Une société de lavettes peut-elle résister au terrorisme ?

@Simplicius

Il existe les Limbes pour ceux qui n'ont pas bénéficié du baptême. Nierais-tu le caractère fondamental des sacrements ?

Non. Je dis juste que, si les Sacrements sont un moyen sûr (d'où mon emploi du mot "balisé") d'accéder au Salut, et qu'une attitude de type "bah d'façons j'ai pas besoin des sacrements, d'abord" me paraît très orgeilleuse, je ne peux pas non plus affirmer que, parce qu'on n'est pas baptisé, on échappe au Salut. Si c'était le cas - quid de tous ceux qui sont morts avant le Christ, et qui pourtant ont malgré tout été sauvés par Lui ?

Il me semblait d'ailleurs que le concept de "Limbes" n'était plus envigueur dans l'Eglise actuellement. Mon catéchisme (n°1261, sur lequel le glossaire me renvoie quand je cherche "Limbes") dit au sujet des enfants morts sans baptêmes qu'on "ne peut que les confier à la miséricorde de Dieu" - j'extrapole donc à tous les gens, enfants ou non, qui ne sont pas baptisés : si Dieu veut que tous les hommes soient sauvés, est-ce qu'il va s'arrêter au fait qu'on ait reçu ou non ce sacrement ? Est-ce que l'intention de le recevoir, même in extremis, ne peut pas suffire ?

Pourquoi vouloir mettre une limite à la miséricorde divine ?

Dieu est mort !

Vive le Père Noél !

On a jamais vu de terroristes se réclamant du Père Noèl.

En revanche toutes vos religions obscurantistes qui se nourrissent de haine et abreuvent la terre du sang de vos victimes ,et sont le terreau de tous les terrorismes oui !

Pour atteindre des hauteurs célestes, pas besoin de s’emmerder avec l'église, suffit de prendre 100 boule et d'aller aux putes!

Tout ce qui a été écrit en matière de philosophie après l'Antiquité tient de la note de bas de page. Parle moi de Platon, d'Aristote et de Plotin et non de farceurs germaniques.

Eh bien c'est un sacré parti pris.

En l'occurence, notre société est fondée sur la philosophie chrétienne; helleno-chrétienne diront les puristes.

Il évacue la question de l'importance des dieux par sa théorie atomiste. De même qu'Epicure et Lucrèce.

Mais le peuple n'est pas philosophe, c'est pourquoi les religions existent.

En quoi les Français ont-il fait preuve de moins d'abnégation dans le passé ?

Il est très récent dans l'histoire de l'humanité d'être confronté à la peur de sa propre mort, de façon violente, et de le faire sans la religion (sans religion du tout)

Ajoute à ça le déni du nationalisme: pourquoi / pour qui voudraient se battre les français ? Pour l'UE ? Pour François Hollande? Pour Karim Benzema ?

Pour ses proches pardi!

C'est du clanisme et c'est pas suffisant.

Tu rigoles?! On est face à 3 terroristes qui menacent une dizaine de proche et tu trouves que c'est pas suffisant?

Si on était dans une configuration obsolète comme l'invasion d'une armée et la défense d'un territoire, je te dirais oui, c'est insuffisant (encore qu'on peut imaginer que la défense de nos proches nous pousserait à rassembler nos proches et à rassembler nos forces). Mais là c'est largement suffisant... Avec les tirs sur Marseille d'hier, on a vu un père affronter à mains nus les mecs du GIPN armé jusqu'aux dents UNIQUEMENT pour aller chercher son fils retranché dans son école... Le mec n'avait peur de rien, ni des mafieux armés d'armes de guerre, ni des policiers armés... Il voulait récupérer son fils et il serait mort pour lui.

Fais un sondage et demande aux gens pour quoi ils seraient prêt à mourir... la france, la république, son parti politique ou ses enfants (pour ceux qui en ont). Je te paris ma chemise que les enfants l'emporteront de très très loin... Et ça c'est un progrès indéniable de notre société.

Entièrement d'accord, j'ai un fils et je donnerais ma vie si ça devait sauver la sienne.

Bien sur! Je pense qu'on ferait tous ça... et il y a 75 ans, c'était des dizaines de millions de mères en Europe qui envoyaient leurs fils aller mourir pour la France, pour l'Allemagne, pour la Russie, pour le nazisme, pour le communisme, pour l'empereur ou pour n'importe quelle merde...

