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Un Univers Probabiliste

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Frelser

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Je suis assez impressionné, pour quelqu'un qui se dit non physicien, tu en sais déjà pas mal je trouve! :smile2:

En 1964, c'est John bell qui imagina une manière d'expérimenter l'expérience proposée par le trio EPR et déboucher obligatoirement sur l'une des acceptions suivantes :

Soit le monde était non objectif et n'existait pas dans un état défini.... soit il était non localisé et autorisait des liaisons à distance instantanées...

Ton discours, ne fait que rappeler la théorie la plus en vogue et la plus médiatique, l'école de Copenhague, mais il existe d'autres façons moins classique d'aborder les suites aux inégalités de Bell:

http://fr.wikipedia....%C3%A9s_de_Bell

" Les inégalités de Bell permettent d'éprouver la statistique des corrélations associées à ce type de théories. Leurs violations ont montré que l'intrication ne peut être décrite par une théorie à variables cachées locales, du type "chaussettes de Berltmann". En revanche, la violation des inégalité de Bell n'exclut pas des théories à variables cachées non-locales, comme la théorie de De Broglie-Bohm. "

http://fr.wikipedia....De_Broglie-Bohm

" « Dès 1924, Louis de Broglie avait l'essentiel de l'idée, et, de fait, il présenta la théorie mathématique plus ou moins complète à la fameuse conférence de Solvay de 1927. Comment il a été écrasé par l'axe Heisenberg/Pauli/Bohr, ce qui l'amena à abandonner sa théorie jusqu'à ce que Bohm la récupère, est une histoire fascinante. Tout comme le fait que Bohm, à son tour, ait été ignoré et mal interprété jusqu'à ce qu'une exploration par Bell amène ce dernier à sa fameuse inégalité qui -- contrairement à la croyance populaire -- peut être vue comme une preuve de la théorie de l'onde pilote, et non comme sa réfutation. Encore aujourd'hui (2008), il y a relativement peu de personnes qui ont même entendu parler de la théorie. » "

***************

" Le principe d'incertitude traduit une dispersion statistique inévitable de la mesure de variables complémentaires dans un ensemble de systèmesRiggs 1. Les observables possèdent en réalité des valeurs précises.

**************

Le spin, le moment cinétique ou l'énergie sont des variables non associées aux particules qui n'ont pas de valeur déterminée avant la mesure, contrairement à la position/vitesse des particulesStreater 1. Le spin est un effet associé à la fonction d'onde et non à la particule, et la mesure dépend donc entièrement du dispositif expérimental, qui influe sur la fonction d'onde globaleRiggs 2. L'appareil de mesure a un rôle actif33 ce qui affine et confirme l'intuition de Niels Bohr qui pensait que l'appareil de mesure agissait sur le système lors du réduction du paquet d'onde34. En fait, le fait que certaines propriétés physiques n'ont pas d'existence intrinsèque et ne préexistent pas à la mesure n'est pas propre à la théorie de Bohm, il a été démontré mathématiquement à partir du formalisme standard de la mécanique quantique dans le cas de la projection du spin par exemple par Greenberger, Horne et Zeilinger35,36. Ce qui est spécifique à la théorie de Bohm de 1952 c'est qu'elle prétend que la localisation de la particule et sa trajectoire sont des propriétés intrinsèques qui ne dépendent pas de l'appareil de mesure.

*********************

Chaos déterministeBitbol 2. L'indétermination provient de causes innombrables, non seulement de l’interaction avec l'appareil de mesure mais même des conditions initiales de l'univers37,38. À priori une connaissance des conditions initiales de l'univers permettrait de connaître tout puisque la théorie est déterministe mais cela est impossible en pratique. "

Tout ceci pour dire, que les limitations intrinsèques de la MQ peuvent être dues à la théorie à laquelle ont se rattache, plus qu'à la réalité physique elle-même.

Je rajoute ce lien où j'expliquais déjà plus en détail mes réticences ( http://www.forumfr.c...e-big-bang.html ) ne serait ce que sur l'interprétation des mesures quantiques ( l'approche bayésienne ):

Ensuite, il y a la mécanique quantique, mais dans ce domaine, il y a déjà des pistes faites par des chercheurs, qui rejoignent mes idées, celle d'information, je les laissent donc expliciter, mieux que je pourrais le faire ( j'aurais encore d'autres choses à dire sur la méca. quant., mais cela fait déjà assez long, je pense ) :

http://www.pourlasci...ssion-32441.php

http://www.pourlasci...lites-23564.php

http://www.agoravox....physique-151736

http://lib.convdocs....78.html?page=16

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 079 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

C'est exact que mes propos entrent dans le cadre relativement classique des modèles de RG et de MQ

Je suis le premier à être admiratif des libre penseurs chercheurs qui travaillent à contre courant ou différemment des représentations les plus couramment reconnues comme référentes.

