Témoignage d'un jeune activiste

Je viens de lire ce témoignage ! Je trouve cela très beau !

"Je m'appelle Teddy, 23 ans, étudiant en faculté des sciences. Très curieux de nature, passionné par l'univers, la Terre, la vie en général, j'appartiens à cette jeune génération d'engagés confrontée à une époque morose, chargée d'incertitudes et de dangers. Dès ma plus tendre enfance, j'ai éprouvé de l'admiration pour notre planète, la faune, la flore. Mais ce jour devait arriver où je découvris avec colère et effroi, la destruction massive des écosystèmes, en particulier la déforestation et le traitement infligé aux animaux. Ce monde n'était pas ce que j'imaginais, l'humanité était différente de ce que j'espérais. J'ai trouvé le comportement de l'homme occidental barbare, violent, et incroyablement peu respectueux de l'environnement naturel, auquel nous devons tout. Avec le temps, et le dépassement d'illusions bien ancrées, je me suis penché sur tous les aspects de notre civilisation : le système économique qui la soutient, les philosophies politiques, la sociologie, la psychologie des groupes, la culture, l'histoire, la science en général, en somme tout ce qui forme le terreau de notre époque. J'ai appris à décrypter et à mieux comprendre les discours économiques, jusqu'à réaliser que l'argent était devenu le nouveau dieu de ce monde, et qu'au lieu d'aider l'homme à prospérer et se développer, il contribuait à l'écraser.

Plus tard, mes recherches et réflexions m'ont amenées à identifier l'une des causes de ce vice : le capitalisme, dans ses fondements théoriques, en plus de ne porter aucune attention à l'humain et son environnement, n'admettait aucune limite à l'accumulation des richesses. Ce faisant, il fallait s'attendre à ce que des groupes parviennent à s'approprier d'importantes ressources et à accroître leur pouvoir, repoussant les limites du raisonnable jusqu'à l'ivresse. Le panorama aujourd'hui, est que 1% des plus riches possèdent 43% des richesses mondiales, alors que 80% des plus pauvres n'en possèdent que 6%. Les milieux financiers répondent au même schéma: une étude menée par une équipe de chercheurs de Zurich, relayée dans le Zédito du 10 juillet 2013, a estimé que sur le capital des 43060 multinationales recensées dans le monde, 80% est détenu par seulement 737 entités tandis que 40% est détenu par 147 multinationales, c'est-à-dire que 1% de la totalité du marché mondial contrôle près de la moitié de l’économie. Nous en sommes bien à un stade où un petit groupe de riches et de grandes entreprises, interconnectées autour d'un noyau très restreint, s'est accaparé une grande partie des richesses mondiales, au détriment d'une majorité de plus en plus pauvre. Cette pauvreté responsable d'un stress social et d'une violence systémique qui dénature les liens sociaux, ne cesse de s’accroître. Avec elle, la plupart des grands problèmes de notre millénaire, s'amplifient, ravageant davantage le berceau de notre humanité, déjà si mutilé. S'y ajoute une culture asphyxiée, qui se tourne vers le divertissement, la drogue, le sexe et l'individualisme en réponse au surmenage et à la nouvelle forme d'esclavage par la dette, qui culpabilise le peuple de ne pas travailler et consommer assez pour soutenir une machine périmée, dont bénéficie pleinement une poignée de privilégiés, alors que des milliards de vies se perdent dans une mer de misère.

Pourquoi ne pas simplement... changer les règles ? Réviser nos valeurs pour les axer vers l'humain, la spiritualité, le développement personnel et collectif, la liberté et la coopération, plutôt que l'argent, le consumérisme, le matérialisme, l’égoïsme, le pouvoir, la compétitivité ou la cupidité ? Puisque l'ignorance semble impliquer la peur, par incompréhension de l'environnement, puis la haine et la violence, en réaction à la peur, réunir nos efforts autour de la compréhension intime de la façon dont tourne le monde, ne serait-il pas un tremplin vers un accomplissement collectif, vers une explosion d'amour et de créativité favorisant l'émergence d'une nouvelle ère ? La quête de vérité ne serait-elle pas la clé d'accès au changement, radical et profond, de nos modes de pensées, de nos organisations ? Il me semble que le combat que nous devons mener, contre l'impérialisme et la destruction, pour la liberté et la réalisation de nos utopies, passe par la diffusion de l'information. En effet, la compréhension des maux qui rongent ce monde peut nous guider vers les stratégies les plus éclairées, qui à leur tour nous permettront de repousser les forces de l'oppression. Ainsi sera délivré notre potentiel humain enfoui.

