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Accepter la mort


Titsta

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Invité Leopardi
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Invité Leopardi
Invité Leopardi Invités 0 message
Posté(e)

Scénon,

Ce qui me semble invraisemblable voire simplement faux, ce n'est pas l'absence de souffrance, qui est concevable, c'est que les hommes aient abandonné leur passion pour une vie sans souffrance, au regard de la médecine par exemple, que vous-même évoquiez. Je me demandais donc ce qui vous le faisait dire, tant il me semble évident que l'inverse est vrai : les hommes s'évertuent à combattre la souffrance, à nier l'âge et à refouler la mort.

Pour ce qui est de la civilisation, les mots s'usent et je ne sais pas quelles expériences définissent la notre.

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Membre, Posté(e)
Scénon Membre 3 641 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
Ce qui me semble invraisemblable voire simplement faux... c'est que les hommes aient abandonné leur passion pour une vie sans souffrance... Je me demandais donc ce qui vous le faisait dire, tant il me semble évident que l'inverse est vrai...

Je n'ai eu qu'à parcourir une nouvelle fois les interventions faites ci-dessus, à commencer par celle de la personne qui a initié ce fil:

C’est accepter d’abandonner l’espoir d’apaiser un jour nos souffrances [...]. Et ne plus avoir peur de ne pas arriver à nous guérir.
Les défis ne seront résolus que si on les affronte. Affronter la souffrance c'est la vivre.
[À cheval,] je pourrais faire une mauvaise chute qui entraînera ma mort, je sais! [...] C'est le risque, je l'accepte! Je sais qu'en voiture je peux avoir un accident aussi.
Qu’est-ce que vivre? C’est aimer la vie avec ses souffrances et ses joies.

(J'ai peut-être eu le tort de trop parler de souffrances. Le sujet du fil est «Accepter la mort».)

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Invité Leopardi
Invités, Posté(e)
Invité Leopardi
Invité Leopardi Invités 0 message
Posté(e)

Certes, mais nous sommes dans la section philosophie de forumfr, 4 messages ne sont pas nécessairement représentatifs (sans compter, comme vous rappelez, l'intitulé du sujet, qui favorise un abord). Qid du reste ? "les hommes s'évertuent à combattre la souffrance, à nier l'âge et à refouler la mort"

Ou, pour prendre les choses autrement : pour quelles raisons se résigne-t-on aujourd'hui à mourir ?

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Membre, Posté(e)
Scénon Membre 3 641 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
Pour quelles raisons se résigne-t-on aujourd'hui à mourir?

Je l'ignore: par ignorance, désespoir, désir, faiblesse? Peut-être avant tout parce que nous sommes plus ou moins suggestionnés?

Un philosophe a écrit:

«“Résignez-vous et mourez”, c'est la parole de l'ennemi.

“Cherchez-moi et vivez”, c'est la parole de l'ami.»

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Invité sfc
Invités, Posté(e)
Invité sfc
Invité sfc Invités 0 message
Posté(e)

Mon éternité est réelle et en effet veiller sur mon corps avec sagesse participe bien à lui permettre cette ambition.

On doit vivre et si la mort emportait mon corps, celui-ci fusionnerait avec le monde comme une matière recyclée et mon âme construirait peut-être un autre physique, continuerait à exister. :D

oui mais par la , c'est ton corps qui est mortelle , sa on peu rien y faire il est même bio dégradable , enfin si ta pas trop bouffer de conservateur parce que la tu fini fossilisé , après si tu parle de ton âme , la je peu pas te prouver quoi que ce soit , mais je suis pas contre cette éventualité , et la du coup la mort physique serrais moins gravissime que tu le pense si tout compte fait ton âme serrais éternel et n'aurais besoins que d'un support physique pour s'exprimer , la mort perdrais sont aspect radical et définitif .

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Invité ézîa
Invités, Posté(e)
Invité ézîa
Invité ézîa Invités 0 message
Posté(e)

Certains, croyant la mort leur être destinée en pensant à ses nombreuses victimes, essayent de l'apprivoiser et se retrouvent face à la vérité de la préciosité corporelle, de la conscience des causes des décès, suites aux destructions physiques.

