Peut-on se passer d'autorité ?

Peut-on se passer d'autorité ?

C’est le rêve de toute pensée libertaire : celui d’une famille, d’une société, d’une cité "sans autorité ni sanction". Mai 68, dit-on, en avait fait son idéal, mais le sentiment qui domine aujourd’hui est plutôt celui d’une crise de l’autorité : on la repère dans la famille, qui a vu l’avènement triomphal de l’enfant-roi contre la puissance paternelle ; on la voit à l’école, où l’admiration muette pour la culture et le maître s’est effacée ; et on l’identifie dans la cité, qui a vu la capacité à gouverner se réduire comme peau de chagrin.

Alors, est-ce la fin de l’autorité ? Au moins une raison permet d’en douter : on n’a jamais autant parlé de l’autorité que depuis qu’elle est en crise. Ce qui permet d’explorer cette autre piste : celle d’une reconfiguration en cours ?


http://www.scienceshumaines.com/peut-on-se-passer-d-autorite_fr_33823.html

Se passer d'autorité? de nos jours? non^^' Il n'y en a plus justement.. quand on voit où ça mène la future génération :s

Je propose un test :

Que ce topic ne soit absolument pas modéré, et ainsi nous aurons une idée de ce que donne une société sans autorité

Chiche !

Je propose un test :

Que ce topic ne soit absolument pas modéré, et ainsi nous aurons une idée de ce que donne une société sans autorité

+1238292028292

(Ah mince je viens de filer une partie de mon numéro)

L'échantillon n'est pas représentatif, Savonarol !

(oui, Zenalpha, je m'excuse :smile2:)

+1238292028292

(Ah mince je viens de filer une partie de mon numéro)

T'inquiète, tu risques rien

Il a commencé le test hein ?

J'ai modifié le titre. Ou plutôt ajouté un sous-titre.

L'autorité est une composante essentielle à la vie en communauté.

Nous, humains, sommes formés autour de groupes sociaux. Il y en a à différentes échelles, et cela va de la famille à l'entreprise en passant par les clubs sportifs ou culturels.

Ce qui caractérise cependant les groupes sociaux, c'est qu'ils sont structurés, organisés, ce qui se caractérise généralement par un organigramme qui classe chacun des membres du groupe par ordre de subordination.

La nécessité du chef provient ainsi d'une part de la volonté d'obtenir pour le groupe un organe décisionnel principal afin d'éviter les conflits ou les réunions décisionnelles qui durent des plombes car chacun veut asseoir son pouvoir, ce qui se produit quand l'autorité est diluée au sein des membres et qu'il n'existe aucun chef apparent. Des études sociologiques ont montré que parmi les jeunes garçons (tout comme chez certaines tribus de singes), l'absence de chefs menait à une guerre de pouvoir. Quand un individu parvient enfin à gravir les échelons et se faire respecter, les autres s'adoucissent et le suivent. L'Homme fonctionne dans un système de leadership, où le meilleur est une solution préférable pour l'ensemble du groupe. Il y a ainsi connivence de rôles entre le chef et ses subordonnés, entente sans laquelle nulle avancée ne serait possible. En théorie du travail, on appelle cela le management vertical.

D'autre part, il s'agit de donner une cohérence au mouvement, une base autour de laquelle se réunir. Si le chef joue le rôle d'un leader, il est aussi une image et un exemple pour le reste des personnes, une sorte de père, un patron.

C'est celui qui sait maintenir l'ordre, car le désordre est une dissipation d'énergie et de moyens. On perd à la fois en efficacité et en efficience... Même en thermodynamique, c'est vrai.

/me passe discrètement jeter un oeil ...

Peut-on se passer d'autorité ?

C’est le rêve de toute pensée libertaire : celui d’une famille, d’une société, d’une cité "sans autorité ni sanction". Mai 68, dit-on, en avait fait son idéal, mais le sentiment qui domine aujourd’hui est plutôt celui d’une crise de l’autorité : on la repère dans la famille, qui a vu l’avènement triomphal de l’enfant-roi contre la puissance paternelle ; on la voit à l’école, où l’admiration muette pour la culture et le maître s’est effacée ; et on l’identifie dans la cité, qui a vu la capacité à gouverner se réduire comme peau de chagrin.

Alors, est-ce la fin de l’autorité ? Au moins une raison permet d’en douter : on n’a jamais autant parlé de l’autorité que depuis qu’elle est en crise. Ce qui permet d’explorer cette autre piste : celle d’une reconfiguration en cours ?


http://www.scienceshumaines.com/peut-on-se-passer-d-autorite_fr_33823.html

théia ou comment chercher la propriété du cercle dans un carré ..

toute l hypocrisie du topic est de confondre autorité parental et puissance paternel et d opposé cela a enfant roi … . qui évidement n est pas mis la par hasard par théia qui pense que la puissance du pere est seul garant de l ordre et que c etait mieux avant .. c est a dire sous le patriarcat …comme la plupart des topics concernant les rapport homme femme .. parler de puissance paternelle c est refuser de donner aux puissance maternelle une forme d autorité .. la pensée du patriarche , bravo théia , apres viens pas te plaindre qu on te traite de réac …

tandis que la mère elle ? Parle t'on de puissance maternelle ? Non évidement chez les conservateur et les réac il est normal de préférer les vieux mythe sexiste du mâle fort et puissant plutôt que le progrès qui abolira en 1970 la puissance paternelle au profit de l autorité parental mettant a égalité le père et la mère en matière de droit , d ailleurs 3ans plus tard dans le même elan égalitariste Polytechnique ouvrira enfin sa porte au femme comme quoi sans l égalité beaucoup de femme aujourd'hui devrait demander l autorité du père pour signer un chèque , privilège du patriarche qu fut aboli d ailleurs un peu a cette même époque ou l on préféra l autorité parental a la puissance paternelle

la fausse critique a deux balle de mai 68 et la pensée de la décadence version soral ..

on va aller demander a un black handicapé si c etait mieux a paris en 1907 ou a new york 2014

vous etes fatiguant avec votre pensée linéaire et votre antiféminisme primaire .. pathétique !! ..

tu joues si bien le jeu, Nietzsche Junior !! :smile2:

Oui, j'ose le croire...

