Baby Forumeur, 31ans Posté(e)
Eventuellement Membre 3 422 messages
31ans‚ Baby Forumeur,
Posté(e)

C'est une antinomie mathématique ce que tu es en train d'écrire. L'égalité est certes transitive mais pour dire que deux objets sont égaux, il faut qu'il y ait relation d'identité entre chacun de leurs éléments. Ne serait-ce que parce que les partisans du parti communiste ne sont pas eux-même nazis, ce point suffit pour que je mette ton assertion en défaut.

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Membre, Posté(e)
Liberte2012 Membre 323 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
En effet, le communisme c'est aussi 100 millions de morts, des camps de travail forcés (la Corée du Nord actuelle en a plusieurs), le parti unique (Corée du Nord actuelle), , la dictature (Corée du Nord actuelle), la pauvreté (Corée du Nord actuelle), la faillite économique (Corée du Nord actuelle), les famines organisée (3 millions de morts en 1933 en Ukraine, la Corée du Nord actuelle, c'est famine sur famine).
Les 100 millions de morts sont le fait de volonté dictatoriales de la classe dirigeante.

Les volontés dictatoriales de la classe dirigeante n'ont rien avoir avec le communisme, de nombreuses dictatures ont choisit un système capitaliste.

Le communisme n'est qu'un système économique, il n'est dit nulle part dans le communisme qu'il faut un parti unique. Les partis communistes français sont d'ailleurs démocratiques, pour laisser au peuple la possibilité de revenir à un système capitaliste au cas où le peuple serait déçut par le communisme.

Par contre la crise économique et la misère provoquées par le capitalisme, font que le capitalisme n'est pas innocent dans la montée des idéologies extrémistes comme le nazisme dans l'allemagne des années 30.

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Membre, 47ans Posté(e)
Maxence22 Membre 8 799 messages
Forumeur accro‚ 47ans‚
Posté(e)

"Je préfère mourir debout que vivre à genoux."

Stéphane Charbonnier, dit, Charb.

Et toi, toujours paré de cette maxime de Charb,

le communiste ! :smile2:

Où est ta cohérence ? :hehe:

Où est ta crédibilité ?

Tu mélanges tout et tu étales à longueur

de pages ton incohérence et ton inculture ! :blush:

Tu es aussi pathétique que Leste ...

mouai... réponds avec intelligence à Leste, tu seras plus crédible que balancer tes attaques qui ne font que de te décrédibiliser.

Tes attaques n'ont aucun intérêt, elles ne font que prouver que tu es incapables d'argumenter sur le sujet du topic.

Modifié par Maxence22
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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

mouai... réponds avec intelligence à Leste, tu seras plus crédible que balancer tes attaques qui ne font que de te décrédibiliser.

Tes attaques n'ont aucun intérêt.

Je te renvoie au même !

Lis !

Ne rien vouloir (en) savoir :

Introduction à l'ignorance

Toujours paré de la maxime de CHARB ? :smile2:

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Membre, 47ans Posté(e)
Maxence22 Membre 8 799 messages
Forumeur accro‚ 47ans‚
Posté(e)

Je te renvoie au même !

Lis !

Ne rien vouloir (en) savoir :

Introduction à l'ignorance

Gné ?

Je crois bien que, par tes tentatives d'attaques personnelles, tu démontre toi même ton ignorance. Cela démontre aussi la fainéantise de répondre intelligemment à un interlocuteur, on va au plus facile (l'attaque personnelle).

Tu disais avoir lu Marx mais tu ne le démontre pas au travers de tes écrits; au mieux, tu es fainéante et tu n'as pas envie de répondre; au pire, tu n'as pas lu Marx, et donc tu as menti et on le découvre en ne voulant pas répondre à Leste.

Tu es aussi pathétique que Leste ...

Et bien franchement; j'aimerais bien être aussi "pathétique" que Leste et pouvoir répondre aussi intelligemment qu'elle l'a fait.

La plus pathétique, ici, c'est toi: et tu nous l'a prouvé hier.

Modifié par Maxence22
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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les droits de l'Homme reconnaissent donc la gestion collective de la propriété privée.

Le communisme, c'est la vrai propriété privée, la Terre et ses ressources appartiennent à part égale à chaque être humain. Mais comme chaque ressource a plusieurs propriétaires, il faut une gestion collective de ces ressources. Le communisme n'est donc pas contraire au droits de l'Homme, au contraire puisqu'il garantit la vrai propriété privée de façon égale entre chaque être humain.

