Lampédusa

Je suis Claude, compagnon d'Emmaüs à la communauté de Saint-Marcel(11ème, Marseille). Et récemment, j'ai pu lire ce texte rédigé par Emmaüs-Europe:

Le Conseil Régional d'Emmaüs Europe s'est réuni à Lampedusa et témoigne

Nous, représentants venus de 16 pays, de la Finlande à l'Italie et du Portugal à l'Ukraine voulons témoigner de ce que nous avons vu:

Une petite île magnifique au bord de l'Afrique où vivaient 6000 habitants, un joli port de pêche bien abrité, un symbole dramatique du prix de notre confort.

Sur cette île sont venus depuis la nuit des temps des voyageurs et des migrants, mais l'Europe a décidé de fermer cette porte du Sud.

Des migrants sont venus couler devant l'île, des corps sans vie se sont échoués sur la plage, les habitants ont recherché les familles ou les ont enterrés dans leur cimetière. Jusqu'à ce drame du 3 octobre 2013: 500 hommes, femmes et enfants coulent, 300 se noient et viennent échouer sur la plage. Les habitants sont laissés seuls face à cette monstruosité et recherchent inlassablement les familles. Il en restera une dizaine sans nom et qui seront enterrés au milieu des habitants. Le gouvernement italien, la commission européenne les a laissés seuls, comme lors de l'afflux des 2500 Lybiens fuyant la guerre civile. Les habitants se sont soudés, ils ont fait face avec dignité et respect à toute la misère venue les envahir. Ils continuent à récupérer des affaires échouées: un biberon, un Coran, une Bible, des bouteilles d'eau dans des sacs, des vêtements du sud du Sahara, des cigarettes, des gilets de sauvetage...une maison leur est dédiée.

La commission européenne a maintenant réagi : renforcer Frontex! Une organisation para-militaire de coordination de chasse à l'homme migrant, 300 000 euros par jour de budget, 1500 militaires installés sur l'île, avec 11 vedettes rapides, avions et hélicoptères. Comme lors de la deuxième guerre mondiale, l'île est devenu une base militaire. Les migrants sont systématiquement attrapés avant d'arriver à Lampédusa et envoyés dans des camps de rétention en Sicile. Ils se voient moins, l'île est plus grande, les habitants plus nombreux, les centres mieux cachés.

Dormez tranquilles, oubliez les morts et payez ce scandale, ou rappelez vous que le préjudice n'a pas de frontière et dénoncez le! Joignez la campagne Frontexit pour arrêter cette guerre aux pauvres.

Le budget pourrait être utilisé à faire la guerre à la pauvreté en favorisant l'intégration de ces êtres humains qui viennent en Europe pour travailler et vivre, comme nos ancêtres l'ont fait.

Dans nos 300 groupes, partout en Europe, nous vivons au quotidien avec ces rejetés de la société, nous démontrons qu'une vie conviviale est possible.

Veut-on une Europe plus humaine, plus solidaire? Ou une Europe riche et misérable qui finira par exclure tous ceux dont certains pensent qu'ils ne servent à rien? Il est temps de se réveiller.

10 Avril 2014

Emmaüs-Europe

47, avenue de la Résistance

F-93104 Montreuil Cedex

Tél : +33(0)1 41 58 25 70

www.emmaus-europe.org

contact@emmaus-europe.org

autres adresses :

www.frontexit.org

www.O-C-U.org

Voici le texte emmi par Emmaüs-Europe.

.. Les migrants sont systématiquement attrapés avant d'arriver à Lampédusa et envoyés dans des camps de rétention en Sicile. Ils se voient moins, l'île est plus grande, les habitants plus nombreux, les centres mieux cachés.