C'est un travail dans lequel je me suis engagé, depuis quelques années, sur Internet et dans la vraie vie, en m'impliquant dans des mouvements activistes. Mais ce n'est pas en soi suffisant, car après l'information, doit venir l'action, une pensée globale, associée d'actions locales. Nous devons nous réunir pour créer le monde que nous souhaitons, en soutenant et développant les alternatives durables, écologiques et humaines. Créer des réseaux d'échange et de partage, en dehors du capitalisme, tisser des liens entre nous, pour mettre en place une toile d'autonomie, sur laquelle nous reposer en cas de chute. Des canots de sauvetage, qui lorsque le navire monde sombrera, nous permettront de nous réfugier vers d'autres contrées, jusqu'à reconstruire nous même, le navire de nos rêves, et voyager au gré des vagues, dans l'océan infini de la création..."

Le gros probléme de l'humanité c'est la nature humaine tant qu'il n'aurat pas pris conscience que l'animal qui est en lui rien ne changera sur notre planéte.

C'est toujours le même refrain avec les activistes de 23 ans, du bla bla collecté dans divers bouquins communistes et c'est partis pour considérer l'homme comme une race à éteindre.

J'en ai supporté un pendant toute une soirée, il y a peu, qu'est ce que j'aurais aimé pouvoir lui effacer cet air arrogant de jeune con tout frais émoulu d'une université où le capitalisme de ses parents l'avait pourtant envoyé.

Se faire donner des leçons de savoir vivre mieux par un môme qui n'a encore rien vécu autrement que par les livres, c'est amusant au début mais être comparé à un singe qui puisse partout, c'est un peu fort.

bien sur, dès lors qu'on ose ne pas encenser le divin capitalisme on est forcément un petit con arrogant et imbu de lui même,

Et croire que le capitalisme est la raison à toutes les dérives ne rend pas plus intelligent

Ben il faut lui laisser le temps d'avoir de l'experience

alors, o grand sage omniscient de la divine perfection sublime, qu'est ce que le capitalisme a de si bon ?

un système ou la spéculation prime sur la vie moi j'appelle ça une monstruosité

La protection sociale et tout les avantages sociaux dont tout le monde bénéficie actuellement en vivant en France. De plus, c'est le capitalisme qui permet de créer des milliers d'emplois.

La protection sociale et tout les avantages sociaux dont tout le monde bénéficie actuellement en vivant en France : ont été obtenus à la suite de lutte sociales menées par des mouvements ouvriers.

De plus, c'est le capitalisme qui permet de créer des milliers d'emplois : allez le dire sans rire aux employés del'usine Spanghero ou à ceux d'ArcelorMittal...

pas grand chose a ajouter, les emplois ce ne sont pas les capitalistes mais les gens qui créent les emplois

Je viens de lire ce témoignage ! Je trouve cela très beau !

"Je m'appelle Teddy, 23 ans, étudiant en faculté des sciences. Très curieux de nature, passionné par l'univers, la Terre, la vie en général, j'appartiens à cette jeune génération d'engagés confrontée à une époque morose, chargée d'incertitudes et de dangers. Dès ma plus tendre enfance, j'ai éprouvé de l'admiration pour notre planète, la faune, la flore. Mais ce jour devait arriver où je découvris avec colère et effroi, la destruction massive des écosystèmes, en particulier la déforestation et le traitement infligé aux animaux. Ce monde n'était pas ce que j'imaginais, l'humanité était différente de ce que j'espérais. J'ai trouvé le comportement de l'homme occidental barbare, violent, et incroyablement peu respectueux de l'environnement naturel, auquel nous devons tout. Avec le temps, et le dépassement d'illusions bien ancrées, je me suis penché sur tous les aspects de notre civilisation : le système économique qui la soutient, les philosophies politiques, la sociologie, la psychologie des groupes, la culture, l'histoire, la science en général, en somme tout ce qui forme le terreau de notre époque. J'ai appris à décrypter et à mieux comprendre les discours économiques, jusqu'à réaliser que l'argent était devenu le nouveau dieu de ce monde, et qu'au lieu d'aider l'homme à prospérer et se développer, il contribuait à l'écraser.