Une mine d'or appartient à part égale à chaque être humain, d'où la nécéssité de la gestion collective de cette ressource.

Le capitalisme est contraire aux droit de l'Homme car il prive arbitrairement de la propriété de la mine d'or des milliards d'êtres humains.

"Le communisme, c'est la vrai propriété privée, la Terre et ses ressources appartiennent à part égale à chaque être humain"

Ce que vous dites est vrai, si on l'on prend le vrai terme du communisme, un communisme qui n'a quasiment jamais existé sauf dans des peuples très retirés mais qui est incompatible avec la vie moderne actuelle.

Sous l'URSS par exemple il n'y avait pas de propriété privée, et les terres appartenaient à l'état.

Actuellement la Chine qui se dit toujours communiste a fait un effort sur la propriété privée afin de respecter les droits de l'homme :

Le droit chinois consacre également la propriété privée : alors qu'elle n'était reconnue ni par le système impérial, ni par le régime communiste, elle est à présent un droit inscrit dans la Constitution depuis une réforme du 14 mars 2004. Une loi adoptée en mars 2007 protège aussi bien la propriété privée que la propriété publique, sauf dans le domaine de la terre qui appartient à l'État.

Le problème qu'il y a encore en Chine c'est que la surface de la terre appartient à l'état, en faite quand les chinois achètent un bien immobilier ils ont généralement un bail de 50 ans ou ils peuvent jouir du terrain, après 50 ans ce terrain redevient la propriété de l'état. Ceci ne veut pas dire que la Chine peut détruire la propriété qui est dessus après 50 ans sans en avertir son propriétaire, mais par contre la Chine peut racheter cette propriété et le propriétaire n'y sera pas gagnant et si il y a toujours un refus de vendre, l'état pourra effectivement détruire ce bien.

Enfin si, le capitalisme respecte les droits de l'homme puisque chacun a la possibilité d'acheter une propriété privée. C'est évident qu'il faut avoir l'argent nécessaire pour acheter, mais même une personne qui gagne 1000 € peut acheter, les banques en France prêtent le 33% de nos revenus, ça veut dire qu'une personne qui gagne 1000 € peut très bien acheter un bien d'une valeur supérieur à 100 000€ sur 30 ans.

Modifié par Leste
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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je ne pense pas que Leste puisse entendre

ou/et comprendre ton raisonnement !

Elle pérore sur ce forum et

ne sait ni de quoi elle parle,

ni ce qui se dit !

http://www.carnetpsy.com/article.php?id=2196&PHPSESSID=gafjuplmpith1hur66b30p28s3

C'est dommage de ne pas vouloir débattre comme une personne adulte et responsable.

En multipliant le troll dans le but de faire taire les écrits précédents, vous ne faites qu'admettre que vous êtes dans l'incapacité d'argumenter.

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je crois que Louise Aragon (ou Louis Aragon : communiste : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Aragon) est en colère depuis qu'elle a compris que son marxisme était incompatible avec une société développée.

Je comprends Louise cette frustration de voir son rêve échoué... Je compatis cette douleur.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

" « Le travail est de prime abord un acte qui se passe

entre l’homme et la nature.

L’homme y joue lui-même vis-à-vis de la nature

le rôle d’une puissance naturelle.

Les forces dont son corps est doué, bras et jambes,

tête et mains, il les met en mouvement afin de s’assimiler

des matières en leur donnant une forme utile à sa vie.

En même temps qu’il agit par ce mouvement sur la nature

extérieure et la modifie, il modifie sa propre nature,

et développe les facultés qui y sommeillent.

Nous ne nous arrêterons pas à cet état primordial du travail

où il n’a pas encore dépouillé son mode purement instinctif.

Notre point de départ c’est le travail sous une forme qui

appartient exclusivement à l’homme.

Une araignée fait des opérations qui ressemblent à celles du tisserand,

et l’abeille confond par la structure de ses cellules

de cire l’habileté de plus d’un architecte.

Mais ce qui distingue dès l’abord le plus mauvais

architecte de l’abeille la plus experte,

c’est qu’il a construit la cellule dans sa tête

avant de la construire dans la ruche.

Le résultat auquel le travail aboutit préexiste

idéalement dans l’imagination du travailleur.

