L'homme

Ne crois tu pas qu'il nous faille plutôt encourager l'effort d'avoir accouché d'idées, même maladroitement, que d'écouter les silences d'un esprit brillant?

Que faisons nous face à un enfant qui geint, et donc nous indispose, car il n'arrive pas à faire ceci ou cela? En temps normal, nous prenons sur nous, pour l'aider, l'accompagner, lui montrer la voie, dans son intérêt avant notre propre confort! N'est-il pas?

Le pronom "on", répété ad nauseam, semble avoir bon dos. Pourquoi ne pas le remplacer tout simplement par "je" ?

Parce que je pense que dans ce contexte il remplace "nous". :blush:

Hello tison.

L’Homme m’a déçu et me déçoit toujours autant.

Je ne vois en lui qu’un éternel gamin capricieux voulant tout et tout de suite.

Se poser la simple question à savoir ce que ses comportements présents pourraient provoquer dans un futur proche ou plus lointain, apparemment, n’effleure même pas son esprit obtus.

C’est un redoutable prédateur destructeur sans pitié qui va finir par transformer notre merveilleuse Planète, pleine de vies et de couleurs, en un désert aride presque dépourvu de vie…

C’est une vraie calamité pour la biodiversité de la Planète.

L’Homme m’a déçu et me déçoit toujours autant.

Je ne vois en lui qu’un éternel gamin capricieux voulant tout et tout de suite.

Se poser la simple question à savoir ce que ses comportements présents pourraient provoquer dans un futur proche ou plus lointain, apparemment, n’effleure même pas son esprit obtus.

C’est un redoutable prédateur destructeur sans pitié qui va finir par transformer notre merveilleuse Planète, pleine de vies et de couleurs, en un désert aride presque dépourvu de vie…

C’est une vraie calamité pour la biodiversité de la Planète.

Voulez-vous dire que vous vous êtes déçus vous-mêmes ?

Bah ! J’ai de plus en plus souvent l’impression d’être un extra-terrestre qui a atterrit sur une planète de s….s.

C’est peut-être, tout simplement, parce que je suis un autiste non diagnostiqué ?

Bah ! J’ai de plus en plus souvent l’impression d’être un extra-terrestre qui a atterrit sur une planète de s….s.

C’est peut-être, tout simplement, parce que je suis un autiste non diagnostiqué ?

Se sentir comme un extraterrestre me suffirait comme symptôme pour ce diagnostique... à moi en tout cas.

C'est une question intéressante, mais j'aurais peur de détourner le sujet, qu'est-ce qui est implicite à cette fomulation : se sentir extraterrestre ?

Se sentir très différent des autres comme si une cloison de verre incassable se dressait entre vous et eux.

Vous les voyez mais vous ne pouvez pas entrer vraiment en contact avec eux, alors qu’avec les animaux c’est l’inverse ; avec eux, vous ne ressentez aucune barrière vous séparant.

Je crois que je vous connais bien. :)

Vous voulez dire que vous vous reconnaissez dans les symptômes décrits ?

Oui lol !

Ah ! D’accord lol !

[quote name='nolibar' timestamp='1422957324' post='9527701']

Bah ! J’ai de plus en plus souvent l’impression d’être un extra-terrestre qui a atterrit sur une planète de s….s.

Enfin, je te retrouve !

Cela fait plus de 300 000 ans que j'ai été envoyé ici à ta recherche par la Confédération Intergalactique Du Groupe Local !

Ta Voucoupe Solante avu a du préblomes...

Zgupf % ù)° \_ #"s &!§¨== -| 3'"kK§ £$ !

Oui lol !

C’est le corps médical qui a diagnostiqué votre autisme ?

C’est le corps médical qui a diagnostiqué votre autisme ?

Je vous réponds par Mp.

Le pronom "on", répété ad nauseam, semble avoir bon dos. Pourquoi ne pas le remplacer tout simplement par "je" ?

Le "on" remplace en fait, comme l'a mentionné quelqu'un, le "nous" pour faciliter l'écriture, et donner quelque chose de plus impersonnel, qui puisse permettre à tout le monde d'acquérir rapidement une certaine distance...

