Sondage particulier pour les filles/femmes...

:smile2: Je viens de me taper les 12 pages, J'ai bien rigolé :blush:.

Bon courage.

Bonsoir,

Ce sera encore un non.

Si j'apprenais que monsieur avait ce genre de souci, je l'épaulerais un maximum, à condition qu'il accepte de consulter ; parce que les sentiments sont là. S'il s'agissait d'une nouvelle relation, je partirais sans me retourner.

Sérieusement, pas envie de voir le "prince charmant" en couches culotte : ce n'est pas du tout sexy.

Et puis, j'ai besoin d'admirer un homme pour l'aimer, le sentir protecteur, pouvoir me reposer de temps à autre sur lui...ce qui dans l'idée, ne va plutôt pas avec les couches.

Loin de moi l'idée de vouloir vous enfoncer, j'espère que mes propos ne sont pas trop durs. Vous ne semblez pas idiot, soyons honnête, votre souci sera toujours un barrage dans vos relations avec les femmes.

Vous semblez défaitiste ou ne pas vouloir peut-être y remédier, je ne sais pas. Si vous savez que le problème est lié à l'enfance, il est sans doute déjà possible de situer avec exactitude l'origine du mal, et commencer une thérapie. Je suis sûre qu'il y a quelque chose à faire.

Bon courage à vous.

Je précise que je ne fais pas cela en permanence, je suis en général très présentable et très propre sur moi. Je pense être séduisant car pas mal de femmes mariées ou non essaient de m'approcher mais je reste inaccessible. J'assume ma fonction d"homme" parfaitement je pense, je prends mes responsabilités, j'entreprends plein de choses et j'ai un travail très gratifiant. Je suis de nature très protecteur, envers ma femme (future ex) et mes 3 enfants qui ne manquent de rien et surtout pas d'amour. Certes peut-être que sexuellement je ne suis pas un crack, je n'en sais rien. En tout cas, je ne fais rien de mal et pour moi, si j'aime profondément la personne, je pourrais dire qu'elle pourrait s'habiller comme elle veut, que cela ne me dérangerait pas le moins du monde , au contraire: si ma chérie est heureuse et fait ce qui lui permet d'être bien, alors je serais doublement heureux. Du moment que ce n'est ni crade , ni violent, ni méchant, etc... Ce ne sont que des vêtements et accessoires voyons!Rien d'autre! N'oublions pas que notre bonheur passe aussi par le bonheur de ceux que nous aimons. Lorsque je trouverai la femme qui comprend ça alors, je serai comblé et je la comblerai merveilleusement.

Mes "manies" sont pour moi un exutoire qui me permet sans doute de me lâcher tellement je m'occupe des autres au point de ne plus jamais penser à moi. Je ne sais même plus d'ailleurs ce que j'aime faire pour moi, j'ai toujours tout fait en fonction et pour les autres. C'est peut-être aussi là, la base du problème

Bah non, c'est beaucoup plus que de simples accessoires, comme je te l'ai dit plus haut, l'image qu'ils renvoient n'inspirent pas l'envie.

Je ne parle pas de sexe.

On va aussi bien au-délà d'une petite originalité vestimentaire.

Seul un thérapeute pourra creuser avec toi et te l'expliquer ; mais si tu souhaites être conforté dans l'idée qu'une femme pourrait éventuellement l'accepter, bien sûr, à l'impossible nul n'est tenu.

Seulement, tu risques de lui être tellement reconnaissant d'accepter ce qui te semble à toi-même inacceptable - désolée mais tu sembles tant vouloir t'en convaincre que ça paraît assez évident - que tu focaliseras là-dessus et finalement continueras à tourner autour de ton propre nombril.

1396526949[/url]' post='8899329']

Je précise que je ne fais pas cela en permanence, je suis en général très présentable et très propre sur moi. Je pense être séduisant car pas mal de femmes mariées ou non essaient de m'approcher mais je reste inaccessible. J'assume ma fonction d"homme" parfaitement je pense, je prends mes responsabilités, j'entreprends plein de choses et j'ai un travail très gratifiant. Je suis de nature très protecteur, envers ma femme (future ex) et mes 3 enfants qui ne manquent de rien et surtout pas d'amour. Certes peut-être que sexuellement je ne suis pas un crack, je n'en sais rien. En tout cas, je ne fais rien de mal et pour moi, si j'aime profondément la personne, je pourrais dire qu'elle pourrait s'habiller comme elle veut, que cela ne me dérangerait pas le moins du monde , au contraire: si ma chérie est heureuse et fait ce qui lui permet d'être bien, alors je serais doublement heureux. Du moment que ce n'est ni crade , ni violent, ni méchant, etc... Ce ne sont que des vêtements et accessoires voyons!Rien d'autre! N'oublions pas que notre bonheur passe aussi par le bonheur de ceux que nous aimons. Lorsque je trouverai la femme qui comprend ça alors, je serai comblé et je la comblerai merveilleusement.