Une position solitaire que j'ai parfois dans des positions bien moins importantes :)

D'ailleurs, beaucoup de chercheurs ont été seuls avant de susciter l'adhésion.

Sur l'interprétation philosophique de la MQ au delà d'une recherche de refonte plus fondamentale des lois que nous connaissons, je dois admettre que si certains bastions de représentations ont été écarté par des expériences probantes, on ne dispose toujours pas totalement conceptuellement d'une vision extrêmement extrêmement claire de quelques principes "bizarres" relativement au "bon sens".

Oui alors je ne suis pas physicien, c'est certain et je ne me suis balladé dans des équations physique qu'au travers de problématiques statistiques extrêmement marginales des problématiques de recherche centrales

Et j'ai donc adopté une démarche parfois simplificatrice qui consiste à tenter de comprendre les modèles proposés au moins sur leurs principes et de me faire mon opinion personnelle bien sur influencée non pas de mes travaux personnels (quoi que parfois un peu quand même mais très peu) et beaucoup de mes lectures personnelles.

En ce sens, ce sont souvent les courants qui suscitent adhésion et reconnaissance large qui m'inondent d'informations.

Je suis parfois critique.

Mais sur la présentation d'une alternative, je reste pragmatiquement à l'attente d'une démonstration probabante d'une plus value palpable.

Par exemple quand Einstein a proposé une vision différente de l'espace temps, les applications pratiques qui s'ensuivirent me semblent probantes.

Et tu sais que même ce point est parfois discuté puisque tu n'es par exemple pas convaincu d'un certain nombre de choses dans ces représentations.

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Juste une parenthèse que je referme ensuite pour ne pas dévier du sujet.

1. La possibilité de trouver des variables cachées non locales signifie en clair, que la non localité ou la violation de la localité ou séparabilité demeure dans tous les cas acquise. Point important.

2. La mesure récente du spin d'un neutron à 4cm de distance de la particule, montrant encore une fois la puissance de la MQ contre toute attente. Cette première observation du "Chat de Cheshire" confirme si nécessaire encore une fois la solidité du principe d'incertitude et des inégalités de Heisenberg... Considérée par les profanes comme une faille dans la mesure, alors qu'il s'agit bel et bien d'une indétermination causale et bien physique, confirmée à Vienne expérimentalement.

3. La masse d'une particule ne lui appartient pas, puisqu'elle lui est attribuée par le champs de Higgs. De même, sa position dépend de la fluctuation paramétrique de l'espace et est donc également un leurre.

N.8. : La physique macroscopique n'est pas plus "intuitive" que la physique subatomique. Puisque nous ne pouvons pas nous représenter une action à distance (de type gravitation) ou une courbure de l'espace-temps.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 079 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

N.8. : La physique macroscopique n'est pas plus "intuitive" que la physique subatomique. Puisque nous ne pouvons pas nous représenter une action à distance (de type gravitation) ou une courbure de l'espace-temps.

Moi oui.

Tu n'imagine pas l'attraction a distance que Scarlett Johansson a sur moi malgré nos faibles masses.

Scarlett si tu m'entends, je suis prêt avec gravité à mélanger nos courbures ou tu veux quand tu veux.

J'arrive même à mélanger cette relative pensée générale à la mécanique quantique quand je pense au caractère hautement improbable de notre intrication.

Un effet tunnel qui fait qu'elle coupe à chaque fois que je l'appelle...

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Membre, Posté(e)
Carlo22 Membre 8 messages
Baby Forumeur‚
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Et ce n'est qu'en 1982 que l'expérience d'Alain Aspect trancha définitivement la question en démontrant expérimentalement que deux particules jumelées interagissaient instantanément (..)

Une expérience n'est rien sans interprétation, et une interprétation est rarement définitive...

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 079 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Concernant l'expérience décrite ci-dessus, je renvoie à cette description dans ce lien

Mon lien

Et à sa Conclusion[modifier | modifier le code]

Aujourd'hui, en 2014, la violation des inégalités de Bell par la physique quantique est clairement établie. On utilise d'ailleurs concrètement la violation des inégalités de Bell dans certains protocoles de cryptographie quantique, où la présence d'un espion est détectée par le fait que les inégalités de Bell ne sont plus violées.