Ce n’est pas qu’il opère seulement un changement de forme

dans les matières naturelles ; il y réalise du même

coup son propre but dont il a conscience, qui détermine

comme loi son mode d’action, et auquel il doit subordonner sa volonté. »

Karl Marx (1818-1883), Le Capital,

traduction J. Roy, Éditions sociales, 1950.

C'est dommage de ne pas vouloir débattre comme une personne adulte et responsable.

En multipliant le troll dans le but de faire taire les écrits précédents, vous ne faites qu'admettre que vous êtes dans l'incapacité d'argumenter.

Plus on remonte dans le cours de l’histoire, plus l’individu,

et par suite l’individu producteur lui aussi, apparaît dans un état

de dépendance, membre d’un ensemble plus grand :

cet état se manifeste d’abord de façon tout à fait naturelle

dans la famille, et dans la famille élargie jusqu’à former la tribu ;

puis dans les différentes formes de la communauté issue de l’opposition

et de la fusion des tribus.

Ce n’est qu’au xviiie  siècle, dans la « société civile

– bourgeoise », que les différentes formes de l’interdépendance

sociale se présentent à l’individu comme un simple moyen de

réaliser ses buts particuliers, comme une nécessité extérieure.

Mais l’époque qui engendre ce point de vue, celui de l’individu

singulier singularisé, est précisément celle où les rapports

sociaux (et de ce point de vue universels) ont atteint le plus

grand développement qu’ils aient connu.

L’homme est, au sens le plus littéral, un zôon politikon,

non seulement un animal sociable, mais un animal qui ne peut

se constituer comme individu singulier que dans la société et

singularisé – fait exceptionnel qui peut bien arriver

à un civilisé transporté par hasard dans un lieu désert

et qui possède déjà en puissance les forces propres à la société

– est chose aussi absurde que le serait le développement du langage

sans la présence d’individus vivant et parlant ensemble."

Karl Marx,

Introduction générale à la critique de l’économie politique, 1857.

Tu l'as lu Marx ?

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

" « Le travail est de prime abord un acte qui se passe

entre l’homme et la nature.

L’homme y joue lui-même vis-à-vis de la nature

le rôle d’une puissance naturelle.

Les forces dont son corps est doué, bras et jambes,

tête et mains, il les met en mouvement afin de s’assimiler

des matières en leur donnant une forme utile à sa vie.

En même temps qu’il agit par ce mouvement sur la nature

extérieure et la modifie, il modifie sa propre nature,

et développe les facultés qui y sommeillent.

Nous ne nous arrêterons pas à cet état primordial du travail

où il n’a pas encore dépouillé son mode purement instinctif.

Notre point de départ c’est le travail sous une forme qui

appartient exclusivement à l’homme.

Une araignée fait des opérations qui ressemblent à celles du tisserand,

et l’abeille confond par la structure de ses cellules

de cire l’habileté de plus d’un architecte.

Mais ce qui distingue dès l’abord le plus mauvais

architecte de l’abeille la plus experte,

c’est qu’il a construit la cellule dans sa tête

avant de la construire dans la ruche.

Le résultat auquel le travail aboutit préexiste

idéalement dans l’imagination du travailleur.

Ce n’est pas qu’il opère seulement un changement de forme

dans les matières naturelles ; il y réalise du même

coup son propre but dont il a conscience, qui détermine

comme loi son mode d’action, et auquel il doit subordonner sa volonté. »

Karl Marx (1818-1883), Le Capital,

traduction J. Roy, Éditions sociales, 1950.

Sérieusement c'est très beau ce que dit Marx, et je comprends que beaucoup de personnes ont été influencées par ce qu'il a dit, car il savait toucher les gens, il savait donner du rêve, finalement un peu comme tous les dictateurs, quand Hitler faisait ses scènes au peuple sur les places publiques, il savait envouter et surtout il savait convaincre.

Je ne suis pas certain que Marx croyait à sa thèse, et je me répète comme un perroquet comme Louise Aragon se répète en citant les mémoires de son idéal dont on imagine bien qu'elle a lu toutes ses oeuvres et qu'elles reposent sur son chevet. Marx a dit en fin de son existence et pour le reprendre :

« Tout ce que je sais, moi, c’est que je ne suis pas marxiste »

Ca veut dire quoi ceci Louise Aragon ? Si vous souhaitez me répondre bien entendu.

Modifié par Leste
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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les 100 millions de morts sont le fait de volonté dictatoriales de la classe dirigeante.