Mes "manies" sont pour moi un exutoire qui me permet sans doute de me lâcher tellement je m'occupe des autres au point de ne plus jamais penser à moi. Je ne sais même plus d'ailleurs ce que j'aime faire pour moi, j'ai toujours tout fait en fonction et pour les autres. C'est peut-être aussi là, la base du problème

Bonjour,

Donc vous minimisez la chose : au départ il s'agissait d'un petit souci, maintenant de simples manies, pas si grave puisque quand on aime sincèrement une personne on peut facilement passer dessus, d'autant quand elle nous ramène la croute hein (en passant toutes les femmes n'attendent pas d'un homme qu'il soit un portefeuille).

Vous avez très certainement des qualités, sans doute, et je vous pose la question sans animosité aucune : est-ce que ce besoin, cette exécutoire passe avant madame ? (Vous parlez de future ex). À travers vos écrits ici, j'ai l'impression que vous lui reprochez quelque chose, qu'elle n'accepte pas peut-être (?).

Au risque de paraître dure, il ne s'agit pas d'un petit souci, de simples manies, mais réellement d'un vrai problème, d'un vrai gros problème. Il y a quelque chose à faire, très certainement, à condition de le vouloir. On peut s'échiner à vous le répéter dans le vent, le déclic c'est vous qui l'aurait, quand vous l'aurez décidé, si vous le décidez.

Ce n'est pas tant le visuel qui me choque c'est surtout ce à quoi il renvoie : l'enfance, l'extrême fragilité, vulnérabilité... N'importe quelle femme prendrait peur.

Je ne veux pas faire de la psychologie à mémé mais il me vient une idée : est-ce que vous vous sentez bridé dans la vie de tous les jours, à tel point de devoir enfiler des couches pour vous sentir libre ?

Bonjour,

Donc vous minimisez la chose : au départ il s'agissait d'un petit souci, maintenant de simples manies, pas si grave puisque quand on aime sincèrement une personne on peut facilement passer dessus, d'autant quand elle nous ramène la croute hein (en passant toutes les femmes n'attendent pas d'un homme qu'il soit un portefeuille).

Vous avez très certainement des qualités, sans doute, et je vous pose la question sans animosité aucune : est-ce que ce besoin, cette exécutoire passe avant madame ? (Vous parlez de future ex). À travers vos écrits ici, j'ai l'impression que vous lui reprochez quelque chose, qu'elle n'accepte pas peut-être (?). oui, elle n'acceptait pas mais non: cela ne passait pas avant madame

Au risque de paraître dure, il ne s'agit pas d'un petit souci, de simples manies, mais réellement d'un vrai problème, d'un vrai gros problème. Il y a quelque chose à faire, très certainement, à condition de le vouloir. On peut s'échiner à vous le répéter dans le vent, le déclic c'est vous qui l'aurait, quand vous l'aurez décidé, si vous le décidez.

Ce n'est pas tant le visuel qui me choque c'est surtout ce à quoi il renvoie : l'enfance, l'extrême fragilité, vulnérabilité... N'importe quelle femme prendrait peur.

Je ne veux pas faire de la psychologie à mémé mais il me vient une idée : est-ce que vous vous sentez bridé dans la vie de tous les jours, à tel point de devoir enfiler des couches pour vous sentir libre ? c'est sans dout cela oui

Vous a t-elle demandé d'y remédier, ou du moins d'essayer d'y remédier ?

Qu'est-ce qui vous bride ? Vous avez la pression ? Du stress ? Des peurs ? Est-ce que le fait de maîtriser tout cela dans l'avenir, pourrait, à votre avis, vous mener vers l'abandon de ce besoin ?

Vous a t-elle demandé d'y remédier, ou du moins d'essayer d'y remédier ? non car elle sait que je n'y peux rien et connais bien le sujet, elle est infirmière et s'est renseignée

Qu'est-ce qui vous bride ? Vous avez la pression ? Du stress ? Des peurs ? Est-ce que le fait de maîtriser tout cela dans l'avenir, pourrait, à votre avis, vous mener vers l'abandon de ce besoin ? oui, ma femme était autoritaire, fort caractère, je me sentais souvent rabaissé, non soutenu, mal aimé...mais cependant, mon problème datait d'avant notre recontre, depuis l'enfance...Peut-être que si je suis aimé et ai une relation normale et aimante, je pense que j'en aurais moins besoin...

Et c'est tout ?

Une infirmière n'est pas psychologue.

Vous n'êtes pas condamné à vivre ainsi toute votre vie.

Il y a des choses que je comprends mieux maintenant, et peut-être que son caractère et son comportement n'ont pas arrangé la chose effectivement, néanmoins ne connaissant pas votre femme, sa version je ne peux trop me prononcer et je ne suis pas psychologue non plus.

Ce qui transpire de vos messages, c'est que vous avez besoin d'énormément d'écoute, de vous livrer, donnez-vous une chance et allez voir un professionnel. Sans cela - et ce n'est qu'un avis- vos relations avec les femmes seront toujours compliquées.

