Un .. "poème".

Bonjour, bonsoir à tous :) !

Je dois faire un poème exprimant un sentiment pour le lycée, et j'ai donc fait ce travail avec beaucoup de temps et d'amour, et j'voudrais vous partager le résultat. Je dois le rendre demain, donc pas pour le corriger ou l'améliorer (quoique), mais surtout pour que vous me disiez ce que vous en penser, si ça vous évoque quelque chose.

Et aussi, quel sentiment pensez vous que je transmets?

Mon texte :

Je regarde les photos, mais ton sourire ne ramène pas l'mien,

Un léger souvenir, seul pour combattre un lourd chagrin

Le cri de mon âme brise le silence de mon coeur,

Mes textes tournent en rond, car ils entourrent ma douleur.

Je n'veux plus aimer car ça m'a fait trop souffrir,

Je me suis arraché le coeur pour ne plus m'en servir.

Les aiguilles du temps tisse le parcours de ma vie,

Construite de noeud et de rature, j'ai gaché ma part de génie.

Je surveille le sablier qui s'écoule doucement,

Et cette horloge ensablée me bascule dans le tourment,

Des questions sans réponses rodent dans mes pensées,

Tapis dans l'ombre, guétant l'oportunité d'attaquer,

et quand elles sont là, leurs griffes plantées en profondeur,

Elle t'arrache à la réalité, te rappelle tes profondes peurs.

J'laisse le pendule basculé, entrainant dans sa lancé,

le soleil vermeille et ce beau ciel bleuté,

puis disparaissent en même temps qu'eux ce monde et ses beautés,

Ainsi que... Mon reste d'humanité.

Mon enfance, sans violence, sans délinquance,

Avant que la vie m'frappe lors d'un moment d'inadvertance.

La belle époque hein, les jours heureux,

On pouvait voir un vrai sourire sur mon visage boueux,

après une journée sous la pluie, avec un pote ou deux,

et le monde dans lequel on vivait etait merveilleux.

De nos yeux rêveurs et sans frontières,

on pouvait observer une vie sans complèxes, sans misère,

Aujourd'hui j'perds mon temps, assis sur un banc,

Avec le sourire et un briquet, je décompose mon avenir doucement.

J'en veux au Soleil, car à force de tourné,

il nous a fait grandir, et nous à fait changer.

J'en veux à la mer, car elle emporte nos promesses,

les bouteilles qu'on y trouve, sont celle d'homme noyés dans l'ivresse.

J'en veux aux Hommes, eux qui s'laissent influancer par le Diable,

Ces anges infâmes, qui laisserait même crever leurs semblables.

J'en veux aux politiques, j'en veux aux religions,

J'en veux à tous, toutes, à tous ces cons.

J'ai la haine, j'ai la rage, ils souhaitent me mettre en cage,

mais leurs vagues de menaces, ne me feront jamais faire naufrage.

J'suis un putain d'guerrier, j'en ai rien à fouttre de vos gleu-ré,

moi j'ai souris les mecs, quand vos radards m'ont flashés.

Ouais, j'suis un p'tit con, c'est un peu ça,

Car le gouvernement nous à laisser dans un sale état.

On se fait diriger, comme de simples pentins,

et s'qu'ils appellent liberté, c'est la longueur de nos liens.

De quoi j'parles, ah ouais, j'y connais rien ?

Bah quand tu croiseras mon père, tu regarderas ses mains.

Le taf répétitif les a abimées, les a érrafflées,

elle reflète sa douleur, ses fautes et ses regrets.

Noires comme le shit que j'fumes, mais ça c'est mes affaires,

Il m'nique les poumons mais m'offre une nouvelle bouffée d'air.

Quoi ? J'ai pas peur des conséquences de mes paroles ?

J'ai rien plus à perdre, depuis qu'jai égaré mon oréole.

uis de toute manière, qu'est-c'qui peut bien m'arriver ?

Car peut importe le santier, que j'aurais emprunté,

leurs but à eux, c'est qu'j'me r'trouve à leur Arrivé.