.......................

c'est justement le but ,éviter que des migrants viennent s'échouer sur les côtes de Lampedusa pour éviter les drames des années précédentes

et puis les camps en Sicile sont des camps de transit ...après les formalités d'usage les autorités Italiennes n'ont rien de plus pressé que de les caser dans un train en partance pour la France ou tout autre pays de l'UE pour laisser la place au contingent suivant ...

cette forme d'indignation est malhonnête

c'est justement le but ,éviter que des migrants viennent s'échouer sur les côtes de Lampedusa pour éviter les drames des années précédentes

et puis les camps en Sicile sont des camps de transit ...après les formalités d'usage les autorités Italiennes n'ont rien de plus pressé que de les caser dans un train en partance pour la France ou tout autre pays de l'UE pour laisser la place au contingent suivant ...

cette forme d'indignation est malhonnête

Tu as déjà visité l'un de ces "camps de transit"?

Le texte que tu as lu, a été rédigé par des gens qui sont allés sur place. Je ne pense pas que c'est ton cas! Aussi, j'accorde plus d'importance à leur témoignages qu'à ton opinion!

Une forme d'indignation malhonnête! Je te retourne le compliment, toi qui ne sait rien de ce sujet, si ce n'ai que ce que tu as pu en lire. Moi, je connaît une femme (Annie, membre du conseil d'administration d'Emmaüs-Europe), qui est allée personnellement à Lampédusa. Si tu veux la rencontrer, si tu en as le courage, je peux t'arranger un rendez-vous!

Un autre texte sur Lampédusa, trouvé sur le site www.O-C-U.org.

Les 300 victimes de Lampedusa susciteront-elles plus que la compassion?

Publié le : 07/10/2013

Les 300 victimes de Lampedusa susciteront-elles plus que la compassion?

"Après tant d'années d'aveuglement meurtrier, l'heure n'est plus aux déclarations ni même à l'indignation, mais aux actes!"

Les médias européens traitent le drame de Lampedusa comme un fait divers. Ils semblent oublier ou ne pas savoir qu'il y a quelques jours, l'Assemblée Générale des Nations Unies organisait un panel de haut niveau sur la question des migrations.

Soulignant la "responsabilité des États" et la "paranoïa entretenue par les hommes politiques", le rapporteur spécial de l'O.N.U. sur la protection des migrants, François Crépeau affirme que "l'immigration clandestine n'est pas un crime, ni une menace pour la sécurité" (François Crépeau à New York avec la société civile internationale le mercredi 2 octobre 2013).

Après tant d'années d'aveuglement meurtrier, l'heure n'est plus aux déclarations ni même à l'indignation, mais aux actes : le dogme de la fermeture des frontières doit non seulement être condamné mais aussi combattu. C'est un verrou qui doit être levé car il empêche toute approche nouvelle sur la question mondiale des migrations.

L'organisation pour la Citoyenneté Universelle, dont la Fondation France Libertés fait partie, demande solennellement aux représentants des États réunis à l'O.N.U. d'adopter sans attendre le principe d'une conférence internationale sur les migrations, ouvrant un cycle de négociations pour l'application de l'article 13 de la Déclaration Universelle des droits de l'Homme relatif à la libre circulation et installation des personnes.

De fait divers en fait divers, l'opinion publique est choquée puis oublie, et rien ne change fondamentalement. Il est pourtant possible de parler des migrations autrement. Nous ne devons jamais oublier que ce processus est normal pour l'Humanité qui migre depuis la nuit des temps.

Les migrations aujourd'hui sont bien moindres qu'au 16ème siècle. Elles sont une opportunité pour l'Humanité et doivent être vues comme tel. L'utilisation par la peur qui est en faite par certains politiques est une honte pour tous les femmes et les hommes de la planète.

Pourtant, tout le monde n'a pas le même regard sur ces questions. Durant notre séjour à New York cette semaine, nous avons pu mesurer le fossé qui sépare les États de leurs sociétés civiles.

La conscience d'un nouveau monde en construction nécessite de repenser complètement les politiques migratoires mondiales. Cette ambition est au cœur de la réflexion des sociétés civiles. Elle est en revanche savamment oubliée et ignorée par les États qui ne veulent en aucun cas inventer le monde de demain et prendre le risque de perdre leurs avantages en modifiant des équilibres précaires.