Et c'est tout ? comment c'est tout?

Une infirmière n'est pas psychologue.

Vous n'êtes pas condamné à vivre ainsi toute votre vie.

Il y a des choses que je comprends mieux maintenant, et peut-être que son caractère et son comportement n'ont pas arrangé la chose effectivement, néanmoins ne connaissant pas votre femme, sa version je ne peux trop me prononcer et je ne suis pas psychologue non plus.

Ce qui transpire de vos messages, c'est que vous avez besoin d'énormément d'écoute, de vous livrer, donnez-vous une chance et allez voir un professionnel. Sans cela - et ce n'est qu'un avis- vos relations avec les femmes seront toujours compliquées. je vais voir une psy

Extrait d'un post sur le site ABkingdom.com qui résume bien ce que l'on vit:

Le déni de la violence. Voilà un déni de plus dont nous sommes coutumiers ! Les ABDL sont les champions du déni : le déni de la souffrance, le déni de la solitude, le déni d'une sexualité dérangeante.

Le déni de la violence qu’on a subie dans l’enfance, celle qu’on subit soi-même, qu’on se fait à soi-même du fait de nos pulsions sexuelles. La violence qui nous fait désirer un objet en remplacement d'une personne. Amoureux des couches, en voilà une violente monstruosité !

Bref, la violence qu’on se fait et qu’on fait à nos proches quand on est obligés de mentir. La violence que cachent nos jardins secrets. La violence derrière la solitude obligée.

Bonjour,

À travers vos écrits, vous ne semblez pas vouloir vous battre, l'un et l'autre, vous semblez défaitistes "c'est comme ça, ça ne partira pas, il faut vivre avec".

Vous allez voir une "psy" en plus de la sexologue que vous consultez en ligne, ou bien parlez-vous de la même personne ?

Jae, je ne doute pas que ce genre de comportements résulte d'un choc psychologique, d'un trauma...néanmoins j'ai toujours une distance, une méfiance vis à vis du net en ce qui concerne la santé. Un professionnel, au réel, sera parfaitement vous répondre, vous pourrez ainsi mettre le doigt ensemble sur "les racines" du mal, et essayer ainsi d'éradiquer ce besoin petit à petit,

Bonjour,

À travers vos écrits, vous ne semblez pas vouloir vous battre, l'un et l'autre, vous semblez défaitistes "c'est comme ça, ça ne partira pas, il faut vivre avec". par contre, vous oui, vous tenez à ce que cela parte...

Vous allez voir une "psy" en plus de la sexologue que vous consultez en ligne, ou bien parlez-vous de la même personne ? le sexologue, j'ai juste dialogué un peu avec et ai terminé avec lui... je vais voir une psy en vrai, ce soir pour la 3ème fois mais je n'ose pas encore lui parler de ça.

Jae, je ne doute pas que ce genre de comportements résulte d'un choc psychologique, d'un trauma...néanmoins j'ai toujours une distance, une méfiance vis à vis du net en ce qui concerne la santé. Un professionnel, au réel, sera parfaitement vous répondre, vous pourrez ainsi mettre le doigt ensemble sur "les racines" du mal, et essayer ainsi d'éradiquer ce besoin petit à petit, au fond qui dit ou sait si je souhaite vraiment quitter ce besoin? je ne le sais pas moi-même, ce que je sais c'est que j'aime ça comme on aime le chocolat... Si on vous dit de ne plus manger de chocolat et que vous adorez ça, comment faites-vous? C'est un besoin encré, vous savez, une marque indélébile... On peut atténuer...mais l'enlever complètement, je doute. J'ai déjà éssayé mais cela revient de plus belle...

Bah si c'est aussi simple que ça, je crois que la grande majorité des femmes préfèrent les hommes qui aiment le chocolat, plutôt que ceux qui portent des couches.

Tu aimerais qu'on banalise la chose en te confirmant que ça n'a aucune importance, alors que peu de monde le pense.

A toi de choisir ta propre réalité.

"Par contre, vous oui, vous tenez à cela que cela parte..." >

Ça vous fait peur ?

Vous ne donnez pas l'impression de vouloir le quitter ce besoin, en initiant ce sujet d'une part, en faisant l'analogie toute bête de l'addiction au chocolat.

Ce n'est pas anodin, ce n'est pas banal, ces comportements vous desservent, plutôt qu'il ne vous servent. Vous n'êtes pas bien dans votre peau, vous n'êtes pas bien dans votre couple.

Je sais bien que vous ne faites pas exprès, que c'est plus fort que vous, que cela vous rassure...quand vous aurez le déclic, que vous arrêterez de vous auto-endormir, vous pourrez avec votre psychologue, envisager de vous reconstruire.

Je vous souhaite sincèrement un déclic rapide.

Ah non moi c'est sur je pourrais pas, je trouve pas sa viril!! Je c'est pas ce que sa te procure de faire sa mais tu devrais peut etre consulter.. C surtout de porter des couche qui me rassure pas du tout en faite!