J'ai perdu ma joie de vivre

Bonjour,

Je partage avec vous ce que je ressent. A 28 ans, je me sens cassée, perdue...

Ça se voit et on me l'a fait savoir à maintes reprises que j'ai changé, j'ai perdu ma joie de vivre, j'ai la tête ailleurs et j'ai l'air très agitée.

Je suis beaucoup plus sensible. J'ignore ce qui m'arrive mais je n'ai plus autant confiance en moi alors que j'ai toute les raisons pour l'avoir !

Quand j'essaie de me consoler, il y a toujours quelqu'un pour me faire comprendre indirectement que je n'ai pas de raison d'avoir confiance ne moi. Quand je me console avec mon bac +5 ou mon parcours professionnel ou encore le dernier job que j'ai décroché (qui d'ailleurs est le job de mes rêves que j'ai fini par avoir), j'ai réussi à doubler mon salaire au bout de 4 ans d'expérience et pourtant....je me dis ce n'est rien.

Je me sens vide, sans utilité.

Quoi que je fasse, rien ne me console....et je suis touché facilement par les critiques alors que j'étais plus forte que ça.

Qu'est ce qui m'arrive ?

Je ne sais pas trop ce qui t'arrive. Mais peut-être que tu as besoin de quelqu'un dans ta vie (si jamais il y' en a pas). Peut-être que l'amour est une solution pour te redonner sourire et soif de vivre.

Je viens de rencontrer quelqu'un, en fait ma rencontre avec lui a coïncidé avec ma chute...même lui m'avait fait la remarque.

Il m'avait dit que j'avais changé par rapport au 1er jour qu'il m'avait croisé.

Je ne souri plus, je suis agitée dans ma tête, très pensive...

Je ne sais pas ce que j'ai.

Vous êtes tout simplement malade, en dépression.

Je viens de rencontrer quelqu'un, en fait ma rencontre avec lui a coïncidé avec ma chute...même lui m'avait fait la remarque.

Il m'avait dit que j'avais changé par rapport au 1er jour qu'il m'avait croisé.

Je ne souri plus, je suis agitée dans ma tête, très pensive...

Je ne sais pas ce que j'ai.

Il doit forcément y a avoir un élément déclencheur. je me dis que ça ne pas t'arriver si soudainement sans aucune raison. Dans tous les cas, Je te propose (je ne sais si ça sera efficace) de sortir plus souvent avec ton ami, de détendre, savourer la vie quoi ! Bon courage

tu as besoin de soins sexuels !

Hello purple girl, je pense que tu as juste un passage à vide ;ça nous arrive à tous même aux plus fort !On se donne,on encaisse puis un jour arrive le point de rupture oú le corps et la tête dit stop !Je te conseillerai de te reposer,prendre des vacances,faire un travail sur toi même mais c'est loin d'être facile et ça prends du temps !Bon courage en espérant que tu ailles vite mieux.

Au contraire, je suis satisfaite sur le plan sexuel et perso.

Côté boulot, pas de problème....

Je dirais ce qui m'a travaillé au boulot c'est une collègue non qualifié (sans bac) qui avait le même statut que le mien alors qu'elle n'a jamais eu d'expérience auparavant. Elle m'a "cassé" pas mal de fois et me suis dites pas mal de fois...que même avec des études on peux être bête.

J'ai réussi à me convaincre que je ne valais rien.

je me dis quelque part que peut être c'est celà qui m'a travaillé ?

Sinon à part ça....chez moi, je ne suis plus aussi présente également, alors que j'ai des parents malades. mon attitude n'est vraiment pas normale !

Hello purple girl, je pense que tu as juste un passage à vide ;ça nous arrive à tous même aux plus fort !On se donne,on encaisse puis un jour arrive le point de rupture oú le corps et la tête dit stop !Je te conseillerai de te reposer,prendre des vacances,faire un travail sur toi même mais c'est loin d'être facile et ça prends du temps !Bon courage en espérant que tu ailles vite mieux.

oui je confirme, j'encaisse énormément depuis des mois....je sature en ce moment d'ailleurs.

les vacances c'est primordial pour l'équilibre

aussi dans la vie, j'essaie de ne pas trop me comparer aux autres et de faire mon petit bonhomme de chemin

j'avance ainsi plus sereinement dans la vie

c'est dingue mais je ne me reconnais plus.

Je ne me comparais jamais aux autres, j'ai toujours été heureuse dans ma tête, satisfaite mais bizarrement...j'ai changée.

Il doit forcément y a avoir un élément déclencheur.

Si c'est de la dépression ou une autre maladie mentale, il n'y a pas forcément d'élément déclencheur. Dans la bipolarité par exemple, la tristesse surgit subitement sans pourtant qu'il y ait une cause ou une raison.

c'est dingue mais je ne me reconnais plus.

