Fonctions du Coeur, Ethique et Esthétique

Bonjour. Le coeur n'est pas qu'une vulgaire pompe. Il joue un role essentiel et central dans le processus de mise en place des valeurs morales comme du sens de l'esthétique.

Je vais initier le topic en présentant le sujet (qui est complémetaire à ma théorie sur la relativité des notions du bien et du mal, ainsi que sur l'émergence du sens de l'esthétique), et y reviendrai si le sujet semble intéresser des forumistes.

L'action et la rétro-action du coeur sur le cerveau est établi. Or, les émotions qui façonnent notre apréhension sensible du monde sont centrées et définies selon la réaction du coeur. La modification harmonique des pulsions cardiaques module littéralement les émotions, qui jouent un role essentiel dans la mémorisation et l'encodage des événements du vécu quotidien selon l'intensité des émotions, favorables ou défavorables.

Si par exemple, nous rions intensément, de la dopamine est sécrétée en grande quantité, procurant un plaisir profond. Et les pulsions cardiaques influencées elle-mêmes par le type de respiration et la sollicitation en oxygène du cerveau. Or, à l'arret du rire, le coeur revient à son ritme basique, et soudain, une sensation de vive inconfort, voir une impression qu'il va arriver quelque chose d'inquiétant surgit. Ainsi, le ritme cardiaque module les émotions en les amplifiant ou en les réprimant.

Lorsque nous courons vite, le ritme des pulsions croit, et le cerveau modulaire dont chaque neurone fonctionne en solo conduit au traitement tant conscient que subconscient de cette modification, une partie rémanante plus ou moins marquée produisant une augmentation de la production d'adrénaline, interprétant cette accélération du rithme cardiaque comme la perception potentielle d'un risque.

L'influence de la musique ou des images sur le coeur constituant un autre domaine inoui sur la possibilité de manipuler l'homme dans ses prises de décisions...

http://coherence-coeur.com/blog/comment-le-coeur-influence-notre-pensee/

D'un point de vue physique, le coeur joue ainsi une fonction perturbatrice, qui caractérise le plus ce que nous nommons notre libre arbitre relatif et putatif, nous rendant parfois si imprévisibles.

Bonjour. Le coeur n'est pas qu'une vulgaire pompe. Il joue un role essentiel et central dans le processus de mise en place des valeurs morales comme du sens de l'esthétique.

Tout le corps joue un rôle essentiel et central dans nos processus cognitifs, et pas seulement ceux qui concernent la mise en place des valeurs morales et du sens de l'esthétique. L'esprit n'est pas une sécrétion indépendante du reste du corps; c'est quelque chose qui ne fait qu'un avec le corps.

Si par exemple, nous rions intensément, de la dopamine est sécrétée en grande quantité, procurant un plaisir profond. Et les pulsions cardiaques influencées elle-mêmes par le type de respiration et la sollicitation en oxygène du cerveau. Or, à l'arret du rire, le coeur revient à son ritme basique, et soudain, une sensation de vive inconfort, voir une impression qu'il va arriver quelque chose d'inquiétant surgit. Ainsi, le ritme cardiaque module les émotions en les amplifiant ou en les réprimant.

Je n'ai jamais fait l'expérience d'une telle sensation d'inconfort. D'où tires-tu une telle idée ?

Lorsque nous courons vite, le ritme des pulsions croit, et le cerveau modulaire dont chaque neurone fonctionne en solo conduit au traitement tant conscient que subconscient de cette modification, une partie rémanante plus ou moins marquée produisant une augmentation de la production d'adrénaline, interprétant cette accélération du rithme cardiaque comme la perception potentielle d'un risque.

Pure spéculation. En général, l'activation du corps provoque une augmentation de la sécrétion d'adrénaline, qu'elle soit motivée par une perception quelconque ou non. Si je fais de la course à pied, l'idée de risque n'intervient pas. Je me sens en parfaite sécurité et même je puis être envahi par une sensation d'euphorie. Ça n'empêche pas que s'il y a effectivement perception d'un risque potentiel, notre corps s'active (nous réfléchissons plus rapidement, nos muscles se crispent, etc.) et par conséquent, sécrète de l'adrénaline. L'adrénaline est le lubrifiant de cette activation.