On doit donc admettre la non-localité de la physique quantique et la réalité de l'état d'intrication.

Ensuite, je suis le premier a être intéressé par la publication de travaux qui viendraient contredire l'état d'intrication et la non localité de la physique quantique.

J'ai lu les articles proposés par déjà utilisé dont je trouve que les recoupements, les démonstrations et les échos qu'elles génèrent ne les sort pas encore de leur aspect hautement spéculatif.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

les recoupements, les démonstrations et les échos qu'elles génèrent ne les sort pas encore de leur aspect hautement spéculatif.

Pas complètement, et à l'instar des phonons ou des solitons, gageons que l'onde-pilote a de beaux jours devant elle:

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-la-dualite-onde-corpuscule-a-l-sil-nu-28095.php

Il est clair qu'avec l'autre vision on ne risque pas de faire de spéculation hasardeuse, puisqu'ils ont tout simplement abandonné l'idée de toute explication:

" Cette vision séparatiste donnant l'impression d'un lien instantané est suggérée par l'interprétation de Copenhague de la mécanique quantique, qui toutefois se défend de vouloir donner un modèle physique de la réalité, mais simplement des règles opérationnelles. Même si ce n'est pas la seule, c'est l'interprétation la plus répandue et la plus évidente en ce qu'elle est une image directe du comportement probabiliste des mesures expérimentales. Selon l'école de Copenhague, les tentatives de donner un sens aux résultats mathématiques des prévisions quantiques ne sont plus des problèmes de physique. " ( repris du premier lien donné antérieurement )

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

L'intrication quantique a bien été démontrée de façon très puissante et expérimentalre jusqu'à cent écart type. Et l'onde pilote théorique ne change rien à cette réalité, quand bien-même elle serait confortée un jour (?)...

Pour expliquer cela aux personnes qui n'ont pas encore compris de quoi il est question, je vais tenter d'expliquer brièvement comment nous en sommes arrivé à ce niveau de certitude expérimentale.

Lorsque la MQ a conduit à la problématique de la contradiction avec le réalisme, le monde scientifique a été violement secoué. Bohr a proposé la complémentarité, Heisenberg l'incertitude, tandis que Schrödinger (avec son chat mort-vivant) Einstein, Rosen et Podlosly (avec la prédictibilité dans le cas de l'intrication) ont tenté de soutenir que la MQ serait Simplement incomplète.

Lorsqu'Einstein et ses amis soutenaient l'effet EPR pour montrer que la MQ, dans le cas précis de l'intrication conduisait à un résultat rigoureux des états des particules intriquées par un effet considéré impossible à distance, ils n'imaginaient pas que cela allait un jour pouvoir être vérifié consolidant la complétude de la MQ. En effet, les réalistes comptaient sur l'existence de variables cachées permettant de rendre la MQ réaliste et prédictible, donc incomplète.

Feynman démontra que si la MQ est incomplète, alors, il devait y avoir une inégalité entre ses prédictions et les mesures statistiques, et Bell transforma ces inégalités fortes en inégalités faibles en sorte qu'une une déviation de 41 % dans un espace de Hilbert d'une observable Δ devrait être mesurée par rapport à la MQ, si elle est incomplète. En effet, quoi que cela était irrévocable sur le papier, les limites de l'appareil expérimental réel ne permettaient pas à ces inégalités d'être vérifiées expérimentalement. C'est Bell qui eut l'ingéniosité de transformer ces inégalités fortes en inégalités faibles, en intruduisant les limites techniques des appareils de mesure (filtre, polarisateur etc.). Ainsi, il était devenu techniquement possible de vérifier que les particules intriquées possédaient bien un état superposé qui était modifié lors de la mesure, en sorte que la non localité ait pu être confortée avec une précision atteignant 100 écart type. Le chapitre de la localité étant définitivement tournée.

Les réalistes ont du plier lorsque Aspect, et après lui de nombreux chercheur ont vérifié la MQ de façon toujours de plus en plus rigoureuse. On a néanmoins proposé l'existence de variables cachée non locales. Comme les ondes-pilotes, qui non seulement ne sont pas vérifiées, mais qui ne rendent pas à la physique la localité. Par ailleurs, l'idée d'onde imaginaire et immatérielle à action instantanée ne plairait certainement pas à Einstein et ses amis, par plus que l'onde vide de Schrödinger...