Tu rigoles?! On est face à 3 terroristes qui menacent une dizaine de proche et tu trouves que c'est pas suffisant?

Si on était dans une configuration obsolète comme l'invasion d'une armée et la défense d'un territoire, je te dirais oui, c'est insuffisant (encore qu'on peut imaginer que la défense de nos proches nous pousserait à rassembler nos proches et à rassembler nos forces). Mais là c'est largement suffisant... Avec les tirs sur Marseille d'hier, on a vu un père affronter à mains nus les mecs du GIPN armé jusqu'aux dents UNIQUEMENT pour aller chercher son fils retranché dans son école... Le mec n'avait peur de rien, ni des mafieux armés d'armes de guerre, ni des policiers armés... Il voulait récupérer son fils et il serait mort pour lui.

Fais un sondage et demande aux gens pour quoi ils seraient prêt à mourir... la france, la république, son parti politique ou ses enfants (pour ceux qui en ont). Je te paris ma chemise que les enfants l'emporteront de très très loin... Et ça c'est un progrès indéniable de notre société.

Une famille est un corps disparâte qui peut exister n'importe où, ça n'est pas une constitution de société. Tu peux te battre pour ta famille dans n'importe quel pays ( quitte à le fuir pour en habiter un autre)

Entièrement d'accord, j'ai un fils et je donnerais ma vie si ça devait sauver la sienne.

Si un autre individu pense comme toi dans une même société tout en te considérant comme l'ennemi, c'est la guerre civile.

Tu t'en fous t'a pas d'enfants .

Si tu parlais de ce que tu connaissais, pour changer un peu.

Une famille est un corps disparâte qui peut exister n'importe où, ça n'est pas une constitution de société. Tu peux te battre pour ta famille dans n'importe quel pays ( quitte à le fuir pour en habiter un autre)

Si un autre individu pense comme toi dans une même société tout en te considérant comme l'ennemi, c'est la guerre civile.

Et je crois même que je pourrais la donner pour n'importe quel enfant. Parce que les enfants sont innocents et qu'ils sont l'avenir.

Tu t'en fous t'a pas d'enfants .

Si tu parlais de ce que tu connaissais, pour changer un peu.

T'imagines du coup à quel point je suis altruiste de m'occuper de ceux des autres ^^

Une famille est un corps disparâte qui peut exister n'importe où, ça n'est pas une constitution de société. Tu peux te battre pour ta famille dans n'importe quel pays ( quitte à le fuir pour en habiter un autre)

Si un autre individu pense comme toi dans une même société tout en te considérant comme l'ennemi, c'est la guerre civile.

Le terrorisme est un corps disparate qui peut exister n'importe où... or nous combattons le terrorisme parce que ces gens tuent nos familles. Comme tu le disais toi même, nous étions tous ému de la mort d'innocents qui ne sont pourtant pas de notre famille de sang. Nous sommes assez soudé en France pour ressentir ça tous ensemble... Nous nous émouvons ensemble de la mort d'un fils, d'un père, d'une mère, d'une fille... parce qu'ils auraient pu être les notre.

C'est justement le coeur du sujet; est-ce que la génération twitter "buhuhu je suis en dépression constante et j'ai un avis sur tout " n'aura pas tendance à se coucher devant l'ennemi pourvu qu'il l'épargne plutôt qu'à trouver le courage de lutter contre lui ?

En fait, en parcourant ton sujet, je me dis que la "lavettisation" de la société n'a pas grand chose à voir avec la lutte contre le terrorisme ou la guerre. Le premier est imprévisible et pourrait très bien arriver dans une société de durs à cuire. Le second est un état d'urgence qui exacerbe les comportements. On n'a pas de statistiques mais il y a beaucoup d'histoire où on voit des gens normaux déployer une force mentale exceptionnelle dans des situations de danger.

En fait, c'est surtout dans notre quotidien de pays en pays face à la racaillisation de l'espace public que l'esprit lavette nous fait perdre le combat. L'esprit lavette, c'est la perte de l'expérience de la confrontation physique, de l'effort, de la solidarité... Le narcissisme indifférent mais timoré. Le fait que les gens changent de wagons au lieu d'aider une nana qui se fait emmerder par un tocard avec une bouteille.