La France, pays des droits de l'Homme, a un rôle à jouer pour changer la donne ou au moins pour poser ce débat dans les instances internationales. Imaginer que notre pays puisse être précurseur dans ce domaine, c'est envisager la construction d'une politique nouvelle des migrations internationales qui serait très complémentaire de celle que le changement climatique impose.

Ne laissons pas les morts de Lampedusa sombrer dans l'oubli et changeons urgemment notre regard sur les migrations.

Je vous invite à visiter leur site!

je n'ai pas dit non plus que c'était des camps cinq étoiles ...Mais les migrants ne sont pas là très longtemps ,juste le temps de pas donner leur nationalité sous peine d'être raccompagnés dans leur pays et de subir une batterie de tests médicaux ...

Les Italiens ont beau agrandir les centres ,les migrants arrivent à raison de 1000 par jour ...

c'est une situation intenable

"L'opération aéronavale Mare Nostrum a déjà permis de sauver près de 17 000 personnes. Parmi elles, des Erythréens, des Somaliens, des Maliens, des Nigérians, des Syriens, des Egyptiens et des Libyens dont un grand nombre d'adolescents.

Le centre d'accueil de Lampedusa étant fermé pour des travaux de rénovation et d'agrandissement, les navires de la marine militaire font route vers les ports siciliens de Porto Empedocle, Pozzallo ou Augusta. De là, les migrants sont transportés dans différents centres d'accueil du sud, du centre et du nord de l'Italie."

oui les conditions de séjour dans ces camps est lamentable ,mais les intéressés préfèrent y rester quelques jours que de donner directement leur véritable identité et retourner immédiatement chez eux ...

c"est sûr qu'avec notre vision d'Européens riches la misère de ces gens saute aux yeux comme celle des roms européens que nous ne sommes même pas fichu de solutionner ....

si on parle des Syriens par exemple qui se pressent aux frontières des pays du moyen orient ils sont expulsés d'un pays à l'autre"

"Un clash diplomatique a de nouveau éclaté cette semaine entre autorités marocaines et algériennes. Elles s’accusent mutuellement d’avoir expulsé des réfugiés syriens à la frontière entre les deux pays."

En Arabie Saoudite ,ils accueillent les petites filles

"Des petites filles syriennes sont vendues en Arabie saoudite pour environ 9000 dollars"

Alors pourquoi ne pas commencer à s'indigner de ces situations avant de critiquer un système d’accueil qui fonctionne mal mais qui a le mérite d'exister

Alors pourquoi ne pas commencer à s'indigner de ces situations avant de critiquer un système d’accueil qui fonctionne mal mais qui a le mérite d'exister

Parce que Lampédusa est en Europe, alors je me sens concerné. Et parce que je me sens concerné, j'ai envi de travailler à améliorer la situation. Ce qui n'empêches pas de nous indigner à propos de ce qui se passe ailleurs. Je ne vais pas en quoi ce serait incompatible. Car, c'est indigne dans les deux cas.

Tant qu'aux petites filles syriennes vendues, qu'elles sont tes sources? Car il ne suffit pas de le dire pour que se soit vrai! Prouve-le! Et face à la preuve, je te dirai merci pour l'information.

je ne fais que citer ...donc tu prends la phrase citée en italique tu la colles dans ton moteur de recherche ,et tu as l'article complet ...

mettre des liens à chaque fois serait prendre les intervenants pour des demeurés ...

pour le prouver il faudrait que j'en achète une ,et ce n'est pas dans mes habitudes ...

Quoi qu'il en soit, en tant que citoyens européens, avant de porter un regard critique sur ce qui se passe hors Europe, je porte un regard critique sur la politique européenne, car en Europe, j'ai le droit de vote. Et je n'ai pas envie de voter pour des politichiens incapables de respecter les droits fondamentaux de tout être humain, les droits de l'Homme.

Et bien sur la fautes revient a l'europe et pas du tout a ces migrant illegaux qui essaie de penetrer chez nous en toute clandestinité...