Une plus grande aisance avec leur corps leur faciliterait la confiance en la vie charnelle à préserver.

oui mais par la , c'est ton corps qui est mortelle , sa on peu rien y faire il est même bio dégradable , enfin si ta pas trop bouffer de conservateur parce que la tu fini fossilisé , après si tu parle de ton âme , la je peu pas te prouver quoi que ce soit , mais je suis pas contre cette éventualité , et la du coup la mort physique serrais moins gravissime que tu le pense si tout compte fait ton âme serrais éternel et n'aurais besoins que d'un support physique pour s'exprimer , la mort perdrais sont aspect radical et définitif .

Mon corps pourrait mourir en certaines circonstances mais son idéal est éternel et son devoir est de vivre toujours. S'il mourrait, il continuerait à exister mais aurait d'autres fonctions et mon âme devrait créer un autre physique lui permettant de renaître.

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

La réincarnation dans le corps d'un poulet après sa mort :smile2:

La réincarnation je n'y crois pas il n'y a pas de vie après la mort. Les atomes se dispersent n'importent où dans la nature.

L'homme est comme un brin d'herbe quand il meurt il ne repousse pas c'est un autre brin d'herbe qui prend sa place.

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

Oulala, que de réponses en deux jours. :gurp:

Je vais avoir du mal à répondre à tout ça. :/

Les gens veillent si mal sur eux même qu'ils en sont arrivés à croire qu'ils devaient mourir! :smile2:

Comme un jouet qui croirait devoir être cassé et qui se complet dans cette idée en pensant à tous ceux l'ayant été. :D

ça n'est pas un devoir, c'est une fatalité ^^

L'accepter ne signifie pas la vouloir, justement.

Pour reprendre ta métaphore du jouet, certains jouets peuvent savoir et avoir complètement accepté qu'ils seront cassé. Sans forcément le rechercher pour autant.

Je dirais même, à la réflexion, que certains pourraient vouloir mourir, précisément parce qu'ils ne sont pas capable d'accepter de se retrouver dans la position extrêmement frustrante d'accepter quelque chose qu'ils ne veulent pas. Tant qu'à y être "obligé", ils préfèrent encore se mentir en se disant qu'ils le "veulent". Parce que pire que la mort, c'est leur impuissance qu'ils dénient.

À mon avis, il y a trois sortes de positions face à la mort.

Ceux qui la dénient "affectivement" (parce que rationnellement, seul les fou complet nierai cette réalité).

Ceux qui disent la désirer mais ne font que dénier leur impuissance, et ne souhaitent que faire cesser leur impuissance à apaiser leur souffrance.

Ceux qui l'ont accepté (mais ne la souhaitent pas pour autant)

C'est le risque, je l'accepte!

Je sais qu'en voiture je peut avoiru n accident aussi, je sais qu'un jour je ne serai plus, et ce n'est pas parce que je ne suis pas d'accord avec un roman sur un forum que je n'en ai pas concience!

Accepter le risque, ça n'est pas accepter la mort ;)

Rien à voir.

La mort n'a rien d'hasardeux, c'est quelque chose de totalement certain.

La considérer comme un risque, c'est, de fait, un déni de réalité.

Très répandu, peut être. Mais un déni quand même.

Ne voir la mort que comme un "risque", c'est s'imaginer qu'on pourrait passer à travers.

Qu'on pourrait "ne pas mourir". Quelle belle illusion.

Il ne faut pas confondre accepter le risque ponctuel d'un accident, et accepter la mort, continue et inéluctable.

Puis, tu la joue belle en considérant que prendre des risques c'est les accepter.

La majorité des gens prennent des risques sans même en avoir conscience. Encore moins en ayant accepté quoi que ce soit.

Les gens ne sont pas des êtres supra-conscient, qui aurait avant chaque action, perçu tous les risques qu'ils prenaient, et accepté comme un moine bouddhiste toutes les issues qui pourrait leur arriver, et ce avant même d'avoir agit.

La plupart des gens sont seulement motivé par le plaisir ou le positif qu'ils peuvent tirer de leur actions. Et ne pensent pas une seconde au négatif possible. (Et d'ailleurs, même s'ils y pensait vaguement, ça ne signifierai pas qu'ils l'ai accepté pour autant).

Je connais un paquet de personnes qui prennent des risques et n'assument même pas de s'être fait mal quand ça leur arrive.

Alors me dire que tu regarde la mort en face et que tu l'accepte à chaque fois que tu monte à cheval... Tu me permettra d'avoir un gros doute.

Ou alors, nous sommes d'accord, et non en opposition.

Lapalissade, mais encore ?

