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Peut on être un bon prostitué si on n'aime pas la bite ?

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eklipse

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Elles sont dans l'un des liens que je t'avais dit d'aller lire. Ça montre bien à quel point ta remise en question est au level 0 sur le sujet.

Et si, la seconde image est une blague. Encore une fois, il faut distinguer ce qui te fait rire de ce qui est une blague. Que ça ne te fasse pas rire ne retire pas le statut de blague. De même que le problème de tes propos n'est pas que ça ne me fasse pas rire, mais que ce soit misogyne.

Je ne t'explique pas ce dont tu dois rire ou pas. Je t'explique que certaines blagues participent à des structures oppressives.

Tu peux totalement dire "cette blague est misogyne et je la fais !" C'est ton choix. Après, ça va être plus difficile de dire "je fais des blagues misogynes mais je ne suis pas misogyne". Néanmoins, tu as le droit de faire des blagues misogynes. Tu as le droit de rire à des blagues misogynes.

Et j'ai le droit de te dire qu'une blague est misogyne.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Casdenor, il faut vraiment que tu branches le feed back. s'il te plait.

Tu parles de blagues oppressives mais ce ne sont pas des blagues.

On y rit sous la torture ou si une chèvre nous lèche les pieds.

Et tu parles de la masculinsiation de la langue française en nous montrant des blagues dans la langue de Shakespeare.

Tu te fais plaisir ou tu souhaites réellement passer un message en t'intéressant aux interlocuteurs ?

Bon, en tout cas peu importe nous ne sommes pas d'accord ce n'est pas bien grave.

S'il n'en reste rien non plus, nous avons le droit de faire un constat de désaccord mais il est assez profond sur la manière d'aborder la relation c'est sûr.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Je note, qu'en sus de considérer que lorsque tu trouves quelque chose drôle, c'est quelque chose qui devient automatiquement "saint" et "irréprochable", tu considères qu'une chose que tu ne trouves pas drôle n'est plus une blague et que personne ne peut y rire.

Tout en refusant constamment toute remise en question et toute lecture malgré les quatre proposées.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Non.

Une blague doit juste faire rire et bon sang je suis vraiment bon public.

Mais la je viens de lacher la corde pour me pendre donc bon...

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Oui, oui, j'ai compris, si tu ne ris pas, c'est pas une blague, et si tu ris, c'est une blague qui est innocente et irréprochable.

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Invité Safa
Invités, Posté(e)
Invité Safa
Invité Safa Invités 0 message
Posté(e)

*facepalm*

Oh my... Comment transformer un simple trait d'humour en une grosse prise de tête...

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Si je ris c'est que c'est drôle...

T'es au courant que la réciproque n'est pas vrai hein ?

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

T'es au courant que la réciproque n'est pas vrai hein ?

Tu viens donc de démontrer que je suis un imbécile.

Le sujet de fonds est vite oublié.

Dans tous les cas, on a fait le tour ce ce qu'on avait à se dire.

Méditons.

Modifié par zenalpha
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

What ? Tu me la refais en 3D celle-là ?

Ah non, je pense qu'on est justement en train de le toucher (le fond) (avec mauvais jeu de mot, mais dans les deux sens quand même) (gangbang réflexionnel)

Modifié par casdenor
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Membre, 69ans Posté(e)
Bianka Membre 2 724 messages
Baby Forumeur‚ 69ans‚
Posté(e)

il est d'ailleurs paradoxal d'associer sage à femmes puisqu'il a bien fallu qu'elles ne le soient pas, très sages, pour concevoir cet enfant.

smile.gif

:first: Bonne blague...

N'y aurait il que les hommes pour ne pas rire à cette blague???

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

(...) Or, quand on étudie la langue, on sait qu'elle est un moyen d'organiser la pensée. Certaines études vont même jusqu'à dire qu'il n'y a pas de pensée sans langue. D'autres, au contraire, signale que le langage est différent de la pensée ( http://www.asmp.fr/t...t3/9laplane.pdf par exemple) mais en reste un outil qui peut influer sur la pensée. (même source).

Le concept de novlangue, développé dans 1984 utilise clairement cette idée. Sans langue, la pensée s'atrophie. Avec une langue orientée, la pensée suit cette langue.

La langue est aussi un outil qui se soumet à ses locuteurs et elle absorbe les mentalités de la société à la suite. Qu'en est-il du masculin ?

En français, il sert aussi au champ de l'indéfini, du neutre. D'où les petits problèmes quand on parle en général : on ne sait pas à quel degré l'interlocuteur va sexualiser le propos. Il semble qu'il y a consensus sur la neutralité sémantique du masculin sur le champ global, mais pas sur le champ particulier. Bref, ça ne veut pas dire qu'on fait oeuvre de sexisme ou de sexisme indirect à chaque fois qu'on dit le docteur au lieu de le/la docteur ou la doctoresse.

Les professions couvrant les deux sexes, elles devraient être carrément neutres. Mais comme on emploie le masculin par défaut, on ne s'en sort pas. :D On n'a qu'à dire the doctor.