Ouais, cette Arrivé, toute tracée, pré-déstinée,

Celle des gens du peuple, celle des mecs ratés,

des damnés. Ceux qui ont refusés d'échangé,

Cette bonté longuement cultivée et travaillée contre un peu d'blé.

Je vous l'accorde, je suis plus jeune que la plupart des personnes qui liront se texte, donc c'est un autre univers, mais je penses que l'on peut se retrouver dans n importe quoi.

Salut,

Je t'avoue que je ne suis absolument pas fan de la forme (irrégularité dans le nombre de pieds, rimes majoritairement pauvres, etc.) qui est très loin de ce que je considère comme le summum de l'esthétique, mais ça n'engage que ma vision du poème. En revanche, il faut vraiment que tu bannisses le verlans de "règles", c'est tout bonnement dégueulasse. :p

Sinon, je vais me permettre de commenter plus en détail cette strophe :

Des questions sans réponses rodent dans mes pensées,<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">Tapis dans l'ombre, guétant l'oportunité d'attaquer,<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">et quand elles sont là, leurs griffes plantées en profondeur,<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">Elle t'arrache à la réalité, te rappelle tes profondes peurs.

Les deux premiers vers sont plutôt pas mal, mais je trouve que les deux derniers les gâchent un peu. "Quand elles sont là", ça fait un peu vide, c'est fade et ça n'apporte rien à la métaphore ; "profondes peurs" après "profondeur", je trouve la répétition un peu lourde.

Maintenant, sur le fond, à partir de "j'en veux aux politiques", je ne saisis pas trop la direction que tu prends. Tu commences à mêler la politique à un parcours personnel d'une manière qui me donne l'impression, arrête-moi si je me trompe, que tu as écrit cette partie davantage pour parler d'idées qui te tiennent à cœur que pour véritablement apporter quelque chose au poème. Cela dit, je trouve que ça a cela de positif que ça permet de varier les sentiments exprimés. Dans la première partie, on est plutôt dans la tristesse, la mélancolie, mais avec un certain recul un peu cynique ; dans la seconde, je pense plutôt à la colère et au désabusement.

Pour finir sur une note purement positive, ton poème regorge d'images et de jeux de mots et ça, c'est très appréciable.

Je cite là les passages que je préfère :

Le cri de mon âme brise le silence de mon coeur,<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">Mes textes tournent en rond, car ils entourrent ma douleur.

Je surveille le sablier qui s'écoule doucement,<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">Et cette horloge ensablée me bascule dans le tourment,

J'en veux au Soleil, car à force de tourné,<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">il nous a fait grandir, et nous à fait changer.<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);"><br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">J'en veux à la mer, car elle emporte nos promesses,<br style="color: rgb(28, 40, 55); font-family: Tahoma, 'Lucida Grande', Helvetica, Verdana, FreeSans, sans-serif; line-height: 21px; background-color: rgb(243, 249, 246);">les bouteilles qu'on y trouve, sont celle d'homme noyés dans l'ivresse.

et s'qu'ils appellent liberté, c'est la longueur de nos liens.

Édition : Bon, les citations ont décidé de merder, désolé.

Salut Konvicted, ça faisait un moment ! Pour commencer, merci de ta réponse approfondie.

"Je t'avoue que je ne suis absolument pas fan de la forme (irrégularité dans le nombre de pieds, rimes majoritairement pauvres, etc.)"

Alors voilà, je vais m'expliquer là dessus, car c'est vraiment le point qui me diffère d'un poète, au sens historique du terme.

Pour commencer, notre prof nous a autorisé à écrire un poème en ver libre, ce que j'ai fais. Je ne suis pas assez bon et patient pour travailler la forme, et faire en sorte quelle donne sa part de vitalité au poème.

Moi, j'ai travaillé mon poème sur une instrumentale, car je l'ai plutôt écrit comme un texte de rap, donc quand il est posé, il est structuré et compréhensible.

Effectivement, les rimes sont, pour la plupart pour ne pas dire toutes, pauvres, car ce n'est pas un point que je comptais travailler sur ce poème, je voulais principalement exprimer mon sentiment comme il arrivait, car pour moi, là est la sincérité, écrire quand ça vient. Puis il m'aurait fallut plus de temps, nous n'avions qu'une semaine, et je bossais que le soir, ahah.