Relis sérieusement la phrase, et tu verra qu'elle n'a rien d'une lapalissade. >_<

Accepter la mort ça n'est pas ne plus vouloir rien vivre de nouveau.

Si c'est la double négation qui te pose problème je nie le postulat suivant :

" Accepter la mort, c'est ne plus vouloir rien vivre de nouveau. "

Va y, réfléchis un peu. Tu verra que nier ça n'a rien d'une lapalissade.

Quand tu aura compris la différence, on pourra parler du reste.

Tant que tu n'aura pas compris ça n'est même pas la peine de discuter.

Jouer avec les mots ne rend pas ton postulat plus vrai...

Répondre sans réfléchir une seconde ne rends certainement pas un énoncé plus faux pour autant.

Avant d'argumenter sur le vrai ou le faux, il faudrait déjà que tu ai compris ce que je raconte.

On n'argumente pas sur une position qui n'est pas comprise dès le départ.

Je suis certaine que la personne dont l'agonie dure depuis bien trop longtemps sera entièrement d'accord avec toi...

Et moi je suis certain que la personne dont l'agonie dure depuis bien trop longtemps cherche surtout à faire cesser son agonie.

Ce qui n'a rien à voir ni avec le fait d'avoir accepté sa mort, ni avec le fait de vouloir mourir.

Et que si on lui présentait la possibilité de faire cesser son agonie, sans avoir à mourir, elle sauterai dessus à pied joint.

Ce qui montre clairement que ça n'a rien à voir avec avoir accepté sa mort, et encore moins avec vouloir mourir.

Bonjour Titsta, je te rejoins dans l’idée que vouloir mourir et accepter la mort, ce sont deux choses différentes.

Qu’est ce que vouloir vivre ? C’est celui qui ne vit pas, qui est insatisfait de sa vie mais se raccroche à la vie. Vouloir vivre, c’est avoir de l’espoir et ne pas accepter la mort.

Qu’est ce que vivre ? C’est aimer la vie avec ses souffrances et ses joies. Vivre, c’est accepter de vivre.

Ce que je trouve génial dans ta réponse, c'est que ça explique en réalité pourquoi on ne peut pas vivre sans avoir accepté la mort.

J'aime beaucoup l'idée qu'il faut accepter de vivre pour vivre. Et que c'est un travail aussi important que celui d'accepter la mort (c'est le même en fait.)

J'ajoute que celui qui veux vivre est un peu mort quelque part. :/

Ce qui me remet pas mal de choses en question ^^

Vu que je me sens très souvent dans la position de celui qui veux vivre.

Je pense que, quelque part, si je n'ai effectivement plus peur de la mort, je ne l'ai pas pour autant totalement accepté.

Sinon je vivrai pleinement, et j'arrêterai d'avoir une telle volonté de vivre. (dur la formulation pour éviter les doubles négations :gurp: )

Je trouve extrêmement intéressant l'idée de considérer que notre volonté de vivre n'a rien de positif, dans la mesure où elle est révélatrice en réalité d'un mal être profond.

Alors que celui qui veut mourir, choisit la mort parce qu’il n’accepte pas sa vie, cela ne veut pas dire qu’il accepte la mort mais qu’il y est contraint. On pourrait dire effectivement que c’est un besoin de vie car si ce n’était pas le cas, il ne ferait pas ce choix. Cela peut être un soulagement ou une liberté de partir, un peu comme un prisonnier en souffrance ou quelqu’un qui serait torturé qui ferait le choix de s’en libérer par la seule issue, la mort.

Oui, complètement.

En répondant à ézîa j'ai formulé un peu plus clairement les choses.

Je pense que ceux qui "souhaitent mourir" sont hypocrites quelque part. Ils cherchent à apaiser leur souffrance avant tout. Ils ne souhaitent pas réellement mourir.

Jedino dans sa première réponse a complètement mis le doigt dessus. En montrant ce que pourrait être quelqu'un qui veux vraiment mourir.

Par curiosité envers l'inconnu.

Cela suppose néanmoins d'être en mesure de penser quelqu'un qui soit si loin dans le raisonnement qu'elle ne fait pas que se défaire d'une peur, mais d'aller au-delà de celle-ci. De penser la mort non pas comme une alternative à la vie, mais comme un inconnu plaisant à découvrir. Ne partons-nous pas en voyage, incessamment, pour connaître du nouveau? Pourquoi ce "nouveau" semble si repoussant? Sinon parce que nous fantasmons sur lui.