Je crois que tu ne me suis pas. Regarde les noms des métiers. On met une marque pour le féminin. Le féminin est une donnée "en plus". C'est à dire que de base, par défaut, on conçoit l'homme, et ensuite, si on veut indiquer une femme, on met une marque. C'est androcentré. Je signalais juste ce point. Le côté "homme par défaut"

Travailleur et travailleuse, instituteur et institutrice,... On ne va pas revenir sur ses équivalence.

Mais toutes les professions ne subissent pas l'équivalence ou on du mal à l'appliquer : docteur, ingénieur, auteur, ... je trouve même pire d'ajouter un "e" (docteure ??) et bizarre d'appliquer la teminaison (ingénieuse ? docteuse?). Du coup, on dit "une" ingénieur, "une" auteur. Ou "un", en en faisant un simple titre asexué.

Compliqué, le français. :D

======

L'anglais s'est peu à peu imposé comme une langue internationale référente et il n'y a pas de différenciation du genre dans cette langue.

Dans notre communauté francophone, il y a une différenciation du genre marquée.

Faux : il y en a moins mais il y en a (ex : waiter/waitress). L'avantage est qu'ils ont un article indéfini.

Cela dit, on n'est pas gêné en français quand on parle de "la table" ou "le tabouret", " la joie", " le mécontentement", ... Le genre des mots fait juste tiquer sur les statuts, les fonctions, les rôles.

D'ailleurs, quand c'est négatif, on entend moins de revendication de féminisation systématique. " Quel est le plus grand bandit ?" Je ne pense pas qu'il y aura un jour une réforme académique pour ça.

Pour ma part, je pense qu'il faut laisser à notre société le temps de digérer l'égalité des sexes dans différents domaines et nos perceptions du langage changeront, ainsi que ses usages.

Quand j'étais petit, mon médecin était une femme et donc quand on allait chez le docteur, j'avais l'image de cette femme... Pour moi, docteur/médecin, ça n'a jamais eu de sexe. :)

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Pour ma part, je pense qu'il faut laisser à notre société le temps de digérer l'égalité des sexes dans différents domaines et nos perceptions du langage changeront, ainsi que ses usages.

L'idée était l'inverse: Pour avoir cette égalité des sexes dans différents domaines ça impliquerait de changer le langage.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Pour ma part, je pense qu'il faut laisser à notre société le temps de digérer l'égalité des sexes dans différents domaines et nos perceptions du langage changeront, ainsi que ses usages.

L'idée était l'inverse: Pour avoir cette égalité des sexes dans différents domaines ça impliquerait de changer le langage.

Pour ma part, je pense encore différemment.

A savoir qu'un langage qui aurait une correspondance de poids masculin / féminin et une différenciation du genre équilibrée dans l'appropriation effective du langage de la communauté contribuerait à l'égalité des sexes.

Dans l'inconscient, la force du langage dans nos représentations impacte et institutionnalise une prédominance arbitraire du masculin c'est selon moi évident.

Et dans le même temps, c'est aussi et d'ailleurs surtout le travail de la conscience que d'organiser nos sociétés et de contribuer à l'égalité des sexes dans les faits.

Dans le même temps, une langue qui ne marquerait aucune différenciation de quelque sorte que ce soit tomberait dans une forme d'andogynie et de déni du genre dans la contribution homme / femme respective à l'Humanité avec un H majuscule.

Bref, la cible serait une langue qui assume la différenciation sexuée comme elle assume la liberté comme elle assume l'égalité et sans pour autant qu'elle n'amène un avantage d'un genre sur l'autre.

Dans ce contexte, le langage est un outil et une forme de communication à la fois intime et vivant.

Les mots naissent et meurent parce qu'ils sont utilisés dans un phénomène de mode qui les institutionnalise et sont abandonnés parce qu'ils tombent dans la désuétude et leur emploi effectif est institutionnalisé a posteriori même si des propositions peuvent être faites a priori.

L'implication est que ces changements ne peuvent être "imposés" selon moi que sur des règles orthographiques et grammaticales et sous réserve de vérifier la bonne compréhension de l'objectif légitime que la démarche vise à atteindre, ce qui devrait à mon sens être le cas.

Comme par exemple a été décrété au grand damn de linguistes la simplification de l'orthographe dans les années 90 dans l'accord des mots composés ou la disparition des traits d'union dans quelques mots, ce qui fait que, de nos jours, deux orthographes sont acceptés pour un même mot.

Je verrai assez bien l'accord se faire sur la place du dernier attribut comme proposé dans le fil par exemple.

La féminisation de mots devrait être proposée et volontairement introduite afin d'y contribuer.

Dans le genre, les quebecquois ont compris depuis belle lurette qu'il était intéressant de proposer des correspondances francophones voire d'assumer les mots francophones existants en lieu et place des anglicismes sur un plan similaire mais c'est bien l'appropriation effective des mots qui en fait un mot vivant ou pas.

Un congés de fin de semaine a un peu moins sa chance en france que week end par exemple.

Il existe mais est moins utilisé dans les faits.

Ou l'émission "the voice" qui traduit une volonté d'anglicisme "dans le move" quand les quebecquois utilisent "la voix" qui revêt peut être dans nos esprits embrumés un caractère "vieillot".