Les volontés dictatoriales de la classe dirigeante n'ont rien avoir avec le communisme, de nombreuses dictatures ont choisit un système capitaliste.

Le communisme n'est qu'un système économique, il n'est dit nulle part dans le communisme qu'il faut un parti unique. Les partis communistes français sont d'ailleurs démocratiques, pour laisser au peuple la possibilité de revenir à un système capitaliste au cas où le peuple serait déçut par le communisme.

Par contre la crise économique et la misère provoquées par le capitalisme, font que le capitalisme n'est pas innocent dans la montée des idéologies extrémistes comme le nazisme dans l'allemagne des années 30.

Tu l'a lu MARX ou tu en parles ?

Tu dis ce que tu as entendu dire ?

Tu veux le lire ou tu veux parler de ce qu'on en dit ?

C'est pas pareil !

Tu l'as lu ou tu l'as pas lu ?

« La division (…) du travail permet à un ouvrier de faire le travail de 5, 10, 20 ;

elle rend donc la concurrence 5, 10, 20 fois plus grande ».

« L’habileté particulière de l’ouvrier perd sa valeur ».

« Son travail devient un travail accessible à tous »,

et nécessite donc moins de formation, ce qui entraîne une baisse de salaire.

« L'ouvrier cherche à conserver la masse de son salaire en travaillant

davantage, soit en faisant plus d'heure, soit en fournissant davantage

dans la même heure.

Poussé par la misère, il augmente donc encore les effets funestes

de la division du travail.

Le résultat est que plus il travaille, moins il reçoit de salaire,

et cela pour la simple raison qu'au fur et à mesure qu'il concurrence

ses compagnons de travail, il fait de ceux-ci autant de concurrents

qui se vendent à des conditions aussi mauvaises que lui-même,

et parce qu'en définitive c'est à lui-même qu'il fait concurrence,

à lui-même en tant que membre de la classe ouvrière. ».

C'est de ça que tu veux débattre ou de ce qu'"on"

raconte ?

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Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Plus on remonte dans le cours de l’histoire, plus l’individu,

et par suite l’individu producteur lui aussi, apparaît dans un état

de dépendance, membre d’un ensemble plus grand :

cet état se manifeste d’abord de façon tout à fait naturelle

dans la famille, et dans la famille élargie jusqu’à former la tribu ;

puis dans les différentes formes de la communauté issue de l’opposition

et de la fusion des tribus.

Ce n’est qu’au xviiie  siècle, dans la « société civile

– bourgeoise », que les différentes formes de l’interdépendance

sociale se présentent à l’individu comme un simple moyen de

réaliser ses buts particuliers, comme une nécessité extérieure.

Mais l’époque qui engendre ce point de vue, celui de l’individu

singulier singularisé, est précisément celle où les rapports

sociaux (et de ce point de vue universels) ont atteint le plus

grand développement qu’ils aient connu.

L’homme est, au sens le plus littéral, un zôon politikon,

non seulement un animal sociable, mais un animal qui ne peut

se constituer comme individu singulier que dans la société et

singularisé – fait exceptionnel qui peut bien arriver

à un civilisé transporté par hasard dans un lieu désert

et qui possède déjà en puissance les forces propres à la société

– est chose aussi absurde que le serait le développement du langage

sans la présence d’individus vivant et parlant ensemble."

Karl Marx,

Introduction générale à la critique de l’économie politique, 1857.

Tu l'as lu Marx ?

Vous savez même si je n'avais jamais lu Marx de ma vie, depuis que je suis sur ce Forum je le lis avec vous, car toutes vos phrases sont inspirées de Marx.

Et pour répondre à votre question, j'ai lu Marx durant mes études.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Sérieusement c'est très beau ce que dit Marx, et je comprends que beaucoup de personnes ont été influencées par ce qu'il a dit, car il savait toucher les gens, il savait donner du rêve, finalement un peu comme tous les dictateurs, quand Hitler faisait ses scènes au peuple sur les places publiques, il savait envouter et surtout il savait convaincre.

Je ne suis pas certain que Marx croyait à sa thèse, et je me répète comme un perroquet comme Louise Aragon se répète en citant les mémoires de son idéal dont on imagine bien qu'elle a lu toutes ses oeuvres et qu'elles reposent sur son chevet. Marx a dit en fin de son existence et pour le reprendre :

« Tout ce que je sais, moi, c’est que je ne suis pas marxiste »

Ca veut dire quoi ceci Louise Aragon ? Si vous souhaitez me répondre bien entendu.