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Je voudrais néanmoins mentionner ici une expérience assez intéressante qui semble permettre de se représenter certains aspects de la théorie de l'onde pilote de Bohm.

Quoi que la projection d'un processus en deux dimension à l'échelle macrosopique sur une réalité à plus de 3 dimensions à l'échelle quantique ( :D ) ne soit pas favorable à l'idée d'une physique réaliste et intuitive, ces expériences semblent permettre de simuler des effets analogues à certains effets contre-intuitifs de la MQ.

Cette expérience ne constitue néanmoins pas à ce jour autre chose qu'une approche de type analytique qui ne conforte pas la théorie de Bohm. Le parrallélisme relatif entre différents phénomènes sans rappport direct étant connus depuis longtemps déjà.

Mais cette approche permettra-t-elle un jour d'évaluer l'effet de telles ondes mystérieuses en démontrant une réduction de la prédiction des inégalités de Bell à mesure de l'éloignement des particules intriquées à cause de très nombreuses interférences ? Sachant que l'intrication a été confirmée sur une distance de plus de 15 km. Distance astronomique à l'échelle de deux photons...

P.S. : L'aspect mathématique de la physique théorique permet en effet de développer des protocoles expérimentaux qui rendent possible de comparer par analogie (--> physique analytique) des événements inaccessibles en laboratoire sur base de parrallèles mathématiques entre les formules de phénomènes distincts. Comme la simulation de supernovaes dans des barils ou de trou noirs accoustiques pour tenter de tester les rayonnements d'Hawking.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Trou_noir_acoustique

Ce type d'expérience fonde des parrallèles, mais ne constitue pas de substitut matériel d'un phénomène sur l'autre. Le tout coincidant en un parrallèle théorique plus ou moins remarquable sans autre effet positif. Un peu comme les différences entre organes analogues et organes homologues...

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Juste une parenthèse que je referme ensuite pour ne pas dévier du sujet.

1. La possibilité de trouver des variables cachées non locales signifie en clair, que la non localité ou la violation de la localité ou séparabilité demeure dans tous les cas acquise. Point important.

2. La mesure récente du spin d'un neutron à 4cm de distance de la particule, montrant encore une fois la puissance de la MQ contre toute attente. Cette première observation du "Chat de Cheshire" confirme si nécessaire encore une fois la solidité du principe d'incertitude et des inégalités de Heisenberg... Considérée par les profanes comme une faille dans la mesure, alors qu'il s'agit bel et bien d'une indétermination causale et bien physique, confirmée à Vienne expérimentalement.

3. La masse d'une particule ne lui appartient pas, puisqu'elle lui est attribuée par le champs de Higgs. De même, sa position dépend de la fluctuation paramétrique de l'espace et est donc également un leurre.

N.8. : La physique macroscopique n'est pas plus "intuitive" que la physique subatomique. Puisque nous ne pouvons pas nous représenter une action à distance (de type gravitation) ou une courbure de l'espace-temps.

Je vais rouvrir la parenthèse:

1- Je n'en serai pas aussi certain, tout comme d'autres théories scientifiques ont été réfutées par la suite, alors que l'on été persuadé du bienfondé.

2- Les inégalité d'Heisenberg n'ont pas à être rejetées, au contraires elles s'expliquent facilement d'un point de vue plus mécaniste que purement quantique, bien que ce soit dû aux quanta: pour mesurer la position d'un objet on envoie une onde électromagnétique ou photon, mais pour connaitre la position la plus précise il nous faut une longueur d'onde la plus courte, ce qui corrélativement implique une énergie plus grande, donc un effet de mesure plus important sur la "cible", d'où le "paradoxe" des incertitudes d'autant plus que l'objet à mesurer est petit, peu massif. C'est comme si pour connaitre la position d'un petit objet j'envoyais une bille plus ou moins lourde sur lui, la précision de la mesure dépendant de la masse du vecteur, mais paradoxalement cette masse plus importante perturbe plus le système étudié. ( si l'impulsion du photon est h/λ et comme dans l'optique classique si on veut connaitre la position d'un objet il nous faut à minima une demi longueur d'onde, il vient que la position x l'impulsion donne h/λ x 1/2xλ si l'objet reçoit cette impulsion, sa quantité de mouvement va s'en trouver modifiée ainsi que sa position d'au moins la même quantité c'est à dire h/2, et à un coefficient près ce sont les incertitudes d'Heisenberg! ΔxΔp⩾ℏ/2 ).