Mon dieu, je suis en train d'imaginer un suicide non pas de désespoir, mais de pure liberté et par pure recherche d'aventure. Je crois que cela me vient de l'idée qu'il faut, parfois, du "courage" à partir pour ce que nous ne connaissons pas, sans doute.

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

Le problème n'est pas d'être mort. Le problème est que l'on ne meurt pas forcément vite et bien.

Arrivé à un certain moment, choisir sa mort.

Grâce à ta réponse, je vois effectivement une grosse différence entre accepter la mort, "la fin de notre vie", et accepter la mort "l'instant où l'ont passe de vie à trépas".

Personnellement, j'ai envie de vivre ma fin de vie en pleine conscience.

Je trouverais que mourir "paf" d'un coup sans même en avoir conscience, ça serait être passé à côté d'une expérience énorme.

Tant qu'à ce qu'il m'arrive quelque chose d'aussi important (pour moi), je préfère le vivre pleinement plutôt que d'en être "privé".

Je sais que c'est quelque chose de souhaité par beaucoup de gens, mais moi je trouve ça vraiment dommage.

A vrai dire, mon devoir est de veiller à la sécurité et à la croissance des pouvoirs de mon physique, mon ambition est donc bien plus vitale.

Quant à aimer la vie, bien sûr, même en ces circonstances infernales où tant d'êtres souffrent, la vie est merveilleuse, magique.

Je ne juge pas, mais tu signifie que le devoir est une force de vie.

C'est intéressant je trouve.

Même si vivre par devoir me semble trop facilement (et bêtement) criticable, je me demande si effectivement, le devoir n'est pas une des choses apte à donner un sens à nos vies. ( Et donc à nous pousser à accepter de vivre, comme dirait Samira )

Il ne doit pas y en avoir beaucoup, des choses apte à nous pousser à vivre.

Je me demande même, à y réfléchir, s'il y a autre chose que le devoir (au moins celui que nous nous imposons à nous même, pas forcément celui que la société essaye de nous imposer)

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

En effet, le constat que vous faites est cruellement lucide: l'homme occidental a complètement abandonné toute réflexion et tout réflexe magiques. Il ne se passionne plus pour une vie débarrassée de toute maladie, de toute souffrance et surtout de toute mort. Il se désintéresse d'une résurrection considérée d'avance comme impossible.

Il en est venu à juger la mort comme inéluctable.

On se demande si, sur ce point, l'“esprit fort” de l'homme occidental (que d'autres assimileront à une faiblesse et à une dégénérescence) n'est pas lié à l'abandon des humanités gréco-latines?

Car l'Occident n'a plus d'élite du cœur et de l'esprit et s'est complètement coupé de la science de ses ancêtres...

J'apprécie beaucoup votre Parole.

Je suis assez sensibles aux notions magiques. Même si je préserve un équilibre.

Je pense que "l'homme occidental" s'est perdu dans le piège du confort matériel, promis et apporté par la science et la technique.

Mais comme en physique quantique, l'observateur intervient dans l'expérience. La science (et surtout la technique), en prenant de l'importance ont formaté les esprits pour qu'ils leur corresponde.

Nous faisant, nous occidentaux, attacher beaucoup plus d'importance aux éléments matériels mesurables (accessibles à la science) qu'aux éléments non mesurables. ( sentiments... )

Cependant, je pense que nous sommes entrain de revenir des excès de la science et de ce matérialisme.

Du fait de l'inattention à ce que nous ressentons, au fait de vivre même (et pas seulement de survivre), la science à montré son échec à améliorer réellement nos vies par le confort.

Je me demande si cette façon omniprésente de valoriser "la volonté de vivre" n'est pas justement symptomatique, dans notre société, de l'incapacité de notre organisation sociale à nous faire vivre réellement des choses.

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Membre, ptitevalseuse, 54ans Posté(e)
ptitepao Membre 12 807 messages
54ans‚ ptitevalseuse,
Posté(e)

Relis sérieusement la phrase, et tu verra qu'elle n'a rien d'une lapalissade. >_<

Accepter la mort ça n'est pas ne plus vouloir rien vivre de nouveau.

Si c'est la double négation qui te pose problème je nie le postulat suivant :

" Accepter la mort, c'est ne plus vouloir rien vivre de nouveau. "

Va y, réfléchis un peu. Tu verra que nier ça n'a rien d'une lapalissade.