Je ne me comparais jamais aux autres, j'ai toujours été heureuse dans ma tête, satisfaite mais bizarrement...j'ai changée.

Je vous conseil de prendre un rendez-vous chez un psychiatre.

De même je vous conseil de vous regardez un peu moins et de moins pensez à vous mais plutôt à vos projets futurs.

Il te faut un projet qui te change les idées ;bébé ,mariage ,changement de domicile et tant pis pour l'autre venge t'en d'une manière ou d'une autre et rends lui ses méchancetés :à la guerre comme à la guerre ;Allez courage et prends moralement du recul ,fais intérieurement la chasse aux mauvaises pensées qui te parasitent et vire les consciemment de ton esprit .Quant à toi tu m'as l'air fatiguée .Prends du temps pour toi seule et va quelques jours à l'hôtel et fais toi servir un peu ça fait du bien .

Mariage et bébé en pleine déprime : Querida, je te décerne la palme

Rien de pire pour rendre tout le monde malheureux, en plus de soi-même.

De ce que je lis ça fait très dépression passagère, qu'il ne faut pas laisser s'installer. Faut consulter, même un bon généraliste pourra te donner un avis.

Bon courage!

Les généralistes sont vraiment pas bons dans la dépression, ils ont peu de notion, c'est bien pour ceci que les psychiatres font encore un grand nombre d'études après généraliste pour devenir psychiatre.

Après querida a raison dans le sens du changement, ne serait-ce un déménagement, si tu vis encore chez tes parents ceci peut en être la cause, une sorte d'étouffement.

c'est dingue mais je ne me reconnais plus.

Je ne me comparais jamais aux autres, j'ai toujours été heureuse dans ma tête, satisfaite mais bizarrement...j'ai changée.

:(

Re-bonsoir Purple.

(Désolée d'avance pour le manque de structure dans le post^^)

Bon, envoie bouler ta collègue, en te conduisant de manière professionnelle, TOI! Elle n'a rien à te dire de tel! ! Comment a-t-elle fait pour avoir le même poste qu'un bac+5 avec 4 ans d'expérience (désolée de te décrire comme ça) sans avoir ni diplôme(s) ni d'expérience?

Tu n'as pas à te laisser faire.. Ce qu'elle fait là est complètement irrespectueux et inapproprié. Je pense que tu peux trouver une manière de lui dire, tout en restant à ta place de "collègue", t'adresser à elle avec le plus grand calme possible et lui dire que tu n'as pas à entendre son avis personnel concernant l'intelligence ou non de telle ou telle personne en fonction du nombre de ses diplômes. Que même si effectivement on peut être bête en ayant fait des études, on aura eu au moins l'intelligence de se mettre un maximum de chances de réussir dans sa vie professionnelle en cumulant études et expériences sur le terrain, ce qui démontre une certaine intelligence quelque part. Tu peux clore la discussion simplement en mettant en évidence que vous n'êtes pas employées pour papoter mais pour faire telle ou telle chose (et donc bifurquer sur un sujet de discussion qui concerne directement votre job, de cette manière, la mettre mal à l'aise en démontrant ton professionnalisme).

Ensuite, je pense que peut-être que ce comportement t'a beaucoup touché à cause de l'importance que tu sembles donner à ton travail.. C'est à dire que c'est l'une des premières choses que tu cites dans ton post.. Peut-être que tes études, ton taff, ton avancée professionnelle, ont pris une telle place qu'une grande partie de ta personnalité et ta confiance en toi s'est forgée grâce à ça. Et que la remarque de ta collègue t'a fait te remettre en question sur ta propre valeur puisque tu ne l'aurais vue que par ça. Et que maintenant, n'importe quelle remarque négative que tu aurais vue comme étant "constructive" (un peu comme un challenge), tu la vois comme une tentative de te faire du mal ou que tu n'es pas capable de faire telle ou telle chose, ... Ou peut-être que le job de tes rêves n'est pas aussi bien que tu l'avais imaginé et que ça te "mine"?

(Peut-être que je me trompe ou que je vais "trop loin" dans ce que je t'écris mais j'imagine que tu comprendras ce que je veux dire).

Comment tu peux dire que décrocher le job de tes rêves, doubler ton salaire, avoir fait des études, ce n'est "rien"?!

Tu dis que tu es vide, sans utilité.. Je ne te connais pas donc je ne sais pas mais, essaie d'avoir un regard objectif sur toi... Comment pourrais-tu être "sans utilité"? Sérieusement? Essaie de réfléchir, à ce que tu apportes aux autres. Dans le domaine pro mais aussi personnel.

Peut-être que l'état de santé de tes parents t'atteint beaucoup, et que tu te sens "égoïste" d'être mal pour "des détails" (comparé à la maladie), et que tu culpabilises?