Quoi qu'il en soit, en tant que citoyens européens, avant de porter un regard critique sur ce qui se passe hors Europe, je porte un regard critique sur la politique européenne, car en Europe, j'ai le droit de vote. Et je n'ai pas envie de voter pour des politichiens incapables de respecter les droits fondamentaux de tout être humain, les droits de l'Homme.

Que devrions-nous faire ?

Le problème n'est pas simple à résoudre: D'un côté c'est l'humanitaire qui l'emporte : On ne peut pas laisser tomber des gens qui fuient la guerre. De l'autre c'est la réalité : On ne peut pas accueillir tous les réfugiés qui fuient leur pays.

C'est comme cela partout dans le monde. A Mayotte, département Français dans l'océan Indien, ce sont les comoriens qui essaient de pénétrer sur l'île et il n'est pas rare de trouver une épave échouée sur le récif et des corps éparpillés ça et là. Ceux qui réussissent à débarquer sont reconduits aux comores. Le nombre de chômeurs est déjà tellement important, qu'il ne peut être question d'en rajouter. C'est triste mais que peut on y faire ?

Un article du monde diplo que j'ai lu récemment :

"Ces gens-là sont morts, ce ne sont plus des migrants"

Sur les vingt-trois mille morts et disparus documentés depuis l’an 2000, près de six mille cinq cents l’ont été au large de Lampedusa, plus de deux mille deux cents aux Îles Canaries, et plus de mille cinq cents dans le détroit de Gibraltar.

http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2014-03-31-morts-aux-frontieres

Penser la remigration...

Et bien sur la fautes revient a l'europe et pas du tout a ces migrant illegaux qui essaie de penetrer chez nous en toute clandestinité...

En tant que compagnon d'Emmaüs, je travaille avec des gens de toutes origines. En autre, je travailles avec un afghan, qui s'appelle Moheb. Quand, il s'est sauvé d'Afghanistan, ce fut grâce à l'aide des gens de Médecins sans Frontières, qui ont "profités" du fait qu'il été blessé (3 balles), pour le faire venir en France.

Ces migrants fuient la misère et la guerre. Tu pense sincèrement que ces "méchants migrants" quittent Amis, Famille et Patrie, par pur plaisir. Avant de juger ces "méchants migrants", je t'invite à aller dans une communauté Emmaüs, d'aller les rencontrés, d'apprendre à les connaître, ainsi, tu pourras te faire une opinion, plutôt que de continuer à spéculer sur leurs intentions! Parce qu'avant de pouvoir juger, il faut connaître!

Que devrions-nous faire ?

Ce que je fais, à titre personnel, c'est :

1°) j'apportes un soutien à Emmaüs-Europe (par exemple à animant ce topic).

2°) je fais attention pour qui je vote aux Européennes.

3°) Avec l'aide des membres de la ligue des Droits de l'Homme, j'apprends le droit, afin de mieux défendre les leurs.

4°) J'apprends le Roumain, afin d'aider plus particulièrement la communauté Roms.

Le problème n'est pas simple à résoudre: D'un côté c'est l'humanitaire qui l'emporte : On ne peut pas laisser tomber des gens qui fuient la guerre. De l'autre c'est la réalité : On ne peut pas accueillir tous les réfugiés qui fuient leur pays.

C'est comme cela partout dans le monde. A Mayotte, département Français dans l'océan Indien, ce sont les comoriens qui essaient de pénétrer sur l'île et il n'est pas rare de trouver une épave échouée sur le récif et des corps éparpillés ça et là. Ceux qui réussissent à débarquer sont reconduits aux comores. Le nombre de chômeurs est déjà tellement important, qu'il ne peut être question d'en rajouter. C'est triste mais que peut on y faire ?

Ce qu'il t'est possible de faire, c'est de refuser de garder le silence, de dénoncer ces manquements évident aux droits de l'Homme. Ce ne sont pas des animaux mais des êtres humains! Aussi, je dis haut et fort, que moi, français et européen, je refuse de les voir traités comme des chiens galeux!

