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Le cercle vicieux des pensées moribondes !

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deja-utilise

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Ca doit être quelque chose d'assez étrange de mourir, se déconnecter du monde a jamais ...

Pour moi la mort c'est le sens de la vie, le reste c'est de l’improvisation. Je pense a tous ces gens qui sont mort dans l’anonymat le plus complet mais les livres d'histoire retiennent les grand lignes de notre époque... qu'est ce que l'histoire retiendra de mon époque ?

Qu'est ce que j'aimerais une société dont un but commun serait d'aller vers quelque chose de plus grand, permettant de créer une force collective... la conquête de l'espace, la philosophie,l'art, les sciences dures, j'aimerais être la quand les scientifiques découvriront la théorie de l'unification... ca me botterait d'appartenir à cette époque ...

Nous faisons déjà quelques choses communément, celles de prospérer, de nous reproduire, de conquérir, de dépasser, de dominer, de toujours aller plus loin, toujours plus, une soif insatiable de pouvoir, de puissance, l'avarice de l'ascendance.

Nous sommes la génération de tous les essais, les échecs, les fausses routes, de l'excès, voilà ce que l'histoire retiendra de nous, une totale immaturité incohérente avec la place que nous assignons sur cette planète qui n'est pas la nôtre, mais celle de tous les organismes vivants, y compris nous.

Donc dans quelques siècles on appellera cette période non contemporaine, mais celle de la désillusion ou rétro-moderne!

En conclusion nous sommes mortels et le resterons.

Et pour les questions suivantes, pas de réponse, ok.

A priori, les articles non pas été lus...

Je prends congé du sujet.

?

Je suis navré que ma réponse à ton questionnement principal ne te sied pas.

Je n'ai manifestement pas sustenté ton besoin, mea culpa, il n'y a aucun vice ou fourberie là-dedans, puisque c'est un espace d'échanges, il n'est jamais trop tard pour bien faire, on ne réussi pas toujours du premier coup.

Et moi aussi, ici même je n'ai pas reçu de réponses à toutes mes questions, et comme il n'y a pas d'obligation à le faire, uniquement de la bonne volonté, personne n'est condamnable, mais je comprends que cela puisse être frustrant, encore une fois ce n'était pas mes intentions.

Merci quand même pour ta participation...

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

A part sur radio nostalgie on n'entend plus jamais

ni Brassen ni le Brel ni Trenet ni Barbara (La liste serait trop longue).

Il y a aussi RTL2 ou RFM qui repassent des moment d'anthologie musicale, Nostalgie n'en ayant pas l'exclusivité!

"Comment taire" la mort sinon que d'en parler ?

Et "que philosopher c'est apprendre à mourir."

Ça t'a bien plus apparemment, heureusement que la fonction première de la philosophie n'est pas de nous apprendre à mourir, ni dignement, ni autrement, mais plutôt de prendre ce qui peut l'être avant notre retour dans le cycle de la vie.

Les morts eux seuls ne craignent plus la mort.

Et ça nous fait une belle jambe !

Je rajouterai que ceux qui ne sont pas encore nés, ne craignent pas non plus de mourir.

Ça dépend si t'es une nénette ou pas, la belle jambe peut avoir son utilité mon cher!

Car bien plus que la mort c'est la vie qui m'étonne. .

Le cercle vicieux des pensées moribondes c'est que moi nul en math,

je soie mille fois meilleur compteur qu'un Einstein mort.

(...)

Et le mort n'est plus rien.

Le dernier vivant a toujours raison.

Ça me fait penser à ce qu'un type avait écrit sur un site anglophone de photographie amateur, " le pire appareil photo qui soit, est celui que l'on n'a pas! "

Modifié par deja-utilise
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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
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J'ai tendance à distinguer ces trois points : angoisse, peur et anxiété.

* l'angoisse est pour moi la sensation oppressante mi-psychologique mi-physique, quand les deux autres créent l'inconfort.

* l'anxiété est un état généralisé relativement chronique sans objet clairement défini,

* tandis que la peur a un objet précis.