Tu dis qu'avant tu étais plus forte que maintenant face aux critiques.. A mon avis, il y a un moment où on finit par saturer.. On se croit fort, on se croit parfaitement heureux, on se croit intouchable, et à un moment.. On est touché. On se construit une carapace qui nous protège de tout, et qui à force d'être ébréchée, finit par céder à certains points.. De là, le mal entre, et reste enfermé avec nous.. Peut-être que maintenant que tu en es arrivée où tu le voulais, tu as soufflé et t'es rendue compte de certaines choses qui n'allaient pas fort, ..

Peut-être qu'il y a eu quelque chose que tu as considéré comme anodin et qui t'a profondément blessée.

Peut-être qu'à force de te dire que tu allais mal, tu l'es de plus en plus, en ayant fini par accepter cet état d'esprit. Peut-être qu'à force d'être "hermétique" aux attaques tu n'as pas appris à t'en défendre sans que cela te touche.

Ce ne sont que des suppositions et non des affirmations bien sûr. J'espère que tu comprendras bien mon intention et ne prendra pas mal ce post, si c'est le cas et qu'une phrase te fait "tiquer", cite la et je reformulerai

Je pense sérieusement prendre rendez vous très prochainement, en espérant que ça va m'éclaircir les idées dans la tête.

Pour la collègue, je ne travaille plus avec mais ses méchancetés me hantent toujours....Sinon, j'avoue que parfois j'ai envie de tout arrêter avec mon partenaire car je pense que mon épanouissement repose sur ça : m'éloigner, me consacrer à mes propres projets...etc.

Mais si je réfléchi ainsi je ne pourrais jamais être en couple ! J'estime que j'ai encore beaucoup de choses à réaliser seule mais en même temps avoir un homme dans ma vie qui m'aime et que j'adore est primordiale pour moi.

J'en suis arrivé à un stade ou je ne sais plus ce que je veux.

JAMAIS je n'ai été comme ça. J'ai toujours su ce que je voulais, je me battais pour l'avoir et je réussissais mais là...je suis perdue.

Mon partenaire je l'aime et je souffrirais terriblement si je le quittais pour me consacrer à moi même.

:(

Re-bonsoir Purple.

(Désolée d'avance pour le manque de structure dans le post^^)

Bon, envoie bouler ta collègue, en te conduisant de manière professionnelle, TOI! Elle n'a rien à te dire de tel! ! Comment a-t-elle fait pour avoir le même poste qu'un bac+5 avec 4 ans d'expérience (désolée de te décrire comme ça) sans avoir ni diplôme(s) ni d'expérience?

Tu n'as pas à te laisser faire.. Ce qu'elle fait là est complètement irrespectueux et inapproprié. Je pense que tu peux trouver une manière de lui dire, tout en restant à ta place de "collègue", t'adresser à elle avec le plus grand calme possible et lui dire que tu n'as pas à entendre son avis personnel concernant l'intelligence ou non de telle ou telle personne en fonction du nombre de ses diplômes. Que même si effectivement on peut être bête en ayant fait des études, on aura eu au moins l'intelligence de se mettre un maximum de chances de réussir dans sa vie professionnelle en cumulant études et expériences sur le terrain, ce qui démontre une certaine intelligence quelque part. Tu peux clore la discussion simplement en mettant en évidence que vous n'êtes pas employées pour papoter mais pour faire telle ou telle chose (et donc bifurquer sur un sujet de discussion qui concerne directement votre job, de cette manière, la mettre mal à l'aise en démontrant ton professionnalisme).

Ensuite, je pense que peut-être que ce comportement t'a beaucoup touché à cause de l'importance que tu sembles donner à ton travail.. C'est à dire que c'est l'une des premières choses que tu cites dans ton post.. Peut-être que tes études, ton taff, ton avancée professionnelle, ont pris une telle place qu'une grande partie de ta personnalité et ta confiance en toi s'est forgée grâce à ça. Et que la remarque de ta collègue t'a fait te remettre en question sur ta propre valeur puisque tu ne l'aurais vue que par ça. Et que maintenant, n'importe quelle remarque négative que tu aurais vue comme étant "constructive" (un peu comme un challenge), tu la vois comme une tentative de te faire du mal ou que tu n'es pas capable de faire telle ou telle chose, ... Ou peut-être que le job de tes rêves n'est pas aussi bien que tu l'avais imaginé et que ça te "mine"?

(Peut-être que je me trompe ou que je vais "trop loin" dans ce que je t'écris mais j'imagine que tu comprendras ce que je veux dire).

Comment tu peux dire que décrocher le job de tes rêves, doubler ton salaire, avoir fait des études, ce n'est "rien"?!