Ne crois tu pas qu'il nous faille plutôt encourager l'effort d'avoir accouché d'idées, même maladroitement, que d'écouter les silences d'un esprit brillant?

Que faisons nous face à un enfant qui geint, et donc nous indispose, car il n'arrive pas à faire ceci ou cela? En temps normal, nous prenons sur nous, pour l'aider, l'accompagner, lui montrer la voie, dans son intérêt avant notre propre confort! N'est-il pas?

C'est tout à fait cela que je suis venue chercher ici, quant à la maladresse dont j'ai pu faire preuve, je souhaite la garder, la perfection n'est pas le propre de l'humain, et si je dois garder une part d'humanité, en dépit de mon regard vide de toute compassion, c'est bien celle-ci. Merci en tout cas, pour tout cet enrichissement.

Le bonheur dépend de toi : c'est apprécier la beauté de cette planète magnifique et de la vie, des plantes, de la nature, sans voir uniquement le négatif, sans non plus prendre tout au premier degré ou chercher le fond des choses quand il n'y a qu'à prendre un moment de bonheur sans se poser de questions.

Fais gaffe de ne pas devenir comme Albert Camus, qui à force de voir l'absurde en toute chose, de se focaliser sur le négatif et de n'écrire que des trucs qui propagent la noirceur, a eu une fin absurde et prématurée, comme il voyait la vie.

Si tu veux donner du sens, lis plutôt "Demian" d'Hermann Hesse, là tu auras de l'athéisme avide de vivre et de se trouver soi.

Perso, tout cela me procure le sentiment de déjà-entendu. On est limite dans l'air du temps. C'est typiquement le genre de tableau qu'il faut peindre si nous souhaitons rejoindre la grande famille des extra-terrestres. Ah! comme je me sens si différent. Comme notre humanité me fait souffrir !

Je me souviens avoir assisté à une conférence d'un mouvement "indigné", "anti-capitaliste" et consorts. Plein de pertinence et de belles vérités, un certains nombres de contradictions propres à nos sociétés ont été posé sur la table sous une tôlée d'applaudissement. Puis, la conférence finie, tout le monde est retourné à sa partie de Candy Crush sur Iphone 5. Conférenciers compris, repus d'un petit plaisir intellectuel satisfait.

Alors, est-ce que c'est constructif ? Il n'y a que toi qui peut le dire. Pour toi-même.

J'aurais quand même tendance à dire que c'est un bon point de départ, aussi sordide que solide.

Notre humanité n'est pas accomplie.

Le "on" remplace en fait, comme l'a mentionné quelqu'un, le "nous" pour faciliter l'écriture, et donner quelque chose de plus impersonnel, qui puisse permettre à tout le monde d'acquérir rapidement une certaine distance...

J'entends bien ce désir de prendre du recul. Mais puisque ce "nous" signifie "moi" et "les autres", je te proposais de relire ton propre texte en remplaçant ce "nous" par "moi".

Lorsque tu écris "On essaye, on se raye, on se fait de l'oseille, mais on n'est pas plus inspiré que notre petit orteil", tu es en train de signifier que tu te fais de l'oseille. Est-ce bien le cas pour toi et pour tous les humains sans exceptions dont la nature profonde serait la cupidité et l'appât du gain ? Ou bien est-ce le cas d'une une minorité ?

Cet emploi du "nous" ne conduit-il pas à un ensemble de généralisations sans nuances ?

De plus, dans ce type de phrase, je ne vois aucun lien logique entre le fait d' "essayer / se rayer" et celui de " se faire de l'oseille'.

Bref, je décroche dès les toutes premières phrases de ton texte parfois confus qui accumule généralisations et poncifs.

Seul aspect positif : tu as le mérite d'oser, de te lancer.

J'entends bien ce désir de prendre du recul. Mais puisque ce "nous" signifie "moi" et "les autres", je te proposais de relire ton propre texte en remplaçant ce "nous" par "moi".