Je reprends en ayant lu plus activement ta réponse, je ne sais pas si j'ai raison, mais c'est comme cela que le perçois, l'angoisse est liée à une peur à venir, comme pour un examen de type scolaire, c'est une sorte de prémisse de la peur, les soubresauts annonciateurs du séisme potentiel à venir.

La peur n'est pas toujours aussi "localisée", les enfants qui ont presque tous peurs du noir, de l'obscurité, ce n'est qu'un intermédiaire, qui ne représente rien en lui-même, mais plutôt un effet conditionnant, comme le son d'un chien qui aboie me rappelle une expérience douloureuse avec un canidé, cela nous met dans une certaine disposition.

Cependant, je crois qu'il est possible, avec un travail de l'esprit, de se libérer de cette angoisse et peut-être plus profondément de cette peur ou anxiété. La philosophie (par l'épicurisme, par exemple ?), la religion (l'exemple du bouddhisme me vient à l'esprit), la méditation, etc. sont des moyens d'y parvenir.

On peut manifestement vaincre ses peurs les plus terrifiantes, car nous avons des exemples de personnes qui restent impassibles de leur propre mort, comme ceux qui s'immolent ( la jaquette de " rage against the machine " )

Rage+Against+The+Machine+-+Rage+Against+The+Machine.jpg

C'est une théorie plutôt empirique, j'en ai peur, du fait que j'ai pu me libérer de toute anxiété quand je travaillais en soins palliatifs, pourtant en état de dépression je sens cet instinct de survie me ramener à l'anxiété face au néant ou la peur de la douleur de ceux que j'aime, ce qui protège du passage à l'acte. Et l'on voit des gens capables de se libérer entièrement ou presque de tout cela.

La dépression est un phénomène pernicieux, comme les pensées funèbres de notre sujet, les évènements de la vie nous ramènent sans arrêt face à notre incapacité à les gérer sereinement, il faut un processus qui s'enclenche à l'inverse de l'autre, où l'effet boule de neige de sentiments négatifs seraient balancés par celui d'émotions positives, et une fois le seuil de l'équilibre atteint, le risque de chavirer/de déstabilisation par une pichenette sera suffisamment écarté, mais je pense que c'est comme une entorse ou une addiction, on peut malheureusement faire une rechute, d'où l'intérêt de conserver le mouvement qui aura réussi, en action.

Ce mouvement, c'est de faire des choses qui nous tiennent particulièrement à coeur, qui donnera le goût/l'envie de recommencer/de poursuivre le chemin, petit à petit, pierre après pierre, se reconstruire, jusqu'à ce que le résultat tienne debout assurément.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
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Pas d'objections, tu m'as convaincue :) il est peut être plus juste de penser en terme d'idéal que l'on se fixe, telle une ligne droite dont on souffrirait dès lors que l'on serait à côté d'elle et non sur elle. Le trop comme le pas assez ferait peur et ferait souffrir. Faut il alors modifier notre idéal ? Faut-il y renoncer ? Ou faut il faire confiance à nos peurs et les considérer au contraire comme des guides...?

Je dirai que cela dépend du tempérament et de la personnalité de l'individu, effectivement pour quelqu'un comme moi, les principes épicuriens me conviennent, mais je vois bien que ce n'est pas le cas de tout le monde, certains ont besoin pour se sentir vivre, d'être dans l'excès, le mouvement permanent ou que sais je, c'est un effet euphorisant, qui permet de ne pas penser en fin de compte.

Chacun voyant midi à sa porte, moi cigale préférant le préparer pour ne pas être pris au dépourvu le moment venu, quand d'autres fourmis se verront, et ce n'est pas un souhait de ma part, fort dépourvus face à leur heure venue!

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Invité
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Invité
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L’Homme est, on peut le supposer, le seul animal qui sache qu’il doit mourir. Ses luttes journalières compétitives, sa recherche du bien-être à travers l’ascension hiérarchique, son travail machinal accablant, lui laissent peu de temps pour penser à la mort, à sa mort. C’est dommage, car l’angoisse qui en résulte est sans doute la motivation la plus puissante à la créativité. Celle-ci n’est-elle pas en effet une recherche de la compréhension, du pourquoi et du comment du monde, et chaque découverte ne nous permet-elle pas d’arracher un lambeau au linceul de la mort ? N’est-ce pas ainsi que l’on peut comprendre qu’en son absence celui qui « gagne » sa vie la perd ?