3- Au même titre que la pondération appartenait aux champ gravitationnel coulombien, sauf que là c'est la masse elle même qui prendrait sa propriété avec le champ de Higgs, et non plus sur cette qualité comme dans le cas classique. Attention toutefois de ne pas confondre interprétation, explication théorique et réalité, si mathématiquement cela semble se passait ainsi avec le formalisme et les prévisions, cet intermédiaire ne nous garantie pas sa pertinence effective, mais seulement comme vecteur de compréhension, d'intelligibilité!

Reste à voir comment ce champ tord la trame de l'espace-temps, comment ce couplage s'opère?

N.B.: Sur ce point je suis d'accord, elle est tout aussi mystérieuse/obscure et donc insoutenable/insatisfaisante, les actions à distances ( EM ou gravitationnelles ), principalement attractives restent une énigme, quelque soit le système explicatif mis en oeuvre!

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
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L'intrication quantique a bien été démontrée de façon très puissante et expérimentalre jusqu'à cent écart type. Et l'onde pilote théorique ne change rien à cette réalité, quand bien-même elle serait confortée un jour (?)...

Si encore on comprenait parfaitement ce qu'est l'intrication quantique on pourrait être plus sûr d'un tel engagement! L'onde pilote n'a de ceci de remarquable, n'ont pas qu'elle ait une réalité ce n'est qu'une théorie explicative, mais qu'elle nous situe dans une approche déterministe!

Pour ma part, l'intrication n'a purement et simplement rien de mystérieux, j'ose avancer l'idée que dès le départ les particules couplées/intriquées sont dans des états parfaitement déterminés, mais que nous ne sommes pas capables de les visionner avant la mesure finale, ça serait un peu comme dans un puzzle, où il y aurait 2 pièces s'emboitant l'une dans l'autre et projetées loin l'une de l'autre, il n'y a donc aucune surprise à connaitre les propriétés de l'une connaissant l'autre, simplement on ne sait pas quel couple est parti avant la mesure! Et que donc il n'y a strictement aucun transfert instantané d'informations ou de tunnel spatio-temporel ( trou de ver ) entre les dites particules intriquées, et sans même les effets quantiques, on ne se méfie jamais assez des probabilités et des statistiques, il y a de nombreux ouvrages qui traitent de la question, déjà d'un point de vue classique.

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Membre, Posté(e)
Carlo22 Membre 8 messages
Baby Forumeur‚
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Les réalistes ont du plier lorsque Aspect, et après lui de nombreux chercheur ont vérifié la MQ de façon toujours de plus en plus rigoureuse.

Rigoureusement, la violation des inégalités de Bell est

- le résultat d'un "calcul" quantique réalisé à partir de la fonction d'onde (d'où l'interprétation)

- ça n'apparait pas être une somme de "mesures expérimentales" brutes.

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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Si encore on comprenait parfaitement ce qu'est l'intrication quantique on pourrait être plus sûr d'un tel engagement! L'onde pilote n'a de ceci de remarquable, n'ont pas qu'elle ait une réalité ce n'est qu'une théorie explicative, mais qu'elle nous situe dans une approche déterministe!

Tu prends le problème à l'envers. Il faut d'abord avoir envie d'une physique déterministe, et le prouver. Mais cela est une erreur de raisonement. Ce sont les résultats qui déterminent la physique, autrement, les attentes ne signifient pas une démonstration d'elles-mêmes.
Pour ma part, l'intrication n'a purement et simplement rien de mystérieux, j'ose avancer l'idée que dès le départ les particules couplées/intriquées sont dans des états parfaitement déterminés, mais que nous ne sommes pas capables de les visionner avant la mesure finale, ça serait un peu comme dans un puzzle, où il y aurait 2 pièces s'emboitant l'une dans l'autre et projetées loin l'une de l'autre, il n'y a donc aucune surprise à connaitre les propriétés de l'une connaissant l'autre, simplement on ne sait pas quel couple est parti avant la mesure! Et que donc il n'y a strictement aucun transfert instantané d'informations ou de tunnel spatio-temporel ( trou de ver ) entre les dites particules intriquées, et sans même les effets quantiques, on ne se méfie jamais assez des probabilités et des statistiques, il y a de nombreux ouvrages qui traitent de la question, déjà d'un point de vue classique.