Vous ne trouvez pas la modération un peu excessive?

théia ou comment chercher la propriété du cercle dans un carré ..

toute l hypocrisie du topic est de confondre autorité parental et puissance paternel et d opposé cela a enfant roi … . qui évidement n est pas mis la par hasard par théia qui pense que la puissance du pere est seul garant de l ordre et que c etait mieux avant .. c est a dire sous le patriarcat …comme la plupart des topics concernant les rapport homme femme .. parler de puissance paternelle c est refuser de donner aux puissance maternelle une forme d autorité .. la pensée du patriarche , bravo théia , apres viens pas de plaindre qu on te traite de réac …

tandis que la mère elle ? Parle t'on de puissance maternelle ? Non évidement chez les conservateur et les réac il est normal de préférer les vieux mythe sexiste du mâle fort et puissant plutôt que le progrès qui abolira en 1970 la puissance paternelle au profit de l autorité parental mettant a égalité le père et la mère en matière de droit , d ailleurs 3ans plus tard dans le même elan égalitariste Polytechnique ouvrira enfin sa porte au femme comme quoi sans l égalité beaucoup de femme aujourd'hui devrait demander l autorité du père pour signer un chèque , privilège du patriarche qu fut aboli d ailleurs un peu a cette même époque ou l on préféra l autorité parental a la puissance paternelle

la fausse critique a deux balle de mai 68 et la pensée de la décadence version soral ..

on va aller demander a un black handicapé si c etait mieux a paris en 1907 ou a new york 2014

vous etes fatiguant avec votre pensée linéaire et votre antiféminisme primaire .. pathétique !! ..

Rentre tes griffes, Ce texte n'est pas de moi, c'est le début d'un article que j'ai mis en lien pour le soumettre à votre critique et discussion

Intéressante ta réaction, cette précipitation à condamner, juger, affirmer, conclure, compartimenter... sur la base d'un avis... que je n'ai même pas encore donné.

Pathétique tu disais ?

mais c est normal t a que relire tout tes topics concernant les rapport homme femme .. me l a fait pas a l envers ... assumez clairement vos position point bar

aller ciao

fin de la discussion ..

tu joues si bien le jeu, Nietzsche Junior !! :smile2:

Oui, j'ose le croire...

Non NJ ne joue pas un jeu. D'ailleurs ce topic n'est pas un jeu ! la proposition de test-sans modération est juste le petit plus à une discussion des plus sérieuse^^

mais c est normal t a que relire tout tes topics concernant les rapport homme femme .. me l a fait pas a l envers ... assumez clairement vos position point bar

aller ciao

fin de la discussion ..

NON. ce topic ne concerne en rien les rapports H/F. En revanche c'est TON unique interprétation du sujet. Assume ton agressivité gratuite, tes erreurs de jugements et tes éternels procès d'intention fondés sur tes propres fantasmes et obsessions.

Ciao. Mais merci quand même pour ton avis sur le SUJET (qui je le rappelle n'est pas moi, Théia, mais le devenir de la notion "d'autorité")

Edit : j'ajoute NJ pour ta gouverne que ton texte délirant est bien la preuve que tu te plantes sur toute la ligne en ce qui me concerne. Parce que monsieur croit savoir, alors il fonce dans le tas. Mais la réalité c'est que tu ne comprends décidément pas grand chose.

m en fou

ha les combats ca ils adorent !!

on va faire peter l audimat moi je te le dit !!!

savonarol vient ici zenalpaha .. dentelle !! tous ici c est la guerre

Peut-on se passer d'autorité ?

C’est le rêve de toute pensée libertaire : celui d’une famille, d’une société, d’une cité "sans autorité ni sanction". Mai 68, dit-on, en avait fait son idéal, mais le sentiment qui domine aujourd’hui est plutôt celui d’une crise de l’autorité : on la repère dans la famille, qui a vu l’avènement triomphal de l’enfant-roi contre la puissance paternelle ; on la voit à l’école, où l’admiration muette pour la culture et le maître s’est effacée ; et on l’identifie dans la cité, qui a vu la capacité à gouverner se réduire comme peau de chagrin.

Alors, est-ce la fin de l’autorité ? Au moins une raison permet d’en douter : on n’a jamais autant parlé de l’autorité que depuis qu’elle est en crise. Ce qui permet d’explorer cette autre piste : celle d’une reconfiguration en cours ?


http://www.scienceshumaines.com/peut-on-se-passer-d-autorite_fr_33823.html

Dépend pour qui selon moi. En plus l'autorité pourquoi? Pour voiler ou pour construire?

Mais de toute façon même dans le cas ou c'est pour construire moi je pense que ça dépend pour qui. Dans certain région de la société c'est sur que c'est non mais dans d'autre je crois qu'il n'y en a pas besoin. En plus ça dépend dans quel temps, par exemple dans un temps ou la reproduction n'est pas importante. Et finalement on définie autorité par quoi? Un être qui dis à un autre quoi faire sur tout ou bien un être qui met en place des lois?

Il me semble difficilement imaginable de concevoir une absence totale d'autorité, de lois, d'obligations.

Même l'auto-modération est une sorte d'autorité que l'on s'impose pour garder un cap et une cohérence.

Comment pourrions-nous évoluer, avancer s'il n'y avait plus de transgression(s) possible(s) ?