Plus tard, mes recherches et réflexions m'ont amenées à identifier l'une des causes de ce vice : le capitalisme, dans ses fondements théoriques, en plus de ne porter aucune attention à l'humain et son environnement, n'admettait aucune limite à l'accumulation des richesses. Ce faisant, il fallait s'attendre à ce que des groupes parviennent à s'approprier d'importantes ressources et à accroître leur pouvoir, repoussant les limites du raisonnable jusqu'à l'ivresse. Le panorama aujourd'hui, est que 1% des plus riches possèdent 43% des richesses mondiales, alors que 80% des plus pauvres n'en possèdent que 6%. Les milieux financiers répondent au même schéma: une étude menée par une équipe de chercheurs de Zurich, relayée dans le Zédito du 10 juillet 2013, a estimé que sur le capital des 43060 multinationales recensées dans le monde, 80% est détenu par seulement 737 entités tandis que 40% est détenu par 147 multinationales, c'est-à-dire que 1% de la totalité du marché mondial contrôle près de la moitié de l’économie. Nous en sommes bien à un stade où un petit groupe de riches et de grandes entreprises, interconnectées autour d'un noyau très restreint, s'est accaparé une grande partie des richesses mondiales, au détriment d'une majorité de plus en plus pauvre. Cette pauvreté responsable d'un stress social et d'une violence systémique qui dénature les liens sociaux, ne cesse de s’accroître. Avec elle, la plupart des grands problèmes de notre millénaire, s'amplifient, ravageant davantage le berceau de notre humanité, déjà si mutilé. S'y ajoute une culture asphyxiée, qui se tourne vers le divertissement, la drogue, le sexe et l'individualisme en réponse au surmenage et à la nouvelle forme d'esclavage par la dette, qui culpabilise le peuple de ne pas travailler et consommer assez pour soutenir une machine périmée, dont bénéficie pleinement une poignée de privilégiés, alors que des milliards de vies se perdent dans une mer de misère.

Pourquoi ne pas simplement... changer les règles ? Réviser nos valeurs pour les axer vers l'humain, la spiritualité, le développement personnel et collectif, la liberté et la coopération, plutôt que l'argent, le consumérisme, le matérialisme, l’égoïsme, le pouvoir, la compétitivité ou la cupidité ? Puisque l'ignorance semble impliquer la peur, par incompréhension de l'environnement, puis la haine et la violence, en réaction à la peur, réunir nos efforts autour de la compréhension intime de la façon dont tourne le monde, ne serait-il pas un tremplin vers un accomplissement collectif, vers une explosion d'amour et de créativité favorisant l'émergence d'une nouvelle ère ? La quête de vérité ne serait-elle pas la clé d'accès au changement, radical et profond, de nos modes de pensées, de nos organisations ? Il me semble que le combat que nous devons mener, contre l'impérialisme et la destruction, pour la liberté et la réalisation de nos utopies, passe par la diffusion de l'information. En effet, la compréhension des maux qui rongent ce monde peut nous guider vers les stratégies les plus éclairées, qui à leur tour nous permettront de repousser les forces de l'oppression. Ainsi sera délivré notre potentiel humain enfoui.

C'est un travail dans lequel je me suis engagé, depuis quelques années, sur Internet et dans la vraie vie, en m'impliquant dans des mouvements activistes. Mais ce n'est pas en soi suffisant, car après l'information, doit venir l'action, une pensée globale, associée d'actions locales. Nous devons nous réunir pour créer le monde que nous souhaitons, en soutenant et développant les alternatives durables, écologiques et humaines. Créer des réseaux d'échange et de partage, en dehors du capitalisme, tisser des liens entre nous, pour mettre en place une toile d'autonomie, sur laquelle nous reposer en cas de chute. Des canots de sauvetage, qui lorsque le navire monde sombrera, nous permettront de nous réfugier vers d'autres contrées, jusqu'à reconstruire nous même, le navire de nos rêves, et voyager au gré des vagues, dans l'océan infini de la création..."

Ben il faut lui laisser le temps d'avoir de l'experience dans l'action de comprendre que pour changer le monde il faut beaucoup de temps. Affirmer a 23 ans que l'homme est un barbare je pense que depuis le néolithique on a un peu évolué.Son action lui permettra d'avoir une raison d'exister et d'esperé un monde meilleur.

Mais si beaucoup de jeunes

pouvaient penser comme lui c'est sure qu'il y aura des changements dans un avenir proche ou lointain.

L'homme aura évolué avec le temps.

Je trouve que les propos de ce jeune homme partent d'un bon sentiment.