Ton approche est simplement marquée par ton ignorance des détails théoriques et expérimentales sur la question. Il serait fastidieux de vouloir expliquer ici que l'idée de l'état des particules intriquées n'est pas fixé au moment de l'intrication. Cela est clairement vérifié comme faux. Non seulement la MQ est formelle, mais nous avons même réalisé en laboratoire la démonstration expérimentale confortant la réalité de la superposition des états. Par ailleurs, il n'existe pas d'autre physique que la MQ permettant de décrire ce qui se passe à cette échelle. Les inégalités de Bell consistent justement à vérifier l'idée que la MQ ne permettrait pas de prédire l'état des particules dès le départ à cause de l'ignorance d'une variable cachée. C'est très précisément cette idée que l'état serait fixé dès le départ qui a été infirmé par leur violation.
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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Je vais rouvrir la parenthèse:

1- Je n'en serai pas aussi certain, tout comme d'autres théories scientifiques ont été réfutées par la suite, alors que l'on été persuadé du bienfondé.

On ne peut pas rejeter une théorie de cette puissance de précision (vérifiée jusqu'à cent écart type) avec l'a priori qu'elle peut être fausse. Pour la dire fausse, il faut la réfuter. Elle est infiniment plus puissante que la théorie de l'évolution par exemple...
2- Les inégalité d'Heisenberg n'ont pas à être rejetées, au contraires elles s'expliquent facilement d'un point de vue plus mécaniste que purement quantique, bien que ce soit dû aux quanta: pour mesurer la position d'un objet on envoie une onde électromagnétique ou photon, mais pour connaitre la position la plus précise il nous faut une longueur d'onde la plus courte, ce qui corrélativement implique une énergie plus grande, donc un effet de mesure plus important sur la "cible", d'où le "paradoxe" des incertitudes d'autant plus que l'objet à mesurer est petit, peu massif. C'est comme si pour connaitre la position d'un petit objet j'envoyais une bille plus ou moins lourde sur lui, la précision de la mesure dépendant de la masse du vecteur, mais paradoxalement cette masse plus importante perturbe plus le système étudié. ( si l'impulsion du photon est h/λ et comme dans l'optique classique si on veut connaitre la position d'un objet il nous faut à minima une demi longueur d'onde, il vient que la position x l'impulsion donne h/λ x 1/2xλ si l'objet reçoit cette impulsion, sa quantité de mouvement va s'en trouver modifiée ainsi que sa position d'au moins la même quantité c'est à dire h/2, et à un coefficient près ce sont les incertitudes d'Heisenberg! ΔxΔp⩾ℏ/2 ).
Ici encore, tu fais une lecture profane. Les inégalités d'Heisenberg ne consistent pas en l'idée d'une incertitude dans la mesure, mais bien d'une rupture physique irrévocable. La position d'une particule n'est ainsi pas déterminée jusqu'au moment de la mesure. J'ai plus haut mentionné la mesure du spin d'un neutron à 4 cm de la particule. Aussi troublant que cela puisse paraitre, les inégalités ne sont pas une erreur ou une perturbation due à la mesure.
3- Au même titre que la pondération appartenait aux champ gravitationnel coulombien, sauf que là c'est la masse elle même qui prendrait sa propriété avec le champ de Higgs, et non plus sur cette qualité comme dans le cas classique. Attention toutefois de ne pas confondre interprétation, explication théorique et réalité, si mathématiquement cela semble se passait ainsi avec le formalisme et les prévisions, cet intermédiaire ne nous garantie pas sa pertinence effective, mais seulement comme vecteur de compréhension, d'intelligibilité!

Reste à voir comment ce champ tord la trame de l'espace-temps, comment ce couplage s'opère?

A de très hautes energies, la notion de masse, de spin et de position se dissipent. La masse est attribuée après le mur de Planck après la rupture de symétries.
N.B.: Sur ce point je suis d'accord, elle est tout aussi mystérieuse/obscure et donc insoutenable/insatisfaisante, les actions à distances ( EM ou gravitationnelles ), principalement attractives restent une énigme, quelque soit le système explicatif mis en oeuvre!

De telles ondes ne sont qu'une version moderne des épicycles de Cepernic. Les interférences rendraient impossible de vérifier l'état d'intrication de deux photons sur une distance de 17 km à tarvers une infinité d'interférences.