L'influence de la musique ou des images sur le coeur constituant un autre domaine inoui sur la possibilité de manipuler l'homme dans ses prises de décisions...

Par exemple, une musique en staccato ne manquera pas de nous inquiéter. Ce qui est formidable, c'est que l'homme à force de vivre élargit le spectre de son appréciation consciente jusqu'à inclure les circonstances mêmes où une telle musique se fait entendre, et que par suite certaines circonstances peuvent rendre l'effet d'inquiétude inopérant.

D'un point de vue physique, le coeur joue ainsi une fonction perturbatrice, qui caractérise le plus ce que nous nommons notre libre arbitre relatif et putatif, nous rendant parfois si imprévisibles.

Pas juste le coeur, comme je le disais plus haut. Par exemple, on sous-estime l'influence de nos intestins, qui contiennent une grande quantité de neurones, sur nos fonctions cognitives.

on sous-estime l'influence de nos intestins, qui contiennent une grande quantité de neurones, sur nos fonctions cognitives.

Et plus encore sur ses habitants, car si nous sommes vivants et en bonne santé, ce serait dû aux symbiotes dans le colon!

@ dentelle de mots. Ce ne sont pas les neurones du cerveau du coeur, mais leur organisation et les neurotransmetteurs qui est intéressante. Le rithme cardiaque a été vérifié comme amplifiant les sens, ou comme capable de réprimer la conscience pour faire primer le cerveau reptilien en court-circuitant le traitement lent de la fausse prise de conscience qui nous donne une illusion de décision consciente... Le cerveau n'est pas monobloc. Il gère une foultitude de données, et si une anomalie est perçue (comme une forte augemtation du rithme cardiaque) le cerveau n'attend pas un second signal pour l'interpréter comme un danger possible. Ce mécanisme a été mis en place pour précisément faire gagner en vitesse, à une époque ou un tel danger pouvait nous couter la peau et la chair.

--> Si tu suggère une vague forme féminine, le subconscient va pouvoir la confondre avec une vraie femme et acroitre ta libido. Le cerveau ne fait que traiter des données brutes, l'impression de prise de conscience se faisant en aval en fin de traitement.

Euh... c'était quoi le sujet ?

L'objection au fait que le changement du rithme cardiaque puisse être traité comme un danger potentiel avant confirmation par un élément probant.

Cet effet/lien est utilisé en sophrologie, grâce à l'utilisation d'un feedback:

http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/consulter/les_therapies/8202-coherence-cardiaque.htm

Et les sites marchands ne manquent pas!

Para mí sólo recorrer los caminos que tienen corazón,

Pour moi seuls comptent les chemins qui ont du cœur,

Cualquier camino que tenga corazón.

N'importe quel chemin qui a du coeur.

Por ahí yo recorro, y la única prueba que vale es atravesar todo su largo.

Et par là je vais, et la seule chose qui compte est de le poursuivre jusqu'au bout.

Y por ahí yo recorro mirando, mirando, sin aliento.

Et par là je vais, regardant, regardant, le souffle coupé.

Matus.

Cet effet/lien est utilisé en sophrologie, grâce à l'utilisation d'un feedback:

http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/consulter/les_therapies/8202-coherence-cardiaque.htm

Et les sites marchands ne manquent pas!

En sophrologie, dans les arts martiaux, dans le yoga, mais aussi dans la gestion des émotions. Un bon livre à ce sujet est Tristesse, Peur, Colère de Stéphanie Hahusseau publiée par les éditions Odile Jacob.

Ce que je peux te dire c'est que l'issue d'un combat peut parfois dépendre plus de la rage de vaincre que de la technique employée, surtout quand aucunes règles ne s'appliquent plus, par exemple dans un combat de rue, il faut toujours avoir en tête la différence entre une activité épurée et la réalité de la vie!