Quand tu aura compris la différence, on pourra parler du reste.

Tant que tu n'aura pas compris ça n'est même pas la peine de discuter.

Je connais suffisamment la langue française pour avoir compris ta phrase, double négation ou pas, elle relie deux propositions qui n'ont aucun lien logique entre elles pour confirmer qu'elles n'en ont pas, j'ai donc utilisé le terme Lapalissade en manière d'ironie pour dénoncer ce fait...

Mais tant que tu te contenteras d'asséner TA vérité avec pour seul argument à l'encontre de ceux qui osent t'en demander qu'ils n'ont "rien compris", la discussion est, effectivement, close de fait. Dommage, le sujet m'intéresse et je crois être bien placée pour en parler, encore faut-il avoir un interlocuteur valable pour garder l'envie d'en discuter...

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Membre, Posté(e)
Cristal07 Membre 154 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Moi, ce qui m'embête, ce n'est pas de mourir : c'est de ne plus vivre.

Et d'ailleurs si j'en ai l'occasion, j'aimerais mieux mourir de mon vivant. ;)

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 889 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Peut être qu'en étant confronté de près à la mort, je finirai par devoir accepter de mourir et abandonner.

Mais en attendant, je trouve déjà assez difficile d'accepter de vivre et de garder l'espoir.

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Membre, Posté(e)
MDCCCLXXI Membre 98 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Moi, ce qui m'embête, ce n'est pas de mourir : c'est de ne plus vivre.

Et d'ailleurs si j'en ai l'occasion, j'aimerais mieux mourir de mon vivant. ;)

je plussoie

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Invité -Lorelei-
Invités, Posté(e)
Invité -Lorelei-
Invité -Lorelei- Invités 0 message
Posté(e)

??? wacko.gif

On ne m'a pas laissé le choix je subis la vie comme je dois

Subir la mort...

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Membre, Posté(e)
lucianyse Membre 602 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

La mort...

L'accepter pas si sure .

Exemple...

Une personne atteinte d'une maladie incurable , elle sait quelle partira un jour , mais ce refuse a l' idée,

de mourir, parce quelle a peur, et que cette mort peut intervenir n'importe quand .

C'est dure dans ce contexte d'accepter la mort.

C'est ( morale ) par obligation , et non une acceptation.

Je sait pas si j'arrive a me faire comprendre..

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Invité Dompteur de mots
Invités, Posté(e)
Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
Posté(e)

Je connais suffisamment la langue française pour avoir compris ta phrase, double négation ou pas, elle relie deux propositions qui n'ont aucun lien logique entre elles pour confirmer qu'elles n'en ont pas, j'ai donc utilisé le terme Lapalissade en manière d'ironie pour dénoncer ce fait...

Mais tant que tu te contenteras d'asséner TA vérité avec pour seul argument à l'encontre de ceux qui osent t'en demander qu'ils n'ont "rien compris", la discussion est, effectivement, close de fait. Dommage, le sujet m'intéresse et je crois être bien placée pour en parler, encore faut-il avoir un interlocuteur valable pour garder l'envie d'en discuter...

Ah ! Enfin un esprit exigeant ! :wub:

***

:censored:

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Invité ézîa
Invités, Posté(e)
Invité ézîa
Invité ézîa Invités 0 message
Posté(e)

La peur nous alerte pour nous inciter à sécuriser.

Face à une maladie, la médecine professionnelle peut se dire impuissante, l'espoir subsiste quand même et tant mieux car tous les problèmes ont leurs solutions. :zen:

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Membre, Posté(e)
Cristal07 Membre 154 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

je plussoie

Et je plussoie ton plussoiement :smile2:

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Membre, Posté(e)
Scénon Membre 3 641 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
Je pense que nous sommes entrain de revenir des excès de la science et de ce matérialisme. Du fait de l'inattention à ce que nous ressentons, au fait de vivre même (et pas seulement de survivre), la science à montré son échec à améliorer réellement nos vies par le confort.

Je vous remercie de votre réponse. Néanmoins, bien que je puisse sans peine vous rejoindre sur plusieurs points que vous y formulez, j'ai un peu de mal à y discerner le rapport avec le contenu de l'intervention à laquelle vous réagissez, et avec le sujet même du fil.

Au plaisir de vous relire peut-être.

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