Rigoureusement, la violation des inégalités de Bell est

- le résultat d'un "calcul" quantique réalisé à partir de la fonction d'onde (d'où l'interprétation)

- ça n'apparait pas être une somme de "mesures expérimentales" brutes.

Il s'agit d'une mesure statistique d'une très haute précision. Une précision qui n'a que très peu de concurrents, toutes théories confondues.
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Membre, Posté(e)
Carlo22 Membre 8 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il s'agit d'une mesure statistique d'une très haute précision. Une précision qui n'a que très peu de concurrents, toutes théories confondues.

Pas compris ce qu'est dans ce domaine une "Mesure Statistique" :

- une moyenne de mesures expérimentales sur une échantillon (et lequel) ?

- une mesure corrigée de son imprécision de mesure ?

- le résultat d'un calcul quantique ?

- autre ?

Pourriez-vous préciser ?

Merci

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Je ne parviens pas à me faire comprendre manifestement. Je vais encore reformuler autrement... Disons que la fin de l'existence c'est l'instant exact ou tu te trouves, ok ? Le futur n'existant pas, tu ne peux pas le considérer comme éternel ou infini. Tu peux juste l'imaginer, or cette image sera purement illusoire. La seule certitude étant l'instant exact ou tu te trouve.

L'instant exact est éternel puisqu'il se renouvelle perpétuellement sans se répéter .

L'existence n'est pas éternelle, puisque le futur n'existe pas. Il est perpétuellement condamné à être limité par le présent.

Qu'est-ce pour toi le présent si ce n'est le perpétuel recommencement de ce qui est différent à l'infini ? un moment fugace d'éternité , n'est-ce pas ?

Le moment présent est l'exact point de ce qui est vraiment , car il change perpétuellement

Oui, mais lorsque nous décortiquons tout, le temps qui est une mesure de la quantité d'événements n'existe pas par soi, l'espace qui n'est pas séparé et qui s'étend n'existe pas par soi, et les particules dont aucune des propriétés ne lui appartient n'existe pas en soi. Donc, tout émerge à partir du néant. Absolument rien n'est existant par soi.

Allons ! même si tout ce que tu dis n'est que pure spéculation de ta part, je vais rentrer dans ton jeu et affirmer que rien n'est existant par soi comme tu l'affirmes , sans aucune preuve.

Quand tu dis que tout émerge du néant, c'est que tu le tiens pour émergence de ce qui est !

Comment le néant peut-il exister par soi^^, par lui même ? puisque c'est la notion de non-existence et de propriété absolue !!! et que tu affirmes que rien n'existe par soi en plus ...

L'émergence serait-elle la seule qui existe par soit ?

Mais le temps n'existe pas indépendament de l'émergence de l'espace. Donc, le tenir pour existant en soi est une erreur.

Ai-je dis le contraire ? Non

Mais même quand il n'y a pas de temps , il y a quand même existence .

Est-ce que l'instant présent fait parti du temps et comment le définis-tu ?

Existe-il en lui même ? est-il hors du temps ?

Attention , le moment présent est plus que particulier, il est insaisissable..

Pour finir , le point faible de ton argumentation , lorsque tu sembles mettre en avant les théories scientifiques , ce que je partage pleinement,

est le fait que tu emploies le terme "néant" qui n'a aucune valeur scientifique !

La science et les scientifique ne partent pas de cela pour expliquer l'émergence de quoi que ce soit !

là , c'est ton délire perso..

Pour t'aiguiller un peu , la science parle par ex. de (cf R.Brout, F.Englert, E.Gunzig) de Bootstrap géométrico-matériel

mais qui n'est que le fruit des fluctuations du vide quantique (déjà existant) , exit le néant en science ...

Modifié par pascalin
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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Un instant perpétuel c'est quoi si il n'y a pas d'observateur ? Rien...

Par néant, j'entends ce qui est indépendant du temps, de l'espace et des lois qui émergent selon les processus quantiques.

Modifié par Frelser
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Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Pas compris ce qu'est dans ce domaine une "Mesure Statistique" :

- une moyenne de mesures expérimentales sur une échantillon (et lequel) ?

- une mesure corrigée de son imprécision de mesure ?

- le résultat d'un calcul quantique ?

- autre ?

Pourriez-vous préciser ?