"En revanche, il faut vraiment que tu bannisses le verlans de "règles""

Pour ce qui est du verlan, c'est exactement ce qu'il faut ! QUE CA GENE. Car je souris quand je me fais flasher, donc je suis contre la norme. Tu vois ce que je veux dire ? Ca accentue le fait de marcher dans l'autre sens. C'est un peu comme un pique en plus. Et avec une pause entre Gleu et ré, ca passe bien quand c'est chanté.

La fouine disait : "Ferme ta gueule devant les keufs, c'est les putains d'gleu-ré" (Encore une nuit ft. Soprano & Corneille)

"Sinon, je vais me permettre de commenter plus en détail cette strophe :"

Ensuite, pour cette strophe, sache que je ne suis pas un expert, j'étais content d'avoir réussi une petite métaphore. Mais j'essayerai de la tournée autrement, dans ce cas. Mais ce qui te gène je penses, c'est que j'ai plus le langage de la rue que celui du poète, donc c'est pas toujours beau comme tu l'entends.

Après, je pourrais faire quelque chose de plus rechercher dans la forme, c'est sûr.

Si j'ai mit "Quand elle sont là", c'est pour donner une idée de rapidité, elle arrive vite, à peine on y pense, on ne peut pas s'en débarrassée, elle sont là, elle s'accroche.

Ah, bah ça c'est un classique du Rap, pour moi ahah.

Prendre un mot, et le décomposé en deux mot.

Après, il faut aimer^^.

"Maintenant, sur le fond, à partir de "j'en veux aux politiques", je ne saisis pas trop la direction que tu prends."

Eh bien, j'ai voulu écrire la haine, mais dans tous ses aspects. Et la haine, pour moi, est une chose déstructurée, donc qui part dans tous les sens et qui se perd dans ses pensées, "ses questions".

Et, effectivement, j'écris pour raconter mon histoire, donc je mèle un peu tout (ref. à la haine mélangée), et donc je voulais mettre un maximum de chose dans un petit poème.

Puis, je penses que la politique à a voir avec la vie personnelle, car bon, c'est lié d'une manière ou d'une autre.

Et je dénonces les inégalités, le haut peuple qui s'en fou du petit peuple (les mains abîmées), qu'on a beau se tué au travail, la récompense est parfois moindre. Pendant que d'autre se bourrent la pense, et surtout les poches !

"Dans la première partie, on est plutôt dans la tristesse, la mélancolie, mais avec un certain recul un peu cynique ; dans la seconde, je pense plutôt à la colère et au désabusement."

Et ça me fait plaisir, tu as tout compris. C'est la tristesse, et ensuite, à cogitée (on revient toujours aux questions), j'en viens à la colère, la haine, la rage, contre un peu tout. Puis oui, au final, plus rien à faire, à quoi bon, car même si on se donne à fond, la récompense est parfois moindre (la répétition est voulue), donc voilà la construction de mon poème :).

"Pour finir sur une note purement positive, ton poème regorge d'images et de jeux de mots et ça, c'est très appréciable. "

Pour finir, je penses que les jeux de mots et tout ça, c'est la base même d'un poème, et encore je dis poème, mais du rap (qui à la base veut dire Rythme and Poetry) aussi, et de chanson française engagée, enfin bref, pour moi, c'est le pilier d'un bon texte.

PS : tu n'en a pas parlé, mais je tiens à rajouter que les 2 dernières strophes sont bâclées, et je les ai reprises.

Suite à ta critique, je peux dire que mon poème est, pour moi,malgré ses innombrables défauts, une réussite.

Merci à toi, encore une fois.