Je te donne à lire du VRAI MARX dans

le texte et c'est ce que tu en comprends !

Tu n'as même pas lu ! :smile2:

Tu n'es vraiment pas drôle !

Et tu es satisfait ? Content de toi ?

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tu l'a lu MARX ou tu en parles ?

Tu dis ce que tu as entendu dire ?

Tu veux le lire ou tu veux parler de ce qu'on en dit ?

C'est pas pareil !

Tu l'as lu ou tu l'as pas lu ?

:smile2:

Je te donne à lire du VRAI MARX dans

le texte et c'est ce que tu en comprends !

Tu n'as même pas lu ! :smile2:

Tu n'es vraiment pas drôle !

Et tu es satisfait ? Content de toi ?

Oui c'est ce que je comprends, je comprends que Marx était un dictateur muet.

Pourquoi ne pas répondre à mes questions Louise ?

Je fais l'effort de répondre à vos questions.

Sinon oui je pense avoir trouvé satisfaction. Pas vous ?

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)

Staline et Hitler étaient des malades mentaux. Tout est dit.

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
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Le marxisme face au capitalisme contemporain

Ed Syllepse 2004 120 pages, 7 euros.

Pour l’instant il est sorti quatre Cahiers de Critique Communiste : Le Marxisme face au capitalisme contemporain, Marx et l’appropriation sociale, Marxisme et impérialisme, et Marxisme et Démocratie. La série vise à revisiter, avec ces recueils d’articles, tous les grands concepts et débats du marxisme.

Dans Le marxisme face au capitalisme contemporain, des auteurs tels que Michel Husson (économiste), Nicolas Béniès (professeur d’économie dans le supérieur), Henri Wilno (économiste et collaborateur de Critique Communiste) et Thomas Coutrot (économiste) examinent chacun un aspect du capitalisme contemporain. Le livre qui en résulte est utile et intéressant.

C’est Michel Husson qui le commence et démonte les « théories » sur la fin du travail, sur le « capitalisme cognitif » et la fin des classes sociales. Il défend l’idée que l’accumulation du capital reste le moteur essentiel de la société actuelle, et que la théorie de la valeur-travail reste indispensable. Sa vulgarisation de la théorie marxiste est excellente et lisible. Il pose la question « La finance permet-elle de s’enrichir en dormant ? » et analyse toutes les fausses théories sur le capitalisme financier. « C’est moins compliqué qu’on ne vous l’a dit » pourrait être le sous-titre de son article. En particulier, les opinions de Toni Negri sur la transformation du travail, très influentes dans certains milieux, sont sévèrement critiquées. Loin de voir « l’émergence d’un nouveau mode de production » nous voyons « le creusement d’une contradiction absolument classique » entre les classes sociales et l’avancée de la production. La nouveauté du capitalisme post-internet a été largement exagérée. Quand vous commandez en ligne, il faut quand même un camion pour vous livrer...

Henri Wilno signe un article titré « Exploitation et classes sociales : une boussole imparfaite mais nécessaire ». Il examine entre autres la question des « classes moyennes » et la raison pour laquelle la classe moyenne n’est pas une classe au sens matérialiste. Il explique pourquoi cela a été une erreur de chercher d’autres sujets révolutionnaires que la classe des salariés, et évoque le danger d’un anticapitalisme abstrait qui ne se poserait pas la question de quelle force sociale peut renverser le capitalisme.

L’article de Thomas Coutrot est une réponse à celle de Henri Wilno. Coutrot considère que des catégories mises en avant par Marx telle que celle du « travail productif » et « travail non-productif » ont été insuffisamment pris en compte par Wilno. L’article de Coutrot en général propose un rejet de certains éléments de l’analyse marxiste. Les raisons qu’il donne pour ce rejet sont peu convaincantes. Ainsi il écrit « La quasi-totalité des sociologues qui s’intéressent au sujet ont montré depuis déjà les années 1970 que la lutte directe entre capital et travail n’était plus nécessairement le centre de gravité de la conflictualité sociale ». Mais la sociologie moderne, surgie de l’université capitaliste, n’échappe pas aux besoins de la classe dirigeante de développer des justifications sophistiquées du statu quo !