Merci

Il s'agit de la mesure de faisceaux de probabilités intégrant les limites de pertubations des polariseurs et filtres, afin de déterminer si la marge de déviation nécessaire si la MQ était incomplète se révèle, en sorte que l'existence de la variable cachée soit vérifiable. Or, les prédictions de la MQ ont été confirmées jusqu'à cent écart type infirmant l'hypothèse de variables cachées (locales). Modifié par Frelser
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 079 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

L'expérience d'Aspect consiste à mesurer la polarisation de deux photons émis simultanément.

Ils sont émis entre états de même moment orbital et de même spin.

Dans un des montages de l'expérience, la détection du photon A dans un état de polarisation verticale implique une polarisation verticale du photon B parce que le moment angulaire total doit être nul.

Selon l'école de Copenhague, on connait seulement la probabilité qu'un photon soit détecté dans un état de polarisation donné et la direction de polarisation n'est pas prédéterminé par une propriété avant la mesure.

Selon Einstein, le comportement de polarisation de chaque photon est gouverné par une variable cachée.

Il y a d'énormes problèmes techniques pour la réalisation de cette expérience théorique,

Les analyseurs de polarisation ne sont pas parfaits et des photons polarisés verticalement passent dans le canal horizontal et vice versa

Ils doivent être de taille finis et ne peuvent capter tous les photons émis par la source

etc...

Limitations qui ont empêché l'expérience de se dérouler pendant longtemps

Un groupe de chercheurs est parvenu à affiner les contraintes expérimentales pour une vérification des inégalités de Bell qui trancherait cette question en n'impliquant pas une parfaite corrélation entre les photons.

Beaucoup plus facile à vérifier expérimentalement... ce qui fait que cela a été la première expérience avec une mesure de la violation des inégalités de Bell plus faible que celles qui ont suivi

Une équation a été tirée de ces travaux permettant de s'appliquer à une expérience non idéale (et depuis, ces conditions expérimentales ont énormément évolué, renforçant le degré de certitude des conclusions)

Bref, les analyseurs de polarisation étaient des cubes de polarisation en collant deux prismes diélectriques l'un contre l'autre.

L'avantage de ces cubes est que la lumière polarisée verticalement et horizontalement est réfléchie, ce qui permet de séparer les composantes de la lumière avant qu'ils n'atteignent les 4 photomultiplicateurs

Et le point important de l'expérience est que pour traverser les 13m entre les détecteurs, il faut 40nanosec pour passer d'un cube à l'autre alors que le circuit expérimental à une fenêtre de 20nanosec

Ce qui signifie que toute communication entre les photons doit être supérieure à la vitesse de la lumière...

Bien, pour expliquer le principe de l'expérience, il faut comprendre que le but est de trouver des équations, des inégalités, que doivent mathématiquement respecter les corrélations mesurées sur ces paramètres des deux particules intriquées sans qu'elles ne puissent communiquer l'une avec l'autre.

Ces corrélations seraient si elles existaient liés à des variables cachées.

Et c'est donc les inégalités de Bell qui définissent ces relations.

bien.

En utilisant les angles de 0°, 22.5°, 45° et 67.5°, l'équipe d'Aspect a obtenu Sexp =2.404 +/- 0.080, ce qui est en accord avec les prédictions de la MQ (2.448) et ce qui viole les inégalités dont j'ai parlé précédemment à l'époque de 5 écarts type (racine carré du carré des écarts à la moyenne)

Alors, mon opinion sur l'interprétation de cette violation démontrée sans l'ombre d'un commencement de doute...

Les inégalités de Bell peuvent être violées ce qui démontre qu'il n'y a pas ces variables cachées qui expliqueraient ces "corrélations" autrement que par ce principe d'une physique non locale et donc qu'il existe bien un rapport entre deux particules qui est "supra luminique" ou plus exactement indépendant des contraintes spatiales.

C'est un fait.

Selon moi et juste selon moi, c'est une preuve probante que l'interprétation de l'école de Copenhague est la bonne mais cette école ne prétend pas répondre sur la nature précise de ce lien non local et laisse donc planer des zones d'ombres qui seront donc en tout cas non déterministes.

La nature de ce lien reste impossible à saisir.

Pour d'autres, ils n'ont pas renoncé à une forme de variables cachées mais ils admettent tous néanmoins que les travaux d'Aspect amènent de très grandes difficultés pour ceux qui pensent encore à ce déterminisme et à ce respect de la localité.

Le débat n'est donc pas clôt définitivement.

Mais dans ce match, à la 70ème minute, Copenhague 1 - 0 Reste du monde.

Il est donc temps de marquer des buts expérimentaux probants.

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