Pardon,je ne vais pas me lancer dans une critique argumentée de ton texte, (pas vraiment le temps pour ça ou alors pas envie, je ne sais pas trop...), mais quand tu dis "Je ne suis pas assez bon et patient pour travailler la forme", il me semble que tu fais un mauvais calcul : le propre de la poésie, c'est justement de faire se rejoindre la manière dont tu dis les choses et leur sens, le but du jeu étant de trouver LA forme qui servira le mieux ton fond, tu voulais parler de haine ? Eh bien, tu pouvais choisir des dissonances de celles qui agacent bien les oreilles, travailler le champ lexical, le rythme... ici, pour moi, tu ne fais que la moitié du travail et c'est dommage, l'exercice semble te tenir à coeur, il aurait été gratifiant de le mener jusqu'au bout...

Si je bois un très bon champagne dans un gobelet plastique, je retiendrai uniquement la saveur de l'élixir.

S'il est servi en coupes de cristal, accompagné d'une conversation agréable et d'une musique bienveillante, alors je garderai le moment entier en mémoire...

En réalité, si on a du mal à se comprendre, vous, "défenseur" de la poésie, et moi, jeune idiot qui abîme cet art, héhé,

c'est car pour moi, mon texte est accompagné d'une instrumentale et de l'intonation de la voix.

Un exemple : si dans un passage, je prends une voix aigue, avec une intonation reflètant la tristesse, et une instrumentale qui colle bien, ça aura un effet sur celui qui écoute, normalement.

Après, la construction du texte est très importante, c'est vrai, pour avoir un vrai poème. Et d'ailleurs, j'ai beaucoup aimé votre réponse métaphorique ahah (je sais même pas si ça ce dit réellement..)

Ensuite, pour cette strophe, sache que je ne suis pas un expert, j'étais content d'avoir réussi une petite métaphore. Mais j'essayerai de la tournée autrement, dans ce cas. Mais ce qui te gène je penses, c'est que j'ai plus le langage de la rue que celui du poète, donc c'est pas toujours beau comme tu l'entends.

Après, je pourrais faire quelque chose de plus rechercher dans la forme, c'est sûr.

Mes deux seules références en poésie, c'est Brassens et Renaud (même si seuls les textes de Brassens sont littéralement des poèmes). Bon, même s'il emploie des mots de toutes les tailles, Brassens utilise plutôt un vocabulaire assez recherché, mais avec Renaud, c'est de l'argot à gogo, et parfois du verlan. Donc non, ce que tu appelles le langage de la rue ne me pose aucun problème. C'est juste que "gleu-ré" en particulier m'irrite les oreilles.

Si j'ai mit "Quand elle sont là", c'est pour donner une idée de rapidité, elle arrive vite, à peine on y pense, on ne peut pas s'en débarrassée, elle sont là, elle s'accroche.

D'accord, mais pourquoi pas "quand elles surgissent" ou quelque chose dans ce genre dans ce cas ?

Eh bien, j'ai voulu écrire la haine, mais dans tous ses aspects. Et la haine, pour moi, est une chose déstructurée, donc qui part dans tous les sens et qui se perd dans ses pensées, "ses questions".

Oui, ça se défend.

Suite à ta critique, je peux dire que mon poème est, pour moi, une réussite.

Merci à toi, encore une fois.

De rien.

Si tu dois soutenir un oral, pourquoi pas, s'il s'agit d'un écrit, ça risque de passer moins bien...

(et je ne défends rien, je donne juste un point de vue)

Konvicted,

c'est vrai que gleu-ré, moi aussi, la première fois que je l'ai entendu, j'ai trouvé ça vraiment laid, mais justement, c'est pour dire les règles, c'est sale, rien qu'à y entendre, donc j'le dit en verlan, car c'est encore plus moche, et je passe à coté des règles.

Vraiment pas bête, c'est bien plus beau, merci.

ptitepao,

oui, c'est vrai, mais je suis pas vraiment poème, à la base, donc l'écrit c'est pas mon truc, je préfère la musique :).

1 a 16 ans prendre le temps d écrire et avoir envie d utiliser les mots pour transporter un sentiment ben cool continue mec !! t hésite surtout pas a les publier .. et oublie absolument tout ces regard écris juste pour un seul , choisi le au feeling .. ecris juste pour toi a la rigueur .. continue de mettre a plat ta pensée meme si ca te semble un peu débile , ca t aidera un jour ..