Tu dis que tu es vide, sans utilité.. Je ne te connais pas donc je ne sais pas mais, essaie d'avoir un regard objectif sur toi... Comment pourrais-tu être "sans utilité"? Sérieusement? Essaie de réfléchir, à ce que tu apportes aux autres. Dans le domaine pro mais aussi personnel.

Peut-être que l'état de santé de tes parents t'atteint beaucoup, et que tu te sens "égoïste" d'être mal pour "des détails" (comparé à la maladie), et que tu culpabilises?

Tu dis qu'avant tu étais plus forte que maintenant face aux critiques.. A mon avis, il y a un moment où on finit par saturer.. On se croit fort, on se croit parfaitement heureux, on se croit intouchable, et à un moment.. On est touché. On se construit une carapace qui nous protège de tout, et qui à force d'être ébréchée, finit par céder à certains points.. De là, le mal entre, et reste enfermé avec nous.. Peut-être que maintenant que tu en es arrivée où tu le voulais, tu as soufflé et t'es rendue compte de certaines choses qui n'allaient pas fort, ..

Peut-être qu'il y a eu quelque chose que tu as considéré comme anodin et qui t'a profondément blessée.

Peut-être qu'à force de te dire que tu allais mal, tu l'es de plus en plus, en ayant fini par accepter cet état d'esprit. Peut-être qu'à force d'être "hermétique" aux attaques tu n'as pas appris à t'en défendre sans que cela te touche.

Ce ne sont que des suppositions et non des affirmations bien sûr. J'espère que tu comprendras bien mon intention et ne prendra pas mal ce post, si c'est le cas et qu'une phrase te fait "tiquer", cite la et je reformulerai

Je comprends ton point de vue.

Elle m'a beaucoup touché la personne qui travaillais avec moi, d'ailleurs quand j'ai débarqué dans l'entreprise, elle était que 'intérimaire le temps qu'on me recrute :) j'ai fais mes preuves, elle aussi mais il n'était pas question de la garder.

Elle m'a toujours considéré comme menace et n'a jamais accepté que je soit là.

Elle faisait tout pour me convaincre que je ne valais rien.

Elle as fini par être confirmé au poste en ayant le même intitulé de poste, chose qui m'a déplu car j'estime que ça n'est pas mérité pour quelqu'un qui n'a jamais eu de formation et qui apprends dans le tas.

Il faut dire que ca n'est pas du tout valorisant de se retrouver avec quelqu'un de non qualifié, qui apprends tout de vous et ne se montre aucunement reconnaissant, vous pique vos bonnes habitudes au travail et excelle grâce à vous mais PERSONNE ne le sait ou ne voit ça.

Ce n'est pas valorisant du tout, j'ai fini par me convaincre que n'importe qui pourrait faire mon travail si ça se trouve même si au fond c'est fond....elle a été assez chanceuse pour se retrouver entre de bonnes mains (mis à part moi, il y avait une autre collègue plus expérimenté que moi mais qui est partie)

OUI, le travail et les études ont contribué à me forger....ça me touche.

Si vous avez des projets, alors prenez du temps pour vous en occuper.

Avec ou sans votre partenaire.

Les généralistes sont vraiment pas bons dans la dépression, ils ont peu de notion, c'est bien pour ceci que les psychiatres font encore un grand nombre d'études après généraliste pour devenir psychiatre.

Après querida a raison dans le sens du changement, ne serait-ce un déménagement, si tu vis encore chez tes parents ceci peut en être la cause, une sorte d'étouffement.

Un bon généraliste peut poser un diagnostic et orienter correctement ; tous les psy ne sont pas adaptés.

Quant au changement, je suis d'accord mais l'option bébé quand on n'y voit pas bien clair n'est pas la meilleure.

Un bon généraliste peut poser un diagnostic et orienter correctement ; tous les psy ne sont pas adaptés.

Les généralistes ne connaissent pas suffisamment les anti-dépresseurs contrairement aux psychiatres. Et il y a peu de chance que les généralistes prescrivent les bons anti-dépresseurs.

Pour avoir connu la dépression, je pensais la même chose que mon généraliste allait me traiter, les anti-dépresseurs qu'il m'a donné m'ont donné l'effet inverse, plus j'en prenais et plus je déprimais.

Quand un psy, bien sure qu'il est plus adapté, puisque c'est sa spécialité. Ce serait comme dire qu'un généraliste est aussi bon qu'un pneumologue pour soigner un cancer des poumons, c'est évidemment faux. Un généraliste connait globalement la médecine mais il n'est pas spécialiste. Le psychiatre fait au moins 10 années d'études, tant le cerveau est complexe.

De plus jamais un bon généraliste posera un diagnostique, si il le fait, il faut fuire votre généraliste.