Plus loin, c’est directement les idées de « la prise de pouvoir » et la « destruction de l’Etat » qui sont rejeteés, bien trop rapidement. Le mouvement altermondialiste, selon Coutrot, sera destiné à remplacer le mouvement ouvrier au centre de la transformation sociale. Nous avons fréquemment argumenté dans cette revue contre ces idées, et nous ne reviendrons pas dessus ici. Il nous paraît particulièrement peu sérieux, pourtant, d’écrire la conclusion suivante : « Espérons que les discussions entre marxistes et avec d’autres écoles de pensée au sein du mouvement altermondialiste permettront d’aller plus loin dans la nécessaire refondation théorique du mouvement d’émancipation humaine ». La théorie basée sur une analyse matérielle de la vie des gens et les rapports entre les classes pourrait-elle être remplacée par des nouvelles idées surgies d’un consensus entre militants ? C’est l’essentiel de la tradition marxiste qui deviendrait inutile.

Xavier Werner dans sa contribution « Socialisation, capitalisme et socialisme » pointe du doigt la faiblesse de la tradition marxiste en ce qui concerne l’analyse du secteur public, domaine dans lequel la loi de la valeur ne fonctionne pas de la même façon que dans le secteur privé. Il se base sur le contre-exemple de l’Union soviétique pour réclamer qu’on fasse « le deuil d’une utopie de socialisation intégrale et transparente », et que, à la place on essaie de mettre en place au sein du système existant, des « lieux de socialisation ». Il est évident que pour nous qui considérons que l’Union soviétique de Staline à Gorbatchev était un capitalisme d’Etat et pas un socialisme inachevé, les arguments de Werner sur ce point n’ont pas beaucoup de poids. Il explique pourtant clairement les enjeux et les débats dans un style pédagogique.

L’impression générale du livre - abstraction faite des désaccords entre les auteurs sur certains points - est qu’on devrait garder l’analyse marxiste de l’économie, pour informer et mener une lutte des classes toujours nécéssaire, mais qu’on devrait abandonner le marxisme pour l’explication du renversement potentiel du capitalisme et la mise en place d’une nouvelle société, en passant par une phase du pouvoir de la classe ouvrière. Le lecteur sait probablement que tels ne sont pas les choix théoriques de cette revue.

John Mullen (LCR Montreuil)

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LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Voilà un autre malade mental ! :smile2:

"J'avoue que j'ai vécu "

extraits de l'autobiographie de Pablo Neruda,

poète communiste chilien et compagnon d'Allende.

"Je veux vivre dans un monde où les êtres seront

seulement humains, sans autres titre que celui-ci, sans être obsédés par une règle,

par un mot, par une étiquette.

Je veux qu’on puisse entrer dans toutes les églises,

dans toutes les imprimeries.

Je veux qu’on n’attende plus jamais personne à la porte d’un

hôtel de ville pour l’arrêter, pour l’expulser.

Je veux que tous entrent et sortent en souriant de la Mairie.

Je ne veux plus que quiconque fuie en gondole, que quiconque soit poursuivi

par des motos. Je veux que l’immense majorité :

tout le monde, puisse parler, lire, écouter, s’épanouir.

Je n’ai jamais compris la lutte autrement que comme un moyen

d’en finir avec la lutte.

Je n’ai jamais compris la rigueur autrement que comme un moyen

d’en finir avec la rigueur.

J’ai pris un chemin car je croit que ce chemin nous conduit tous

à cette aménité permanente.

Je combats pour cette bonté générale, multipliée, inépuisable.

De toutes ces rencontres entre ma poésie et la police,

de tous ces épisodes et d’autres que je ne vais pas raconter

car ils sont identiques, et d’autres qui ne me sont pas arrivés

personnellement mais que beaucoup de gens ont subis et ne pourront

plus raconter, il me reste malgré tout une foi absolue dans le destin de l’homme,

la conviction chaque jour plus consciente que nous approchons de la grande tendresse.

J’écris ces lignes en sachant bien que sur nos têtes,

sur toutes les têtes, plane le danger de la bombe atomique,

de la catastrophe nucléaire qui ne laisserait personne,

qui ne laisserait rien sur la terre.

De toute façon, cela ne refroidit pas mon espoir.

En cet instant critique, en ce clignotement d’agonie

nous savons que la lumière définitive entrera dans les yeux entrouverts.

Nous nous comprendrons tous.

Nous progresserons ensemble.

Et cet espoir est irrévocable."

Pablo Neruda assassiné par des fascistes

qui ne voulaient pas qu'il parle, qu'il écrive !

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