2 , c est du rap une forme de poésie qui passe mieux a l oral c est comme ca ,t es un poète africain mec :!! bienvenue chez les dogon et autre peul , c est le premier but d un poème etre une parole a toi de mettre les bonne intonation de rythme le flow et le vent sur tes mots semé sous un banc , assoupie et rêvant d un aileur ou enfin tu pourra te réveiller en te disant , oui c est juste un cauchemars !!

, c est comme la music sur un piano le toucher rend deux note complétement différente.. et pusi tu t adresse a tes potes pas a des master en lettre classique .. l essentiel c est que ca touche .. je t imagine ecouter un bon mafiak1free , t écoutais quoi au fait pendant que tu écrivais ? demon one ..

le verlan le verlaine le vert a soi tout ca tu fais comme tu veux , comme c est de la music t hésite pas a explorer des chemin inconnus qu est ce que t en a foutre dans le fond perd toi un peu .. et puis t a 16 ans c est les première graine .. y a des grd poète qui font référence qui ont eu tellement honte de leur premiers ecris qui les ont brulé , trop d orgueil .. au contraire .. garde les bien de coté .. et sois sincère surtout

moi j aime bien c est quoi ton instru dessus

Merci de tes conseils, je ne comtes as arrêter de si tôt éé .

Ouais, c'est ça le rap exactement, et c'est un peu ça que j'veux retranscrire, mais bon, ca plait pas à tout le monde, et heuresement, sinon ça serait bien morne.

Quand j'écris mes textes, j'écoutes pas mal de rappeurs. J'aime tous les styles, new school, old school, gangsta, conscient.

Mais en général, ce qui m'inspire, c'est écrire en écoutant une instru.

pour le moment, j'hésites entre pas mal d'instru, mais celles qui me ont kiffé, c'est :

la 3 ca rend bien .. j ai posé le flow dans ma tete ca colle comme du caramel sur les pieds d un légionnaire !!

je vais tester sur ca ..

https://www.youtube.com/watch?v=s_hUSw1BfkA&feature=related&hd=1

bof pas terrible la mienne .. tes instru sont bien mieux on vois que tu a écris dessus ... dans le fond quand je t ecoute , tu transmet un sentiment que tu devrais pas avoir a 16 mais a 30 .. ma jeunesse est perdus alors que j ai le deux pied dedans . fais attention la mélancolie ça deviens vite une ivresse .. bn chance pour la suite

Je cherche une instru qui a un coté agressif et un coté triste en faite, et ça colle bien.

Road to Zion, elle est magique cette instru, mais c'est du reggae, et c'est trop calme je penses, mais l'idée est bonne.

Les epreuves de la vie font grandir, je penses que plus on souffre, plus on grandit. Donc, je dirais pas que je suis un martyre, mais la vie ma jouer de sales tours.

Comment ça ta jeunesse est perdue ?

Je me vois plus drogué (douce) qu’alcoolique :').

Merci beaucoup, j'en aurais besoin.

La musique que tu as postée est pas mal, mais c'est pas trop trop mon truc, son flow est trop lent pour moi. Mais c'est pas mal.

"ma jeunesse est perdus" c etait dans un rap .. a l ancienne dans le meme esprit que la tient ..

tient pour la nuit .. et l inspi

(2m38 t a pas rappeller gique mdrr)

Ca semble traduire l'irresponsabilité. C'est la faute de autres si j'ai bobo. "Etre libre, c'est avoir tout pouvoir sur soi." Que de chaînes dans ce texte !

Salut,

Ce n'est que des mots. Et, ce que tu vois comme un caprice, je le vois comme une façon d'exprimer mon opinion.

Puis, je suis totalement libre de mes acts, de mes pensées, et de mes dits, donc j'ai tout pouvoir sur moi. Mis à part que je suis mineur et qu'il y a des règles et la libertés des autres à respectées.

Et, ce n'est pas des chaînes que de reprocher des choses à des gens. Je suis dans ce monde depuis seulement 16 ans, ce n'est pas ma faut si ça va mal.