4°) J'apprends le Roumain, afin d'aider plus particulièrement la communauté Roms.

Dans de nombreux cas, les Roms parlent un dialecte, pas le roumain, ou ne maîtrise pas entièrement le roumain.

Concernant l'immigration (car l'immigration, ce n'est pas que Lampédusa), j'invites tout le monde à écouter avec attention, ce rappeur, musicien et poète qui est Abd Al Malik, et tout particulièrement son album "Gibraltar"(2006), qui traite de ce sujet avec poésie, intelligence et humanité.

Il a également écrit deux livres qui sont :

- Qu'Allah bénisse la France (Albin Michel)

- La guerre des banlieues n'aura pas lieu (le cherche midi)

Ce qui est intéressant avec ce Monsieur Malik, c'est qu'il a vécu l'immigration, vécu les banlieues et qu'il sait de quoi il parle. J'ajoute que personnellement, je trouve qu'il écrit très bien.

Dans de nombreux cas, les Roms parlent un dialecte, pas le roumain, ou ne maîtrise pas entièrement le roumain.

C'est vrai, mais ils sont nombreux à parler le roumain. Les démarches administratives se font en langue roumaine. Tant qu'à la langue Roms (qui n'est pas un dialecte, mais une langue à part entière), eux seuls peuvent me l'apprendre, à conditions que je parle un peu le roumain.

Abd al Malik ?

Je ne sais pas si on parle du même mais tu t'égares il me semble, rien à voir avec les immigrés qui rejoignent Lampedusa ou autre dans des conditions atroces. Abd al Malik est né à Paris, il a toujours vécu en France et a passé trois ans au Congo. Là tu changes de sujet non ?

Tu as déjà visité l'un de ces "camps de transit"?

Le texte que tu as lu, a été rédigé par des gens qui sont allés sur place. Je ne pense pas que c'est ton cas! Aussi, j'accorde plus d'importance à leur témoignages qu'à ton opinion!

Une forme d'indignation malhonnête! Je te retourne le compliment, toi qui ne sait rien de ce sujet, si ce n'ai que ce que tu as pu en lire. Moi, je connaît une femme (Annie, membre du conseil d'administration d'Emmaüs-Europe), qui est allée personnellement à Lampédusa. Si tu veux la rencontrer, si tu en as le courage, je peux t'arranger un rendez-vous!

Connaître par le biais d'une connaissance qui elle même connait, est-ce vraiment connaître ? Je pense que tu n'es pas plus avancé que lui sur le sujet.

Etant sicilien et allant en Sicile au moins 5 mois par an je distingue quelque peu la situation. Héberger toute la misère du monde en Europe ? Ce n'est certainement pas la solution, pire, c'est un problème de plus. Faire preuve d'humanisme ? Oui mais c'est aussi en effectuant de la prévention ! Prévenir ces personnes que la misère qu'elles quittent les suivra belle et bien jusqu'à Lampedusa, telle est la mission principale que l'Europe doit se donner. Car la situation dans ces camps peut-être même pire que dans leur pays.

Abd al Malik ?

Je ne sais pas si on parle du même mais tu t'égares il me semble, rien à voir avec les immigrés qui rejoignent Lampedusa ou autre dans des conditions atroces. Abd al Malik est né à Paris, il a toujours vécu en France et a passé trois ans au Congo. Là tu changes de sujet non ?

Il est né en France mais connais très bien la communauté Africaine qui a migré en France. Concernant, l'album "Gibraltar", certes, ce n'est pas Lampédusa, mais il s'agit qu'en même, d'un regard sur le phénomène d'immigration. De plus, j'espère sincèrement, qu'en écoutant cette album, comme moi, tu vas te "régaler les oreilles"!

C'est vrai, mais ils sont nombreux à parler le roumain. Les démarches administratives se font en langue roumaine. Tant qu'à la langue Roms (qui n'est pas un dialecte, mais une langue à part entière), eux seuls peuvent me l'apprendre, à conditions que je parle un peu le roumain.

OK, merci pour l'explication :)