En revanche, ce que je pense aussi, c'est que le langage acte la volonté d'un peuple à disposer de lui même en faisant naître et mourrir ses mots et qu'il faut proposer à la naissance des mots des correspondances féminines afin de contribuer à ce qu'un masculin ne s'impose pas dans la langue.

Mais en aucun cas, ces propositions de mots et lancements ne peuvent être éthatiques, planifiées, imposées, institutionnalisées.

L'académie française acte la naissance d'un mot par son utilisation effective et la naissance d'un mot est une liberté et une reconnaissance.

Un mot féminin ou une correspondance féminine qui est effectivement appropriée et utilisée est nécessaire.

Imposer un mot institutionnellement serait une sorte de privation de liberté en imposant un modèle de pensées quand bien même il serait légitime et, dans tous les cas, serait totalement voué à l'échec puisque non utilisé.

Il ne s'agit donc pas tant de se lamenter sur la non existence d'une correspondance que de déployer son énergie à faire s'approprier un mot qui, par sa simplicité, sa sonorité, sa puissance s'imposera progressivement dans son appropriation.

Volontarisme et respect par conséquent.

En tant qu'homme, je trouve que ce serait un bel liberté et un avancé forts que d'en masculiniser d'autres.

J'ai ripé ?

Modifié par zenalpha
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Tu ne ripes pas, je ne saisis juste pas en quoi ta pensée est différente de la mienne.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Bah sur plein de sujets on dit presque la même chose.

On est parfois pas d'accord sur la forme ou sur un détail ou sur une perception parfois malvenue mais on est globalement très proches.

Je préfère largement quelqun qui défend les femmes à quelqun qui les agresse et tu es un ardent défenseur des femmes d'ailleurs même si je laisse un peu plus d'espace au fait de leur solliciter la même responsabilité que je demande d'ailleurs aussi aux hommes (concernant le multi-avortement pour certains cas marginaux nous avions longuement échangé la dessus) et aussi que je laisse peut être plus de place à l'humour macho qui me permet de me moquer gentiment des blondes ou de certains aspects de leur personnalité si tenté qu'on me permette une généralisation de leur personnalité sans être taxé de sexiste (du coup suis un peu vu par toi comme misogyne ou au moins comme faisant des blagues misogynes alors que je fais de l'humour qui est selon moi totalement dénué de la moindre misogynie au sens premier du mot)

Mais ne reprenons peut être pas ces débats, actons ce qui nous rapproche qui est bien plus important que ce qui nous oppose.

Sur ce sujet, bémol juste qu'il n'est pas indispensable d'avoir une action sur la langue pour avoir cette égalité qui s'obtient par des choses bien plus larges et que ça n'implique donc pas de changer le langage parce qu'on peut y arriver sans celà et que ce n'est pas non plus suffisant si on les met en place mais que ça y contribue et donc qu'il faut l'encourager sans l'imposer.

Si tu reprends ta phrase c'est un bémol.

Mais si tu te retrouves dans ce que j'ai écrit, c'est qu'on est parfaitement en phase et je suis pas plus étonné que ça.

Modifié par zenalpha
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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Je suis d'accord avec vous deux, en fait.

Pour moi, c'est un jeu d'interdépendance. Nous changeons de mentalité et changeons d'expression, ce qui conduit à changer de mentalité, etc...

Pour moi, tout ne passe pas par une réforme : certains pans du langage peuvent être préservés et lavés du sexisme simplement parce que notre regard aura changé. La langue ne porte pas intrinsèquement tout signifiant. On le crée. C'est pour ça qu'il faut aussi de nouveaux usages (mais qui sont eux-même générés par un changement de mentalité, dans un but de dissémination et de changement général).

Mais on voit bien qu'imposer une réforme ne suffit pas : des gens peuvent être réfractaires. Il faut donc que les mentalités évoluent également - et donc qu'on discute beaucoup.

On avance constamment sur deux fronts et oui, plutôt que condamner (parfois à tort ou à outrance), mieux vaut promouvoir le nouveau langage. Pour autant qu'il garde du sens.

Je suis d'accord avec vous deux, en fait.

Pour moi, c'est un jeu d'interdépendance. Nous changeons de mentalité et changeons d'expression, ce qui conduit à changer de mentalité, etc...

Pour moi, tout ne passe pas par une réforme : certains pans du langage peuvent être préservés et lavés du sexisme simplement parce que notre regard aura changé. La langue ne porte pas intrinsèquement tout signifiant. On le crée. C'est pour ça qu'il faut aussi de nouveaux usages (mais qui sont eux-même générés par un changement de mentalité, dans un but de dissémination et de changement général).

Mais on voit bien qu'imposer une réforme ne suffit pas : des gens peuvent être réfractaires. Il faut donc que les mentalités évoluent également - et donc qu'on discute beaucoup.

On avance constamment sur deux fronts et oui, plutôt que condamner (parfois à tort ou à outrance), mieux vaut promouvoir le nouveau langage. Pour autant qu'il garde du sens.

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