(HL.)

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Invité Leveilleur
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Invité Leveilleur
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L’Homme est, on peut le supposer, le seul animal qui sache qu’il doit mourir.

(HL.)

Je pense exactement le contraire. Il est le seul animal qui l'oublie et qui chaque minute croit se souvenir qu'il ne mourra pas.

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quand j'écris que l'homme est le seul animal qu'il sait qu'il va mourir un jour. C'est par rapport aux autres animaux qui eux ne pensent pas qu'ils vont mourir un jour. ils n'anticipent pas sa mort. l'homme jeune pense rarement à sa mort. Mais arrivé à un âge avancé, on le voit consulter un notaire pour rédiger un testament.

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Invité Leveilleur
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Invité Leveilleur
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Je comprends ce que vous voulez dire...

Mais penser à rédiger son testament n'est pas penser à sa mort comme je l'entendais, et bien sûr, je ne suis pas d'accord avec ce que vous affirmez sur les animaux.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
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Je pense exactement le contraire. Il est le seul animal qui l'oublie et qui chaque minute croit se souvenir qu'il ne mourra pas.

Tu soutiens donc la croyance inverse de Lacan, cité par Anna Kronisme:

Et pour aller se le faire dire, c'est par ici : Jacques Lacan - La conférence, Louvain

Citation

«La mort est du domaine de la foi !...Vous avez bien raison de croire que vous allez mourir - bien sûr !... ça vous soutient !...Si vous n’y croyiez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous avez ?... Si on n’était pas solidement appuyés sur cette certitude que ça finira..., est-ce que vous pourriez supporter cette histoire ?... Néanmoins ce n’est qu’un acte de foi ...

Le comble du comble, c’est que vous n’en êtes pas sûrs ! »

Nous n'arrivons pas à nous ôter de la tête que nous ne pouvons pas mourir, que nous voulons y croire, quand bien même partout la réalité nous montre la mort.

Ça me plait bien, ce retournement.

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Invité Leveilleur
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Invité Leveilleur
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Tu soutiens donc la croyance inverse de Lacan, cité par Anna Kronisme:

Je soutiens donc la croyance inverse de Lacan si Lacan pensait bien que l'homme ne se croit pas immortel. A moins que Lacan ne parlait pas exactement de la même question, ou de la même profondeur de la question.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
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Je soutiens donc la croyance inverse de Lacan si Lacan pensait bien que l'homme ne se croit pas immortel.

Non/oui, d'après la citation, Lacan nous dit que nous croyons que nous allons mourir.

Je me méfie de la négation de la négation, qui n'est pas toujours l'élément positif qu'on lui attribue en général, comme dans je ne suis pas malheureux, qui n'implique pas d'être heureux, ou il ne fait pas froid, ne signifie pas qu'il fait chaud.

C'est pour cela que je reprends la formule dans le sens lacanien, qui sinon pourrait à partir de ta réponse être retranscrite en: nous sommes sûr d'être mortel par exemple, tu vois?

Modifié par deja-utilise
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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
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Non/oui, d'après la citation, Lacan nous dit que nous croyons que nous allons mourir.

Je me méfie de la négation de la négation, qui n'est pas toujours l'élément positif qu'on lui attribue en général, comme dans je ne suis pas malheureux, qui n'implique pas d'être heureux, ou il ne fait pas froid, ne signifie pas qu'il fait chaud.

C'est pour cela que je reprends la formule dans le sens lacanien, qui sinon pourrait à partir de ta réponse être retranscrite en: nous sommes sûr d'être mortel par exemple, tu vois?

De toute façon peu importe ce qu'en disait Lacan, nous ne parlons pas de la même chose.

Nous savons que nous allons mourir au niveau de la personne pensante, mais dans le secret des "autres en nous", il se dit que nous sommes immortels, la question est de connaître quel pourcentage de nos pensées, et de nos actes par conséquent, est influencé par le discours de la "personne" ou celui des "autres".