Heureusement qu'il y a encore un site fait par un VRAI homme, pour les VRAIS hommes (si tu ne connais pas, tu vas kiffer) : Fils de pute de la mode.

Ils n'ont pas peur de la mort, mais feront tout de même le maximum pour (sur) vivre.

Crois moi, les vrais croyants n'ont pas peur de la mort. (...)

Bein tu vois, ça répond à ta question sur mon " refus de vive dans la peur ". La peur peut se dominer, bien sûr !

On peut choisir d'y succomber ou non. Continuer à vivre comme avant, c'est JUSTEMENT ne pas baisser les yeux. Pour l'instant, c'est facile à faire mais au moins, c'est une réaction solide. On a encore confiance en nos forces de l'ordre, nos services de sureté. Et puis il y a un peu de fatalisme : si ça doit arriver à nouveau, ça arrivera.

T'imagines du coup à quel point je suis altruiste de m'occuper de ceux des autres ^^

En l'occurrence tu donnes l'impression de regretter une époque où l'on pouvait mourir pour la nation... alors que tu as ta réponse là, directement des gens, et n'importe où, n'importe qui... l'évidence est là sous tes yeux. On se bat pour les fils et les filles de France, d'Europe, du monde libre... pas pour un concept débile de frontières et d'idéologie ethnocentrée.

Le terrorisme est un corps disparate qui peut exister n'importe où... or nous combattons le terrorisme parce que ces gens tuent nos familles. Comme tu le disais toi même, nous étions tous ému de la mort d'innocents qui ne sont pourtant pas de notre famille de sang. Nous sommes assez soudé en France pour ressentir ça tous ensemble... Nous nous émouvons ensemble de la mort d'un fils, d'un père, d'une mère, d'une fille... parce qu'ils auraient pu être les notre.

Non, nous combattons le terrorisme car il tue des familles françaises, cher crabe.

Le terrorisme indou, je suis sûr que tu t'en bats les couilles, idem pour le terrorisme tchètchène ou le terrorisme papou. Ca veut dire que niveau terrorisme, notre dénominateur est la nation plus que la famille puisque la mort de membres de familles d'étrangers nous touche largement moins.

En l'occurrence tu donnes l'impression de regretter une époque où l'on pouvait mourir pour la nation... alors que tu as ta réponse là, directement des gens, et n'importe où, n'importe qui... l'évidence est là sous tes yeux. On se bat pour les fils et les filles de France, d'Europe, du monde libre... pas pour un concept débile de frontières et d'idéologie ethnocentrée.

Je constate que c'est autour de la nation que les gens se cristallisent, c'est tout. C'est dire son importance.

d'Europe, du monde libre..

Y'a pourtant rien de plus creux comme concept que ce genre de phrase.

@ Yop mais c'est quoi ce site (fils......)?

Non, nous combattons le terrorisme car il tue des familles françaises, cher crabe.

Le terrorisme indou, je suis sûr que tu t'en bats les couilles, idem pour le terrorisme tchètchène ou le terrorisme papou. Ca veut dire que niveau terrorisme, notre dénominateur est la nation plus que la famille puisque la mort de membres de familles d'étrangers nous touche largement moins.

Je constate que c'est autour de la nation que les gens se cristallisent, c'est tout. C'est dire son importance.

Y'a pourtant rien de plus creux comme concept que ce genre de phrase.

Je me bats contre la nation et pour l'Europe dans les isoloirs, je ne prendrais pas les armes pour ça. Du coup le creux, permet moi de l'écouter dans ton discours nationaliste.

Ensuite tu fais l’amalgame entre la nation et la famille... Si je suis prêt à mourir pour la famille, je serais plutôt du genre à tirer dans le dos de mon officier nationaliste. Mais il se trouve qu'il faut bien vivre quelque part, et que pour l'instant cette région du globe dans laquelle nous vivons s'appelle la France. Bref la réponse à ta question est tu as tort de nous voir comme une société de lavette puisque nous sommes prêt à résister au terrorisme puisque ce dernier s'en prend à tout ce pour quoi nous sommes prêt à mourir: notre famille.

La France est devenue un pays d'émasculés , ce peuple de minable mérite de disparaître ce qui ne va pas tarder .