Lorsque tu écris "On essaye, on se raye, on se fait de l'oseille, mais on n'est pas plus inspiré que notre petit orteil", tu es en train de signifier que tu te fais de l'oseille. Est-ce bien le cas pour toi et pour tous les humains sans exceptions dont la nature profonde serait la cupidité et l'appât du gain ? Ou bien est-ce le cas d'une une minorité ?

Cet emploi du "nous" ne conduit-il pas à un ensemble de généralisations sans nuances ?

De plus, dans ce type de phrase, je ne vois aucun lien logique entre le fait d' "essayer / se rayer" et celui de " se faire de l'oseille'.

Bref, je décroche dès les toutes premières phrases de ton texte parfois confus qui accumule généralisations et poncifs.

Seul aspect positif : tu as le mérite d'oser, de te lancer.

En fait, ça ressemblait plus à du slam qu'à de la philo.

Le bonheur dépend de toi : c'est apprécier la beauté de cette planète magnifique et de la vie, des plantes, de la nature, sans voir uniquement le négatif, sans non plus prendre tout au premier degré ou chercher le fond des choses quand il n'y a qu'à prendre un moment de bonheur sans se poser de questions.

Fais gaffe de ne pas devenir comme Albert Camus, qui à force de voir l'absurde en toute chose, de se focaliser sur le négatif et de n'écrire que des trucs qui propagent la noirceur, a eu une fin absurde et prématurée, comme il voyait la vie.

Si tu veux donner du sens, lis plutôt "Demian" d'Hermann Hesse, là tu auras de l'athéisme avide de vivre et de se trouver soi.

J'aurais très bien pu écrire quelque chose de positif, mais je n'en n'avais pas envie, du moins pas à ce moment là...On a tous des périodes comme ça, enfin je crois!

Perso, tout cela me procure le sentiment de déjà-entendu. On est limite dans l'air du temps. C'est typiquement le genre de tableau qu'il faut peindre si nous souhaitons rejoindre la grande famille des extra-terrestres. Ah! comme je me sens si différent. Comme notre humanité me fait souffrir !

Je me souviens avoir assisté à une conférence d'un mouvement "indigné", "anti-capitaliste" et consorts. Plein de pertinence et de belles vérités, un certains nombres de contradictions propres à nos sociétés ont été posé sur la table sous une tôlée d'applaudissement. Puis, la conférence finie, tout le monde est retourné à sa partie de Candy Crush sur Iphone 5. Conférenciers compris, repus d'un petit plaisir intellectuel satisfait.

Alors, est-ce que c'est constructif ? Il n'y a que toi qui peut le dire. Pour toi-même.

J'aurais quand même tendance à dire que c'est un bon point de départ, aussi sordide que solide.

Notre humanité n'est pas accomplie.

C'est un paradoxe,en effet que celui-là! Après voilà c'est vrai que mon écrit est quand même personnel, et le côté sordide résultait de l'humeur du jour...

J'entends bien ce désir de prendre du recul. Mais puisque ce "nous" signifie "moi" et "les autres", je te proposais de relire ton propre texte en remplaçant ce "nous" par "moi".

Lorsque tu écris "On essaye, on se raye, on se fait de l'oseille, mais on n'est pas plus inspiré que notre petit orteil", tu es en train de signifier que tu te fais de l'oseille. Est-ce bien le cas pour toi et pour tous les humains sans exceptions dont la nature profonde serait la cupidité et l'appât du gain ? Ou bien est-ce le cas d'une une minorité ?

Cet emploi du "nous" ne conduit-il pas à un ensemble de généralisations sans nuances ?

De plus, dans ce type de phrase, je ne vois aucun lien logique entre le fait d' "essayer / se rayer" et celui de " se faire de l'oseille'.

Bref, je décroche dès les toutes premières phrases de ton texte parfois confus qui accumule généralisations et poncifs.

Seul aspect positif : tu as le mérite d'oser, de te lancer.

Ce que j'ai fait là, comme dit plus haut, pourrait s'apparenter à du slam, loin de moi d'avoir ce truc pour manier les mots à mon aisance, mais ça m'est venu comme ça, sur le coup de la spontanéité,j'y ai interprété un sens personnel, libre à chacun d'en voir un.