Toutefois il me semble qu'il parle beaucoup de lui. Peut-être, sous couvert d'altruisme, se fait-il avant tout plaisir à lui-même.

Pour en savoir plus, il faudrait que ce jeune homme, au quotidien, puisse vivre une histoire d'amour aboutie, tout en étant capable chaque jour, malgré les difficultés de chaque instant, partager la vie d'une autre personne et la rendre heureuse.

Après cela, qui sait si son point de vue n'évoluerait pas un petit peu...

ou peut être qu'il parle en son nom propre et ne se cache pas derrière d'autres

C'est toujours le même refrain avec les activistes de 23 ans, du bla bla collecté dans divers bouquins communistes et c'est partis pour considérer l'homme comme une race à éteindre.

J'en ai supporté un pendant toute une soirée, il y a peu, qu'est ce que j'aurais aimé pouvoir lui effacer cet air arrogant de jeune con tout frais émoulu d'une université où le capitalisme de ses parents l'avait pourtant envoyé.

Se faire donner des leçons de savoir vivre mieux par un môme qui n'a encore rien vécu autrement que par les livres, c'est amusant au début mais être comparé à un singe qui puisse partout, c'est un peu fort.

Ca m'est arrivé aussi, je pense que c'est arrivé à beaucoup de monde.

J'apprécie assez dans un diner ou dans des discussions ce genre de jeunots qui te réveille de la torpeur des discussions autour des options du dernier Scenic ou Picasso ou du transfert de kouyinho au PSG , tu somnolais à moitié, il essaie de sortir son épingle du jeu.

Tu relèves la tête, tu l'écoutes, ça parait...

Tu te rendors quand il commence à délirer avec un certain véganisme puant, ou quand il commence à se mélanger les pinceaux dans des considérations globales sur le capitalisme qui font de lui, finalement, qu'un piètre discoureur de bistrot.

Capital argent/dette ? Capital industriel national ? Capital prédateurs transnationaux..... ?

Il a au moins le mérite de scotcher Kiki et Steph' (qui eux commencent à piquer un roupillon les yeux ouverts). Pour le reste....

pas grand chose a ajouter, les emplois ce ne sont pas les capitalistes mais les gens qui créent les emplois

Donc les chefs d'entreprises -> Donc le capitalisme.

raccourci fallacieux et démago

Non. Réaliste.

Donc les chefs d'entreprises -> Donc le capitalisme.

Capitalisme, c'est avant tout le fait de gagner de l'argent oisivement, juste en étant actionnaire..

Je pense qu'on ne peut pas faire de généralité sur les chefs d'entreprise, il y a une différence humaine et économique entre le mec qui se sert la ceinture pour continuer à faire vivre son entreprise de 5 personnes malgré les difficultés et le mec qui, comme la plupart des patrons du CAC 40 gagne environ 1000 fois le salaire de base de son entreprise et qui a le culot de délocaliser pour cause de profits trop faibles, histoire d'aller apporter sa contribution à l'esclavage des gamins d'Asie du Sud Est.

Le capitalisme est sans doute inévitable, on nous a imprimé dans les gènes l'envie de sans cesse grossir mais le rendre plus humain et plus honnête est tout à fait à notre portée, suffit de s'en donner les moyens.

Une production plus régionale, des lois entourant les petits génies de la finance qui mangent à notre table et ne nous laissent que les miettes et la remise en avant de valeurs universelles par la spiritualité ou la culture et le tour est joué.

Mais bon, vous considérez sans doute ça comme ''du bla bla collecté dans divers bouquins communistes et c'est partis pour considérer l'homme comme une race à éteindre.''

Capitalisme, c'est avant tout le fait de gagner de l'argent oisivement, juste en étant actionnaire..

Faux évidemment. Capitalisme

qu'est ce que le capitalisme a de bon ?

c'est a peu pret le seul systeme qui tient la route ... apres faut aller voir du coté des dictature, toussa ...

oui , dans l'idée y a tellement mieux que le capitalisme . dans la pratique c'est une telle horreur le capitalisme ... mais . bon ... un systeme bancale mais qui marche c'est ptet mieux qu'une systeme utopique qui se casse la gueule . , nan ?

la meilleur des chose a faire c'est ptet un capitalisme avec des gens capable de le denoncer, de tenter des solution plus correct ... plus humaine , et ... c'est ce qu'on as . c'est pas l'ideal mais ca marche, nan ?