Et moi je dis que c'est le discours des "autres" en soi qui a l'avantage, un large avantage.

Bon si c'est trop tiré par les cheveux, laissons tomber, ça ne mérite pas plus que ça, je ne partage pas votre goût pour la quantité, vous le savez.

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  • 3 semaines après...
Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
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Lorsque l'on est jeune, la mort est certes préoccupante, mais en général assez vite éludée, pour se consacrer à ce qui nous procure du bienêtre, en vieillissant, notre corps ou celui des autres montrent des limites, des défaillances, nous rappelant l'horreur de notre finalité, ces pensées deviennent à leur tour source de questionnement, d'interrogations, qui nous poussent à y prêter attention de façon plus soutenue, ce qui était ignoré ou délaissé auparavant, se faisant, ces nouvelles situations à risques engendrent une réflexion plus poussée, ce qui enclenche un cycle infernal, et plus on y pense, plus le spectre de cette fin inéluctable se fait pressante!

Faut-il se forcer à ne pas y penser/songer pour notre propre bien, d'une certaine manière de redevenir insouciant, ou au contraire régler le problème à bras le corps, et regarder jusqu'où nos pensées nous entrainent, affronter et surmonter ses propres démons au risque d'en être obnubiler?

La pensée sur la mort nous rend plus humain. Nous comprenons mieux l'absurdité de briser un coeur ou de semer la haine. Si une vie est épuisée sans que nous n'ayons rien laissé de nous sur Terre, alors c'est que notre passage sur Terre a été vain. Mais si nous avons laissé des ponts, des puits, des sagesses derrière nous, alors nous continuons à exister à travers les gens même quand nous nous éteignons.
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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
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Cette idée de continuité me désole un peu.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

La pensée sur la mort nous rend plus humain. Nous comprenons mieux l'absurdité de briser un coeur ou de semer la haine. Si une vie est épuisée sans que nous n'ayons rien laissé de nous sur Terre, alors c'est que notre passage sur Terre a été vain. Mais si nous avons laissé des ponts, des puits, des sagesses derrière nous, alors nous continuons à exister à travers les gens même quand nous nous éteignons.

Dans ce cheminement, on voit qu'en arrière plan se situe une "finalité" à nos existences, or jusqu'à preuve du contraire, il n'en est rien.

La seule logique interne à la vie, c'est de se maintenir, par voie de reproduction, mais aucune destination particulière n'est à atteindre, hormis le maintien de la vie elle-même pour qu'elle perdure.

Que nos vies est servies ou pas à quelque chose, ne rentre pas en ligne de compte pour tout le monde, celui qui aura vécu en interagissant peu avec les autres et n'aura pas eu d'enfant, n'aura pas moins de valeur que celui qui aura laissé son nom à la postérité avec une myriade de gamins, une vie c'est une vie!

Que cela puisse soulager une personne en particulier je n'en doute pas, mais je m'interroge sur sa généralisation par jugement de valeur?

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 6 039 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Est ce à moi que cela s'adresse, parce que si c'est le cas, c'est chou blanc!

Que nous trouvions une ( bonne ) raison à notre existence est une chose, que nous ayons peur de mourir en est une autre, l'un n'excluant pas l'autre, si par exemple je suis convaincu que je suis né poussière et que je retournerai poussière, je ne vois pas en quoi, cela soulagera mes angoisses!?

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Invité Tarid
Invités, Posté(e)
Invité Tarid
Invité Tarid Invités 0 message
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Faut-il se forcer à ne pas y penser/songer pour notre propre bien, d'une certaine manière de redevenir insouciant, ou au contraire régler le problème à bras le corps, et regarder jusqu'où nos pensées nous entrainent, affronter et surmonter ses propres démons au risque d'en être obnubiler?

Se forcer est la pire chose que je connaisse.

Je connaissais un professeur de développement personnel qui disait méditer sur la mort, c'est méditer sur sa vie. En gros prendre conscience que l'on va mourrir nous ferai mieux réussir notre vie

Modifié par Tarid
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